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  • Je me sens si seul dans ce monde qui semble s'envoler autour de moi. Aujourd'hui, lors du Donkey Kong Bananza Direct, on a appris que le fidèle compagnon de Donkey Kong n'est autre qu'une version jeune de Pauline. C'est amusant, n'est-ce pas ? Mais, alors que je navigue sur Internet pour découvrir les réactions des gens, je suis frappé par un sentiment de tristesse.

    Pourquoi tant de personnes s'inquiètent-elles de l'histoire de Donkey Kong et de Mario ? C'est étrange, en effet. Peut-être que cela révèle à quel point nous sommes tous désespérément à la recherche de quelque chose à quoi nous accrocher. La nostalgie que ces personnages évoquent est tellement puissante qu'elle nous pousse à chercher des réponses à des questions auxquelles, en fin de compte, nous ne devrions pas prêter attention.

    Chaque fois que je vois ces débats passionnés sur la lore de Donkey Kong, une partie de moi se sent exclue. Je me demande si quelqu'un d'autre ressent cette même douleur, cette même solitude. Peut-être que, comme moi, ils cherchent un sens à leur vie à travers ces récits fictifs. Mais en fin de compte, est-ce que cela apporte vraiment du réconfort ? Ou est-ce juste une illusion, un moyen de fuir la réalité ?

    Je regarde les pixels colorés de ces jeux, et je me demande si, derrière chaque pixel, il y a un cœur qui bat, un être humain qui ressent la même mélancolie. Les personnages de Nintendo sont nos compagnons d'enfance, mais ils ne peuvent pas combler le vide que nous ressentons à l'intérieur. Ils ne peuvent pas nous sauver de notre propre solitude.

    Alors que je repense à cette révélation sur Pauline, je me rends compte que même dans un monde aussi vibrant que celui de Nintendo, il y a des ombres. Des ombres qui m'accompagnent dans mes jours sombres, des souvenirs d'amis perdus et de moments heureux, maintenant lointains. Dans ce sentiment de désespoir, je me demande si je suis le seul à combattre ces démons intérieurs.

    Peut-être qu'au fond, nous devrions tous nous libérer de cette obsession pour la lore de Donkey Kong. Peut-être qu'il est temps de regarder au-delà des écrans et de nous reconnecter à ceux qui nous entourent. Car même si les jeux vidéo nous apportent du bonheur, ils ne remplaceront jamais la chaleur d'une véritable connexion humaine.

    Je pleure non pas pour Donkey Kong ou Pauline, mais pour ce que nous sommes devenus. Des âmes errantes dans un monde qui avance sans nous, cherchant désespérément un peu de réconfort dans des histoires qui, en fin de compte, ne sont que des histoires.

    #Nintendo #DonkeyKong #Solitude #Souvenirs #Nostalgie
    Je me sens si seul dans ce monde qui semble s'envoler autour de moi. Aujourd'hui, lors du Donkey Kong Bananza Direct, on a appris que le fidèle compagnon de Donkey Kong n'est autre qu'une version jeune de Pauline. C'est amusant, n'est-ce pas ? Mais, alors que je navigue sur Internet pour découvrir les réactions des gens, je suis frappé par un sentiment de tristesse. 💔 Pourquoi tant de personnes s'inquiètent-elles de l'histoire de Donkey Kong et de Mario ? C'est étrange, en effet. Peut-être que cela révèle à quel point nous sommes tous désespérément à la recherche de quelque chose à quoi nous accrocher. La nostalgie que ces personnages évoquent est tellement puissante qu'elle nous pousse à chercher des réponses à des questions auxquelles, en fin de compte, nous ne devrions pas prêter attention. Chaque fois que je vois ces débats passionnés sur la lore de Donkey Kong, une partie de moi se sent exclue. Je me demande si quelqu'un d'autre ressent cette même douleur, cette même solitude. Peut-être que, comme moi, ils cherchent un sens à leur vie à travers ces récits fictifs. Mais en fin de compte, est-ce que cela apporte vraiment du réconfort ? Ou est-ce juste une illusion, un moyen de fuir la réalité ? Je regarde les pixels colorés de ces jeux, et je me demande si, derrière chaque pixel, il y a un cœur qui bat, un être humain qui ressent la même mélancolie. Les personnages de Nintendo sont nos compagnons d'enfance, mais ils ne peuvent pas combler le vide que nous ressentons à l'intérieur. Ils ne peuvent pas nous sauver de notre propre solitude. 😞 Alors que je repense à cette révélation sur Pauline, je me rends compte que même dans un monde aussi vibrant que celui de Nintendo, il y a des ombres. Des ombres qui m'accompagnent dans mes jours sombres, des souvenirs d'amis perdus et de moments heureux, maintenant lointains. Dans ce sentiment de désespoir, je me demande si je suis le seul à combattre ces démons intérieurs. Peut-être qu'au fond, nous devrions tous nous libérer de cette obsession pour la lore de Donkey Kong. Peut-être qu'il est temps de regarder au-delà des écrans et de nous reconnecter à ceux qui nous entourent. Car même si les jeux vidéo nous apportent du bonheur, ils ne remplaceront jamais la chaleur d'une véritable connexion humaine. Je pleure non pas pour Donkey Kong ou Pauline, mais pour ce que nous sommes devenus. Des âmes errantes dans un monde qui avance sans nous, cherchant désespérément un peu de réconfort dans des histoires qui, en fin de compte, ne sont que des histoires. #Nintendo #DonkeyKong #Solitude #Souvenirs #Nostalgie
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    Nintendo Doesn't Worry About Donkey Kong Lore And Neither Should You
    During today’s Donkey Kong Bananza Direct, it was officially revealed that DK’s sidekick throughout the adventure is a young version of Pauline. That’s fun! Now let’s check the internet to see how people are reacting to the Direct... oh...oh no. Way
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  • Il y a des moments dans la vie où l'on se sent perdu, comme si l'on errait dans les rues brumeuses de Silent Hill, cherchant désespérément une lueur d'espoir. Le film "Return to Silent Hill" qui sortira en salles en janvier 2026 m'évoque une nostalgie mélancolique, un retour à des souvenirs enfouis.

    La solitude est une compagne silencieuse, elle s'immisce dans nos pensées, nous laissant seuls face à nos démons intérieurs. Chaque image de ce film me rappelle les peurs que j'ai refoulées, les douleurs que j'ai tenté d'oublier. En attendant ce retour, je ne peux m'empêcher de ressentir un vide immense.

    Pourquoi l'absence de ceux que l'on aime pèse-t-elle si lourd ? Pourquoi les souvenirs heureux se transforment-ils en ombres qui hantent notre présent ? La promesse de retrouver Silent Hill au cinéma ne fait qu'exacerber cette tristesse, comme un écho lointain d'une époque révolue.

    Chaque pas vers l'inconnu est rempli d'incertitudes, et alors que le monde continue de tourner, je reste figé dans ce labyrinthe de solitude. Les lieux familiers deviennent des terres inconnues, et chaque coin de rue évoque des histoires que je ne peux plus partager. Je me demande si le film parviendra à capturer cette mélancolie, cette tristesse qui se niche profondément en nous.

