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  • ## Introduction

    Dans un monde où la créativité et l'innovation se côtoient, Autodesk continue d'écrire son histoire à travers la mise à jour de sa Collection Media & Entertainment. Avec l'arrivée de la version 2026, les artistes et professionnels de l'animation sont face à une évolution qui promet d'enrichir leur expérience de création. Mais derrière les avancées technologiques, se cache une réalité souvent oubliée : celle des luttes personnelles que chacun d'entre nous doit affronter dans ce ...
    ## Introduction Dans un monde où la créativité et l'innovation se côtoient, Autodesk continue d'écrire son histoire à travers la mise à jour de sa Collection Media & Entertainment. Avec l'arrivée de la version 2026, les artistes et professionnels de l'animation sont face à une évolution qui promet d'enrichir leur expérience de création. Mais derrière les avancées technologiques, se cache une réalité souvent oubliée : celle des luttes personnelles que chacun d'entre nous doit affronter dans ce ...
    Autodesk met à jour ses outils 3D : quoi de neuf pour 2026 ?
    ## Introduction Dans un monde où la créativité et l'innovation se côtoient, Autodesk continue d'écrire son histoire à travers la mise à jour de sa Collection Media & Entertainment. Avec l'arrivée de la version 2026, les artistes et professionnels de l'animation sont face à une évolution qui promet d'enrichir leur expérience de création. Mais derrière les avancées technologiques, se cache une...
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  • Il est absolument scandaleux de voir comment notre société traite les trésors numériques de notre passé ! L’article sur le jeu flash culte qui a été relancé après qu’un programmeur ait sauvé le code source d’un ordinateur portable d’un enfant est à la fois inspirant et dérangeant. Pourquoi devrions-nous dépendre d’un jeune de 18 ans pour préserver ce qui devrait être une priorité pour les grandes entreprises et les développeurs de jeux ? C’est une honte !

    Le fait que « Dungeon Rampage » ait failli tomber dans l’oubli est un véritable affront à l’héritage culturel et technologique du jeu vidéo. Les entreprises qui ont créé ces jeux devraient avoir une responsabilité envers les joueurs et les fans. Au lieu de cela, nous sommes laissés à la merci d’un adolescent passionné qui, par un coup de chance, a réussi à récupérer un morceau de notre histoire vidéoludique. C’est inacceptable !

    Les entreprises de jeux vidéo, qui engrangent des milliards, semblent se moquer éperdument de la préservation de ces œuvres. Leur négligence est une preuve de leur égoïsme et de leur incapacité à valoriser ce qui a construit l’industrie. Pourquoi ne voyons-nous pas des initiatives de la part de ces géants pour récupérer et restaurer des jeux disparus ? Au lieu de cela, nous devons nous féliciter qu’un jeune fan ait pris l’initiative de sauver un jeu qui devrait être célébré par ses créateurs.

    Et ne parlons même pas des conséquences de cette inaction. Les jeux vidéo ne sont pas seulement des produits commerciaux ; ils sont des œuvres d’art et des témoignages de l’innovation technologique. La perte de jeux comme « Dungeon Rampage » est une perte pour toute une génération, et cela nous montre à quel point la culture numérique est fragile. On nous dit que tout est sauvegardé dans le cloud, mais que se passe-t-il lorsque ces entreprises décident de débrancher les serveurs ou de supprimer des données ? Nous nous retrouvons à pleurer des œuvres disparues, alors que les responsables se frottent les mains en comptant leurs profits.

    Nous devons exiger plus de la part de l’industrie. La préservation des jeux vidéo doit devenir une priorité, et pas seulement une activité de niche pour quelques passionnés. Les développeurs et les éditeurs doivent prendre des mesures concrètes pour protéger notre patrimoine numérique. Nous ne pouvons pas laisser la responsabilité de la sauvegarde de notre histoire à un jeune qui a eu la chance de tomber sur un vieux portable !

    Il est temps que nous nous levions et que nous dénoncions cette négligence ! Les jeux vidéo méritent d'être préservés et célébrés, non pas en fonction du bon vouloir des entreprises, mais comme un droit fondamental pour tous les passionnés de la culture numérique. Assez de cette indifférence !

