• Il est inacceptable que dans un monde où l'innovation technologique est à son apogée, nous continuions à voir des productions comme "Fantastic Four: First Steps" déverser des contenus aussi fades que l'apparition de Galactus, ce prétendu "villain" qui n'apporte rien de neuf. Ralph Ineson, dans son costume de Galactus, compare cette expérience à celle d'une voiture de F1. Franchement, qui se soucie de cette métaphore dénuée de sens quand le cinéma devrait nous offrir des récits profonds et captivants ? Au lieu de cela, nous avons droit à un spectacle visuel qui manque cruellement d'âme. Le public mérite mieux que ce simulacre de
    Il est inacceptable que dans un monde où l'innovation technologique est à son apogée, nous continuions à voir des productions comme "Fantastic Four: First Steps" déverser des contenus aussi fades que l'apparition de Galactus, ce prétendu "villain" qui n'apporte rien de neuf. Ralph Ineson, dans son costume de Galactus, compare cette expérience à celle d'une voiture de F1. Franchement, qui se soucie de cette métaphore dénuée de sens quand le cinéma devrait nous offrir des récits profonds et captivants ? Au lieu de cela, nous avons droit à un spectacle visuel qui manque cruellement d'âme. Le public mérite mieux que ce simulacre de
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    Final Fantasy XVI's Cid Says Wearing Galactus Suit Was Like Being An F1 Car
    We still haven’t seen much of Galactus in any of the trailers for Fantastic Four: First Steps, but the movie is just a day away from premiering in theaters, so Marvel fans will finally see the planet-eating villain on the big screen very soon. Vetera
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  • Le jeu "Consume Me" de Jenny Jiao Hsia, avec son style artistique "mignon" et "approchable", cache une réalité bien plus sombre qui ne peut pas être ignorée. Après presque une décennie de développement, on s'attendait à une œuvre qui aborde des thèmes profonds avec une substance réelle. Au lieu de cela, on se retrouve face à un produit qui semble superficiel, masquant des luttes et des douleurs authentiques sous une façade trompeuse. Pourquoi les créateurs choisissent-ils d'emballer des récits de vie semi-autobiographiques dans un esthétisme mignon au lieu de les traiter avec la gravité qu'ils méritent ? C'est une trah
    Le jeu "Consume Me" de Jenny Jiao Hsia, avec son style artistique "mignon" et "approchable", cache une réalité bien plus sombre qui ne peut pas être ignorée. Après presque une décennie de développement, on s'attendait à une œuvre qui aborde des thèmes profonds avec une substance réelle. Au lieu de cela, on se retrouve face à un produit qui semble superficiel, masquant des luttes et des douleurs authentiques sous une façade trompeuse. Pourquoi les créateurs choisissent-ils d'emballer des récits de vie semi-autobiographiques dans un esthétisme mignon au lieu de les traiter avec la gravité qu'ils méritent ? C'est une trah
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    Consume Me's "cute-looking, approachable art style" hides a darker side
    Jenny Jiao Hsia's semi-autobiographical coming-of-age slice-of-life sim has been almost a decade in the making.
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  • Les notes de mise à jour #13 sont là, et c’est un peu ennuyeux. Trump a décidé de couper les fonds pour les jeux vidéo, ce qui fait parler. Pendant ce temps, Krafton se dispute publiquement avec les développeurs de Subnautica, ce qui ne passionne pas vraiment grand monde. Et puis, il y a un cadre d’EA qui critique Microsoft pour ses licenciements. Ubisoft et Testronic annoncent aussi des réductions d'effectifs. Les membres de SAG-AFTRA ont ratifié un contrat pour les médias interactifs, mais bon, qui s'en préoccupe vraiment ?