    Alors que janvier approche, j'espère que ce retour à Silent Hill apportera un certain réconfort, une opportunité de faire face à nos peurs collectives. Peut-être, juste peut-être, je trouverai une catharsis à travers les personnages et les récits, un moyen de libérer ces émotions qui m'étouffent.

    En attendant, je continue de vivre dans l'ombre de mes pensées, espérant que cette sortie cinématographique me rappellera que même dans la douleur, il y a une beauté à découvrir, même si elle est éphémère.

    #SilentHill #ReturnToSilentHill #Solitude #Melancolie #Cinema
    Il y a des moments dans la vie où l'on se sent perdu, comme si l'on errait dans les rues brumeuses de Silent Hill, cherchant désespérément une lueur d'espoir. Le film "Return to Silent Hill" qui sortira en salles en janvier 2026 m'évoque une nostalgie mélancolique, un retour à des souvenirs enfouis. 😔 La solitude est une compagne silencieuse, elle s'immisce dans nos pensées, nous laissant seuls face à nos démons intérieurs. Chaque image de ce film me rappelle les peurs que j'ai refoulées, les douleurs que j'ai tenté d'oublier. En attendant ce retour, je ne peux m'empêcher de ressentir un vide immense. Pourquoi l'absence de ceux que l'on aime pèse-t-elle si lourd ? Pourquoi les souvenirs heureux se transforment-ils en ombres qui hantent notre présent ? La promesse de retrouver Silent Hill au cinéma ne fait qu'exacerber cette tristesse, comme un écho lointain d'une époque révolue. 🌧️ Chaque pas vers l'inconnu est rempli d'incertitudes, et alors que le monde continue de tourner, je reste figé dans ce labyrinthe de solitude. Les lieux familiers deviennent des terres inconnues, et chaque coin de rue évoque des histoires que je ne peux plus partager. Je me demande si le film parviendra à capturer cette mélancolie, cette tristesse qui se niche profondément en nous. Alors que janvier approche, j'espère que ce retour à Silent Hill apportera un certain réconfort, une opportunité de faire face à nos peurs collectives. Peut-être, juste peut-être, je trouverai une catharsis à travers les personnages et les récits, un moyen de libérer ces émotions qui m'étouffent. 💔 En attendant, je continue de vivre dans l'ombre de mes pensées, espérant que cette sortie cinématographique me rappellera que même dans la douleur, il y a une beauté à découvrir, même si elle est éphémère. #SilentHill #ReturnToSilentHill #Solitude #Melancolie #Cinema
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    Le film Return to Silent Hill sortira en salles au mois de janvier 2026
    ActuGaming.net Le film Return to Silent Hill sortira en salles au mois de janvier 2026 Il n’y a pas meilleure période que maintenant pour ramener Silent Hill au cinéma. Depuis […] L'article Le film Return to Silent Hill sortira en salles
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  • Je me tiens ici, perdu dans un océan de solitude, alors que je contemple le retour tant attendu de Donkey Kong dans "Donkey Kong Bananza". C’est comme si une partie de moi avait espéré, pendant plus de 25 ans, que cette aventure signifierait quelque chose de plus pour moi. Chaque image, chaque capture d’écran montre un monde vibrant, rempli de promesses et de nostalgie, mais au fond de moi, il y a ce vide, ce désespoir qui ne peut être comblé.

    J'ai grandi avec Donkey Kong, traversant des jungles et combattant des ennemis à ses côtés. Il y a eu des rires, des cris de joie et des moments de triomphe. Mais maintenant, alors que je vois ce nouveau jeu se profiler à l'horizon, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde mélancolie. Ces moments de bonheur semblent si lointains, comme des souvenirs d'une vie que je ne peux plus toucher.

    "Donkey Kong Bananza" semble être l'aventure la plus grande et la plus audacieuse de Donkey Kong, une fusion des mécaniques de "Donkey Kong Country" et des éléments du gameplay en monde ouvert. C'est tout ce que j'ai toujours voulu ! Mais en dépit de cette excitante promesse, je me sens si seul dans ma passion. Cela me rappelle que les souvenirs peuvent être à la fois des trésors et des fardeaux. Ils illuminent nos esprits, mais ils peuvent aussi nous plonger dans une obscurité accablante.

    Je me souviens des jours où je jouais avec des amis, riant et criant ensemble, mais maintenant, il n'y a que le silence. Le silence de l'absence, le souffle de l’isolement. À chaque nouvelle capture d'écran, je me sens de plus en plus exclu, comme si la joie que je devrais ressentir était réservée à une autre époque, à d'autres gens. C'est là que réside la douleur, dans cette lutte intérieure, entre l'espoir de revivre ces moments et la réalité de ma solitude.

    Je regarde ces 24 nouvelles captures d'écran, et je me demande si quelqu'un d'autre ressent la même chose. Est-ce que quelqu'un d'autre se sent abandonné par le temps, par une vie qui avance trop vite ? Je me demande si Donkey Kong lui-même se rend compte qu'il représente plus que simplement un personnage de jeu vidéo. Pour moi, il est un symbole de ce que j'ai perdu, de cette camaraderie qui semble s'être évaporée.

    Alors que je me prépare à plonger dans "Donkey Kong Bananza", une partie de moi est impatiente, mais une autre est remplie de tristesse. La question demeure : est-ce que cette nouvelle aventure pourra vraiment apaiser le vide que je ressens ? Ou est-ce simplement un autre rappel de ce qui pourrait être, mais qui ne sera jamais ?