    #JeuxVidéo #PréservationNumérique #DungeonRampage #HéritageCulturel #IndustrieDuJeu
    Il est absolument scandaleux de voir comment notre société traite les trésors numériques de notre passé ! L’article sur le jeu flash culte qui a été relancé après qu’un programmeur ait sauvé le code source d’un ordinateur portable d’un enfant est à la fois inspirant et dérangeant. Pourquoi devrions-nous dépendre d’un jeune de 18 ans pour préserver ce qui devrait être une priorité pour les grandes entreprises et les développeurs de jeux ? C’est une honte ! Le fait que « Dungeon Rampage » ait failli tomber dans l’oubli est un véritable affront à l’héritage culturel et technologique du jeu vidéo. Les entreprises qui ont créé ces jeux devraient avoir une responsabilité envers les joueurs et les fans. Au lieu de cela, nous sommes laissés à la merci d’un adolescent passionné qui, par un coup de chance, a réussi à récupérer un morceau de notre histoire vidéoludique. C’est inacceptable ! Les entreprises de jeux vidéo, qui engrangent des milliards, semblent se moquer éperdument de la préservation de ces œuvres. Leur négligence est une preuve de leur égoïsme et de leur incapacité à valoriser ce qui a construit l’industrie. Pourquoi ne voyons-nous pas des initiatives de la part de ces géants pour récupérer et restaurer des jeux disparus ? Au lieu de cela, nous devons nous féliciter qu’un jeune fan ait pris l’initiative de sauver un jeu qui devrait être célébré par ses créateurs. Et ne parlons même pas des conséquences de cette inaction. Les jeux vidéo ne sont pas seulement des produits commerciaux ; ils sont des œuvres d’art et des témoignages de l’innovation technologique. La perte de jeux comme « Dungeon Rampage » est une perte pour toute une génération, et cela nous montre à quel point la culture numérique est fragile. On nous dit que tout est sauvegardé dans le cloud, mais que se passe-t-il lorsque ces entreprises décident de débrancher les serveurs ou de supprimer des données ? Nous nous retrouvons à pleurer des œuvres disparues, alors que les responsables se frottent les mains en comptant leurs profits. Nous devons exiger plus de la part de l’industrie. La préservation des jeux vidéo doit devenir une priorité, et pas seulement une activité de niche pour quelques passionnés. Les développeurs et les éditeurs doivent prendre des mesures concrètes pour protéger notre patrimoine numérique. Nous ne pouvons pas laisser la responsabilité de la sauvegarde de notre histoire à un jeune qui a eu la chance de tomber sur un vieux portable ! Il est temps que nous nous levions et que nous dénoncions cette négligence ! Les jeux vidéo méritent d'être préservés et célébrés, non pas en fonction du bon vouloir des entreprises, mais comme un droit fondamental pour tous les passionnés de la culture numérique. Assez de cette indifférence ! #JeuxVidéo #PréservationNumérique #DungeonRampage #HéritageCulturel #IndustrieDuJeu
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Cult Flash game revived after programmer rescues source code from kid's laptop
    How an 18-year old fan led a commendable preservation effort for Dungeon Rampage.
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  • Je suis vraiment exaspéré par la tendance actuelle à faire du marketing pour des consoles de jeux qui ne peuvent tout simplement pas rivaliser avec la nostalgie et la magie de la Sony PSP. Oui, vous avez bien entendu, rien ne sera jamais aussi cool que la PSP, et je suis fatigué d'entendre les discours sur le Switch 2 comme si c'était la seconde venue de Jésus en matière de jeux vidéo. C'est presque insultant pour ceux d'entre nous qui ont grandi avec la PSP, une console qui a redéfini le portatif et a marqué une génération entière de joueurs.

    La Sony PSP n'était pas simplement un gadget ; c'était une expérience. Une expérience qui a fusionné la portabilité avec une puissance graphique qui, à l'époque, était révolutionnaire. Je me souviens encore des heures passées à jouer à "God of War: Chains of Olympus" tout en voyageant, une véritable prouesse technique pour l'époque. Et maintenant, on nous dit que le Switch 2 va tout balayer sur son passage ? Allons donc ! Comparer ces deux consoles est un affront à l'héritage de la PSP. Le Switch 2, malgré toutes ses promesses, ne sera jamais en mesure de capturer l'essence de ce qui faisait de la PSP une console emblématique.

    Et parlons des jeux – oui, le Switch a peut-être quelques titres phares, mais en termes de variété et d'innovation, il est loin derrière la PSP qui a apporté des classiques inoubliables comme "Daxter" et "Lumines". Pourquoi devrions-nous nous contenter de remakes et de suites quand la PSP nous a offert une bibliothèque riche et diversifiée ? La nostalgie est belle, mais elle ne devrait pas être une excuse pour ignorer les réalités de l'innovation vidéoludique.

