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  • Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité.

    Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques.

    Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public.

    L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière.

    Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité !

    #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité. Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques. Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public. L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière. Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité ! #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
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    Shuhei Yoshida warns subscription services could become 'dangerous' for developers
    'If the big companies dictate what games can be created, I don't think that will advance the industry.'
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  • In a world that once felt vibrant and alive, I find myself standing alone amidst the echoes of what used to be. The announcement of the Final Fantasy Tactics Remaster should have ignited a spark of nostalgia and joy within me, yet all I feel is an overwhelming sense of longing and betrayal. How did it come to this? How did a cherished memory become a bittersweet reminder of time lost?

    It’s been over a decade since I last held my breath while strategizing my way through the intricate battles of Ivalice, a realm that lived in my heart and mind. I remember the hours spent plotting my next move, the thrill of victory, and the heartbreak of defeat. Yet now, as the remaster nears its release, I can’t shake off the feeling that it was forced into existence, as if the very essence of what made it special was sacrificed for the sake of modernity. I find myself questioning: Is this the revival we hoped for, or just a shadow of its former self?

    Square Enix, a name that once resonated with dreams and adventure, has made controversial cuts that leave me feeling hollow. The magic of the original feels diluted, as if they took my beloved game and stripped it of its soul. The characters I cherished now seem distant, their voices muted in the rush to cater to new generations who may never truly appreciate the depth of the story. I feel like a ghost, haunting the remnants of a past that refuses to let me go, yet has also forgotten me.

    As September approaches, I wonder if I should even bother to dive back into Ivalice. Can I bear to face the changes that threaten to shatter my memories? The thought of playing a game that feels more like a corporate product than a passionate creation is almost too much to bear. The solitude of this anticipation weighs heavily on my heart, and I can’t help but feel abandoned by something that used to be a vital part of my life. Every pixel, every note of music, every character arc—now seemingly a casualty in the battle between nostalgia and progress.

    I long for the days when games were crafted with love and care, not merely as a means to an end. I wish for a return to the magic that existed in those pixelated battles and heartfelt narratives. As I prepare myself for this release, I can only hope that somehow, some way, I can find a piece of what I once adored.

    In my solitude, I cling to these memories, even as I brace myself for the reality of a remaster that feels more like a farewell than a homecoming.

    #FinalFantasyTactics #IvaliceChronicles #GamingNostalgia #Heartbreak #Loneliness
    In a world that once felt vibrant and alive, I find myself standing alone amidst the echoes of what used to be. The announcement of the Final Fantasy Tactics Remaster should have ignited a spark of nostalgia and joy within me, yet all I feel is an overwhelming sense of longing and betrayal. How did it come to this? How did a cherished memory become a bittersweet reminder of time lost? 💔 It’s been over a decade since I last held my breath while strategizing my way through the intricate battles of Ivalice, a realm that lived in my heart and mind. I remember the hours spent plotting my next move, the thrill of victory, and the heartbreak of defeat. Yet now, as the remaster nears its release, I can’t shake off the feeling that it was forced into existence, as if the very essence of what made it special was sacrificed for the sake of modernity. I find myself questioning: Is this the revival we hoped for, or just a shadow of its former self? 😞 Square Enix, a name that once resonated with dreams and adventure, has made controversial cuts that leave me feeling hollow. The magic of the original feels diluted, as if they took my beloved game and stripped it of its soul. The characters I cherished now seem distant, their voices muted in the rush to cater to new generations who may never truly appreciate the depth of the story. I feel like a ghost, haunting the remnants of a past that refuses to let me go, yet has also forgotten me. 🌧️ As September approaches, I wonder if I should even bother to dive back into Ivalice. Can I bear to face the changes that threaten to shatter my memories? The thought of playing a game that feels more like a corporate product than a passionate creation is almost too much to bear. The solitude of this anticipation weighs heavily on my heart, and I can’t help but feel abandoned by something that used to be a vital part of my life. Every pixel, every note of music, every character arc—now seemingly a casualty in the battle between nostalgia and progress. I long for the days when games were crafted with love and care, not merely as a means to an end. I wish for a return to the magic that existed in those pixelated battles and heartfelt narratives. As I prepare myself for this release, I can only hope that somehow, some way, I can find a piece of what I once adored. In my solitude, I cling to these memories, even as I brace myself for the reality of a remaster that feels more like a farewell than a homecoming. #FinalFantasyTactics #IvaliceChronicles #GamingNostalgia #Heartbreak #Loneliness
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    The Final Fantasy Tactics Remaster Had To Be Brute-Forced Into Existence And Makes Some Controversial Cuts
    Final Fantasy Tactics - The Ivalice Chronicles will make the PS1 classic playable on modern hardware in September for the first time since the PlayStation 3 generation over a decade ago. Why did it take so long for Square Enix to bring back the belov
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  • Lars Wingefors, the CEO of Embracer Group, is stepping into the role of executive chair to "focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation." This move is both alarming and infuriating. Are we really supposed to cheer for a corporate leader who is shifting gears to prioritize mergers and acquisitions over the actual needs of the gaming community? It's absolutely maddening!

