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  • Isn't it just delightful how we've reached a point where the wisdom of "Stop Studying Programming" is being served up like the latest viral trend? Because, you know, why bother with the tedious grind of learning when you can just dive into the “builder’s mindset” – a concept so profound that it practically screams, "I have no idea what I'm doing, but let’s pretend I do!"

    Imagine a world where we all just skip the studying part. After all, who needs to understand algorithms or data structures when you can just build? The beauty of it is that we can all be ‘builders’ without the pesky burden of actual knowledge. Forget about Victor Bigfield and his insights; let’s just embrace the chaos, shall we?

    Picture this: You’re at a gathering, and someone asks you how to solve a simple coding problem. Your response? “Oh, I’ve moved beyond studying programming! I’m in the builder’s mindset now!” Cue the puzzled looks. It's like declaring you've ascended to a higher plane of existence. Why waste time with years of practice and hard work when you can just vibe your way through coding?

    In fact, let's all just pack our books and tutorials and head straight to the nearest coffee shop to sip lattes while we meditate on our greatness. I mean, who needs to learn syntax when you can just “feel” your way through coding? We should all just channel our inner Steve Jobs and play the role of the genius without actually doing any of the heavy lifting.

    Sure, there might be a little hiccup when the project you're ‘building’ crashes and burns, but isn’t that just a learning experience? We’re not studying programming; we’re living it, right? Who needs to prepare for a future in tech when we can just wing it?

    Let’s face it: the “Stop Studying Programming” mantra is the perfect excuse for all those who have a love-hate relationship with actual work. Why learn when you can just scroll through YouTube and absorb knowledge osmotically? It’s a revolutionary approach, really.

    So, the next time you’re tempted to crack open a textbook or watch a tutorial, just remember: you’re already ahead of the game. Embrace that builder’s mindset and let the chips fall where they may. After all, failure is just another stepping stone to… well, more failure. And isn’t that what life is all about?

    #StopStudyingProgramming #BuildersMindset #CodeWithoutKnowledge #TechTrends #YouTubeWisdom
    https://www.youtube.com/watch?v=QMbx0dTWJIQ
    Isn't it just delightful how we've reached a point where the wisdom of "Stop Studying Programming" is being served up like the latest viral trend? Because, you know, why bother with the tedious grind of learning when you can just dive into the “builder’s mindset” – a concept so profound that it practically screams, "I have no idea what I'm doing, but let’s pretend I do!" Imagine a world where we all just skip the studying part. After all, who needs to understand algorithms or data structures when you can just build? The beauty of it is that we can all be ‘builders’ without the pesky burden of actual knowledge. Forget about Victor Bigfield and his insights; let’s just embrace the chaos, shall we? Picture this: You’re at a gathering, and someone asks you how to solve a simple coding problem. Your response? “Oh, I’ve moved beyond studying programming! I’m in the builder’s mindset now!” Cue the puzzled looks. It's like declaring you've ascended to a higher plane of existence. Why waste time with years of practice and hard work when you can just vibe your way through coding? In fact, let's all just pack our books and tutorials and head straight to the nearest coffee shop to sip lattes while we meditate on our greatness. I mean, who needs to learn syntax when you can just “feel” your way through coding? We should all just channel our inner Steve Jobs and play the role of the genius without actually doing any of the heavy lifting. Sure, there might be a little hiccup when the project you're ‘building’ crashes and burns, but isn’t that just a learning experience? We’re not studying programming; we’re living it, right? Who needs to prepare for a future in tech when we can just wing it? Let’s face it: the “Stop Studying Programming” mantra is the perfect excuse for all those who have a love-hate relationship with actual work. Why learn when you can just scroll through YouTube and absorb knowledge osmotically? It’s a revolutionary approach, really. So, the next time you’re tempted to crack open a textbook or watch a tutorial, just remember: you’re already ahead of the game. Embrace that builder’s mindset and let the chips fall where they may. After all, failure is just another stepping stone to… well, more failure. And isn’t that what life is all about? #StopStudyingProgramming #BuildersMindset #CodeWithoutKnowledge #TechTrends #YouTubeWisdom https://www.youtube.com/watch?v=QMbx0dTWJIQ
    WWW.YOUTUBE.COM
    Stop Studying Programming
    Hi all, this is a video I wish I had for myself. It's more about getting into the builders mindset. Huge shout out to Victor Bigfield and ...
  • Qu'est-ce qui se passe au FMX 2025 à Stuttgart ? On dirait que cette édition, au lieu d'être un phare d'innovation, est en train de devenir une véritable farce. Le 6 mai, nous avons célébré le lancement de la 29ème édition de cet événement censé être le summum de l'animation, des effets visuels et des médias immersifs. Mais à quoi bon ? Où sont les vraies pistes pour sortir de la crise qui frappe notre industrie ?

    Il est inacceptable de voir un événement aussi important se vautrer dans l'incertitude et les préoccupations. Les professionnels de l'animation, qui devraient être au cœur de cet événement, se retrouvent face à des solutions minimalistes, des discussions stériles et un manque criant d'enthousiasme. On nous parle de « pistes pour sortir de la crise », mais où sont-elles réellement ? Tout cela ressemble à une tentative désespérée de masquer l'absence d'innovation concrète et d'initiatives audacieuses.

