• Patch Notes #8 : Tim Sweeney se met à parler d'IA, Nintendo laisse les journalistes en plan, et Epic tease The Witcher 4. La Switch 2 est enfin arrivée (à condition d'avoir réussi à précommander), mais bon, il y a plein d'autres nouvelles à digérer cette semaine.

    Franchement, c'est pas que je sois vraiment excité par tout ça. Tim Sweeney qui commence à faire la promotion de l'IA, c'est un peu comme un vieux disque rayé. On entend toujours les mêmes choses, et ça commence à devenir lassant. Qui a vraiment besoin d'une autre promesse de révolution numérique ? Les discours sur l'IA s'empilent, mais au fond, ça reste des mots vides.

    D'un autre côté, Nintendo, cette fois encore, a laissé les journalistes dans l'incertitude. On peut toujours compter sur eux pour créer un peu de mystère autour de leurs annonces. Mais est-ce que ça nous intéresse vraiment ? C'est un peu fatiguant de devoir attendre des nouvelles qui ne viennent jamais. On dirait que l'enthousiasme s'épuise.

    Et puis, Epic qui tease The Witcher 4... encore un autre teasing. On sait tous comment ça se termine. Des promesses, des trailers, et puis... rien de concret pendant des années. C'est toujours la même histoire. À ce stade, je ne suis même plus sûr de vouloir voir ce que ça pourrait donner.

    Bien sûr, la Switch 2 est là, mais est-ce que ça change vraiment la donne ? Peut-être qu'il y a des gens qui sont contents, mais pour moi, c'est juste un autre gadget sur le marché. Je ne sens pas cette excitation ambiante. Peut-être que je suis juste un peu fatigué de tout ça, ou peut-être que je suis juste trop occupé à regarder les nouvelles se succéder sans vraiment m'y intéresser.

    Au final, cette semaine, c'est une autre série de nouvelles qui passent sans grand impact. On navigue à travers ces annonces, mais l'enthousiasme fait défaut. J'espère juste que la prochaine fois, il y aura quelque chose qui va vraiment me captiver, mais pour l'instant, c'est un peu ennuyeux.

    #PatchNotes #Nintendo #EpicGames #TheWitcher4 #IA
    Patch Notes #8 : Tim Sweeney se met à parler d'IA, Nintendo laisse les journalistes en plan, et Epic tease The Witcher 4. La Switch 2 est enfin arrivée (à condition d'avoir réussi à précommander), mais bon, il y a plein d'autres nouvelles à digérer cette semaine. Franchement, c'est pas que je sois vraiment excité par tout ça. Tim Sweeney qui commence à faire la promotion de l'IA, c'est un peu comme un vieux disque rayé. On entend toujours les mêmes choses, et ça commence à devenir lassant. Qui a vraiment besoin d'une autre promesse de révolution numérique ? Les discours sur l'IA s'empilent, mais au fond, ça reste des mots vides. D'un autre côté, Nintendo, cette fois encore, a laissé les journalistes dans l'incertitude. On peut toujours compter sur eux pour créer un peu de mystère autour de leurs annonces. Mais est-ce que ça nous intéresse vraiment ? C'est un peu fatiguant de devoir attendre des nouvelles qui ne viennent jamais. On dirait que l'enthousiasme s'épuise. Et puis, Epic qui tease The Witcher 4... encore un autre teasing. On sait tous comment ça se termine. Des promesses, des trailers, et puis... rien de concret pendant des années. C'est toujours la même histoire. À ce stade, je ne suis même plus sûr de vouloir voir ce que ça pourrait donner. Bien sûr, la Switch 2 est là, mais est-ce que ça change vraiment la donne ? Peut-être qu'il y a des gens qui sont contents, mais pour moi, c'est juste un autre gadget sur le marché. Je ne sens pas cette excitation ambiante. Peut-être que je suis juste un peu fatigué de tout ça, ou peut-être que je suis juste trop occupé à regarder les nouvelles se succéder sans vraiment m'y intéresser. Au final, cette semaine, c'est une autre série de nouvelles qui passent sans grand impact. On navigue à travers ces annonces, mais l'enthousiasme fait défaut. J'espère juste que la prochaine fois, il y aura quelque chose qui va vraiment me captiver, mais pour l'instant, c'est un peu ennuyeux. #PatchNotes #Nintendo #EpicGames #TheWitcher4 #IA
    Patch Notes #8: Tim Sweeney starts peddling AI, Nintendo leaves journalists in the lurch, and Epic teases The Witcher 4
    The Switch 2 has finally arrived (assuming you snagged a pre-order) but there's plenty of other news to chew on this week.
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  • Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse.

    Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes !

    Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ?

    Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste.

    J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration.

    Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent.

    #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
    Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse. Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes ! Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ? Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste. J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration. Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent. #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
    Mario Kart World Is More Fun When You're Grinding Rails And Riding Walls
    Mario Kart World’s newest features aren’t limited to just the open world and huge 24-player races. Everything feels a lot more dynamic thanks to the inclusion of Rail Riding and Wall Riding. These new techniques can seem like a hassle at first, but y
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  • Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ?

    D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose.

    Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon.

    Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout.

    Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant.

    Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple.

    Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher.

    Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé.

    #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ? D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose. Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon. Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout. Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant. Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple. Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher. Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé. #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos
    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos Hacer vídeos virales en redes sociales como TikTok o Instagram puede parecer un desafío formidable. Sin embargo, con la estrategia correcta y un enfoque creativo, es posible captar l
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  • Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais.

    Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent.

    Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement.

    La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ?

    Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine.

    Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur.

    #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
    Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais. Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent. Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement. La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ? Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine. Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur. #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
    [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025
    Bien qu’il ait été officiellement retiré du marché en 2024 suite au lancement du Meta […] Cet article [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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  • Les salariés passent à l’IA, mais manquent de formation

    Carnet de bureau. Les cadres vont-ils maîtriser l’intelligence artificielleavant que leur entreprise n’organise leur formation ? D’après l’étude « IA et emploi : l’utilisation de l’intelligence artificielle fait un bond chez les cadres », publiée mardi 3 juin par l’Association pour l’emploi des cadres, qui a interrogé en mars 2 000 cadres de plus de 1 000 entreprises, plus d’un cadre sur troiset 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. Selon l’Association pour l’emploi des cadres, 35 % des cadres et 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. SOLÈNE REVENEY / LE MONDE Parmi les usages les plus courants de l’IA, la collecte de données, les synthèses, les comptes rendus de réunion concernent de multiples métiers. Dans un service d’édition du groupe de presse Ebra, toute l’équipe travaille déjà sur un même compte ChatGPT. L’assistant IA propose, les journalistes disposent et veillent à l’actualisation des outils pour les garder à leur service. Ils développent par exemple des prompts thématiques pour préparer les nécrologies. Un usage de l’IA quasi banalisé précisément décrit dans un récent article de La Revue des médias. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Intelligence artificielle : l’urgence de repenser le rôle de l’entreprise Les questions de l’enquête APEC sur l’utilité de l’IA pour les collaborateurs paraissent presque obsolètes. Des très petites entreprisesaux grands groupes, c’est déjà une évidence pour la majorité des entreprises. Elles en sont convaincues à 49 % pour les plus petites et à 76 % pour les plus grandes. Et 40 % des grandes organisations l’encouragent, tout comme 27 % des TPE. Il vous reste 58.91% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #les #salariés #passent #lia #mais
    Les salariés passent à l’IA, mais manquent de formation
    Carnet de bureau. Les cadres vont-ils maîtriser l’intelligence artificielleavant que leur entreprise n’organise leur formation ? D’après l’étude « IA et emploi : l’utilisation de l’intelligence artificielle fait un bond chez les cadres », publiée mardi 3 juin par l’Association pour l’emploi des cadres, qui a interrogé en mars 2 000 cadres de plus de 1 000 entreprises, plus d’un cadre sur troiset 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. Selon l’Association pour l’emploi des cadres, 35 % des cadres et 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. SOLÈNE REVENEY / LE MONDE Parmi les usages les plus courants de l’IA, la collecte de données, les synthèses, les comptes rendus de réunion concernent de multiples métiers. Dans un service d’édition du groupe de presse Ebra, toute l’équipe travaille déjà sur un même compte ChatGPT. L’assistant IA propose, les journalistes disposent et veillent à l’actualisation des outils pour les garder à leur service. Ils développent par exemple des prompts thématiques pour préparer les nécrologies. Un usage de l’IA quasi banalisé précisément décrit dans un récent article de La Revue des médias. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Intelligence artificielle : l’urgence de repenser le rôle de l’entreprise Les questions de l’enquête APEC sur l’utilité de l’IA pour les collaborateurs paraissent presque obsolètes. Des très petites entreprisesaux grands groupes, c’est déjà une évidence pour la majorité des entreprises. Elles en sont convaincues à 49 % pour les plus petites et à 76 % pour les plus grandes. Et 40 % des grandes organisations l’encouragent, tout comme 27 % des TPE. Il vous reste 58.91% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #les #salariés #passent #lia #mais
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    Les salariés passent à l’IA, mais manquent de formation
    Carnet de bureau. Les cadres vont-ils maîtriser l’intelligence artificielle (IA) avant que leur entreprise n’organise leur formation ? D’après l’étude « IA et emploi : l’utilisation de l’intelligence artificielle fait un bond chez les cadres », publiée mardi 3 juin par l’Association pour l’emploi des cadres (APEC), qui a interrogé en mars 2 000 cadres de plus de 1 000 entreprises, plus d’un cadre sur trois (35 %) et 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. Selon l’Association pour l’emploi des cadres, 35 % des cadres et 42 % des manageurs utilisent déjà l’intelligence artificielle au moins une fois par semaine au travail. SOLÈNE REVENEY / LE MONDE Parmi les usages les plus courants de l’IA, la collecte de données, les synthèses, les comptes rendus de réunion concernent de multiples métiers. Dans un service d’édition du groupe de presse Ebra, toute l’équipe travaille déjà sur un même compte ChatGPT. L’assistant IA propose, les journalistes disposent et veillent à l’actualisation des outils pour les garder à leur service. Ils développent par exemple des prompts thématiques pour préparer les nécrologies. Un usage de l’IA quasi banalisé précisément décrit dans un récent article de La Revue des médias. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Intelligence artificielle : l’urgence de repenser le rôle de l’entreprise Les questions de l’enquête APEC sur l’utilité de l’IA pour les collaborateurs paraissent presque obsolètes. Des très petites entreprises (TPE) aux grands groupes, c’est déjà une évidence pour la majorité des entreprises. Elles en sont convaincues à 49 % pour les plus petites et à 76 % pour les plus grandes. Et 40 % des grandes organisations l’encouragent, tout comme 27 % des TPE. Il vous reste 58.91% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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