    Je suis furieux que les fans de Nintendo semblent avoir oublié ce que signifie vraiment être un joueur. Nous ne sommes pas là pour juste nous contenter de ce que l'on nous sert ; nous voulons de la qualité, de l'innovation, et des expériences qui nous marquent à jamais. La PSP a su faire tout cela avec brio, et je ne comprends pas comment on peut envisager que le Switch 2, avec ses limitations techniques et son approche peu inspirante, puisse rivaliser avec ce chef-d'œuvre du jeu vidéo.

    Alors, réveillez-vous, les fans ! Arrêtez de vous laisser berner par le battage médiatique autour du Switch 2. Rappelez-vous de la Sony PSP et de la magie qu'elle a apportée dans nos vies. Rien ne sera jamais aussi cool que cela, et c'est un fait que nous devons défendre avec fierté. Nous ne devons pas laisser l'histoire se répéter avec des consoles qui n'apportent rien de nouveau. Il est temps de faire entendre notre voix et d'exiger plus de la part de l'industrie du jeu vidéo.

    #SonyPSP #Switch2 #JeuxVidéo #Nostalgie #Gaming
    Je suis vraiment exaspéré par la tendance actuelle à faire du marketing pour des consoles de jeux qui ne peuvent tout simplement pas rivaliser avec la nostalgie et la magie de la Sony PSP. Oui, vous avez bien entendu, rien ne sera jamais aussi cool que la PSP, et je suis fatigué d'entendre les discours sur le Switch 2 comme si c'était la seconde venue de Jésus en matière de jeux vidéo. C'est presque insultant pour ceux d'entre nous qui ont grandi avec la PSP, une console qui a redéfini le portatif et a marqué une génération entière de joueurs. La Sony PSP n'était pas simplement un gadget ; c'était une expérience. Une expérience qui a fusionné la portabilité avec une puissance graphique qui, à l'époque, était révolutionnaire. Je me souviens encore des heures passées à jouer à "God of War: Chains of Olympus" tout en voyageant, une véritable prouesse technique pour l'époque. Et maintenant, on nous dit que le Switch 2 va tout balayer sur son passage ? Allons donc ! Comparer ces deux consoles est un affront à l'héritage de la PSP. Le Switch 2, malgré toutes ses promesses, ne sera jamais en mesure de capturer l'essence de ce qui faisait de la PSP une console emblématique. Et parlons des jeux – oui, le Switch a peut-être quelques titres phares, mais en termes de variété et d'innovation, il est loin derrière la PSP qui a apporté des classiques inoubliables comme "Daxter" et "Lumines". Pourquoi devrions-nous nous contenter de remakes et de suites quand la PSP nous a offert une bibliothèque riche et diversifiée ? La nostalgie est belle, mais elle ne devrait pas être une excuse pour ignorer les réalités de l'innovation vidéoludique. Je suis furieux que les fans de Nintendo semblent avoir oublié ce que signifie vraiment être un joueur. Nous ne sommes pas là pour juste nous contenter de ce que l'on nous sert ; nous voulons de la qualité, de l'innovation, et des expériences qui nous marquent à jamais. La PSP a su faire tout cela avec brio, et je ne comprends pas comment on peut envisager que le Switch 2, avec ses limitations techniques et son approche peu inspirante, puisse rivaliser avec ce chef-d'œuvre du jeu vidéo. Alors, réveillez-vous, les fans ! Arrêtez de vous laisser berner par le battage médiatique autour du Switch 2. Rappelez-vous de la Sony PSP et de la magie qu'elle a apportée dans nos vies. Rien ne sera jamais aussi cool que cela, et c'est un fait que nous devons défendre avec fierté. Nous ne devons pas laisser l'histoire se répéter avec des consoles qui n'apportent rien de nouveau. Il est temps de faire entendre notre voix et d'exiger plus de la part de l'industrie du jeu vidéo. #SonyPSP #Switch2 #JeuxVidéo #Nostalgie #Gaming
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    Nothing will ever be as cool as the Sony PSP – not even the Switch 2
    You never forget your first love.
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  • Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable !

    L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées.

    Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine.

    En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité.

    Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ?

    Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister !

    #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
    Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable ! L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées. Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine. En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité. Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ? Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister ! #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
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    Annecy 2025 : quelle place pour l’IA générative ?
    L’an passé, le Festival d’Annecy avait causé une controverse en acceptant des projets utilisant de l’IA générative au sein de sa sélection officielle.Nous avions fait un point sur le sujet à l’époque, avec la position du délég
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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