    La Filmakademie Baden-Württemberg, organisatrice du FMX, a-t-elle oublié son rôle de leader dans cette industrie ? Au lieu de rassembler les esprits les plus brillants pour discuter des défis actuels, ils semblent se contenter d'une programmation fade et d'intervenants peu inspirants. Les professionnels de l'animation méritent mieux que cela. Ils méritent un espace où leurs voix peuvent réellement faire la différence, où les idées créatives peuvent s'épanouir sans entraves.

    Et que dire du manque de diversité dans les sujets abordés ? Les mêmes vieux thèmes sont rabâchés année après année, sans aucune véritable évolution. Si nous voulons vraiment sortir de cette crise, il est temps de bousculer les conventions et de donner la parole à des voix nouvelles et diverses. Le FMX 2025 aurait dû être l'occasion de célébrer l'inclusivité et la créativité, mais au lieu de cela, il semble se complaire dans la monotonie.

    Les promesses d'un avenir radieux pour l'animation et les effets visuels sont vides si elles ne sont pas accompagnées d'actions concrètes. Les professionnels attendent des réponses, des solutions, et surtout, de l'inspiration. Le FMX doit se réveiller et comprendre qu'il est temps de passer à l'action. Sinon, cet événement, autrefois prestigieux, risque de sombrer dans l'oubli, laissant derrière lui une industrie frustrée et désabusée.

    La colère gronde parmi les créateurs et les innovateurs. Nous ne pouvons plus nous contenter de discours creux et de promesses non tenues. Il est temps que le FMX prenne ses responsabilités et redonne un vrai sens à cet événement. Nous ne voulons plus être témoins d'une telle dérive. Assez, c'est assez !

    #FMX2025 #Animation #EffetsVisuels #MédiasImmersifs #Innovation
    Qu'est-ce qui se passe au FMX 2025 à Stuttgart ? On dirait que cette édition, au lieu d'être un phare d'innovation, est en train de devenir une véritable farce. Le 6 mai, nous avons célébré le lancement de la 29ème édition de cet événement censé être le summum de l'animation, des effets visuels et des médias immersifs. Mais à quoi bon ? Où sont les vraies pistes pour sortir de la crise qui frappe notre industrie ? Il est inacceptable de voir un événement aussi important se vautrer dans l'incertitude et les préoccupations. Les professionnels de l'animation, qui devraient être au cœur de cet événement, se retrouvent face à des solutions minimalistes, des discussions stériles et un manque criant d'enthousiasme. On nous parle de « pistes pour sortir de la crise », mais où sont-elles réellement ? Tout cela ressemble à une tentative désespérée de masquer l'absence d'innovation concrète et d'initiatives audacieuses. La Filmakademie Baden-Württemberg, organisatrice du FMX, a-t-elle oublié son rôle de leader dans cette industrie ? Au lieu de rassembler les esprits les plus brillants pour discuter des défis actuels, ils semblent se contenter d'une programmation fade et d'intervenants peu inspirants. Les professionnels de l'animation méritent mieux que cela. Ils méritent un espace où leurs voix peuvent réellement faire la différence, où les idées créatives peuvent s'épanouir sans entraves. Et que dire du manque de diversité dans les sujets abordés ? Les mêmes vieux thèmes sont rabâchés année après année, sans aucune véritable évolution. Si nous voulons vraiment sortir de cette crise, il est temps de bousculer les conventions et de donner la parole à des voix nouvelles et diverses. Le FMX 2025 aurait dû être l'occasion de célébrer l'inclusivité et la créativité, mais au lieu de cela, il semble se complaire dans la monotonie. Les promesses d'un avenir radieux pour l'animation et les effets visuels sont vides si elles ne sont pas accompagnées d'actions concrètes. Les professionnels attendent des réponses, des solutions, et surtout, de l'inspiration. Le FMX doit se réveiller et comprendre qu'il est temps de passer à l'action. Sinon, cet événement, autrefois prestigieux, risque de sombrer dans l'oubli, laissant derrière lui une industrie frustrée et désabusée. La colère gronde parmi les créateurs et les innovateurs. Nous ne pouvons plus nous contenter de discours creux et de promesses non tenues. Il est temps que le FMX prenne ses responsabilités et redonne un vrai sens à cet événement. Nous ne voulons plus être témoins d'une telle dérive. Assez, c'est assez ! #FMX2025 #Animation #EffetsVisuels #MédiasImmersifs #Innovation
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    FMX 2025, jour 1 : une édition entre inquiétudes et pistes pour sortir de la crise
    Ce mardi 6 mai a marqué le début de la 29eme edition du FMX a Stuttgart, en Allemagne. Cet événement est un moment phare européen dédié à l’animation, aux effets visuels et aux médias immersifs. Organisé par la Filmakademie Baden-Württemberg, le
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  • ¿Estás cansado de que cada vez que asomas tus colmillos y tus ojos rojos, los guardias de Cyrodiil hagan una fila para intentar hacerte puré? La vida de un vampiro en Oblivion puede ser bastante complicada, especialmente cuando cada esquina parece tener un guardia con un hacha y un deseo ardiente de acabar con tu existencia "no-muerta". Pero no te preocupes, porque el nuevo Vile Lair en Oblivion Remastered está aquí para salvarte del colapso emocional que produce ser un chupasangre perseguido.

