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  • Amazon, qu'est-ce qui vous prend ? Offrir des jeux PC gratuits sans aucune raison apparente ? C'est à la fois incompréhensible et profondément frustrant ! Pourquoi ne pas utiliser votre immense pouvoir et richesse pour améliorer la plateforme et offrir un service de qualité aux utilisateurs au lieu de distribuer des jeux comme si c'était des bonbons lors d'Halloween ?

    Regardez les titres proposés : Tomb Raider, Saints Row... Ce ne sont pas des jeux à négliger. Mais pourquoi ces choix ? On dirait que c'est un coup marketing désespéré pour attirer plus d'utilisateurs vers votre plateforme, comme si vous n'aviez pas déjà suffisamment de clients ! C'est une stratégie pitoyable, et cela montre à quel point Amazon semble perdre le contrôle sur ses priorités.

    Les jeux gratuits peuvent sembler alléchants, mais cela soulève de nombreuses questions. Est-ce que vous essayez de masquer le fait que vos services sont en déclin ? Est-ce que vous pensez vraiment que quelques jeux gratuits vont réussir à faire oublier la lenteur de votre service client et les problèmes techniques récurrents sur votre plateforme ? C'est insultant pour les véritables gamers qui cherchent une expérience de jeu fluide et sans accroc.

    Il est temps que vous vous réveilliez, Amazon ! Les consommateurs ne sont pas dupe. On ne doit pas sacrifier la qualité et l'expérience utilisateur sur l'autel du profit ! Au lieu de donner des jeux, pourquoi ne pas investir cet argent dans l'amélioration de votre infrastructure technique pour offrir un service qui ne plante pas toutes les cinq minutes ? Cela nous permettrait d'apprécier réellement ces jeux sans les frustrations constantes que vous imposez.

    En plus, regardons la question de la durabilité. Offrir des jeux sans raison apparente peut sembler généreux, mais quel impact cela a-t-il sur l'industrie du jeu vidéo ? Cela dévalorise les efforts des développeurs et des studios qui travaillent dur pour créer des expériences uniques. Vous encouragez une culture de la gratuité qui peut nuire à long terme à la créativité et à l'innovation dans le secteur.

    En résumé, Amazon, votre initiative d'offrir des jeux PC gratuitement n'est rien d'autre qu'un coup de marketing mal pensé. Au lieu de cela, concentrez-vous sur l'amélioration de votre service et le soutien aux développeurs. Les utilisateurs méritent mieux que des solutions temporaires et des stratégies douteuses.

    #Amazon #JeuxGratuits #Critique #ServicesClient #IndustrieDuJeu
    Amazon, qu'est-ce qui vous prend ? Offrir des jeux PC gratuits sans aucune raison apparente ? C'est à la fois incompréhensible et profondément frustrant ! Pourquoi ne pas utiliser votre immense pouvoir et richesse pour améliorer la plateforme et offrir un service de qualité aux utilisateurs au lieu de distribuer des jeux comme si c'était des bonbons lors d'Halloween ? Regardez les titres proposés : Tomb Raider, Saints Row... Ce ne sont pas des jeux à négliger. Mais pourquoi ces choix ? On dirait que c'est un coup marketing désespéré pour attirer plus d'utilisateurs vers votre plateforme, comme si vous n'aviez pas déjà suffisamment de clients ! C'est une stratégie pitoyable, et cela montre à quel point Amazon semble perdre le contrôle sur ses priorités. Les jeux gratuits peuvent sembler alléchants, mais cela soulève de nombreuses questions. Est-ce que vous essayez de masquer le fait que vos services sont en déclin ? Est-ce que vous pensez vraiment que quelques jeux gratuits vont réussir à faire oublier la lenteur de votre service client et les problèmes techniques récurrents sur votre plateforme ? C'est insultant pour les véritables gamers qui cherchent une expérience de jeu fluide et sans accroc. Il est temps que vous vous réveilliez, Amazon ! Les consommateurs ne sont pas dupe. On ne doit pas sacrifier la qualité et l'expérience utilisateur sur l'autel du profit ! Au lieu de donner des jeux, pourquoi ne pas investir cet argent dans l'amélioration de votre infrastructure technique pour offrir un service qui ne plante pas toutes les cinq minutes ? Cela nous permettrait d'apprécier réellement ces jeux sans les frustrations constantes que vous imposez. En plus, regardons la question de la durabilité. Offrir des jeux sans raison apparente peut sembler généreux, mais quel impact cela a-t-il sur l'industrie du jeu vidéo ? Cela dévalorise les efforts des développeurs et des studios qui travaillent dur pour créer des expériences uniques. Vous encouragez une culture de la gratuité qui peut nuire à long terme à la créativité et à l'innovation dans le secteur. En résumé, Amazon, votre initiative d'offrir des jeux PC gratuitement n'est rien d'autre qu'un coup de marketing mal pensé. Au lieu de cela, concentrez-vous sur l'amélioration de votre service et le soutien aux développeurs. Les utilisateurs méritent mieux que des solutions temporaires et des stratégies douteuses. #Amazon #JeuxGratuits #Critique #ServicesClient #IndustrieDuJeu
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    Amazon is giving out free PC games (for no apparent reason)
    There are some great options too, from Tomb Raider to Saints Row.
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  • 007: First Light. Un nouveau jeu James Bond est en route. C'est super, non ? Enfin, c'est ce qu'on dit. Annoncé lors du State of Play de juin 2025, ce jeu a déjà suscité quelques questions. Pourtant, je ne sais pas trop quoi penser.

    On a eu la chance de poser quelques questions à l'un des créateurs de 007: First Light. Le gars a l'air un peu passionné par son travail, mais bon, qui ne le serait pas ? Il a parlé des mécaniques du jeu, de l'histoire, de tout ça. Mais, honnêtement, ça ne m'emballe pas vraiment.

    Je veux dire, James Bond, c’est cool et tout, mais on a déjà vu tellement de jeux sur ce personnage que ça commence à devenir un peu redondant. Le même principe, encore et encore. Tu sais, un peu comme ces séries qui s'étirent sur plusieurs saisons sans vraiment avancer.

    Certains diront que l'art graphique a l'air prometteur. Les environnements, les personnages, tout ça. Mais est-ce que ça suffit pour me faire accrocher ? Pas sûr. J’aimerais bien être plus enthousiaste, mais je ne peux pas m'empêcher de ressentir un certain ennui face à tout ça.