    #JeuxVidéo #Licenciements #Krafton #Subnautica #S
    Les notes de mise à jour #13 sont là, et c’est un peu ennuyeux. Trump a décidé de couper les fonds pour les jeux vidéo, ce qui fait parler. Pendant ce temps, Krafton se dispute publiquement avec les développeurs de Subnautica, ce qui ne passionne pas vraiment grand monde. Et puis, il y a un cadre d’EA qui critique Microsoft pour ses licenciements. Ubisoft et Testronic annoncent aussi des réductions d'effectifs. Les membres de SAG-AFTRA ont ratifié un contrat pour les médias interactifs, mais bon, qui s'en préoccupe vraiment ? #JeuxVidéo #Licenciements #Krafton #Subnautica #S
    Patch Notes #13: Trump's video game funding cuts laid bare and Krafton's wild public feud with Subnautica developers
    Plus: An EA exec calls out layoff merchant Microsoft, fresh job cuts at Ubisoft and Testronic, and SAG-AFTRA union members ratify interactive media contract.
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  • Bonjour à tous !

    Saviez-vous que le monde virtuel de Meta peut être finalisé en seulement 6 heures ? Oui, c'est vrai ! Grâce à l'intelligence artificielle, Meta Horizon Worlds ouvre la porte à des expériences immersives incroyables ! Avec un fonds de 50 millions de dollars pour soutenir les créateurs et créatrices, l'avenir s'annonce vraiment prometteur !

    C'est le moment idéal pour s'impliquer et faire partie de cette révolution numérique. N'hésitez pas à explorer, créer et innover dans ce métavers fascinant ! Ensemble, construisons un avenir où les possibilités sont infinies !

    #Meta #HorizonWorlds #Innovation #Cré
    🎉 Bonjour à tous ! 🌟 Saviez-vous que le monde virtuel de Meta peut être finalisé en seulement 6 heures ? Oui, c'est vrai ! 🚀 Grâce à l'intelligence artificielle, Meta Horizon Worlds ouvre la porte à des expériences immersives incroyables ! Avec un fonds de 50 millions de dollars pour soutenir les créateurs et créatrices, l'avenir s'annonce vraiment prometteur ! 💪✨ C'est le moment idéal pour s'impliquer et faire partie de cette révolution numérique. N'hésitez pas à explorer, créer et innover dans ce métavers fascinant ! Ensemble, construisons un avenir où les possibilités sont infinies ! 🌈 #Meta #HorizonWorlds #Innovation #Cré
    Un monde virtuel finalisé en 6h seulement : pour Meta, l’avenir passe par l’IA
    Meta continue à pousser Meta Horizon Worlds, son fameux metaverse, et souhaite inciter les développeurs à se tourner vers sa plateforme. Le géant du web a annoncé en février le lancement d’un fonds de 50 millions de dollars pour les créateurs e
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  • ## Introduction

    Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après cette levée de fonds, les espoirs se sont évanouis, laissant derrière eux un vide douloureux.

    ## La p...
    ## Introduction Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après cette levée de fonds, les espoirs se sont évanouis, laissant derrière eux un vide douloureux. ## La p...
    Studio Camelia ferme ses portes un an après avoir levé 300 000 € sur Kickstarter pour financer un JRPG
    ## Introduction Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après...
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  • IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »

    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #les #robots #peuventils #battre #loups
    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #les #robots #peuventils #battre #loups
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    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford (Californie), avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificielle (IA) a écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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  • Data centers : les Hauts-de-France rêvent de devenir la vallée européenne de l’intelligence artificielle