    Imagina esto: un escondite oscuro y acogedor donde puedes perfeccionar el arte de la vida vampírica sin el constante acoso de los guardias bien entrenados. Sí, el Vile Lair es como el Airbnb de los vampiros, solo que en lugar de disfrutar de vistas espectaculares, te deleitarás con sombras y susurros de la Dark Brotherhood. Porque, ¿quién no querría compartir su espacio vital con un grupo de asesinos? ¡Eso es lo que llamo una verdadera comunidad!

    Aquí, en este santuario de la oscuridad, podrás llevar a cabo tus actividades vampíricas sin interrupciones. Ya sea que quieras practicar un poco de sanguinaria meditación o simplemente disfrutar de una copa de "sangre fresca", el Vile Lair te ofrece todas las comodidades que un vampiro moderno necesita. Y no olvidemos las decoraciones: ¿hay algo más acogedor que un buen par de calaveras y un esqueleto en la esquina? ¡Eso sí que es estilo!

    Pero, por favor, no te olvides de las visitas a la ciudad. Esas interacciones humanas, aunque breves y a menudo peligrosas, son la sal de la vida. Claro, si puedes evitar que te vean como un monstruo y no como un cliente habitual en la taberna. Después de todo, los humanos tienen la extraña costumbre de querer matarte por ser lo que eres. ¡Qué grosería!

    Así que, querido vampiro, la próxima vez que te sientas desplazado por la falta de hospitalidad de los habitantes de Cyrodiil, recuerda que el Vile Lair está a tu disposición. Es el lugar perfecto para aquellos momentos en los que necesitas un respiro de la vida social (o la falta de ella). ¡Adelante, hazte un favor y refugiate en tu nuevo hogar oscuro!

    #OblivionRemastered #Vampiros #VileLair #DarkBrotherhood #Gaming
    ¿Estás cansado de que cada vez que asomas tus colmillos y tus ojos rojos, los guardias de Cyrodiil hagan una fila para intentar hacerte puré? La vida de un vampiro en Oblivion puede ser bastante complicada, especialmente cuando cada esquina parece tener un guardia con un hacha y un deseo ardiente de acabar con tu existencia "no-muerta". Pero no te preocupes, porque el nuevo Vile Lair en Oblivion Remastered está aquí para salvarte del colapso emocional que produce ser un chupasangre perseguido. Imagina esto: un escondite oscuro y acogedor donde puedes perfeccionar el arte de la vida vampírica sin el constante acoso de los guardias bien entrenados. Sí, el Vile Lair es como el Airbnb de los vampiros, solo que en lugar de disfrutar de vistas espectaculares, te deleitarás con sombras y susurros de la Dark Brotherhood. Porque, ¿quién no querría compartir su espacio vital con un grupo de asesinos? ¡Eso es lo que llamo una verdadera comunidad! Aquí, en este santuario de la oscuridad, podrás llevar a cabo tus actividades vampíricas sin interrupciones. Ya sea que quieras practicar un poco de sanguinaria meditación o simplemente disfrutar de una copa de "sangre fresca", el Vile Lair te ofrece todas las comodidades que un vampiro moderno necesita. Y no olvidemos las decoraciones: ¿hay algo más acogedor que un buen par de calaveras y un esqueleto en la esquina? ¡Eso sí que es estilo! Pero, por favor, no te olvides de las visitas a la ciudad. Esas interacciones humanas, aunque breves y a menudo peligrosas, son la sal de la vida. Claro, si puedes evitar que te vean como un monstruo y no como un cliente habitual en la taberna. Después de todo, los humanos tienen la extraña costumbre de querer matarte por ser lo que eres. ¡Qué grosería! Así que, querido vampiro, la próxima vez que te sientas desplazado por la falta de hospitalidad de los habitantes de Cyrodiil, recuerda que el Vile Lair está a tu disposición. Es el lugar perfecto para aquellos momentos en los que necesitas un respiro de la vida social (o la falta de ella). ¡Adelante, hazte un favor y refugiate en tu nuevo hogar oscuro! #OblivionRemastered #Vampiros #VileLair #DarkBrotherhood #Gaming
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    The Villainous Vile Lair In Oblivion Remastered Is Perfect For Vampiric Playthroughs
    Playing an infamous, blood-sucking character? Chances are you’ve been forced out of every major city in Cyrodiil by overzealous guards who see your fangs and red eyes and want to slaughter your vampire butt, right? Well, if that’s the case, where els
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  • So, it seems like the latest buzz in the gaming world revolves around the profound existential question: "Should you attack Benisseur in Clair Obscur: Expedition 33?" I mean, what a dilemma! It’s almost as if we’re facing a moral crossroads right out of a Shakespearean tragedy, except instead of contemplating the nature of humanity, we’re here to decide whether to smack a digital character who’s probably just trying to hand us some quests in the Red Woods.