    Let’s break this down. Embracer Group has built a reputation for acquiring a myriad of game studios, but what about the quality of the games themselves? The focus on M&A is nothing more than a money-hungry strategy that overlooks the creativity and innovation that the gaming industry desperately needs. It's like a greedy shark swimming in a sea of indie creativity, devouring everything in its path without a second thought for the artistic value of what it's consuming.

    Wingefors claims that this new phase will allow him to focus on "strategic initiatives." What does that even mean? Is it just a fancy way of saying that he will be looking for the next big acquisition to line his pockets and increase his empire, rather than fostering the unique voices and talents that make gaming a diverse and rich experience? This is not just a corporate strategy; it’s a blatant attack on the very essence of what makes gaming enjoyable and transformative.

    Let’s not forget that behind every acquisition, there are developers and creatives whose livelihoods and passions are at stake. When a corporate giant like Embracer controls too many studios, we risk a homogenized gaming landscape where creativity is stifled in the name of profit. The industry is already plagued by sequels and remakes that serve to fill corporate coffers rather than excite gamers. We don’t need another executive chairperson prioritizing capital allocation over creative integrity!

    Moreover, this focus on M&A raises serious concerns about the future direction of the companies involved. Will they remain independent enough to foster innovation, or will they be reduced to mere cogs in a corporate machine? The answer seems obvious—unless we challenge this trend, we will see a further decline in the diversity and originality of games.

    Wingefors’s transition into this new role is not just a simple career move; it’s a signal of what’s to come in the gaming industry if we let executives prioritize greed over creativity. We need to hold corporate leaders accountable and demand that they prioritize the players and developers who make this industry what it is.

    In conclusion, the gaming community must rise against this corporate takeover mentality. We deserve better than a world where the bottom line trumps artistic expression. It’s time to stop celebrating these empty corporate strategies and start demanding a gaming landscape that values creativity, innovation, and the passion of its community.

    #GamingCommunity #CorporateGreed #GameDevelopment #MergersAndAcquisitions #EmbracerGroup
    Lars Wingefors, the CEO of Embracer Group, is stepping into the role of executive chair to "focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation." This move is both alarming and infuriating. Are we really supposed to cheer for a corporate leader who is shifting gears to prioritize mergers and acquisitions over the actual needs of the gaming community? It's absolutely maddening! Let’s break this down. Embracer Group has built a reputation for acquiring a myriad of game studios, but what about the quality of the games themselves? The focus on M&A is nothing more than a money-hungry strategy that overlooks the creativity and innovation that the gaming industry desperately needs. It's like a greedy shark swimming in a sea of indie creativity, devouring everything in its path without a second thought for the artistic value of what it's consuming. Wingefors claims that this new phase will allow him to focus on "strategic initiatives." What does that even mean? Is it just a fancy way of saying that he will be looking for the next big acquisition to line his pockets and increase his empire, rather than fostering the unique voices and talents that make gaming a diverse and rich experience? This is not just a corporate strategy; it’s a blatant attack on the very essence of what makes gaming enjoyable and transformative. Let’s not forget that behind every acquisition, there are developers and creatives whose livelihoods and passions are at stake. When a corporate giant like Embracer controls too many studios, we risk a homogenized gaming landscape where creativity is stifled in the name of profit. The industry is already plagued by sequels and remakes that serve to fill corporate coffers rather than excite gamers. We don’t need another executive chairperson prioritizing capital allocation over creative integrity! Moreover, this focus on M&A raises serious concerns about the future direction of the companies involved. Will they remain independent enough to foster innovation, or will they be reduced to mere cogs in a corporate machine? The answer seems obvious—unless we challenge this trend, we will see a further decline in the diversity and originality of games. Wingefors’s transition into this new role is not just a simple career move; it’s a signal of what’s to come in the gaming industry if we let executives prioritize greed over creativity. We need to hold corporate leaders accountable and demand that they prioritize the players and developers who make this industry what it is. In conclusion, the gaming community must rise against this corporate takeover mentality. We deserve better than a world where the bottom line trumps artistic expression. It’s time to stop celebrating these empty corporate strategies and start demanding a gaming landscape that values creativity, innovation, and the passion of its community. #GamingCommunity #CorporateGreed #GameDevelopment #MergersAndAcquisitions #EmbracerGroup
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    Embracer CEO Lars Wingefors to become executive chair and focus on M&A
    'This new phase allows me to focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation.'
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  • animation, basketball, urban culture, Sony Pictures Animation, GOAT, Michael Jordan, LeBron James, Space Jam, original project, visual spectacle

