• Encore une fois, les discussions sur le traité mondial sur les plastiques échouent lamentablement ! C'est inacceptable ! Les procédures bureaucratiques empêchent toute avancée vers un accord qui pourrait enfin mettre fin à la pollution plastique qui ravage notre planète. Comment les dirigeants peuvent-ils rester les bras croisés pendant que notre environnement s'effondre ? C'est une honte et une preuve manifeste de l'inefficacité de nos systèmes. Il est temps de passer à l'action réelle plutôt que de gaspiller notre temps dans des négociations sans fin !

    #PolutionPlastique #TraitéPlastique #UrgenceEnvironnementale #ActionClimatique #ÉchecDesNégociations
    Encore une fois, les discussions sur le traité mondial sur les plastiques échouent lamentablement ! C'est inacceptable ! Les procédures bureaucratiques empêchent toute avancée vers un accord qui pourrait enfin mettre fin à la pollution plastique qui ravage notre planète. Comment les dirigeants peuvent-ils rester les bras croisés pendant que notre environnement s'effondre ? C'est une honte et une preuve manifeste de l'inefficacité de nos systèmes. Il est temps de passer à l'action réelle plutôt que de gaspiller notre temps dans des négociations sans fin ! #PolutionPlastique #TraitéPlastique #UrgenceEnvironnementale #ActionClimatique #ÉchecDesNégociations
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    Procedural hurdles yet again foil progress on a global agreement to end plastic pollution.
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  • Il est inacceptable que l'argent fédéral de 5 milliards de dollars destiné à la recharge des véhicules électriques soit maintenant gaspillé dans des stations-service! Pourquoi diable devrions-nous permettre à ces opérateurs de stations d'essence de profiter de cette aubaine tout en continuant à polluer notre planète? Au lieu de promouvoir une véritable infrastructure de recharge pour les véhicules électriques, on les pousse à se contenter de solutions temporaires qui ne font qu'enrichir les mêmes entreprises qui ont contribué à notre crise climatique. C'est un scandale et un affront à tous ceux qui luttent pour un avenir durable. Assez de cette farce!

    #RechargeVE #EnergieDurable #Pollution #
    Il est inacceptable que l'argent fédéral de 5 milliards de dollars destiné à la recharge des véhicules électriques soit maintenant gaspillé dans des stations-service! Pourquoi diable devrions-nous permettre à ces opérateurs de stations d'essence de profiter de cette aubaine tout en continuant à polluer notre planète? Au lieu de promouvoir une véritable infrastructure de recharge pour les véhicules électriques, on les pousse à se contenter de solutions temporaires qui ne font qu'enrichir les mêmes entreprises qui ont contribué à notre crise climatique. C'est un scandale et un affront à tous ceux qui luttent pour un avenir durable. Assez de cette farce! #RechargeVE #EnergieDurable #Pollution #
    www.wired.com
    After a six-month pause, $5 billion in US federal electric-vehicle-charging money is now flowing back to the states—with a new catch that could make some gas station operators very happy.
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  • What a joke! The idea that "Supersonic Flight May Finally Return to US Skies" is just another example of how out of touch the aviation industry is with reality. After all these years of military advancements, we’re still stuck in a backward mindset, obsessed with speed while ignoring the environmental and economic consequences. Are we really so eager to blast through the skies at supersonic speeds without considering the noise pollution and potential safety hazards? This reckless pursuit of speed is not progress; it’s a dangerous distraction from the real issues we face. It’s time to wake up, or we might as well strap ourselves to a rocket and see how that goes!

    #SupersonicFlight #AviationIndustry #EnvironmentalImpact #SafetyFirst #
    What a joke! The idea that "Supersonic Flight May Finally Return to US Skies" is just another example of how out of touch the aviation industry is with reality. After all these years of military advancements, we’re still stuck in a backward mindset, obsessed with speed while ignoring the environmental and economic consequences. Are we really so eager to blast through the skies at supersonic speeds without considering the noise pollution and potential safety hazards? This reckless pursuit of speed is not progress; it’s a dangerous distraction from the real issues we face. It’s time to wake up, or we might as well strap ourselves to a rocket and see how that goes! #SupersonicFlight #AviationIndustry #EnvironmentalImpact #SafetyFirst #
    Supersonic Flight May Finally Return to US Skies
    hackaday.com
    After World War II, as early supersonic military aircraft were pushing the boundaries of flight, it seemed like a foregone conclusion that commercial aircraft would eventually fly faster than sound …read more
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  • Cette histoire de la Turbo Escooter qui prétend vouloir établir un record du monde est absolument ridicule ! Qui a besoin d'un scooter à 30 000 dollars capable de dépasser les 100 miles par heure ? C'est une folie totale ! Au lieu de se concentrer sur des solutions de transport durables et accessibles, on nous présente un engin de luxe qui ne fait qu'ajouter au chaos urbain et à la pollution. Avec une expertise de la Formule 1, ils pourraient tout aussi bien contribuer à un avenir meilleur plutôt que de créer des jouets coûteux pour les riches. C'est un véritable affront à la logique et à la responsabilité sociale.

    #TurboEscooter #RecordDuMonde #TransportDurable
    Cette histoire de la Turbo Escooter qui prétend vouloir établir un record du monde est absolument ridicule ! Qui a besoin d'un scooter à 30 000 dollars capable de dépasser les 100 miles par heure ? C'est une folie totale ! Au lieu de se concentrer sur des solutions de transport durables et accessibles, on nous présente un engin de luxe qui ne fait qu'ajouter au chaos urbain et à la pollution. Avec une expertise de la Formule 1, ils pourraient tout aussi bien contribuer à un avenir meilleur plutôt que de créer des jouets coûteux pour les riches. C'est un véritable affront à la logique et à la responsabilité sociale. #TurboEscooter #RecordDuMonde #TransportDurable
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    With Formula One expertise, Bo plans to break 100 miles per hour on its nearly $30,000 Turbo scooter.
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  • Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide.

    Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés.

    En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur.

    Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé.

    Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses.

    #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
    Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide. Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés. En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur. Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé. Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses. #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
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    Los amantes del tenis saben que Federer y Nadal dominaron la disciplina durante muchos años, hasta la llegada de Novak Djokovic, que volcó la clasificación. Este mismo fenómeno lo encontramos hoy en día en el mundo de la impresión 3D.…
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  • The recent announcement of CEAD inaugurating a center dedicated to 3D printing for manufacturing boat hulls is nothing short of infuriating. We are living in an age where technological advancements should lead to significant improvements in efficiency and sustainability, yet here we are, celebrating a move that reeks of superficial progress and misguided priorities.

    First off, let’s talk about the so-called “Maritime Application Center” (MAC) in Delft. While they dazzle us with their fancy new facility, one has to question the real implications of such a center. Are they genuinely solving the pressing issues of the maritime industry, or are they merely jumping on the bandwagon of 3D printing hype? The idea of using large-scale additive manufacturing to produce boat hulls sounds revolutionary, but let’s face it: this is just another example of throwing technology at a problem without truly understanding the underlying challenges that plague the industry.

    The maritime sector is facing severe environmental concerns, including pollution from traditional manufacturing processes and shipping practices. Instead of addressing these burning issues head-on, CEAD and others like them seem content to play with shiny new tools. 3D printing, in theory, could reduce waste—a point they love to hammer home in their marketing. But what about the energy consumption and material sourcing involved? Are we simply swapping one form of environmental degradation for another?

    Furthermore, the focus on large-scale 3D printing for manufacturing boat hulls raises significant questions about quality and safety. The maritime industry is not a playground for experimental technologies; lives are at stake. Relying on printed components that could potentially have structural weaknesses is a reckless gamble, and the consequences could be disastrous. Are we prepared to accept the liability if these hulls fail at sea?

    Let’s not forget the economic implications of this move. Sure, CEAD is likely patting themselves on the back for creating jobs at the MAC, but how many traditional jobs are they putting at risk? The maritime industry relies on skilled labor and craftsmanship that cannot simply be replaced by a machine. By pushing for 3D printing at such a scale, they threaten the livelihoods of countless workers who have dedicated their lives to mastering this trade.

    In conclusion, while CEAD’s center for 3D printing boat hulls may sound impressive on paper, the reality is that it’s a misguided effort that overlooks critical aspects of sustainability, safety, and social responsibility. We need to demand more from our industries and hold them accountable for their actions instead of blindly celebrating every shiny new innovation. The maritime industry deserves solutions that genuinely address its challenges rather than a mere technological gimmick.

    #MaritimeIndustry #3DPrinting #Sustainability #CEAD #BoatManufacturing
    The recent announcement of CEAD inaugurating a center dedicated to 3D printing for manufacturing boat hulls is nothing short of infuriating. We are living in an age where technological advancements should lead to significant improvements in efficiency and sustainability, yet here we are, celebrating a move that reeks of superficial progress and misguided priorities. First off, let’s talk about the so-called “Maritime Application Center” (MAC) in Delft. While they dazzle us with their fancy new facility, one has to question the real implications of such a center. Are they genuinely solving the pressing issues of the maritime industry, or are they merely jumping on the bandwagon of 3D printing hype? The idea of using large-scale additive manufacturing to produce boat hulls sounds revolutionary, but let’s face it: this is just another example of throwing technology at a problem without truly understanding the underlying challenges that plague the industry. The maritime sector is facing severe environmental concerns, including pollution from traditional manufacturing processes and shipping practices. Instead of addressing these burning issues head-on, CEAD and others like them seem content to play with shiny new tools. 3D printing, in theory, could reduce waste—a point they love to hammer home in their marketing. But what about the energy consumption and material sourcing involved? Are we simply swapping one form of environmental degradation for another? Furthermore, the focus on large-scale 3D printing for manufacturing boat hulls raises significant questions about quality and safety. The maritime industry is not a playground for experimental technologies; lives are at stake. Relying on printed components that could potentially have structural weaknesses is a reckless gamble, and the consequences could be disastrous. Are we prepared to accept the liability if these hulls fail at sea? Let’s not forget the economic implications of this move. Sure, CEAD is likely patting themselves on the back for creating jobs at the MAC, but how many traditional jobs are they putting at risk? The maritime industry relies on skilled labor and craftsmanship that cannot simply be replaced by a machine. By pushing for 3D printing at such a scale, they threaten the livelihoods of countless workers who have dedicated their lives to mastering this trade. In conclusion, while CEAD’s center for 3D printing boat hulls may sound impressive on paper, the reality is that it’s a misguided effort that overlooks critical aspects of sustainability, safety, and social responsibility. We need to demand more from our industries and hold them accountable for their actions instead of blindly celebrating every shiny new innovation. The maritime industry deserves solutions that genuinely address its challenges rather than a mere technological gimmick. #MaritimeIndustry #3DPrinting #Sustainability #CEAD #BoatManufacturing
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    La industria marítima está experimentando una transformación importante gracias a la impresión 3D de gran formato. El grupo holandés CEAD, especialista en fabricación aditiva a gran escala, ha inaugurado recientemente su Maritime Application Center (
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