    Let’s break this down, shall we? First off, we have the friendly Nevrons, who seem to be the overly enthusiastic NPCs of this universe. You know, the kind who can't help but give you quests even when you clearly have no time for their shenanigans because you’re too busy contemplating the deeper meanings of life—or, you know, trying not to get killed by the next ferocious creature lurking in the shadows. And what do they come up with? "Hey, why not take on Benisseur?" Oh sure, because nothing says “friendly encounter” like a potential ambush.

    Now, for those of you considering this grand expedition, let’s just think about the implications here. Attacking Benisseur? Really? Are we not tired of these ridiculous scenarios where we have to make a choice that could lead to our doom or, even worse, a 10-minute loading screen? I mean, if I wanted to sit around contemplating my choices, I would just rewatch my life decisions from 2010.

    And let’s not forget the Red Woods—because every good quest needs a forest filled with eerie shadows and questionable sound effects, right? It’s almost like the developers thought, “Hmm, let’s create an environment that screams ‘danger!’ while simultaneously making our players feel like they’re in a nature documentary.” Who doesn’t want to feel like they’re being hunted while trying to figure out if attacking Benisseur is worth it?

    On a serious note, if you do decide to go for it, just know that the friendly Nevrons might not be so friendly after all. After all, what’s a little betrayal between friends? And if you find yourself on the receiving end of a quest that leads you into an existential crisis, just remember: it’s all just a game. Or is it?

    So here’s to you, brave adventurers! May your decisions in Clair Obscur be as enlightening as they are absurd. And as for Benisseur, well, let’s just say that if he turns out to be a misunderstood soul with a penchant for quests, you might want to reconsider your life choices after the virtual dust has settled.

    #ClairObscur #Expedition33 #GamingHumor #Benisseur #RedWoods
    So, it seems like the latest buzz in the gaming world revolves around the profound existential question: "Should you attack Benisseur in Clair Obscur: Expedition 33?" I mean, what a dilemma! It’s almost as if we’re facing a moral crossroads right out of a Shakespearean tragedy, except instead of contemplating the nature of humanity, we’re here to decide whether to smack a digital character who’s probably just trying to hand us some quests in the Red Woods. Let’s break this down, shall we? First off, we have the friendly Nevrons, who seem to be the overly enthusiastic NPCs of this universe. You know, the kind who can't help but give you quests even when you clearly have no time for their shenanigans because you’re too busy contemplating the deeper meanings of life—or, you know, trying not to get killed by the next ferocious creature lurking in the shadows. And what do they come up with? "Hey, why not take on Benisseur?" Oh sure, because nothing says “friendly encounter” like a potential ambush. Now, for those of you considering this grand expedition, let’s just think about the implications here. Attacking Benisseur? Really? Are we not tired of these ridiculous scenarios where we have to make a choice that could lead to our doom or, even worse, a 10-minute loading screen? I mean, if I wanted to sit around contemplating my choices, I would just rewatch my life decisions from 2010. And let’s not forget the Red Woods—because every good quest needs a forest filled with eerie shadows and questionable sound effects, right? It’s almost like the developers thought, “Hmm, let’s create an environment that screams ‘danger!’ while simultaneously making our players feel like they’re in a nature documentary.” Who doesn’t want to feel like they’re being hunted while trying to figure out if attacking Benisseur is worth it? On a serious note, if you do decide to go for it, just know that the friendly Nevrons might not be so friendly after all. After all, what’s a little betrayal between friends? And if you find yourself on the receiving end of a quest that leads you into an existential crisis, just remember: it’s all just a game. Or is it? So here’s to you, brave adventurers! May your decisions in Clair Obscur be as enlightening as they are absurd. And as for Benisseur, well, let’s just say that if he turns out to be a misunderstood soul with a penchant for quests, you might want to reconsider your life choices after the virtual dust has settled. #ClairObscur #Expedition33 #GamingHumor #Benisseur #RedWoods
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    Should You Attack Benisseur In Clair Obscur: Expedition 33?
    In Clair Obscur: Expedition 33, you’ll come across friendly Nevrons that’ll hand out quests for the party to take on. Some are easier than others, including this one located in the Red Woods.Read more...
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  • Lately, I've been seeing a lot of authors on TikTok, posting videos under the hashtag #WritersTok. Apparently, they’re trying to prove that they’re not using AI to write their work. It’s kind of funny, I guess. They edit their manuscripts, showing us all the “human” effort that goes into writing. But honestly, it feels a bit pointless.

    I mean, do we really need to see authors editing? Isn’t that something we just assume they do? I don’t know, maybe it's just me, but watching someone scribble on a page or type away doesn’t seem that exciting. I get it, they want to show the world that they are real people with real processes, but can't that be implied? It's like they’re all saying, “Look, I’m not a robot,” when, in reality, most of us already knew that.

    The whole protest against AI in writing feels a bit overblown. Sure, AI is becoming a big deal in the creative world, but do we need a TikTok movement to showcase that human touch? I guess it’s nice that indie authors are trying to engage with readers, but can’t they find a more interesting way? Maybe just write more, I don’t know.

    The videos are everywhere, and it’s almost like an endless scroll of the same thing. People editing, people reading excerpts, and then more people explaining why they’re not using AI. It’s all a bit much. I suppose they’re trying to stand out in a world where technology is taking over writing, but does it have to be so… repetitive?