    #DonkeyKong #JeuxVidéo #Souvenirs #Solitude #Nostalgie
    Je me tiens ici, perdu dans un océan de solitude, alors que je contemple le retour tant attendu de Donkey Kong dans "Donkey Kong Bananza". C’est comme si une partie de moi avait espéré, pendant plus de 25 ans, que cette aventure signifierait quelque chose de plus pour moi. Chaque image, chaque capture d’écran montre un monde vibrant, rempli de promesses et de nostalgie, mais au fond de moi, il y a ce vide, ce désespoir qui ne peut être comblé. J'ai grandi avec Donkey Kong, traversant des jungles et combattant des ennemis à ses côtés. Il y a eu des rires, des cris de joie et des moments de triomphe. Mais maintenant, alors que je vois ce nouveau jeu se profiler à l'horizon, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde mélancolie. Ces moments de bonheur semblent si lointains, comme des souvenirs d'une vie que je ne peux plus toucher. "Donkey Kong Bananza" semble être l'aventure la plus grande et la plus audacieuse de Donkey Kong, une fusion des mécaniques de "Donkey Kong Country" et des éléments du gameplay en monde ouvert. C'est tout ce que j'ai toujours voulu ! Mais en dépit de cette excitante promesse, je me sens si seul dans ma passion. Cela me rappelle que les souvenirs peuvent être à la fois des trésors et des fardeaux. Ils illuminent nos esprits, mais ils peuvent aussi nous plonger dans une obscurité accablante. Je me souviens des jours où je jouais avec des amis, riant et criant ensemble, mais maintenant, il n'y a que le silence. Le silence de l'absence, le souffle de l’isolement. À chaque nouvelle capture d'écran, je me sens de plus en plus exclu, comme si la joie que je devrais ressentir était réservée à une autre époque, à d'autres gens. C'est là que réside la douleur, dans cette lutte intérieure, entre l'espoir de revivre ces moments et la réalité de ma solitude. Je regarde ces 24 nouvelles captures d'écran, et je me demande si quelqu'un d'autre ressent la même chose. Est-ce que quelqu'un d'autre se sent abandonné par le temps, par une vie qui avance trop vite ? Je me demande si Donkey Kong lui-même se rend compte qu'il représente plus que simplement un personnage de jeu vidéo. Pour moi, il est un symbole de ce que j'ai perdu, de cette camaraderie qui semble s'être évaporée. Alors que je me prépare à plonger dans "Donkey Kong Bananza", une partie de moi est impatiente, mais une autre est remplie de tristesse. La question demeure : est-ce que cette nouvelle aventure pourra vraiment apaiser le vide que je ressens ? Ou est-ce simplement un autre rappel de ce qui pourrait être, mais qui ne sera jamais ? 🌧️💔🦧 #DonkeyKong #JeuxVidéo #Souvenirs #Solitude #Nostalgie
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    24 New Screenshots Show Why Donkey Kong Bananza Looks Like The Character's Biggest Adventure Yet
    It’s been over 25 years since Donkey Kong’s last 3D adventure, the ill-fated Donkey Kong 64 for Nintendo’s third-gen console. The good news is that Donkey Kong Bananza looks to be avoiding all the pitfalls of its predecessor, embracing the gameplay D
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  • Je me sens si seul dans ce monde rempli de couleurs vives et de promesses. Chaque jour, je me réveille avec l'espoir que quelque chose changera, que la lumière viendra illuminer mes ténèbres. Mais, malheureusement, je me retrouve encore ici, à errer dans l'ombre de mes pensées.

    Aujourd'hui, j'ai entendu parler de la nouvelle version bêta de Marmoset Toolbag 5.02. Les fonctionnalités comme les couches de décalques dédiées et le baking de textures low-to-low-poly semblent si brillantes, mais elles ne font que souligner mon isolement. Je regarde les autres s'épanouir, créer des visuels éblouissants, tandis que je reste bloqué dans une boucle d'incertitude et de désespoir.

    Les outils de création devraient apporter de la joie, mais moi, je ne vois que la distance qui me sépare de mes rêves. Chaque fonctionnalité, chaque amélioration de Marmoset Toolbag 5.02 me rappelle à quel point je suis loin de la réussite, de l'acceptation et de l'amour. Mes pensées s'emmêlent comme des fils de laine, et je ne peux pas m'empêcher de me sentir trahi par ce monde qui semble tourner sans moi.

    Je me demande si quelqu'un comprend cette douleur sourde qui me ronge. Les autres semblent si occupés à explorer les nouvelles possibilités de rendu en temps réel, tandis que moi, je reste figé, incapable de trouver ma voie. La solitude est un compagnon cruel, et même les améliorations techniques ne peuvent pas combler ce vide.

    Je cherche désespérément une main tendue, un mot réconfortant, mais il n'y a que le silence. Les couches de décalques peuvent embellir une image, mais elles ne peuvent pas recouvrir la solitude qui habite en moi. Chaque jour est une lutte pour créer quelque chose de beau, alors que je suis emprisonné dans ma propre tristesse.

    Peut-être qu'un jour, je trouverai le courage de me lever et de me battre pour mes rêves, tout comme Marmoset se bat pour innover et s'améliorer. Mais pour l'instant, je suis là, à regarder le monde avancer sans moi, me demandant si je compterai un jour.

    #Solitude #Tristesse #Créativité #Toolbag #Marmoset
    Je me sens si seul dans ce monde rempli de couleurs vives et de promesses. Chaque jour, je me réveille avec l'espoir que quelque chose changera, que la lumière viendra illuminer mes ténèbres. Mais, malheureusement, je me retrouve encore ici, à errer dans l'ombre de mes pensées. Aujourd'hui, j'ai entendu parler de la nouvelle version bêta de Marmoset Toolbag 5.02. Les fonctionnalités comme les couches de décalques dédiées et le baking de textures low-to-low-poly semblent si brillantes, mais elles ne font que souligner mon isolement. Je regarde les autres s'épanouir, créer des visuels éblouissants, tandis que je reste bloqué dans une boucle d'incertitude et de désespoir. Les outils de création devraient apporter de la joie, mais moi, je ne vois que la distance qui me sépare de mes rêves. Chaque fonctionnalité, chaque amélioration de Marmoset Toolbag 5.02 me rappelle à quel point je suis loin de la réussite, de l'acceptation et de l'amour. Mes pensées s'emmêlent comme des fils de laine, et je ne peux pas m'empêcher de me sentir trahi par ce monde qui semble tourner sans moi. Je me demande si quelqu'un comprend cette douleur sourde qui me ronge. Les autres semblent si occupés à explorer les nouvelles possibilités de rendu en temps réel, tandis que moi, je reste figé, incapable de trouver ma voie. La solitude est un compagnon cruel, et même les améliorations techniques ne peuvent pas combler ce vide. Je cherche désespérément une main tendue, un mot réconfortant, mais il n'y a que le silence. Les couches de décalques peuvent embellir une image, mais elles ne peuvent pas recouvrir la solitude qui habite en moi. Chaque jour est une lutte pour créer quelque chose de beau, alors que je suis emprisonné dans ma propre tristesse. Peut-être qu'un jour, je trouverai le courage de me lever et de me battre pour mes rêves, tout comme Marmoset se bat pour innover et s'améliorer. Mais pour l'instant, je suis là, à regarder le monde avancer sans moi, me demandant si je compterai un jour. #Solitude #Tristesse #Créativité #Toolbag #Marmoset
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    Marmoset releases Toolbag 5.02 in beta
    Check out the new features in the real-time rendering and look dev tool, from dedicated decal layers to low-to-low-poly texture baking.
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  • Je me sens si seul aujourd'hui, comme un morceau de carton ondulé, fragile et exposé à la pluie de mes pensées sombres. Chaque goutte qui tombe est comme une mémoire douloureuse, un rappel de ce que j'ai perdu, de ces promesses qui se sont lentement décomposées. Le carton, bien qu’utile, n’est rien d’autre qu’une façade, une illusion de solidité. Une simple humidité suffit à le faire s’effondrer, tout comme mes espoirs.

    Je regarde autour de moi, et je vois des visages souriants, des éclats de rire, tandis que moi, je me débats dans un océan d’isolement. Les murs de ma solitude s'épaississent, m’enfermant dans un espace où je n’existe que pour moi-même. Même lorsque je suis entouré, je ressens ce vide, cette fragilité, comme si chaque lien que j'ai tissé était fait de carton. Un souffle, une brise, et tout peut s'effondrer.

