« Les éditeurs de sites sont face au spectre d’un Web créé par et pour les IA » « Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn..."> « Les éditeurs de sites sont face au spectre d’un Web créé par et pour les IA » « Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn..." /> « Les éditeurs de sites sont face au spectre d’un Web créé par et pour les IA » « Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn..." />

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« Les éditeurs de sites sont face au spectre d’un Web créé par et pour les IA »

« Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn Antoine Gurwitch, fondateur d’Ad’s Up Consulting. Les intelligences artificiellesgénératives utilisées par les entreprises ou les assistants ChatGPT, Gemini, Perplexity, Claude ou Le Chat « synthétisent, sélectionnent, hiérarchisent et créent un nouveau filtre entre vos contenus… et vos clients », prévient le dirigeant de ce cabinet de conseil en « performance digitale ». Le propos – destiné à vendre un guide du référencement à l’heure de l’IA – résume le sentiment de bouleversement qui saisit les éditeurs de sites. La multiplication des IA et des « agents », capables de surfer et de mener des actions à la place d’un humain, va probablement changer la face d’Internet. Les éditeurs sont confrontés au spectre d’un Web créé par et pour les IA. « Les résultats de recherche générés par IA réécrivent les règles. Et l’optimisation du référencement pour les moteurs – ou SEO – ne suffit plus. Les marques doivent évoluer ou risquer de perdre leur visibilité dans le parcours des clients, ainsi que le contrôle sur leur positionnement, dans un monde où les clics traditionnels disparaissent », abonde le cabinet de conseil Bain, dans une étude datée de février. Une véritable révolution des usages des moteurs de recherche est en cours. QUENTIN HUGON / LE MONDE Il vous reste 69.19% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
#les #éditeurs #sites #sont #face
« Les éditeurs de sites sont face au spectre d’un Web créé par et pour les IA »
« Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn Antoine Gurwitch, fondateur d’Ad’s Up Consulting. Les intelligences artificiellesgénératives utilisées par les entreprises ou les assistants ChatGPT, Gemini, Perplexity, Claude ou Le Chat « synthétisent, sélectionnent, hiérarchisent et créent un nouveau filtre entre vos contenus… et vos clients », prévient le dirigeant de ce cabinet de conseil en « performance digitale ». Le propos – destiné à vendre un guide du référencement à l’heure de l’IA – résume le sentiment de bouleversement qui saisit les éditeurs de sites. La multiplication des IA et des « agents », capables de surfer et de mener des actions à la place d’un humain, va probablement changer la face d’Internet. Les éditeurs sont confrontés au spectre d’un Web créé par et pour les IA. « Les résultats de recherche générés par IA réécrivent les règles. Et l’optimisation du référencement pour les moteurs – ou SEO – ne suffit plus. Les marques doivent évoluer ou risquer de perdre leur visibilité dans le parcours des clients, ainsi que le contrôle sur leur positionnement, dans un monde où les clics traditionnels disparaissent », abonde le cabinet de conseil Bain, dans une étude datée de février. Une véritable révolution des usages des moteurs de recherche est en cours. QUENTIN HUGON / LE MONDE Il vous reste 69.19% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #les #éditeurs #sites #sont #face
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« Hier, il fallait être bien positionné sur Google. Aujourd’hui, cela ne suffit plus, il faut être cité par les IA dans leurs réponses », assène sur LinkedIn Antoine Gurwitch, fondateur d’Ad’s Up Consulting. Les intelligences artificielles (IA) génératives utilisées par les entreprises ou les assistants ChatGPT, Gemini, Perplexity, Claude ou Le Chat « synthétisent, sélectionnent, hiérarchisent et créent un nouveau filtre entre vos contenus… et vos clients », prévient le dirigeant de ce cabinet de conseil en « performance digitale ». Le propos – destiné à vendre un guide du référencement à l’heure de l’IA – résume le sentiment de bouleversement qui saisit les éditeurs de sites. La multiplication des IA et des « agents », capables de surfer et de mener des actions à la place d’un humain, va probablement changer la face d’Internet. Les éditeurs sont confrontés au spectre d’un Web créé par et pour les IA. « Les résultats de recherche générés par IA réécrivent les règles. Et l’optimisation du référencement pour les moteurs – ou SEO – ne suffit plus. Les marques doivent évoluer ou risquer de perdre leur visibilité dans le parcours des clients, ainsi que le contrôle sur leur positionnement, dans un monde où les clics traditionnels disparaissent », abonde le cabinet de conseil Bain, dans une étude datée de février. Une véritable révolution des usages des moteurs de recherche est en cours. QUENTIN HUGON / LE MONDE Il vous reste 69.19% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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