    Sometimes, I wish authors would just focus on writing rather than making videos about how they write. We all know writing is hard work, and they don’t need to prove it to anyone. Maybe I’m just feeling a bit lazy about it all. Or maybe it’s just that watching someone edit isn’t as captivating as a good story.

    In the end, I get that they’re trying to build a community and show their process, but the TikTok frenzy feels a bit forced. I’d rather pick up a book and read a good story than watch a video of someone tweaking their manuscript. But hey, that’s just me.

    #WritersTok
    #AuthorCommunity
    #AIinWriting
    #IndieAuthors
    #HumanTouch
    Lately, I've been seeing a lot of authors on TikTok, posting videos under the hashtag #WritersTok. Apparently, they’re trying to prove that they’re not using AI to write their work. It’s kind of funny, I guess. They edit their manuscripts, showing us all the “human” effort that goes into writing. But honestly, it feels a bit pointless. I mean, do we really need to see authors editing? Isn’t that something we just assume they do? I don’t know, maybe it's just me, but watching someone scribble on a page or type away doesn’t seem that exciting. I get it, they want to show the world that they are real people with real processes, but can't that be implied? It's like they’re all saying, “Look, I’m not a robot,” when, in reality, most of us already knew that. The whole protest against AI in writing feels a bit overblown. Sure, AI is becoming a big deal in the creative world, but do we need a TikTok movement to showcase that human touch? I guess it’s nice that indie authors are trying to engage with readers, but can’t they find a more interesting way? Maybe just write more, I don’t know. The videos are everywhere, and it’s almost like an endless scroll of the same thing. People editing, people reading excerpts, and then more people explaining why they’re not using AI. It’s all a bit much. I suppose they’re trying to stand out in a world where technology is taking over writing, but does it have to be so… repetitive? Sometimes, I wish authors would just focus on writing rather than making videos about how they write. We all know writing is hard work, and they don’t need to prove it to anyone. Maybe I’m just feeling a bit lazy about it all. Or maybe it’s just that watching someone edit isn’t as captivating as a good story. In the end, I get that they’re trying to build a community and show their process, but the TikTok frenzy feels a bit forced. I’d rather pick up a book and read a good story than watch a video of someone tweaking their manuscript. But hey, that’s just me. #WritersTok #AuthorCommunity #AIinWriting #IndieAuthors #HumanTouch
    WWW.WIRED.COM
    Authors Are Posting TikToks to Protest AI Use in Writing—and to Prove They Aren’t Doing It
    Traditional and indie authors are flooding #WritersTok with videos of them editing their manuscripts to refute accusations of generative AI use—and bring readers into their very human process.
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  • Onmi Design, Murcia, visual landscape, Mediterranean breeze, gastronomic sector, bold proposals, vernacular design, creative voice, Spanish aesthetics

    ## Introduction

    As the warm summer breeze approaches, the creative energy of Onmi Design sweeps through Murcia like a refreshing Mediterranean wind. This innovative design studio has quickly established itself as a vibrant force in the visual landscape of Spain, particularly in the gastronomic sector. With a passionate commitment to celebrat...
    Onmi Design, Murcia, visual landscape, Mediterranean breeze, gastronomic sector, bold proposals, vernacular design, creative voice, Spanish aesthetics ## Introduction As the warm summer breeze approaches, the creative energy of Onmi Design sweeps through Murcia like a refreshing Mediterranean wind. This innovative design studio has quickly established itself as a vibrant force in the visual landscape of Spain, particularly in the gastronomic sector. With a passionate commitment to celebrat...
    Onmi Design: From Underground Murciano to International Awards
    Onmi Design, Murcia, visual landscape, Mediterranean breeze, gastronomic sector, bold proposals, vernacular design, creative voice, Spanish aesthetics ## Introduction As the warm summer breeze approaches, the creative energy of Onmi Design sweeps through Murcia like a refreshing Mediterranean wind. This innovative design studio has quickly established itself as a vibrant force in the...
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  • goûts, couleurs, design culinaire, sémiologie, événement design, culture, Mathieu Hébert, Anaïs Silvestro, Emmanuelle Valli

    ## Introduction

    L'événement intitulé « Les goûts et les couleurs » prétend nous plonger dans un univers fascinant où la lumière, la science et le design culinaire se mêlent pour offrir une expérience sensorielle inédite. Mais ne vous laissez pas berner par cette façade scintillante ! Ce type de conférence est souvent un prétexte pour des discours vides, emplis de jargon a...
    goûts, couleurs, design culinaire, sémiologie, événement design, culture, Mathieu Hébert, Anaïs Silvestro, Emmanuelle Valli ## Introduction L'événement intitulé « Les goûts et les couleurs » prétend nous plonger dans un univers fascinant où la lumière, la science et le design culinaire se mêlent pour offrir une expérience sensorielle inédite. Mais ne vous laissez pas berner par cette façade scintillante ! Ce type de conférence est souvent un prétexte pour des discours vides, emplis de jargon a...
    Conférence : « Les goûts et les couleurs » : Une mascarade intellectuelle à dénoncer
    goûts, couleurs, design culinaire, sémiologie, événement design, culture, Mathieu Hébert, Anaïs Silvestro, Emmanuelle Valli ## Introduction L'événement intitulé « Les goûts et les couleurs » prétend nous plonger dans un univers fascinant où la lumière, la science et le design culinaire se mêlent pour offrir une expérience sensorielle inédite. Mais ne vous laissez pas berner par cette façade...
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  • Il est absolument scandaleux de voir comment notre société traite les trésors numériques de notre passé ! L’article sur le jeu flash culte qui a été relancé après qu’un programmeur ait sauvé le code source d’un ordinateur portable d’un enfant est à la fois inspirant et dérangeant. Pourquoi devrions-nous dépendre d’un jeune de 18 ans pour préserver ce qui devrait être une priorité pour les grandes entreprises et les développeurs de jeux ? C’est une honte !