    Pourquoi est-il si difficile de se sentir fort et étanche face aux tempêtes de la vie ? Les gens autour de moi semblent si résistants, si imperméables aux épreuves, tandis que je m’épuise à essayer de garder ma surface intacte. Chaque journée est une bataille pour rester debout, pour ne pas laisser les vagues de tristesse m’emporter. Je me demande si je serai un jour capable de transformer ce carton fragile en quelque chose de plus solide, quelque chose qui puisse résister à l'épreuve du temps.

    Je rêve d'un monde où je pourrais être libre de montrer ma vulnérabilité sans crainte d’être jugé. Mais en attendant, je me cache derrière un sourire, une façade qui seul je sais être faite de carton ondulé. Je pleure en silence, en espérant que quelqu'un puisse voir à travers cette couche de protection et comprendre la douleur que je ressens. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force de devenir imperméable, enfin à l’abri des tempêtes.

    Mais pour l’instant, je suis ici, attendrissant et abandonné, comme un carton oublié sous la pluie. Je souhaite juste que quelqu'un puisse me tendre la main, me rappeler que je ne suis pas seul dans ce monde. Mais chaque jour qui passe me laisse avec cette question : qui entendra mes appels silencieux ?

    #Solitude #Fragilité #Isolement #Espoir #Chagrin
    Je me sens si seul aujourd'hui, comme un morceau de carton ondulé, fragile et exposé à la pluie de mes pensées sombres. Chaque goutte qui tombe est comme une mémoire douloureuse, un rappel de ce que j'ai perdu, de ces promesses qui se sont lentement décomposées. Le carton, bien qu’utile, n’est rien d’autre qu’une façade, une illusion de solidité. Une simple humidité suffit à le faire s’effondrer, tout comme mes espoirs. Je regarde autour de moi, et je vois des visages souriants, des éclats de rire, tandis que moi, je me débats dans un océan d’isolement. Les murs de ma solitude s'épaississent, m’enfermant dans un espace où je n’existe que pour moi-même. Même lorsque je suis entouré, je ressens ce vide, cette fragilité, comme si chaque lien que j'ai tissé était fait de carton. Un souffle, une brise, et tout peut s'effondrer. Pourquoi est-il si difficile de se sentir fort et étanche face aux tempêtes de la vie ? Les gens autour de moi semblent si résistants, si imperméables aux épreuves, tandis que je m’épuise à essayer de garder ma surface intacte. Chaque journée est une bataille pour rester debout, pour ne pas laisser les vagues de tristesse m’emporter. Je me demande si je serai un jour capable de transformer ce carton fragile en quelque chose de plus solide, quelque chose qui puisse résister à l'épreuve du temps. Je rêve d'un monde où je pourrais être libre de montrer ma vulnérabilité sans crainte d’être jugé. Mais en attendant, je me cache derrière un sourire, une façade qui seul je sais être faite de carton ondulé. Je pleure en silence, en espérant que quelqu'un puisse voir à travers cette couche de protection et comprendre la douleur que je ressens. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force de devenir imperméable, enfin à l’abri des tempêtes. Mais pour l’instant, je suis ici, attendrissant et abandonné, comme un carton oublié sous la pluie. Je souhaite juste que quelqu'un puisse me tendre la main, me rappeler que je ne suis pas seul dans ce monde. Mais chaque jour qui passe me laisse avec cette question : qui entendra mes appels silencieux ? #Solitude #Fragilité #Isolement #Espoir #Chagrin
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  • Dans un monde où le choix entre un PC gamer pré-assemblé et un configurateur sur mesure semble être une question de simple efficacité ou personnalisation, je me perds dans un océan de solitude.

    Chaque pixel sur mon écran rappelle les heures passées à imaginer des batailles épiques, des mondes fantastiques, des amis qui ne viendront jamais. Les promesses de l'innovation technologique me laissent un goût amer. Pourquoi est-ce que je ressens une telle mélancolie face à un simple choix de matériel ? Peut-être parce que, derrière chaque composant, il y a une quête insatiable de connexion, de compréhension, d'acceptation.

    Assembler un PC pour jouer était censé être une aventure, une évasion des douleurs du quotidien. Mais ici, devant l’écran, je réalise que même le meilleur matériel, qu'il soit pré-assemblé pour son efficacité ou soigneusement configuré pour sa personnalisation, ne peut combler ce vide intérieur. Les couleurs vibrantes de mes jeux ne peuvent pas effacer la grisaille de mes pensées.

    Chaque fois que je choisis un composant, je ressens un élan de créativité, mais il est souvent suivi d'une vague de désespoir. Que vaut un ordinateur performant si je suis seul à l’utiliser ? Les heures passées à peaufiner les spécifications techniques, à comparer les marques, à rêver d’une machine surpuissante se transforment en une mélancolie profonde lorsque je réalise que le véritable défi n’est pas de créer un système de jeu parfait, mais de trouver quelqu'un avec qui partager ces moments.

    Je me demande souvent si d'autres ressentent cette même tristesse. En naviguant entre l’efficacité d’un PC pré-assemblé et la personnalisation d'un configurateur sur mesure, je cherche une solution qui me ressemble. Mais au final, rien ne remplace la chaleur d'une véritable connexion humaine. Les jeux vidéo, aussi captivants soient-ils, ne peuvent pas remplacer les rires partagés ou les larmes essuyées.

    Alors, je continue à jouer, à espérer qu’un jour, je ne serai plus seul dans cet univers virtuel. Que ce soit avec un PC pré-assemblé ou un configurateur sur mesure, je cherche simplement un compagnon de jeu pour affronter ensemble les défis de cette vie.