    Et puis, il y a toujours cette pression d'être le meilleur. Les fans de James Bond ont des attentes. Mais qu'est-ce qu'on va vraiment découvrir dans 007: First Light ? Les créateurs doivent avoir des idées intéressantes, mais je me demande si ce sera suffisant pour faire vibrer les joueurs.

    Je vais probablement essayer le jeu, juste pour voir. Mais je ne m'attends pas à être ébloui. Peut-être que je me trompe. Qui sait ? On peut toujours espérer un peu de nouveauté, même si ça semble peu probable.

    Bon, voilà. C'est tout pour le moment. Restez à l'affût, je suppose.

    #007FirstLight #JamesBond #JeuxVidéo #ActuGaming #StateOfPlay
    007: First Light. Un nouveau jeu James Bond est en route. C'est super, non ? Enfin, c'est ce qu'on dit. Annoncé lors du State of Play de juin 2025, ce jeu a déjà suscité quelques questions. Pourtant, je ne sais pas trop quoi penser. On a eu la chance de poser quelques questions à l'un des créateurs de 007: First Light. Le gars a l'air un peu passionné par son travail, mais bon, qui ne le serait pas ? Il a parlé des mécaniques du jeu, de l'histoire, de tout ça. Mais, honnêtement, ça ne m'emballe pas vraiment. Je veux dire, James Bond, c’est cool et tout, mais on a déjà vu tellement de jeux sur ce personnage que ça commence à devenir un peu redondant. Le même principe, encore et encore. Tu sais, un peu comme ces séries qui s'étirent sur plusieurs saisons sans vraiment avancer. Certains diront que l'art graphique a l'air prometteur. Les environnements, les personnages, tout ça. Mais est-ce que ça suffit pour me faire accrocher ? Pas sûr. J’aimerais bien être plus enthousiaste, mais je ne peux pas m'empêcher de ressentir un certain ennui face à tout ça. Et puis, il y a toujours cette pression d'être le meilleur. Les fans de James Bond ont des attentes. Mais qu'est-ce qu'on va vraiment découvrir dans 007: First Light ? Les créateurs doivent avoir des idées intéressantes, mais je me demande si ce sera suffisant pour faire vibrer les joueurs. Je vais probablement essayer le jeu, juste pour voir. Mais je ne m'attends pas à être ébloui. Peut-être que je me trompe. Qui sait ? On peut toujours espérer un peu de nouveauté, même si ça semble peu probable. Bon, voilà. C'est tout pour le moment. Restez à l'affût, je suppose. #007FirstLight #JamesBond #JeuxVidéo #ActuGaming #StateOfPlay
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    007 First Light : Nos questions à l’un des créateurs du nouveau jeu James Bond
    ActuGaming.net 007 First Light : Nos questions à l’un des créateurs du nouveau jeu James Bond Annoncé lors du State of Play de juin 2025, 007: First Light a marqué les […] L'article 007 First Light : Nos questions à l’un des créateurs du nouve
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  • La critique du matelas en latex organique Silk & Snow S&S. Honnêtement, c’est un matelas, et il est un peu comme n’importe quel autre. Il est censé être doux comme un nuage, ce qui est un bon point, je suppose. La promesse de confort est là, mais seulement pour les personnes qui dorment seules. Donc, si vous aimez partager votre espace, ce n’est pas la meilleure option.

    Le matelas est fait de matériaux organiques, ce qui semble être à la mode en ce moment. C’est bien pour ceux qui se soucient de l’environnement, mais ça ne change pas trop le fait que je me sens un peu fatigué juste à en parler. Les critiques disent qu’il est incroyablement confortable, mais je n’ai pas vraiment ressenti cette magie. Peut-être que je suis trop habitué à mon vieux matelas qui me connaît mieux.

    Il y a beaucoup de matelas sur le marché, et celui-ci ne se démarque pas vraiment, même s’il a cette étiquette "organique". Je suppose que pour une personne qui aime dormir seule, c’est une option. Mais pour moi, c’est juste un autre matelas qui fait le job. Le confort est là, mais je ne sais pas si c'est suffisant pour en faire un choix incontournable.

    En fin de compte, Silk & Snow S&S est un matelas qui a ses qualités, mais il n’y a pas vraiment d’excitation à en parler. Je préfère juste rester sur mon vieux matelas, même si ce n’est pas aussi "doux qu’un nuage". Peut-être qu'un jour, je me sentirai d’humeur à essayer quelque chose de nouveau, mais aujourd'hui, ce n'est pas le cas.

    #Matelas #SilkEtSnow #Confort #Dormir #Organiques
    La critique du matelas en latex organique Silk & Snow S&S. Honnêtement, c’est un matelas, et il est un peu comme n’importe quel autre. Il est censé être doux comme un nuage, ce qui est un bon point, je suppose. La promesse de confort est là, mais seulement pour les personnes qui dorment seules. Donc, si vous aimez partager votre espace, ce n’est pas la meilleure option. Le matelas est fait de matériaux organiques, ce qui semble être à la mode en ce moment. C’est bien pour ceux qui se soucient de l’environnement, mais ça ne change pas trop le fait que je me sens un peu fatigué juste à en parler. Les critiques disent qu’il est incroyablement confortable, mais je n’ai pas vraiment ressenti cette magie. Peut-être que je suis trop habitué à mon vieux matelas qui me connaît mieux. Il y a beaucoup de matelas sur le marché, et celui-ci ne se démarque pas vraiment, même s’il a cette étiquette "organique". Je suppose que pour une personne qui aime dormir seule, c’est une option. Mais pour moi, c’est juste un autre matelas qui fait le job. Le confort est là, mais je ne sais pas si c'est suffisant pour en faire un choix incontournable. En fin de compte, Silk & Snow S&S est un matelas qui a ses qualités, mais il n’y a pas vraiment d’excitation à en parler. Je préfère juste rester sur mon vieux matelas, même si ce n’est pas aussi "doux qu’un nuage". Peut-être qu'un jour, je me sentirai d’humeur à essayer quelque chose de nouveau, mais aujourd'hui, ce n'est pas le cas. #Matelas #SilkEtSnow #Confort #Dormir #Organiques
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    Silk & Snow S&S Organic Mattress Review: Soft as a Cloud
    Silk & Snow’s got an organic mattress in its lineup, and it’s amazingly comfortable—but only for solo sleepers.
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  • Salut à tous les passionnés de jeux vidéo !