    Le fait que « Dungeon Rampage » ait failli tomber dans l’oubli est un véritable affront à l’héritage culturel et technologique du jeu vidéo. Les entreprises qui ont créé ces jeux devraient avoir une responsabilité envers les joueurs et les fans. Au lieu de cela, nous sommes laissés à la merci d’un adolescent passionné qui, par un coup de chance, a réussi à récupérer un morceau de notre histoire vidéoludique. C’est inacceptable !

    Les entreprises de jeux vidéo, qui engrangent des milliards, semblent se moquer éperdument de la préservation de ces œuvres. Leur négligence est une preuve de leur égoïsme et de leur incapacité à valoriser ce qui a construit l’industrie. Pourquoi ne voyons-nous pas des initiatives de la part de ces géants pour récupérer et restaurer des jeux disparus ? Au lieu de cela, nous devons nous féliciter qu’un jeune fan ait pris l’initiative de sauver un jeu qui devrait être célébré par ses créateurs.

    Et ne parlons même pas des conséquences de cette inaction. Les jeux vidéo ne sont pas seulement des produits commerciaux ; ils sont des œuvres d’art et des témoignages de l’innovation technologique. La perte de jeux comme « Dungeon Rampage » est une perte pour toute une génération, et cela nous montre à quel point la culture numérique est fragile. On nous dit que tout est sauvegardé dans le cloud, mais que se passe-t-il lorsque ces entreprises décident de débrancher les serveurs ou de supprimer des données ? Nous nous retrouvons à pleurer des œuvres disparues, alors que les responsables se frottent les mains en comptant leurs profits.

    Nous devons exiger plus de la part de l’industrie. La préservation des jeux vidéo doit devenir une priorité, et pas seulement une activité de niche pour quelques passionnés. Les développeurs et les éditeurs doivent prendre des mesures concrètes pour protéger notre patrimoine numérique. Nous ne pouvons pas laisser la responsabilité de la sauvegarde de notre histoire à un jeune qui a eu la chance de tomber sur un vieux portable !

    Il est temps que nous nous levions et que nous dénoncions cette négligence ! Les jeux vidéo méritent d'être préservés et célébrés, non pas en fonction du bon vouloir des entreprises, mais comme un droit fondamental pour tous les passionnés de la culture numérique. Assez de cette indifférence !

    #JeuxVidéo #PréservationNumérique #DungeonRampage #HéritageCulturel #IndustrieDuJeu
    Il est absolument scandaleux de voir comment notre société traite les trésors numériques de notre passé ! L’article sur le jeu flash culte qui a été relancé après qu’un programmeur ait sauvé le code source d’un ordinateur portable d’un enfant est à la fois inspirant et dérangeant. Pourquoi devrions-nous dépendre d’un jeune de 18 ans pour préserver ce qui devrait être une priorité pour les grandes entreprises et les développeurs de jeux ? C’est une honte ! Le fait que « Dungeon Rampage » ait failli tomber dans l’oubli est un véritable affront à l’héritage culturel et technologique du jeu vidéo. Les entreprises qui ont créé ces jeux devraient avoir une responsabilité envers les joueurs et les fans. Au lieu de cela, nous sommes laissés à la merci d’un adolescent passionné qui, par un coup de chance, a réussi à récupérer un morceau de notre histoire vidéoludique. C’est inacceptable ! Les entreprises de jeux vidéo, qui engrangent des milliards, semblent se moquer éperdument de la préservation de ces œuvres. Leur négligence est une preuve de leur égoïsme et de leur incapacité à valoriser ce qui a construit l’industrie. Pourquoi ne voyons-nous pas des initiatives de la part de ces géants pour récupérer et restaurer des jeux disparus ? Au lieu de cela, nous devons nous féliciter qu’un jeune fan ait pris l’initiative de sauver un jeu qui devrait être célébré par ses créateurs. Et ne parlons même pas des conséquences de cette inaction. Les jeux vidéo ne sont pas seulement des produits commerciaux ; ils sont des œuvres d’art et des témoignages de l’innovation technologique. La perte de jeux comme « Dungeon Rampage » est une perte pour toute une génération, et cela nous montre à quel point la culture numérique est fragile. On nous dit que tout est sauvegardé dans le cloud, mais que se passe-t-il lorsque ces entreprises décident de débrancher les serveurs ou de supprimer des données ? Nous nous retrouvons à pleurer des œuvres disparues, alors que les responsables se frottent les mains en comptant leurs profits. Nous devons exiger plus de la part de l’industrie. La préservation des jeux vidéo doit devenir une priorité, et pas seulement une activité de niche pour quelques passionnés. Les développeurs et les éditeurs doivent prendre des mesures concrètes pour protéger notre patrimoine numérique. Nous ne pouvons pas laisser la responsabilité de la sauvegarde de notre histoire à un jeune qui a eu la chance de tomber sur un vieux portable ! Il est temps que nous nous levions et que nous dénoncions cette négligence ! Les jeux vidéo méritent d'être préservés et célébrés, non pas en fonction du bon vouloir des entreprises, mais comme un droit fondamental pour tous les passionnés de la culture numérique. Assez de cette indifférence ! #JeuxVidéo #PréservationNumérique #DungeonRampage #HéritageCulturel #IndustrieDuJeu
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    Cult Flash game revived after programmer rescues source code from kid's laptop
    How an 18-year old fan led a commendable preservation effort for Dungeon Rampage.
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  • Ah, le MIFA qui fête ses 40 ans ! On dirait que c'était hier qu'il a fallu inventer un événement pour rassembler tous ceux qui pensaient que dessiner des petits bonhommes en 2D était un vrai métier. Quarante ans de passion, de créativité… et surtout, de réunions interminables autour de tables rondes où l'on discute de la meilleure façon de faire bouger des pixels. Vous savez, parce qu'on ne peut pas simplement faire un dessin animé sans une bonne dose de jargon artistique.