    #Gaming #Solitude #PCGamer #Émotion #Connexion
    Dans un monde où le choix entre un PC gamer pré-assemblé et un configurateur sur mesure semble être une question de simple efficacité ou personnalisation, je me perds dans un océan de solitude. 🤍 Chaque pixel sur mon écran rappelle les heures passées à imaginer des batailles épiques, des mondes fantastiques, des amis qui ne viendront jamais. Les promesses de l'innovation technologique me laissent un goût amer. Pourquoi est-ce que je ressens une telle mélancolie face à un simple choix de matériel ? Peut-être parce que, derrière chaque composant, il y a une quête insatiable de connexion, de compréhension, d'acceptation. 🎮💔 Assembler un PC pour jouer était censé être une aventure, une évasion des douleurs du quotidien. Mais ici, devant l’écran, je réalise que même le meilleur matériel, qu'il soit pré-assemblé pour son efficacité ou soigneusement configuré pour sa personnalisation, ne peut combler ce vide intérieur. Les couleurs vibrantes de mes jeux ne peuvent pas effacer la grisaille de mes pensées. 😞 Chaque fois que je choisis un composant, je ressens un élan de créativité, mais il est souvent suivi d'une vague de désespoir. Que vaut un ordinateur performant si je suis seul à l’utiliser ? Les heures passées à peaufiner les spécifications techniques, à comparer les marques, à rêver d’une machine surpuissante se transforment en une mélancolie profonde lorsque je réalise que le véritable défi n’est pas de créer un système de jeu parfait, mais de trouver quelqu'un avec qui partager ces moments. 🖥️💔 Je me demande souvent si d'autres ressentent cette même tristesse. En naviguant entre l’efficacité d’un PC pré-assemblé et la personnalisation d'un configurateur sur mesure, je cherche une solution qui me ressemble. Mais au final, rien ne remplace la chaleur d'une véritable connexion humaine. Les jeux vidéo, aussi captivants soient-ils, ne peuvent pas remplacer les rires partagés ou les larmes essuyées. Alors, je continue à jouer, à espérer qu’un jour, je ne serai plus seul dans cet univers virtuel. Que ce soit avec un PC pré-assemblé ou un configurateur sur mesure, je cherche simplement un compagnon de jeu pour affronter ensemble les défis de cette vie. ❤️ #Gaming #Solitude #PCGamer #Émotion #Connexion
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    PC gamer pré-assemblé ou configurateur sur mesure : efficacité ou personnalisation ?
    Assembler un PC pour jouer ne se résume plus à choisir une marque ou une […] Cet article PC gamer pré-assemblé ou configurateur sur mesure : efficacité ou personnalisation ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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  • Il y a des moments dans la vie où l'on se sent perdu, comme si tout ce que l'on avait construit s'effondrait autour de nous. Aujourd'hui, mon cœur est lourd, car je réalise à quel point la séparation de Streum On Studio et Focus Entertainment crée un vide immense dans ma vie de joueur.

    Cela fait des années que je me suis attaché à leurs créations, à chaque univers qu'ils ont façonné avec passion et détermination. Chaque pixel, chaque note de musique résonne en moi, comme un écho des souvenirs passés. Mais aujourd'hui, je ressens cette tristesse, ce chagrin qui s'installe, alors que leur histoire commune ne sera plus qu'une page blanche, une mémoire floue.

    Cette séparation me fait réfléchir sur ce que signifie vraiment l'appartenance. Nous avons tous besoin de nous sentir connectés, de faire partie d'une communauté, d'une histoire qui nous dépasse. Et maintenant, alors que Streum On Studio s'apprête à annoncer son prochain jeu, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude. La promesse d'un nouvel avenir est là, mais elle est teintée de mélancolie.

    Les jeux sont plus que des divertissements; ils sont des refuges, des échappatoires à nos réalités. Lorsque je pensais à Necromunda: Hired Gun, je voyais un monde où je pouvais m'évader, où je pouvais être un héros, même pour un court instant. Mais avec cette séparation, je me demande si l'essence de ce que j'aimais perdurera. Est-ce que les histoires à venir pourront me toucher comme celles du passé? Ou vais-je devoir faire face à une réalité que je n'avais jamais envisagée?

    Je partage ce sentiment de déception non seulement en tant que joueur, mais aussi en tant qu'individu qui aspire à des connexions plus profondes. La solitude est un poids que nous portons tous, parfois sans même le réaliser. Et aujourd'hui, elle se fait cruellement ressentir. Les pages de leur histoire se tournent, mais je reste ici, à contempler ce qui aurait pu être, ce qui n'est plus.

    Je sais que l’annonce de leur prochain jeu pourrait apporter de l'espoir, mais pour l’instant, je pleure la perte d'une connexion si précieuse. Que le temps nous offre des réponses, et que les nouvelles histoires nous rappellent les vieilles, tout en apportant un peu de lumière dans cette obscurité.

    #StreumOnStudio #FocusEntertainment #JeuxVidéo #Nostalgie #Solitude
    Il y a des moments dans la vie où l'on se sent perdu, comme si tout ce que l'on avait construit s'effondrait autour de nous. Aujourd'hui, mon cœur est lourd, car je réalise à quel point la séparation de Streum On Studio et Focus Entertainment crée un vide immense dans ma vie de joueur. 🥀 Cela fait des années que je me suis attaché à leurs créations, à chaque univers qu'ils ont façonné avec passion et détermination. Chaque pixel, chaque note de musique résonne en moi, comme un écho des souvenirs passés. Mais aujourd'hui, je ressens cette tristesse, ce chagrin qui s'installe, alors que leur histoire commune ne sera plus qu'une page blanche, une mémoire floue. 🌧️ Cette séparation me fait réfléchir sur ce que signifie vraiment l'appartenance. Nous avons tous besoin de nous sentir connectés, de faire partie d'une communauté, d'une histoire qui nous dépasse. Et maintenant, alors que Streum On Studio s'apprête à annoncer son prochain jeu, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude. La promesse d'un nouvel avenir est là, mais elle est teintée de mélancolie. 😔 Les jeux sont plus que des divertissements; ils sont des refuges, des échappatoires à nos réalités. Lorsque je pensais à Necromunda: Hired Gun, je voyais un monde où je pouvais m'évader, où je pouvais être un héros, même pour un court instant. Mais avec cette séparation, je me demande si l'essence de ce que j'aimais perdurera. Est-ce que les histoires à venir pourront me toucher comme celles du passé? Ou vais-je devoir faire face à une réalité que je n'avais jamais envisagée? 💔 Je partage ce sentiment de déception non seulement en tant que joueur, mais aussi en tant qu'individu qui aspire à des connexions plus profondes. La solitude est un poids que nous portons tous, parfois sans même le réaliser. Et aujourd'hui, elle se fait cruellement ressentir. Les pages de leur histoire se tournent, mais je reste ici, à contempler ce qui aurait pu être, ce qui n'est plus. Je sais que l’annonce de leur prochain jeu pourrait apporter de l'espoir, mais pour l’instant, je pleure la perte d'une connexion si précieuse. Que le temps nous offre des réponses, et que les nouvelles histoires nous rappellent les vieilles, tout en apportant un peu de lumière dans cette obscurité. 🌌 #StreumOnStudio #FocusEntertainment #JeuxVidéo #Nostalgie #Solitude
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    Désormais séparé de Focus Entertainment, Streum On Studio (Necromunda: Hired Gun) prévoit d’annoncer son prochain jeu
    ActuGaming.net Désormais séparé de Focus Entertainment, Streum On Studio (Necromunda: Hired Gun) prévoit d’annoncer son prochain jeu L’histoire commune entre Focus Entertainment et Streum On Studio ne restera qu’une page blanche, o
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  • Editorial Design: '100 Beste Plakate 24' Showcase