    C'est enfin le week-end ! Vous avez survécu à une autre semaine et maintenant, c'est le moment de vous accorder un peu de plaisir bien mérité ! Si vous vous demandez comment passer ces précieuses 48 heures de liberté, laissez-moi vous dire que vous êtes au bon endroit. Voici quelques jeux incroyables que nous ne pouvons pas attendre de redécouvrir ce week-end !

    1️⃣ **Démarrez avec un classique !** Si vous cherchez une aventure qui vous transporte dans un autre monde, il est temps de plonger dans un jeu que vous n'avez peut-être pas touché depuis un moment. Les classiques comme "The Legend of Zelda" ou "Final Fantasy" ne prennent jamais une ride et offrent des heures de plaisir et de nostalgie. Chaque quête est une nouvelle opportunité pour explorer, apprendre et grandir.

    2️⃣ **Nouveau sur le marché ?** Pourquoi ne pas essayer quelque chose de nouveau ? La scène des jeux vidéo est en constante évolution, et il y a toujours des titres excitants à découvrir. Que diriez-vous de plonger dans un jeu de rôle captivant ou un jeu d'action palpitant ? Les dernières sorties comme "Elden Ring" ou "Horizon Forbidden West" sont là pour vous tenir en haleine et vous faire vivre des moments épiques.

    3️⃣ **Invitez vos amis !** Le week-end est aussi le moment idéal pour se rassembler et jouer ensemble. Que ce soit en ligne ou sur le canapé, partager des expériences de jeu avec vos amis peut rendre tout encore plus amusant. Organisez une soirée de jeux et laissez la compétition amicale commencer !

    4️⃣ **Ne négligez pas le temps pour vous !** Parfois, il est bon de prendre du temps pour soi et de se plonger dans un jeu relaxant. Que diriez-vous d'un jeu de simulation ou d'un jeu de gestion où vous pouvez créer votre propre monde ? Cela peut être incroyablement apaisant et gratifiant, alors n'hésitez pas à vous faire plaisir !

    N'oubliez pas : le jeu est une occasion de se déconnecter, de rêver et de se reconnecter avec ce qui nous rend heureux. Alors, que vous soyez un gamer chevronné ou un novice, prenez le temps de vous amuser et de redécouvrir la magie des jeux vidéo !

    Alors, qu'attendez-vous ? Mettez-vous à l'aise, préparez vos snacks préférés et lancez-vous dans cette aventure ! Le week-end est à vous, faites-le briller !

    #JeuxVidéo #WeekendGaming #PassionJeux #Amusement #Aventure
    🌟🎮 Salut à tous les passionnés de jeux vidéo ! 🎮🌟 C'est enfin le week-end ! 🎉 Vous avez survécu à une autre semaine et maintenant, c'est le moment de vous accorder un peu de plaisir bien mérité ! Si vous vous demandez comment passer ces précieuses 48 heures de liberté, laissez-moi vous dire que vous êtes au bon endroit. Voici quelques jeux incroyables que nous ne pouvons pas attendre de redécouvrir ce week-end ! 🚀💖 1️⃣ **Démarrez avec un classique !** Si vous cherchez une aventure qui vous transporte dans un autre monde, il est temps de plonger dans un jeu que vous n'avez peut-être pas touché depuis un moment. Les classiques comme "The Legend of Zelda" ou "Final Fantasy" ne prennent jamais une ride et offrent des heures de plaisir et de nostalgie. Chaque quête est une nouvelle opportunité pour explorer, apprendre et grandir. 🌍✨ 2️⃣ **Nouveau sur le marché ?** Pourquoi ne pas essayer quelque chose de nouveau ? La scène des jeux vidéo est en constante évolution, et il y a toujours des titres excitants à découvrir. Que diriez-vous de plonger dans un jeu de rôle captivant ou un jeu d'action palpitant ? Les dernières sorties comme "Elden Ring" ou "Horizon Forbidden West" sont là pour vous tenir en haleine et vous faire vivre des moments épiques. 🎉🔥 3️⃣ **Invitez vos amis !** Le week-end est aussi le moment idéal pour se rassembler et jouer ensemble. Que ce soit en ligne ou sur le canapé, partager des expériences de jeu avec vos amis peut rendre tout encore plus amusant. Organisez une soirée de jeux et laissez la compétition amicale commencer ! 🕹️🎊 4️⃣ **Ne négligez pas le temps pour vous !** Parfois, il est bon de prendre du temps pour soi et de se plonger dans un jeu relaxant. Que diriez-vous d'un jeu de simulation ou d'un jeu de gestion où vous pouvez créer votre propre monde ? Cela peut être incroyablement apaisant et gratifiant, alors n'hésitez pas à vous faire plaisir ! 🌈🍀 N'oubliez pas : le jeu est une occasion de se déconnecter, de rêver et de se reconnecter avec ce qui nous rend heureux. Alors, que vous soyez un gamer chevronné ou un novice, prenez le temps de vous amuser et de redécouvrir la magie des jeux vidéo ! ✨💪 Alors, qu'attendez-vous ? Mettez-vous à l'aise, préparez vos snacks préférés et lancez-vous dans cette aventure ! Le week-end est à vous, faites-le briller ! 🌟🎈 #JeuxVidéo #WeekendGaming #PassionJeux #Amusement #Aventure
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    Kotaku’s Weekend Guide: 4 Awesome Games We’re Jumping Back Into
    Here we are at the end of another week and, hopefully, you’re staring at a healthy 48-hours of mostly free time to invest in some games. But if you’ve found yourself at a loss for what to play, you’re in luck. Read more...
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  • Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ?

    D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose.

    Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon.

    Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout.

    Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant.

    Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple.

    Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher.

    Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé.

    #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ? D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose. Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon. Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout. Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant. Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple. Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher. Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé. #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
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    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos
    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos Hacer vídeos virales en redes sociales como TikTok o Instagram puede parecer un desafío formidable. Sin embargo, con la estrategia correcta y un enfoque creativo, es posible captar l
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  • Pepsi, oh Pepsi… Quand vas-tu enfin te libérer de ton obsession maladive pour Coca-Cola ? C'est comme si tu étais ce petit frère qui passe son temps à essayer de prouver qu'il peut être aussi cool que l'aîné, mais qui finit par se vautrer dans un soda tiède, à moitié ouvert, et complètement oublié dans le frigo.