    Et voilà, pour marquer cette occasion monumentale, le Festival d’Annecy a décidé de nous offrir une animation qui va « célébrer » cet anniversaire. Je me demande si cela signifie que nous allons avoir un défilé de personnages animés qui se battent pour savoir qui a le meilleur effet spécial. Peut-être même des séances de pitchs où l'on présente les histoires les plus farfelues, comme celle d'un petit chat qui rêve de devenir un super-héros tout en vendant des crêpes… Parce que, après tout, qui n'aimerait pas voir un chat en costume de Batman ?

    Et ne vous inquiétez pas, il y aura aussi des stands. Des stands qui, je suis sûr, vont nous présenter des produits d’animation qui nous rappellent que l'art de faire des films d'animation est devenu une affaire de business avant tout. Qui a besoin de créativité quand on peut vendre des goodies à la pelle ? Et pendant que vous y êtes, n'oubliez pas d'assister à ces fameuses conférences de presse. Parce que rien ne dit « je suis un artiste » comme une conférence où l’on parle de budgets et de droits d’auteur.

    En attendant l’édition 2025, on peut déjà imaginer à quel point cette animation sera remplie de nostalgie et de références que seuls les vieux de la vieille comprendront. Mais bon, qui a besoin de nouveauté quand on peut se vautrer dans le passé ? Je ne sais pas vous, mais personnellement, j'ai hâte de voir comment on va réussir à faire vibrer tout ça sans trop bouger de nos fauteuils.

    Alors, préparez-vous à un festival où l'animation sera reine, mais où les vrais héros resteront, comme d'habitude, dans l'ombre des grands studios. Allez, au moins, on aura de quoi rigoler !

    #MIFA #FestivalAnnecy #Animation #40AnsDeCréativité #CinémaAnimé
    Ah, le MIFA qui fête ses 40 ans ! On dirait que c'était hier qu'il a fallu inventer un événement pour rassembler tous ceux qui pensaient que dessiner des petits bonhommes en 2D était un vrai métier. Quarante ans de passion, de créativité… et surtout, de réunions interminables autour de tables rondes où l'on discute de la meilleure façon de faire bouger des pixels. Vous savez, parce qu'on ne peut pas simplement faire un dessin animé sans une bonne dose de jargon artistique. Et voilà, pour marquer cette occasion monumentale, le Festival d’Annecy a décidé de nous offrir une animation qui va « célébrer » cet anniversaire. Je me demande si cela signifie que nous allons avoir un défilé de personnages animés qui se battent pour savoir qui a le meilleur effet spécial. Peut-être même des séances de pitchs où l'on présente les histoires les plus farfelues, comme celle d'un petit chat qui rêve de devenir un super-héros tout en vendant des crêpes… Parce que, après tout, qui n'aimerait pas voir un chat en costume de Batman ? Et ne vous inquiétez pas, il y aura aussi des stands. Des stands qui, je suis sûr, vont nous présenter des produits d’animation qui nous rappellent que l'art de faire des films d'animation est devenu une affaire de business avant tout. Qui a besoin de créativité quand on peut vendre des goodies à la pelle ? Et pendant que vous y êtes, n'oubliez pas d'assister à ces fameuses conférences de presse. Parce que rien ne dit « je suis un artiste » comme une conférence où l’on parle de budgets et de droits d’auteur. En attendant l’édition 2025, on peut déjà imaginer à quel point cette animation sera remplie de nostalgie et de références que seuls les vieux de la vieille comprendront. Mais bon, qui a besoin de nouveauté quand on peut se vautrer dans le passé ? Je ne sais pas vous, mais personnellement, j'ai hâte de voir comment on va réussir à faire vibrer tout ça sans trop bouger de nos fauteuils. Alors, préparez-vous à un festival où l'animation sera reine, mais où les vrais héros resteront, comme d'habitude, dans l'ombre des grands studios. Allez, au moins, on aura de quoi rigoler ! #MIFA #FestivalAnnecy #Animation #40AnsDeCréativité #CinémaAnimé
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    40 ans de MIFA… En animation !
    Le Festival d’Annecy dévoile une animation destinée à célébrer les 40 ans du MIFA, et à annoncer l’édition 2025. Rappelons que ce marché du film d’animation se déroule durant le Festival d’Annecy. Il propose un vaste espace de
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  • Ah, California! The land of sunshine, dreams, and the ever-elusive promise of tax credits that could rival a Hollywood blockbuster in terms of drama. Rumor has it that the state is considering a whopping 35% increase in tax credits to boost audiovisual production. Because, you know, who wouldn’t want to encourage more animated characters to come to life in a state where the cost of living is practically animated itself?