    06/12 — 2025

    by abduzeedo

    Explore "100 Beste Plakate 24," a stunning yearbook by Tristesse and Slanted Publishers. Dive into cutting-edge editorial design and visual identity.
    Design enthusiasts, get ready to dive into the latest from the German-speaking design scene. The "100 Beste Plakate 24" yearbook offers a compelling showcase of contemporary graphic design. It's more than just a collection; it's a deep exploration of visual identity and editorial design.
    This yearbook, published by Slanted Publishers and edited by 100 beste Plakate e. V. and Fons Hickmann, is a testament to the power of impactful poster design. The design studio Tristesse from Basel took the reins for the overall concept, delivering a fresh and cheeky aesthetic that makes the "100 best posters" feel like leading actors on a vibrant stage. Their in-house approach to layout, typography, and photography truly shines.
    Unpacking the Visuals
    The book's formatand 256 pages allow for large-format images, providing ample space to appreciate each poster's intricate details. It includes detailed credits, content descriptions, and creation contexts. This commitment to detail in the editorial design elevates the reading experience.
    One notable example within the yearbook is the "To-Do: Diplome 24" poster campaign by Atelier HKB. Designed under Marco Matti's project management, this series features twelve motifs for the Bern University of the Arts graduation events. These posters highlight effective graphic design and visual communication. Another standout is the "Rettungsplakate" by klotz-studio für gestaltung. These "rescue posters," printed on actual rescue blankets, address homelessness in Germany. The raw, impactful visual approach paired with a tangible medium demonstrates powerful design with a purpose.
    Beyond the Imagery
    Beyond the stunning visuals, the yearbook offers insightful essays and interviews on current poster design trends. The introductory section features jury members, their works, and statements on the selection process, alongside forewords from the association president and jury chair. This editorial content offers valuable context and insights into the evolving landscape of graphic design.
    The book’s concept playfully questions the seriousness and benevolence of the honorary certificates awarded to the winning designers. This subtle irony adds a unique layer to the publication, transforming it from a mere compilation into a thoughtful commentary on the design world itself. It's an inspiring showcase of the cutting edge of contemporary graphic design.
    The Art of Editorial Design
    "100 Beste Plakate 24" is a prime example of exceptional editorial design. It's not just about compiling images; it's about curating a narrative. The precise layout, thoughtful typography choices, and the deliberate flow of content all contribute to a cohesive and engaging experience. This book highlights how editorial design can transform a collection of works into a compelling story, inviting readers to delve deeper into each piece.
    The attention to detail, from the softcover with flaps to the thread-stitching and hot-foil embossing, speaks volumes about the dedication to craftsmanship. This is where illustration, graphic design, and branding converge to create a truly immersive experience.
    Final Thoughts
    This yearbook is a must-have for anyone passionate about graphic design and visual identity. It offers a fresh perspective on contemporary poster design, highlighting both aesthetic excellence and social relevance. The detailed insights into the design process and the designers' intentions make it an invaluable resource. Pick up a copy and see how impactful design can be.
    You can learn more about this incredible work and acquire your copy at slanted.de/product/100-beste-plakate-24.
    Editorial design artifacts

    Tags

    editorial design
    #editorial #design #beste #plakate #showcase
    Editorial Design: '100 Beste Plakate 24' Showcase
    06/12 — 2025 by abduzeedo Explore "100 Beste Plakate 24," a stunning yearbook by Tristesse and Slanted Publishers. Dive into cutting-edge editorial design and visual identity. Design enthusiasts, get ready to dive into the latest from the German-speaking design scene. The "100 Beste Plakate 24" yearbook offers a compelling showcase of contemporary graphic design. It's more than just a collection; it's a deep exploration of visual identity and editorial design. This yearbook, published by Slanted Publishers and edited by 100 beste Plakate e. V. and Fons Hickmann, is a testament to the power of impactful poster design. The design studio Tristesse from Basel took the reins for the overall concept, delivering a fresh and cheeky aesthetic that makes the "100 best posters" feel like leading actors on a vibrant stage. Their in-house approach to layout, typography, and photography truly shines. Unpacking the Visuals The book's formatand 256 pages allow for large-format images, providing ample space to appreciate each poster's intricate details. It includes detailed credits, content descriptions, and creation contexts. This commitment to detail in the editorial design elevates the reading experience. One notable example within the yearbook is the "To-Do: Diplome 24" poster campaign by Atelier HKB. Designed under Marco Matti's project management, this series features twelve motifs for the Bern University of the Arts graduation events. These posters highlight effective graphic design and visual communication. Another standout is the "Rettungsplakate" by klotz-studio für gestaltung. These "rescue posters," printed on actual rescue blankets, address homelessness in Germany. The raw, impactful visual approach paired with a tangible medium demonstrates powerful design with a purpose. Beyond the Imagery Beyond the stunning visuals, the yearbook offers insightful essays and interviews on current poster design trends. The introductory section features jury members, their works, and statements on the selection process, alongside forewords from the association president and jury chair. This editorial content offers valuable context and insights into the evolving landscape of graphic design. The book’s concept playfully questions the seriousness and benevolence of the honorary certificates awarded to the winning designers. This subtle irony adds a unique layer to the publication, transforming it from a mere compilation into a thoughtful commentary on the design world itself. It's an inspiring showcase of the cutting edge of contemporary graphic design. The Art of Editorial Design "100 Beste Plakate 24" is a prime example of exceptional editorial design. It's not just about compiling images; it's about curating a narrative. The precise layout, thoughtful typography choices, and the deliberate flow of content all contribute to a cohesive and engaging experience. This book highlights how editorial design can transform a collection of works into a compelling story, inviting readers to delve deeper into each piece. The attention to detail, from the softcover with flaps to the thread-stitching and hot-foil embossing, speaks volumes about the dedication to craftsmanship. This is where illustration, graphic design, and branding converge to create a truly immersive experience. Final Thoughts This yearbook is a must-have for anyone passionate about graphic design and visual identity. It offers a fresh perspective on contemporary poster design, highlighting both aesthetic excellence and social relevance. The detailed insights into the design process and the designers' intentions make it an invaluable resource. Pick up a copy and see how impactful design can be. You can learn more about this incredible work and acquire your copy at slanted.de/product/100-beste-plakate-24. Editorial design artifacts Tags editorial design #editorial #design #beste #plakate #showcase
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    Editorial Design: '100 Beste Plakate 24' Showcase
    06/12 — 2025 by abduzeedo Explore "100 Beste Plakate 24," a stunning yearbook by Tristesse and Slanted Publishers. Dive into cutting-edge editorial design and visual identity. Design enthusiasts, get ready to dive into the latest from the German-speaking design scene. The "100 Beste Plakate 24" yearbook offers a compelling showcase of contemporary graphic design. It's more than just a collection; it's a deep exploration of visual identity and editorial design. This yearbook, published by Slanted Publishers and edited by 100 beste Plakate e. V. and Fons Hickmann, is a testament to the power of impactful poster design. The design studio Tristesse from Basel took the reins for the overall concept, delivering a fresh and cheeky aesthetic that makes the "100 best posters" feel like leading actors on a vibrant stage. Their in-house approach to layout, typography, and photography truly shines. Unpacking the Visuals The book's format (17×24 cm) and 256 pages allow for large-format images, providing ample space to appreciate each poster's intricate details. It includes detailed credits, content descriptions, and creation contexts. This commitment to detail in the editorial design elevates the reading experience. One notable example within the yearbook is the "To-Do: Diplome 24" poster campaign by Atelier HKB. Designed under Marco Matti's project management, this series features twelve motifs for the Bern University of the Arts graduation events. These posters highlight effective graphic design and visual communication. Another standout is the "Rettungsplakate" by klotz-studio für gestaltung. These "rescue posters," printed on actual rescue blankets, address homelessness in Germany. The raw, impactful visual approach paired with a tangible medium demonstrates powerful design with a purpose. Beyond the Imagery Beyond the stunning visuals, the yearbook offers insightful essays and interviews on current poster design trends. The introductory section features jury members, their works, and statements on the selection process, alongside forewords from the association president and jury chair. This editorial content offers valuable context and insights into the evolving landscape of graphic design. The book’s concept playfully questions the seriousness and benevolence of the honorary certificates awarded to the winning designers. This subtle irony adds a unique layer to the publication, transforming it from a mere compilation into a thoughtful commentary on the design world itself. It's an inspiring showcase of the cutting edge of contemporary graphic design. The Art of Editorial Design "100 Beste Plakate 24" is a prime example of exceptional editorial design. It's not just about compiling images; it's about curating a narrative. The precise layout, thoughtful typography choices, and the deliberate flow of content all contribute to a cohesive and engaging experience. This book highlights how editorial design can transform a collection of works into a compelling story, inviting readers to delve deeper into each piece. The attention to detail, from the softcover with flaps to the thread-stitching and hot-foil embossing, speaks volumes about the dedication to craftsmanship. This is where illustration, graphic design, and branding converge to create a truly immersive experience. Final Thoughts This yearbook is a must-have for anyone passionate about graphic design and visual identity. It offers a fresh perspective on contemporary poster design, highlighting both aesthetic excellence and social relevance. The detailed insights into the design process and the designers' intentions make it an invaluable resource. Pick up a copy and see how impactful design can be. You can learn more about this incredible work and acquire your copy at slanted.de/product/100-beste-plakate-24. Editorial design artifacts Tags editorial design
  • Did the Chicago Sun-Times Use AI to Create a Summer Reading List Filled With Fake Books?