    Il serait peut-être temps d'envisager une campagne publicitaire originale. Oui, tu sais, celle qui pourrait faire parler de toi sans avoir besoin de mentionner le nom de ton rival. Il est difficile d'ignorer à quel point tu t'accroches à cette image de seconde zone, comme si tu souhaitais toujours être l'ombre de Coca-Cola. Peut-être que tu devrais envisager de consulter un spécialiste en marketing pour régler cette crise d'identité prolongée ?

    Les consommateurs ne cherchent pas seulement une boisson gazeuse ; ils veulent une expérience. Alors, pourquoi ne pas sortir de l'ombre et proposer quelque chose de vraiment innovant ? Une nouvelle saveur, un packaging audacieux, ou même une histoire qui fasse vibrer les cordes sensibles de ton public ? En fait, tout ce que tu as à faire, c'est d'oser être… toi-même !

    Chaque nouvelle campagne que tu lances semble être une compétition pour voir qui peut copier le mieux Coca-Cola. Nous savons tous que tu es capable de mieux. Peut-être que, juste peut-être, tu pourrais arrêter de te soucier de ce que fait le concurrent et te concentrer sur tes propres forces. Après tout, il y a une raison pour laquelle tant de gens ont tes produits dans leur frigo. Ils t’aiment, mais cela ne veut pas dire qu’ils souhaitent que tu deviennes une simple copie de ton rival.

    Et soyons honnêtes, la dernière fois que tu as essayé d'être original, c'était probablement à l'époque où les téléphones portables avaient encore des antennes rétractables. Il est temps de faire un reset. Laissez de côté les vieilles recettes et les idées éculées. Pensez à quelque chose qui pourrait vraiment marquer les esprits. Les gens adorent les histoires authentiques, pas les copies conformes.

    En attendant, nous continuerons à te regarder, un peu comme on regarde un train qui déraille. C'est fascinant et triste à la fois. Alors, Pepsi, prends un moment pour te regarder dans le miroir et demande-toi : "Suis-je vraiment prêt à sortir de l'ombre de Coca-Cola ?" La réponse pourrait être la clé de ton succès futur.

    #Pepsi #CocaCola #Publicité #Innovation #Marketing
    Pepsi, oh Pepsi… Quand vas-tu enfin te libérer de ton obsession maladive pour Coca-Cola ? C'est comme si tu étais ce petit frère qui passe son temps à essayer de prouver qu'il peut être aussi cool que l'aîné, mais qui finit par se vautrer dans un soda tiède, à moitié ouvert, et complètement oublié dans le frigo. Il serait peut-être temps d'envisager une campagne publicitaire originale. Oui, tu sais, celle qui pourrait faire parler de toi sans avoir besoin de mentionner le nom de ton rival. Il est difficile d'ignorer à quel point tu t'accroches à cette image de seconde zone, comme si tu souhaitais toujours être l'ombre de Coca-Cola. Peut-être que tu devrais envisager de consulter un spécialiste en marketing pour régler cette crise d'identité prolongée ? Les consommateurs ne cherchent pas seulement une boisson gazeuse ; ils veulent une expérience. Alors, pourquoi ne pas sortir de l'ombre et proposer quelque chose de vraiment innovant ? Une nouvelle saveur, un packaging audacieux, ou même une histoire qui fasse vibrer les cordes sensibles de ton public ? En fait, tout ce que tu as à faire, c'est d'oser être… toi-même ! Chaque nouvelle campagne que tu lances semble être une compétition pour voir qui peut copier le mieux Coca-Cola. Nous savons tous que tu es capable de mieux. Peut-être que, juste peut-être, tu pourrais arrêter de te soucier de ce que fait le concurrent et te concentrer sur tes propres forces. Après tout, il y a une raison pour laquelle tant de gens ont tes produits dans leur frigo. Ils t’aiment, mais cela ne veut pas dire qu’ils souhaitent que tu deviennes une simple copie de ton rival. Et soyons honnêtes, la dernière fois que tu as essayé d'être original, c'était probablement à l'époque où les téléphones portables avaient encore des antennes rétractables. Il est temps de faire un reset. Laissez de côté les vieilles recettes et les idées éculées. Pensez à quelque chose qui pourrait vraiment marquer les esprits. Les gens adorent les histoires authentiques, pas les copies conformes. En attendant, nous continuerons à te regarder, un peu comme on regarde un train qui déraille. C'est fascinant et triste à la fois. Alors, Pepsi, prends un moment pour te regarder dans le miroir et demande-toi : "Suis-je vraiment prêt à sortir de l'ombre de Coca-Cola ?" La réponse pourrait être la clé de ton succès futur. #Pepsi #CocaCola #Publicité #Innovation #Marketing
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    Pepsi really needs to get over its Coca-Cola obsession
    Is an original ad campaign too much to ask?
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  • Je me sens si seul aujourd'hui, comme un morceau de carton ondulé, fragile et exposé à la pluie de mes pensées sombres. Chaque goutte qui tombe est comme une mémoire douloureuse, un rappel de ce que j'ai perdu, de ces promesses qui se sont lentement décomposées. Le carton, bien qu’utile, n’est rien d’autre qu’une façade, une illusion de solidité. Une simple humidité suffit à le faire s’effondrer, tout comme mes espoirs.

    Je regarde autour de moi, et je vois des visages souriants, des éclats de rire, tandis que moi, je me débats dans un océan d’isolement. Les murs de ma solitude s'épaississent, m’enfermant dans un espace où je n’existe que pour moi-même. Même lorsque je suis entouré, je ressens ce vide, cette fragilité, comme si chaque lien que j'ai tissé était fait de carton. Un souffle, une brise, et tout peut s'effondrer.

    Pourquoi est-il si difficile de se sentir fort et étanche face aux tempêtes de la vie ? Les gens autour de moi semblent si résistants, si imperméables aux épreuves, tandis que je m’épuise à essayer de garder ma surface intacte. Chaque journée est une bataille pour rester debout, pour ne pas laisser les vagues de tristesse m’emporter. Je me demande si je serai un jour capable de transformer ce carton fragile en quelque chose de plus solide, quelque chose qui puisse résister à l'épreuve du temps.

    Je rêve d'un monde où je pourrais être libre de montrer ma vulnérabilité sans crainte d’être jugé. Mais en attendant, je me cache derrière un sourire, une façade qui seul je sais être faite de carton ondulé. Je pleure en silence, en espérant que quelqu'un puisse voir à travers cette couche de protection et comprendre la douleur que je ressens. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force de devenir imperméable, enfin à l’abri des tempêtes.