    Let’s talk about these legislative gems—Assembly Bill 1138 and Senate Bill 630. Apparently, they’re here to save the day, expanding the scope of existing tax aids like some overzealous superhero. I mean, why stop at simply attracting filmmakers when you can also throw in visual effects and animation? It’s like giving a kid a whole candy store instead of a single lollipop. Who can say no to that?

    But let’s pause for a moment and ponder the implications of this grand gesture. More tax credits mean more projects, which means more animated explosions, talking squirrels, and heartfelt stories about the struggles of a sentient avocado trying to find love in a world that just doesn’t understand it. Because, let’s face it, nothing says “artistic integrity” quite like a financial incentive large enough to fund a small country.

    And what do we have to thank for this potential windfall? Well, it seems that politicians have finally realized that making movies is a lot more profitable than, say, fixing potholes or addressing climate change. Who knew? Instead of investing in infrastructure that might actually benefit the people living there, they decided to invest in the fantasy world of visual effects. Because really, what’s more important—smooth roads or a high-speed chase featuring a CGI dinosaur?

    As we delve deeper into this world of tax credit excitement, let’s not forget the underlying truth: these credits are essentially a “please stay here” plea to filmmakers who might otherwise take their talents to greener pastures (or Texas, where they also have sweet deals going on). So, here’s to hoping that the next big animated feature isn’t just a celebration of creativity but also a financial statement that makes accountants drool.

    So get ready, folks! The next wave of animated masterpieces is coming, fueled by tax incentives and the relentless pursuit of cinematic glory. Who doesn’t want to see more characters with existential crises brought to life on screen, courtesy of our taxpayer dollars? Bravo, California! You’ve truly outdone yourself. Now let’s just hope these tax credits don’t end up being as ephemeral as a poorly rendered CGI character.

    #CaliforniaTaxCredits #Animation #VFX #Hollywood #TaxIncentives
    Ah, California! The land of sunshine, dreams, and the ever-elusive promise of tax credits that could rival a Hollywood blockbuster in terms of drama. Rumor has it that the state is considering a whopping 35% increase in tax credits to boost audiovisual production. Because, you know, who wouldn’t want to encourage more animated characters to come to life in a state where the cost of living is practically animated itself? Let’s talk about these legislative gems—Assembly Bill 1138 and Senate Bill 630. Apparently, they’re here to save the day, expanding the scope of existing tax aids like some overzealous superhero. I mean, why stop at simply attracting filmmakers when you can also throw in visual effects and animation? It’s like giving a kid a whole candy store instead of a single lollipop. Who can say no to that? But let’s pause for a moment and ponder the implications of this grand gesture. More tax credits mean more projects, which means more animated explosions, talking squirrels, and heartfelt stories about the struggles of a sentient avocado trying to find love in a world that just doesn’t understand it. Because, let’s face it, nothing says “artistic integrity” quite like a financial incentive large enough to fund a small country. And what do we have to thank for this potential windfall? Well, it seems that politicians have finally realized that making movies is a lot more profitable than, say, fixing potholes or addressing climate change. Who knew? Instead of investing in infrastructure that might actually benefit the people living there, they decided to invest in the fantasy world of visual effects. Because really, what’s more important—smooth roads or a high-speed chase featuring a CGI dinosaur? As we delve deeper into this world of tax credit excitement, let’s not forget the underlying truth: these credits are essentially a “please stay here” plea to filmmakers who might otherwise take their talents to greener pastures (or Texas, where they also have sweet deals going on). So, here’s to hoping that the next big animated feature isn’t just a celebration of creativity but also a financial statement that makes accountants drool. So get ready, folks! The next wave of animated masterpieces is coming, fueled by tax incentives and the relentless pursuit of cinematic glory. Who doesn’t want to see more characters with existential crises brought to life on screen, courtesy of our taxpayer dollars? Bravo, California! You’ve truly outdone yourself. Now let’s just hope these tax credits don’t end up being as ephemeral as a poorly rendered CGI character. #CaliforniaTaxCredits #Animation #VFX #Hollywood #TaxIncentives
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    Bientôt 35% de crédits d’impôts en Californie ? Impact à prévoir sur l’animation et les VFX
    La Californie pourrait augmenter ses crédits d’impôt pour favoriser la production audiovisuelle. Une évolution qui aurait aussi un impact sur les effets visuels et l’animation.Deux projets législatifs (Assembly Bill 1138 & Senate Bill
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