    With the weather warming up, your thoughts may be turning to spending lazy summer afternoons at the beach with a good book. Tina, an online creator and co-host of the podcast Book Talk, Etc., opened her edition of the Chicago Sun-Times on Monday to find the newspaper's "Summer reading list for 2025." If Tina were me, someone who isn't in-tune with the latest in literature, this article might have seemed like a useful jumping-off point for some new book recommendations. But seeing as Tina creates content all about books, I imagine she is acutely aware of which authors are writing which books—which is why she was able to immediately spot a number of books on the list that simply do not exist.Tina took a photo of the article and posted it to her Threads account, accusing the newspaper of using AI to generate its recommendations. That image of the article is now circulating on Bluesky, as well as the Chicago subreddit. I'm not a subscriber, and the article doesn't appear to be on the Sun-Times' website, so I can't verify the list myself. But the Sun-Times has since confirmed the list is real.
    View on Threads

    Of the 15 "books" on this summer reading list, only five are real books you can actually, you know, read: Bonjour Tristesse by Françoise Sagan; Beautiful Ruins by Jess Walter; Dandelion Wine by Ray Bradbury; Call Me By Your Name by André Aciman; and Atonement by Ian McEwan. Coincidentally, they are the last five books on the list, and are not new. The other 10 are totally made up, including such "hey, I'd read that" entries as The Last Algorithm, a new AI thriller from The Martian author Andy Weir; and Boiling Point, a smart-sounding story of environmental ethics by critical darling Rebecca Makki. Alas. Given these fake books have real authors attached to them, fans of those authors may believe their favorite writer has a new, intriguing novel out. Even if you have no idea who any of the named authors are, you might use this piece to head to your library or book store to get a jump on your summer reading list—and if you're pulling from the first 10 recommendations, you're going to be looking for a long time. What happened here?According to a Bluesky post from the Sun-Times, the article was not editorial content, and was not approved or created by the newsroom. The post does not say one way or another whether the content is AI-generated, however 404 Media spoke with the author, who admitted to using AI for this article as well as others: "I do use AI for background at times but always check out the material first. This time, I did not and I can't believe I missed it because it's so obvious. No excuses."Even before we had this confirmation, it did seem like the newspaper used generative AI to write this piece. That's not just because the writing is stilted. AI often hallucinates, or, in other words, sometimes makes things up. It's not totally clear why the models do this—it could be an issue with the training data, or the conclusions the models draw from that training—but the problem is only getting worse even as AI models ostensibly improve. This isn't something you can avoid with better prompts, either: If you use generative AI, it's going to hallucinate sometimes, which means you need to check the outputs for inaccuracies. I follow that someone who doesn't understand this technology would see what a program like ChatGPT can do and want to use it to generate articles like this, but as many writers and artists have been arguing for years now, you can't replace a human worker with an AI chatbot and expect the same quality work. Sure, ChatGPT will happily generate you a list of 15 book recommendations in under a minute—but it's possible someof those recommendations will be garbage.I don't believe in using generative AI to publish stories like this. But if a newspaper is going to outsource the writing to a bot, it needs a human fact-checkerto review the generation and make sure everything is correct. Though at that point, I'd suggest just paying a human writer to offer the book recommendations themself. I guarantee you there are plenty of out-of-work or underemployed journalists who would jump at the chance. While it seems the Sun-Times has such a human writer behind the AI, that work needs to happen with each generation. If not, you get articles like this.Out of curiosity, I asked ChatGPT for the synopsis of The Last Algorithm by Andy Weir. The bot searched the web for an answer, and, to its credit, accurately reported that the book doesn't actually exist. It made some assumptions, saying the Sun-Times definitely used AI to generate the article, likely because the social media posts it was pulling from suggested as much. But I also found its final thought to be particularly on-point: "This incident underscores the importance of verifying information, especially when AI-generated content is involved," ChatGPT wrote.
    #did #chicago #suntimes #use #create
    Did the Chicago Sun-Times Use AI to Create a Summer Reading List Filled With Fake Books?
    With the weather warming up, your thoughts may be turning to spending lazy summer afternoons at the beach with a good book. Tina, an online creator and co-host of the podcast Book Talk, Etc., opened her edition of the Chicago Sun-Times on Monday to find the newspaper's "Summer reading list for 2025." If Tina were me, someone who isn't in-tune with the latest in literature, this article might have seemed like a useful jumping-off point for some new book recommendations. But seeing as Tina creates content all about books, I imagine she is acutely aware of which authors are writing which books—which is why she was able to immediately spot a number of books on the list that simply do not exist.Tina took a photo of the article and posted it to her Threads account, accusing the newspaper of using AI to generate its recommendations. That image of the article is now circulating on Bluesky, as well as the Chicago subreddit. I'm not a subscriber, and the article doesn't appear to be on the Sun-Times' website, so I can't verify the list myself. But the Sun-Times has since confirmed the list is real. View on Threads Of the 15 "books" on this summer reading list, only five are real books you can actually, you know, read: Bonjour Tristesse by Françoise Sagan; Beautiful Ruins by Jess Walter; Dandelion Wine by Ray Bradbury; Call Me By Your Name by André Aciman; and Atonement by Ian McEwan. Coincidentally, they are the last five books on the list, and are not new. The other 10 are totally made up, including such "hey, I'd read that" entries as The Last Algorithm, a new AI thriller from The Martian author Andy Weir; and Boiling Point, a smart-sounding story of environmental ethics by critical darling Rebecca Makki. Alas. Given these fake books have real authors attached to them, fans of those authors may believe their favorite writer has a new, intriguing novel out. Even if you have no idea who any of the named authors are, you might use this piece to head to your library or book store to get a jump on your summer reading list—and if you're pulling from the first 10 recommendations, you're going to be looking for a long time. What happened here?According to a Bluesky post from the Sun-Times, the article was not editorial content, and was not approved or created by the newsroom. The post does not say one way or another whether the content is AI-generated, however 404 Media spoke with the author, who admitted to using AI for this article as well as others: "I do use AI for background at times but always check out the material first. This time, I