    Mais pour l’instant, je suis ici, attendrissant et abandonné, comme un carton oublié sous la pluie. Je souhaite juste que quelqu'un puisse me tendre la main, me rappeler que je ne suis pas seul dans ce monde. Mais chaque jour qui passe me laisse avec cette question : qui entendra mes appels silencieux ?

    #Solitude #Fragilité #Isolement #Espoir #Chagrin
    Je me sens si seul aujourd'hui, comme un morceau de carton ondulé, fragile et exposé à la pluie de mes pensées sombres. Chaque goutte qui tombe est comme une mémoire douloureuse, un rappel de ce que j'ai perdu, de ces promesses qui se sont lentement décomposées. Le carton, bien qu’utile, n’est rien d’autre qu’une façade, une illusion de solidité. Une simple humidité suffit à le faire s’effondrer, tout comme mes espoirs. Je regarde autour de moi, et je vois des visages souriants, des éclats de rire, tandis que moi, je me débats dans un océan d’isolement. Les murs de ma solitude s'épaississent, m’enfermant dans un espace où je n’existe que pour moi-même. Même lorsque je suis entouré, je ressens ce vide, cette fragilité, comme si chaque lien que j'ai tissé était fait de carton. Un souffle, une brise, et tout peut s'effondrer. Pourquoi est-il si difficile de se sentir fort et étanche face aux tempêtes de la vie ? Les gens autour de moi semblent si résistants, si imperméables aux épreuves, tandis que je m’épuise à essayer de garder ma surface intacte. Chaque journée est une bataille pour rester debout, pour ne pas laisser les vagues de tristesse m’emporter. Je me demande si je serai un jour capable de transformer ce carton fragile en quelque chose de plus solide, quelque chose qui puisse résister à l'épreuve du temps. Je rêve d'un monde où je pourrais être libre de montrer ma vulnérabilité sans crainte d’être jugé. Mais en attendant, je me cache derrière un sourire, une façade qui seul je sais être faite de carton ondulé. Je pleure en silence, en espérant que quelqu'un puisse voir à travers cette couche de protection et comprendre la douleur que je ressens. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force de devenir imperméable, enfin à l’abri des tempêtes. Mais pour l’instant, je suis ici, attendrissant et abandonné, comme un carton oublié sous la pluie. Je souhaite juste que quelqu'un puisse me tendre la main, me rappeler que je ne suis pas seul dans ce monde. Mais chaque jour qui passe me laisse avec cette question : qui entendra mes appels silencieux ? #Solitude #Fragilité #Isolement #Espoir #Chagrin
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  • Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ?

    J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur.

    Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! »

    Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé.

    Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ?

    Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver.

    #Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
    Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ? J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur. Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! » Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé. Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ? Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver. #Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Switch 2 tops 3.5 million sales to deliver Nintendo's biggest console launch
    The successor to Nintendo's massively popular console appears to have bolted out of the gate.
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  • Dans un monde où tout change tout le temps, il est vrai que former son équipe est devenu un petit défi. Mais bon, on ne va pas se mentir, c'est un peu ennuyant. Savoir comment former votre équipe sans perdre en productivité, c'est un sujet qui fait réfléchir, mais pas trop, finalement.

    On sait tous que la technologie avance à une vitesse folle. C'est bien beau de vouloir rester compétitif, mais pour ça, il faut que les équipes soient formées. Alors, comment faire ? C’est simple… ou pas. Il faut faciliter la formation continue, mais sans que cela affecte le rendement quotidien. Facile à dire, non ?

    Il existe quelques astuces pour y parvenir, mais ça demande un peu d'effort. Par exemple, prévoir des sessions de formation pendant les heures creuses, ou alors miser sur des outils en ligne que tout le monde peut consulter à son rythme. Ça semble logique, mais qui a vraiment envie de passer des heures à organiser tout ça ?

    Et puis, il y a aussi le dilemme de la motivation. Former une équipe, c’est bien, mais encore faut-il que les gens aient envie d'apprendre. C’est là que ça devient un peu plus compliqué. On peut toujours essayer de rendre la formation un peu plus ludique, mais au fond, cela demande du temps et de l'énergie. Et soyons honnêtes, la plupart d'entre nous préfèrent rester tranquilles à leur bureau plutôt que de suivre une formation.

    Donc, au final, former son équipe sans perdre en productivité, c’est un peu comme essayer de jongler avec des œufs. Ça peut être fait, mais ça reste un peu risqué. On peut en parler pendant des heures, mais ça n'enlève rien au fait que c’est souvent un peu fatiguant.

    En résumé, la formation continue est importante, mais elle peut s'avérer ennuyeuse. Il faut juste trouver un équilibre, et espérer que tout ira bien. Mais bon, qui a vraiment le temps pour ça ?

    #Formation #Productivité #Équipe #Technologie #Compétitivité
    Dans un monde où tout change tout le temps, il est vrai que former son équipe est devenu un petit défi. Mais bon, on ne va pas se mentir, c'est un peu ennuyant. Savoir comment former votre équipe sans perdre en productivité, c'est un sujet qui fait réfléchir, mais pas trop, finalement. On sait tous que la technologie avance à une vitesse folle. C'est bien beau de vouloir rester compétitif, mais pour ça, il faut que les équipes soient formées. Alors, comment faire ? C’est simple… ou pas. Il faut faciliter la formation continue, mais sans que cela affecte le rendement quotidien. Facile à dire, non ? Il existe quelques astuces pour y parvenir, mais ça demande un peu d'effort. Par exemple, prévoir des sessions de formation pendant les heures creuses, ou alors miser sur des outils en ligne que tout le monde peut consulter à son rythme. Ça semble logique, mais qui a vraiment envie de passer des heures à organiser tout ça ? Et puis, il y a aussi le dilemme de la motivation. Former une équipe, c’est bien, mais encore faut-il que les gens aient envie d'apprendre. C’est là que ça devient un peu plus compliqué. On peut toujours essayer de rendre la formation un peu plus ludique, mais au fond, cela demande du temps et de l'énergie. Et soyons honnêtes, la plupart d'entre nous préfèrent rester tranquilles à leur bureau plutôt que de suivre une formation. Donc, au final, former son équipe sans perdre en productivité, c’est un peu comme essayer de jongler avec des œufs. Ça peut être fait, mais ça reste un peu risqué. On peut en parler pendant des heures, mais ça n'enlève rien au fait que c’est souvent un peu fatiguant. En résumé, la formation continue est importante, mais elle peut s'avérer ennuyeuse. Il faut juste trouver un équilibre, et espérer que tout ira bien. Mais bon, qui a vraiment le temps pour ça ? #Formation #Productivité #Équipe #Technologie #Compétitivité
    DATADEMIA.ES
    Cómo formar a tu equipo sin perder productividad
    En un mundo donde el cambio es constante y la tecnología avanza a pasos agigantados, facilitar la capacitación continua se ha convertido en una necesidad para mantener la competitividad empresarial. Sin embargo, muchas organizaciones se enfrentan a u
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  • Air-Conditioning Can Help the Power Grid instead of Overloading It