    ## Introduction

    In a thrilling fusion of animation, basketball, and urban culture, Sony Pictures Animation is launching an innovative project that promises to captivate audiences of all ages. Following the iconic legacy of *Space Jam*, which first brought the worlds of sports and animation together in the 1990s, and its vibrant sequel in 2021 featurin...
    animation, basketball, urban culture, Sony Pictures Animation, GOAT, Michael Jordan, LeBron James, Space Jam, original project, visual spectacle ## Introduction In a thrilling fusion of animation, basketball, and urban culture, Sony Pictures Animation is launching an innovative project that promises to captivate audiences of all ages. Following the iconic legacy of *Space Jam*, which first brought the worlds of sports and animation together in the 1990s, and its vibrant sequel in 2021 featurin...
    GOAT: Animation, Basketball, and Urban Culture Unite
    animation, basketball, urban culture, Sony Pictures Animation, GOAT, Michael Jordan, LeBron James, Space Jam, original project, visual spectacle ## Introduction In a thrilling fusion of animation, basketball, and urban culture, Sony Pictures Animation is launching an innovative project that promises to captivate audiences of all ages. Following the iconic legacy of *Space Jam*, which first...
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  • Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ?

    D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose.

    Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon.

    Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout.

    Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant.

    Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple.

    Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher.

    Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé.

    #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ? D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose. Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon. Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout. Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant. Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple. Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher. Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé. #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
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    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos
    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos Hacer vídeos virales en redes sociales como TikTok o Instagram puede parecer un desafío formidable. Sin embargo, con la estrategia correcta y un enfoque creativo, es posible captar l
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  • Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable !

    L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées.

    Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine.

    En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité.

    Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ?

    Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister !

    #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
    Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable ! L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées. Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine. En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité. Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ? Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister ! #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
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    Annecy 2025 : quelle place pour l’IA générative ?
    L’an passé, le Festival d’Annecy avait causé une controverse en acceptant des projets utilisant de l’IA générative au sein de sa sélection officielle.Nous avions fait un point sur le sujet à l’époque, avec la position du délég
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  • Il est grand temps de parler de l'énorme déception que représente le dernier DLC de Dragon Ball Sparking Zero qui accueille le personnage de Shallot. Franchement, à quoi bon ? Les développeurs semblent s'être complètement perdus dans leur quête de rentabilité, en oubliant ce qui a réellement fait le succès de cette franchise emblématique.

    Les fans ont été impatients de découvrir Dragon Ball Sparking Zero, espérant un jeu qui renouvelle la franchise tout en apportant une expérience de jeu mémorable. Mais qu'est-ce qu'on reçoit ? Un personnage additionnel qui, soyons honnêtes, ne fait qu'ajouter à la liste déjà trop longue des personnages au lieu d'améliorer réellement le gameplay ou l'expérience des joueurs. Shallot ? Vraiment ? Est-ce là la meilleure idée que les développeurs ont pu trouver ? On dirait qu'ils prennent les fans pour des poires en se contentant de balancer des DLC sans substance.

    Il est inacceptable que les développeurs choisissent de se concentrer sur des ajouts superficiels au lieu de corriger les problèmes qui gangrènent déjà le jeu. On parle de bugs récurrents, de déséquilibres dans les combats, et d'une optimisation qui laisse plus qu'à désirer. Mais non, la priorité c'est Shallot ! Quelle blague ! Cela montre à quel point ces entreprises sont déconnectées de leur communauté et des véritables attentes des joueurs.

    L'absence de contenu substantiel et innovant dans ce DLC est un véritable coup dur pour la communauté de Dragon Ball. Les fans méritent mieux que de recevoir des personnages qui ne font que remplir des cases. Le manque d'originalité et de créativité est affligeant ! Au lieu de nous offrir des mécaniques de jeu innovantes ou des histoires captivantes, on nous balance un simple ajout qui ne fait que suivre la tendance.

