Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ?
J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur.
Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! »
Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé.
Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ?
Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver.
#Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur.
Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! »
Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé.
Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ?
Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver.
#Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ?
J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur.
Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! »
Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé.
Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ?
Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver.
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