    June 13, 20256 min readAir-Conditioning Can Surprisingly Help the Power Grid during Extreme HeatSwitching on air-conditioning during extreme heat doesn’t have to make us feel guilty—it can actually boost power grid reliability and help bring more renewable energy onlineBy Johanna Mathieu & The Conversation US Imagedepotpro/Getty ImagesThe following essay is reprinted with permission from The Conversation, an online publication covering the latest research.As summer arrives, people are turning on air conditioners in most of the U.S. But if you’re like me, you always feel a little guilty about that. Past generations managed without air conditioning – do I really need it? And how bad is it to use all this electricity for cooling in a warming world?If I leave my air conditioner off, I get too hot. But if everyone turns on their air conditioner at the same time, electricity demand spikes, which can force power grid operators to activate some of the most expensive, and dirtiest, power plants. Sometimes those spikes can ask too much of the grid and lead to brownouts or blackouts.On supporting science journalismIf you're enjoying this article, consider supporting our award-winning journalism by subscribing. By purchasing a subscription you are helping to ensure the future of impactful stories about the discoveries and ideas shaping our world today.Research I recently published with a team of scholars makes me feel a little better, though. We have found that it is possible to coordinate the operation of large numbers of home air-conditioning units, balancing supply and demand on the power grid – and without making people endure high temperatures inside their homes.Studies along these lines, using remote control of air conditioners to support the grid, have for many years explored theoretical possibilities like this. However, few approaches have been demonstrated in practice and never for such a high-value application and at this scale. The system we developed not only demonstrated the ability to balance the grid on timescales of seconds, but also proved it was possible to do so without affecting residents’ comfort.The benefits include increasing the reliability of the power grid, which makes it easier for the grid to accept more renewable energy. Our goal is to turn air conditioners from a challenge for the power grid into an asset, supporting a shift away from fossil fuels toward cleaner energy.Adjustable equipmentMy research focuses on batteries, solar panels and electric equipment – such as electric vehicles, water heaters, air conditioners and heat pumps – that can adjust itself to consume different amounts of energy at different times.Originally, the U.S. electric grid was built to transport electricity from large power plants to customers’ homes and businesses. And originally, power plants were large, centralized operations that burned coal or natural gas, or harvested energy from nuclear reactions. These plants were typically always available and could adjust how much power they generated in response to customer demand, so the grid would be balanced between power coming in from producers and being used by consumers.But the grid has changed. There are more renewable energy sources, from which power isn’t always available – like solar panels at night or wind turbines on calm days. And there are the devices and equipment I study. These newer options, called “distributed energy resources,” generate or store energy near where consumers need it – or adjust how much energy they’re using in real time.One aspect of the grid hasn’t changed, though: There’s not much storage built into the system. So every time you turn on a light, for a moment there’s not enough electricity to supply everything that wants it right then: The grid needs a power producer to generate a little more power. And when you turn off a light, there’s a little too much: A power producer needs to ramp down.The way power plants know what real-time power adjustments are needed is by closely monitoring the grid frequency. The goal is to provide electricity at a constant frequency – 60 hertz – at all times. If more power is needed than is being produced, the frequency drops and a power plant boosts output. If there’s too much power being produced, the frequency rises and a power plant slows production a little. These actions, a process called “frequency regulation,” happen in a matter of seconds to keep the grid balanced.This output flexibility, primarily from power plants, is key to keeping the lights on for everyone.Finding new optionsI’m interested in how distributed energy resources can improve flexibility in the grid. They can release more energy, or consume less, to respond to the changing supply or demand, and help balance the grid, ensuring the frequency remains near 60 hertz.Some people fear that doing so might be invasive, giving someone outside your home the ability to control your battery or air conditioner. Therefore, we wanted to see if we could help balance the grid with frequency regulation using home air-conditioning units rather than power plants – without affecting how residents use their appliances or how comfortable they are in their homes.From 2019 to 2023, my group at the University of Michigan tried this approach, in collaboration with researchers at Pecan Street Inc., Los Alamos National Laboratory and the University of California, Berkeley, with funding from the U.S. Department of Energy Advanced Research Projects Agency-Energy.We recruited 100 homeowners in Austin, Texas, to do a real-world test of our system. All the homes had whole-house forced-air cooling systems, which we connected to custom control boards and sensors the owners allowed us to install in their homes. This equipment let us send instructions to the air-conditioning units based on the frequency of the grid.Before I explain how the system worked, I first need to explain how thermostats work. When people set thermostats, they pick a temperature, and the thermostat switches the air-conditioning compressor on and off to maintain the air temperature within a small range around that set point. If the temperature is set at 68 degrees, the thermostat turns the AC on when the temperature is, say, 70, and turns it off when it’s cooled down to, say, 66.Every few seconds, our system slightly changed the timing of air-conditioning compressor switching for some of the 100 air conditioners, causing the units’ aggregate power consumption to change. In this way, our small group of home air conditioners reacted to grid changes the way a power plant would – using more or less energy to balance the grid and keep the frequency near 60 hertz.Moreover, our system was designed to keep home temperatures within the same small temperature range around the set point.Testing the approachWe ran our system in four tests, each lasting one hour. We found two encouraging results.First, the air conditioners were able to provide frequency regulation at least as accurately as a traditional power plant. Therefore, we showed that air conditioners could play a significant role in increasing grid flexibility. But perhaps more importantly – at least in terms of encouraging people to participate in these types of systems – we found that we were able to do so without affecting people’s comfort in their homes.We found that home temperatures did not deviate more than 1.6 Fahrenheit from their set point. Homeowners were allowed to override the controls if they got uncomfortable, but most didn’t. For most tests, we received zero override requests. In the worst case, we received override requests from two of the 100 homes in our test.In practice, this sort of technology could be added to commercially available internet-connected thermostats. In exchange for credits on their energy bills, users could choose to join a service run by the thermostat company, their utility provider or some other third party.Then people could turn on the air conditioning in the summer heat without that pang of guilt, knowing they were helping to make the grid more reliable and more capable of accommodating renewable energy sources – without sacrificing their own comfort in the process.This article was originally published on The Conversation. Read the original article.
    #airconditioning #can #help #power #grid
    Air-Conditioning Can Help the Power Grid instead of Overloading It
