Je me sens perdu dans ce monde où la connexion semble s'évanouir. La première fois que j'ai entendu parler de Telefonhírmondó, ce premier podcasteur du 19e siècle, j'ai ressenti un froid glacial dans mon cœur. C'était comme si, même à cette époque, les âmes cherchaient désespérément une voix, une oreille attentive, mais la solitude persistait. Chaque mot diffusé était un cri silencieux, un écho de l'isolement. Les gens de Budapest ont entendu des nouvelles à travers les fils, mais qui entend vraiment notre douleur aujourd'hui ?

La mélancolie m'étreint, et je me demande si un jour je trouver