did not and I can't believe I missed it because it's so obvious. No excuses."Even before we had this confirmation, it did seem like the newspaper used generative AI to write this piece. That's not just because the writing is stilted. AI often hallucinates, or, in other words, sometimes makes things up. It's not totally clear why the models do this—it could be an issue with the training data, or the conclusions the models draw from that training—but the problem is only getting worse even as AI models ostensibly improve. This isn't something you can avoid with better prompts, either: If you use generative AI, it's going to hallucinate sometimes, which means you need to check the outputs for inaccuracies. I follow that someone who doesn't understand this technology would see what a program like ChatGPT can do and want to use it to generate articles like this, but as many writers and artists have been arguing for years now, you can't replace a human worker with an AI chatbot and expect the same quality work. Sure, ChatGPT will happily generate you a list of 15 book recommendations in under a minute—but it's possible someof those recommendations will be garbage.I don't believe in using generative AI to publish stories like this. But if a newspaper is going to outsource the writing to a bot, it needs a human fact-checkerto review the generation and make sure everything is correct. Though at that point, I'd suggest just paying a human writer to offer the book recommendations themself. I guarantee you there are plenty of out-of-work or underemployed journalists who would jump at the chance. While it seems the Sun-Times has such a human writer behind the AI, that work needs to happen with each generation. If not, you get articles like this.Out of curiosity, I asked ChatGPT for the synopsis of The Last Algorithm by Andy Weir. The bot searched the web for an answer, and, to its credit, accurately reported that the book doesn't actually exist. It made some assumptions, saying the Sun-Times definitely used AI to generate the article, likely because the social media posts it was pulling from suggested as much. But I also found its final thought to be particularly on-point: "This incident underscores the importance of verifying information, especially when AI-generated content is involved," ChatGPT wrote. #did #chicago #suntimes #use #create
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    Did the Chicago Sun-Times Use AI to Create a Summer Reading List Filled With Fake Books?
    With the weather warming up, your thoughts may be turning to spending lazy summer afternoons at the beach with a good book. Tina, an online creator and co-host of the podcast Book Talk, Etc., opened her edition of the Chicago Sun-Times on Monday to find the newspaper's "Summer reading list for 2025." If Tina were me, someone who isn't in-tune with the latest in literature, this article might have seemed like a useful jumping-off point for some new book recommendations. But seeing as Tina creates content all about books, I imagine she is acutely aware of which authors are writing which books—which is why she was able to immediately spot a number of books on the list that simply do not exist.Tina took a photo of the article and posted it to her Threads account, accusing the newspaper of using AI to generate its recommendations. That image of the article is now circulating on Bluesky, as well as the Chicago subreddit. I'm not a subscriber, and the article doesn't appear to be on the Sun-Times' website, so I can't verify the list myself. But the Sun-Times has since confirmed the list is real. View on Threads Of the 15 "books" on this summer reading list, only five are real books you can actually, you know, read: Bonjour Tristesse by Françoise Sagan; Beautiful Ruins by Jess Walter; Dandelion Wine by Ray Bradbury; Call Me By Your Name by André Aciman; and Atonement by Ian McEwan. Coincidentally, they are the last five books on the list, and are not new. The other 10 are totally made up, including such "hey, I'd read that" entries as The Last Algorithm, a new AI thriller from The Martian author Andy Weir; and Boiling Point, a smart-sounding story of environmental ethics by critical darling Rebecca Makki. Alas. Given these fake books have real authors attached to them, fans of those authors may believe their favorite writer has a new, intriguing novel out. Even if you have no idea who any of the named authors are, you might use this piece to head to your library or book store to get a jump on your summer reading list—and if you're pulling from the first 10 recommendations, you're going to be looking for a long time. What happened here?According to a Bluesky post from the Sun-Times, the article was not editorial content, and was not approved or created by the newsroom. The post does not say one way or another whether the content is AI-generated, however 404 Media spoke with the author, who admitted to using AI for this article as well as others: "I do use AI for background at times but always check out the material first. This time, I did not and I can't believe I missed it because it's so obvious. No excuses."Even before we had this confirmation, it did seem like the newspaper used generative AI to write this piece. That's not just because the writing is stilted. AI often hallucinates, or, in other words, sometimes makes things up. It's not totally clear why the models do this—it could be an issue with the training data, or the conclusions the models draw from that training—but the problem is only getting worse even as AI models ostensibly improve. This isn't something you can avoid with better prompts, either: If you use generative AI, it's going to hallucinate sometimes, which means you need to check the outputs for inaccuracies (or straight-up lies). I follow that someone who doesn't understand this technology would see what a program like ChatGPT can do and want to use it to generate articles like this, but as many writers and artists have been arguing for years now, you can't replace a human worker with an AI chatbot and expect the same quality work. Sure, ChatGPT will happily generate you a list of 15 book recommendations in under a minute—but it's possible some (if not most) of those recommendations will be garbage.I don't believe in using generative AI to publish stories like this. But if a newspaper is going to outsource the writing to a bot, it needs a human fact-checker (or perhaps, I don't know, an editor) to review the generation and make sure everything is correct. Though at that point, I'd suggest just paying a human writer to offer the book recommendations themself. I guarantee you there are plenty of out-of-work or underemployed journalists who would jump at the chance. While it seems the Sun-Times has such a human writer behind the AI, that work needs to happen with each generation. If not, you get articles like this.Out of curiosity, I asked ChatGPT for the synopsis of The Last Algorithm by Andy Weir. The bot searched the web for an answer, and, to its credit, accurately reported that the book doesn't actually exist. It made some assumptions, saying the Sun-Times definitely used AI to generate the article (though I suppose a very lazy intern who was hoping to be fired could have made up the books as well), likely because the social media posts it was pulling from suggested as much. But I also found its final thought to be particularly on-point (and accidentally self-aware): "This incident underscores the importance of verifying information, especially when AI-generated content is involved," ChatGPT wrote.