    June 13, 20256 min readAir-Conditioning Can Surprisingly Help the Power Grid during Extreme HeatSwitching on air-conditioning during extreme heat doesn’t have to make us feel guilty—it can actually boost power grid reliability and help bring more renewable energy onlineBy Johanna Mathieu & The Conversation US Imagedepotpro/Getty ImagesThe following essay is reprinted with permission from The Conversation, an online publication covering the latest research.As summer arrives, people are turning on air conditioners in most of the U.S. But if you’re like me, you always feel a little guilty about that. Past generations managed without air conditioning – do I really need it? And how bad is it to use all this electricity for cooling in a warming world?If I leave my air conditioner off, I get too hot. But if everyone turns on their air conditioner at the same time, electricity demand spikes, which can force power grid operators to activate some of the most expensive, and dirtiest, power plants. Sometimes those spikes can ask too much of the grid and lead to brownouts or blackouts.On supporting science journalismIf you're enjoying this article, consider supporting our award-winning journalism by subscribing. By purchasing a subscription you are helping to ensure the future of impactful stories about the discoveries and ideas shaping our world today.Research I recently published with a team of scholars makes me feel a little better, though. We have found that it is possible to coordinate the operation of large numbers of home air-conditioning units, balancing supply and demand on the power grid – and without making people endure high temperatures inside their homes.Studies along these lines, using remote control of air conditioners to support the grid, have for many years explored theoretical possibilities like this. However, few approaches have been demonstrated in practice and never for such a high-value application and at this scale. The system we developed not only demonstrated the ability to balance the grid on timescales of seconds, but also proved it was possible to do so without affecting residents’ comfort.The benefits include increasing the reliability of the power grid, which makes it easier for the grid to accept more renewable energy. Our goal is to turn air conditioners from a challenge for the power grid into an asset, supporting a shift away from fossil fuels toward cleaner energy.Adjustable equipmentMy research focuses on batteries, solar panels and electric equipment – such as electric vehicles, water heaters, air conditioners and heat pumps – that can adjust itself to consume different amounts of energy at different times.Originally, the U.S. electric grid was built to transport electricity from large power plants to customers’ homes and businesses. And originally, power plants were large, centralized operations that burned coal or natural gas, or harvested energy from nuclear reactions. These plants were typically always available and could adjust how much power they generated in response to customer demand, so the grid would be balanced between power coming in from producers and being used by consumers.But the grid has changed. There are more renewable energy sources, from which power isn’t always available – like solar panels at night or wind turbines on calm days. And there are the devices and equipment I study. These newer options, called “distributed energy resources,” generate or store energy near where consumers need it – or adjust how much energy they’re using in real time.One aspect of the grid hasn’t changed, though: There’s not much storage built into the system. So every time you turn on a light, for a moment there’s not enough electricity to supply everything that wants it right then: The grid needs a power producer to generate a little more power. And when you turn off a light, there’s a little too much: A power producer needs to ramp down.The way power plants know what real-time power adjustments are needed is by closely monitoring the grid frequency. The goal is to provide electricity at a constant frequency – 60 hertz – at all times. If more power is needed than is being produced, the frequency drops and a power plant boosts output. If there’s too much power being produced, the frequency rises and a power plant slows production a little. These actions, a process called “frequency regulation,” happen in a matter of seconds to keep the grid balanced.This output flexibility, primarily from power plants, is key to keeping the lights on for everyone.Finding new optionsI’m interested in how distributed energy resources can improve flexibility in the grid. They can release more energy, or consume less, to respond to the changing supply or demand, and help balance the grid, ensuring the frequency remains near 60 hertz.Some people fear that doing so might be invasive, giving someone outside your home the ability to control your battery or air conditioner. Therefore, we wanted to see if we could help balance the grid with frequency regulation using home air-conditioning units rather than power plants – without affecting how residents use their appliances or how comfortable they are in their homes.From 2019 to 2023, my group at the University of Michigan tried this approach, in collaboration with researchers at Pecan Street Inc., Los Alamos National Laboratory and the University of California, Berkeley, with funding from the U.S. Department of Energy Advanced Research Projects Agency-Energy.We recruited 100 homeowners in Austin, Texas, to do a real-world test of our system. All the homes had whole-house forced-air cooling systems, which we connected to custom control boards and sensors the owners allowed us to install in their homes. This equipment let us send instructions to the air-conditioning units based on the frequency of the grid.Before I explain how the system worked, I first need to explain how thermostats work. When people set thermostats, they pick a temperature, and the thermostat switches the air-conditioning compressor on and off to maintain the air temperature within a small range around that set point. If the temperature is set at 68 degrees, the thermostat turns the AC on when the temperature is, say, 70, and turns it off when it’s cooled down to, say, 66.Every few seconds, our system slightly changed the timing of air-conditioning compressor switching for some of the 100 air conditioners, causing the units’ aggregate power consumption to change. In this way, our small group of home air conditioners reacted to grid changes the way a power plant would – using more or less energy to balance the grid and keep the frequency near 60 hertz.Moreover, our system was designed to keep home temperatures within the same small temperature range around the set point.Testing the approachWe ran our system in four tests, each lasting one hour. We found two encouraging results.First, the air conditioners were able to provide frequency regulation at least as accurately as a traditional power plant. Therefore, we showed that air conditioners could play a significant role in increasing grid flexibility. But perhaps more importantly – at least in terms of encouraging people to participate in these types of systems – we found that we were able to do so without affecting people’s comfort in their homes.We found that home temperatures did not deviate more than 1.6 Fahrenheit from their set point. Homeowners were allowed to override the controls if they got uncomfortable, but most didn’t. For most tests, we received zero override requests. In the worst case, we received override requests from two of the 100 homes in our test.In practice, this sort of technology could be added to commercially available internet-connected thermostats. In exchange for credits on their energy bills, users could choose to join a service run by the thermostat company, their utility provider or some other third party.Then people could turn on the air conditioning in the summer heat without that pang of guilt, knowing they were helping to make the grid more reliable and more capable of accommodating renewable energy sources – without sacrificing their own comfort in the process.This article was originally published on The Conversation. Read the original article. #airconditioning #can #help #power #grid
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    Air-Conditioning Can Help the Power Grid instead of Overloading It