    Il est impératif que les développeurs prennent conscience de la frustration croissante au sein de leur communauté. Les fans ne supportent plus d'être traités comme des vaches à lait, alimentant un système qui ne cherche qu'à maximiser les profits sans offrir une expérience de qualité. Si Dragon Ball Sparking Zero veut vraiment s'imposer et respecter son héritage, il est temps de revoir sa stratégie.

    En attendant, il est difficile de rester enthousiaste à propos de ce DLC. Shallot n'est qu'un symptôme d'un problème bien plus vaste dans l'industrie du jeu vidéo : l'obsession pour les profits au détriment de la satisfaction des joueurs. Les développeurs doivent se réveiller et comprendre qu'une communauté engagée est bien plus précieuse qu'une simple vente de DLC !

    #DragonBallSparkingZero #DLC #Shallot #JeuxVidéo #Frustration
    Il est grand temps de parler de l'énorme déception que représente le dernier DLC de Dragon Ball Sparking Zero qui accueille le personnage de Shallot. Franchement, à quoi bon ? Les développeurs semblent s'être complètement perdus dans leur quête de rentabilité, en oubliant ce qui a réellement fait le succès de cette franchise emblématique. Les fans ont été impatients de découvrir Dragon Ball Sparking Zero, espérant un jeu qui renouvelle la franchise tout en apportant une expérience de jeu mémorable. Mais qu'est-ce qu'on reçoit ? Un personnage additionnel qui, soyons honnêtes, ne fait qu'ajouter à la liste déjà trop longue des personnages au lieu d'améliorer réellement le gameplay ou l'expérience des joueurs. Shallot ? Vraiment ? Est-ce là la meilleure idée que les développeurs ont pu trouver ? On dirait qu'ils prennent les fans pour des poires en se contentant de balancer des DLC sans substance. Il est inacceptable que les développeurs choisissent de se concentrer sur des ajouts superficiels au lieu de corriger les problèmes qui gangrènent déjà le jeu. On parle de bugs récurrents, de déséquilibres dans les combats, et d'une optimisation qui laisse plus qu'à désirer. Mais non, la priorité c'est Shallot ! Quelle blague ! Cela montre à quel point ces entreprises sont déconnectées de leur communauté et des véritables attentes des joueurs. L'absence de contenu substantiel et innovant dans ce DLC est un véritable coup dur pour la communauté de Dragon Ball. Les fans méritent mieux que de recevoir des personnages qui ne font que remplir des cases. Le manque d'originalité et de créativité est affligeant ! Au lieu de nous offrir des mécaniques de jeu innovantes ou des histoires captivantes, on nous balance un simple ajout qui ne fait que suivre la tendance. Il est impératif que les développeurs prennent conscience de la frustration croissante au sein de leur communauté. Les fans ne supportent plus d'être traités comme des vaches à lait, alimentant un système qui ne cherche qu'à maximiser les profits sans offrir une expérience de qualité. Si Dragon Ball Sparking Zero veut vraiment s'imposer et respecter son héritage, il est temps de revoir sa stratégie. En attendant, il est difficile de rester enthousiaste à propos de ce DLC. Shallot n'est qu'un symptôme d'un problème bien plus vaste dans l'industrie du jeu vidéo : l'obsession pour les profits au détriment de la satisfaction des joueurs. Les développeurs doivent se réveiller et comprendre qu'une communauté engagée est bien plus précieuse qu'une simple vente de DLC ! #DragonBallSparkingZero #DLC #Shallot #JeuxVidéo #Frustration
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    Dragon Ball Sparking Zero accueille le personnage de Shallot dans ses rangs pour son prochain DLC
    ActuGaming.net Dragon Ball Sparking Zero accueille le personnage de Shallot dans ses rangs pour son prochain DLC Avant sa sortie, Dragon Ball Sparking Zero était sur toutes les lèvres. Depuis, le jeu […] L'article Dragon Ball Sparking Zero acc
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  • Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen?

    Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right?

    And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?”

    Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight.

    And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato?

    In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next!

    #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
    Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen? Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right? And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?” Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight. And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato? In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next! #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
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    Minecraft, le film : succès massif et fuite en ligne
    C’est un carton ! Minecraft, le film, qui adapte au cinéma le célèbre jeu vidéo, a débarqué ce week-end dans le salles américaines. A la clé, le meilleur démarrage de l’année, avec des recettes estimées à 157 millions de dollars aux USA.
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