    June 13, 20256 min readAir-Conditioning Can Surprisingly Help the Power Grid during Extreme HeatSwitching on air-conditioning during extreme heat doesn’t have to make us feel guilty—it can actually boost power grid reliability and help bring more renewable energy onlineBy Johanna Mathieu & The Conversation US Imagedepotpro/Getty ImagesThe following essay is reprinted with permission from The Conversation, an online publication covering the latest research.As summer arrives, people are turning on air conditioners in most of the U.S. But if you’re like me, you always feel a little guilty about that. Past generations managed without air conditioning – do I really need it? And how bad is it to use all this electricity for cooling in a warming world?If I leave my air conditioner off, I get too hot. But if everyone turns on their air conditioner at the same time, electricity demand spikes, which can force power grid operators to activate some of the most expensive, and dirtiest, power plants. Sometimes those spikes can ask too much of the grid and lead to brownouts or blackouts.On supporting science journalismIf you're enjoying this article, consider supporting our award-winning journalism by subscribing. By purchasing a subscription you are helping to ensure the future of impactful stories about the discoveries and ideas shaping our world today.Research I recently published with a team of scholars makes me feel a little better, though. We have found that it is possible to coordinate the operation of large numbers of home air-conditioning units, balancing supply and demand on the power grid – and without making people endure high temperatures inside their homes.Studies along these lines, using remote control of air conditioners to support the grid, have for many years explored theoretical possibilities like this. However, few approaches have been demonstrated in practice and never for such a high-value application and at this scale. The system we developed not only demonstrated the ability to balance the grid on timescales of seconds, but also proved it was possible to do so without affecting residents’ comfort.The benefits include increasing the reliability of the power grid, which makes it easier for the grid to accept more renewable energy. Our goal is to turn air conditioners from a challenge for the power grid into an asset, supporting a shift away from fossil fuels toward cleaner energy.Adjustable equipmentMy research focuses on batteries, solar panels and electric equipment – such as electric vehicles, water heaters, air conditioners and heat pumps – that can adjust itself to consume different amounts of energy at different times.Originally, the U.S. electric grid was built to transport electricity from large power plants to customers’ homes and businesses. And originally, power plants were large, centralized operations that burned coal or natural gas, or harvested energy from nuclear reactions. These plants were typically always available and could adjust how much power they generated in response to customer demand, so the grid would be balanced between power coming in from producers and being used by consumers.But the grid has changed. There are more renewable energy sources, from which power isn’t always available – like solar panels at night or wind turbines on calm days. And there are the devices and equipment I study. These newer options, called “distributed energy resources,” generate or store energy near where consumers need it – or adjust how much energy they’re using in real time.One aspect of the grid hasn’t changed, though: There’s not much storage built into the system. So every time you turn on a light, for a moment there’s not enough electricity to supply everything that wants it right then: The grid needs a power producer to generate a little more power. And when you turn off a light, there’s a little too much: A power producer needs to ramp down.The way power plants know what real-time power adjustments are needed is by closely monitoring the grid frequency. The goal is to provide electricity at a constant frequency – 60 hertz – at all times. If more power is needed than is being produced, the frequency drops and a power plant boosts output. If there’s too much power being produced, the frequency rises and a power plant slows production a little. These actions, a process called “frequency regulation,” happen in a matter of seconds to keep the grid balanced.This output flexibility, primarily from power plants, is key to keeping the lights on for everyone.Finding new optionsI’m interested in how distributed energy resources can improve flexibility in the grid. They can release more energy, or consume less, to respond to the changing supply or demand, and help balance the grid, ensuring the frequency remains near 60 hertz.Some people fear that doing so might be invasive, giving someone outside your home the ability to control your battery or air conditioner. Therefore, we wanted to see if we could help balance the grid with frequency regulation using home air-conditioning units rather than power plants – without affecting how residents use their appliances or how comfortable they are in their homes.From 2019 to 2023, my group at the University of Michigan tried this approach, in collaboration with researchers at Pecan Street Inc., Los Alamos National Laboratory and the University of California, Berkeley, with funding from the U.S. Department of Energy Advanced Research Projects Agency-Energy.We recruited 100 homeowners in Austin, Texas, to do a real-world test of our system. All the homes had whole-house forced-air cooling systems, which we connected to custom control boards and sensors the owners allowed us to install in their homes. This equipment let us send instructions to the air-conditioning units based on the frequency of the grid.Before I explain how the system worked, I first need to explain how thermostats work. When people set thermostats, they pick a temperature, and the thermostat switches the air-conditioning compressor on and off to maintain the air temperature within a small range around that set point. If the temperature is set at 68 degrees, the thermostat turns the AC on when the temperature is, say, 70, and turns it off when it’s cooled down to, say, 66.Every few seconds, our system slightly changed the timing of air-conditioning compressor switching for some of the 100 air conditioners, causing the units’ aggregate power consumption to change. In this way, our small group of home air conditioners reacted to grid changes the way a power plant would – using more or less energy to balance the grid and keep the frequency near 60 hertz.Moreover, our system was designed to keep home temperatures within the same small temperature range around the set point.Testing the approachWe ran our system in four tests, each lasting one hour. We found two encouraging results.First, the air conditioners were able to provide frequency regulation at least as accurately as a traditional power plant. Therefore, we showed that air conditioners could play a significant role in increasing grid flexibility. But perhaps more importantly – at least in terms of encouraging people to participate in these types of systems – we found that we were able to do so without affecting people’s comfort in their homes.We found that home temperatures did not deviate more than 1.6 Fahrenheit from their set point. Homeowners were allowed to override the controls if they got uncomfortable, but most didn’t. For most tests, we received zero override requests. In the worst case, we received override requests from two of the 100 homes in our test.In practice, this sort of technology could be added to commercially available internet-connected thermostats. In exchange for credits on their energy bills, users could choose to join a service run by the thermostat company, their utility provider or some other third party.Then people could turn on the air conditioning in the summer heat without that pang of guilt, knowing they were helping to make the grid more reliable and more capable of accommodating renewable energy sources – without sacrificing their own comfort in the process.This article was originally published on The Conversation. Read the original article.
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