    Data centers : les Hauts-de-France rêvent de devenir la vallée européenne de l’intelligence artificielle Le projet du fonds canadien Brookfield à Cambrai, dans le Nord, vise à créer un data center consommant l’équivalent de la production d’un réacteur nucléaire. Article réservé aux abonnés Des serveurs du centre de données de la société française OVHcloud, à Roubaix, le 3 avril 2025. SAMEER AL-DOUMY/AFP Après la « vallée de la batterie électrique », qui se met en place progressivement malgré des retards, les Hauts-de-France vont-ils devenir la « vallée européenne de l’intelligence artificielle » ? C’est, en tout cas, l’ambition affichée par le gouvernement lors de l’édition 2025 de Choose France, le 19 mai, en déclarant vouloir faire de cette région industrielle en pleine reconversion « le plus grand cluster d’infrastructures d’IA en Europe, avec une capacité électrique totale cible de plus de 2 gigawatts ». Les Hauts-de-France ont effectivement leur carte à jouer : elles regroupent 16 des 65 sites identifiés par l’Etat, susceptibles d’accueillir « clés en mains » des centres de données en France. Lire aussi | Sommet Choose France : l’Elysée annonce des milliards d’investissements, notamment dans les data centers Si Microsoft a abandonné ses trois projets dans la région en janvier, le fonds canadien Brookfield Asset Management, qui compte investir 20 milliards d’euros pour le développement de l’IA en France, a confirmé son arrivée dans le nord du pays. A travers Data4, sa plateforme de centres de données, son plus gros investissementdans l’Hexagone se fera sur le site E-Valley, aménagé sur l’ancienne base aérienne militaire de Cambrai, où d’immenses entrepôts rassemblent le plus grand centre logistique d’Europe. Il vous reste 73.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #data #centers #les #hautsdefrance #rêvent
    Data centers : les Hauts-de-France rêvent de devenir la vallée européenne de l’intelligence artificielle
    Data centers : les Hauts-de-France rêvent de devenir la vallée européenne de l’intelligence artificielle Le projet du fonds canadien Brookfield à Cambrai, dans le Nord, vise à créer un data center consommant l’équivalent de la production d’un réacteur nucléaire. Article réservé aux abonnés Des serveurs du centre de données de la société française OVHcloud, à Roubaix, le 3 avril 2025. SAMEER AL-DOUMY/AFP Après la « vallée de la batterie électrique », qui se met en place progressivement malgré des retards, les Hauts-de-France vont-ils devenir la « vallée européenne de l’intelligence artificielle » ? C’est, en tout cas, l’ambition affichée par le gouvernement lors de l’édition 2025 de Choose France, le 19 mai, en déclarant vouloir faire de cette région industrielle en pleine reconversion « le plus grand cluster d’infrastructures d’IA en Europe, avec une capacité électrique totale cible de plus de 2 gigawatts ». Les Hauts-de-France ont effectivement leur carte à jouer : elles regroupent 16 des 65 sites identifiés par l’Etat, susceptibles d’accueillir « clés en mains » des centres de données en France. Lire aussi | Sommet Choose France : l’Elysée annonce des milliards d’investissements, notamment dans les data centers Si Microsoft a abandonné ses trois projets dans la région en janvier, le fonds canadien Brookfield Asset Management, qui compte investir 20 milliards d’euros pour le développement de l’IA en France, a confirmé son arrivée dans le nord du pays. A travers Data4, sa plateforme de centres de données, son plus gros investissementdans l’Hexagone se fera sur le site E-Valley, aménagé sur l’ancienne base aérienne militaire de Cambrai, où d’immenses entrepôts rassemblent le plus grand centre logistique d’Europe. Il vous reste 73.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #data #centers #les #hautsdefrance #rêvent
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    Data centers : les Hauts-de-France rêvent de devenir la vallée européenne de l’intelligence artificielle Le projet du fonds canadien Brookfield à Cambrai, dans le Nord, vise à créer un data center consommant l’équivalent de la production d’un réacteur nucléaire. Article réservé aux abonnés Des serveurs du centre de données de la société française OVHcloud, à Roubaix (Nord), le 3 avril 2025. SAMEER AL-DOUMY/AFP Après la « vallée de la batterie électrique », qui se met en place progressivement malgré des retards, les Hauts-de-France vont-ils devenir la « vallée européenne de l’intelligence artificielle (IA) » ? C’est, en tout cas, l’ambition affichée par le gouvernement lors de l’édition 2025 de Choose France, le 19 mai, en déclarant vouloir faire de cette région industrielle en pleine reconversion « le plus grand cluster d’infrastructures d’IA en Europe, avec une capacité électrique totale cible de plus de 2 gigawatts (GW) ». Les Hauts-de-France ont effectivement leur carte à jouer : elles regroupent 16 des 65 sites identifiés par l’Etat, susceptibles d’accueillir « clés en mains » des centres de données en France. Lire aussi | Sommet Choose France : l’Elysée annonce des milliards d’investissements, notamment dans les data centers Si Microsoft a abandonné ses trois projets dans la région en janvier, le fonds canadien Brookfield Asset Management, qui compte investir 20 milliards d’euros pour le développement de l’IA en France, a confirmé son arrivée dans le nord du pays. A travers Data4, sa plateforme de centres de données, son plus gros investissement (10 milliards d’euros) dans l’Hexagone se fera sur le site E-Valley, aménagé sur l’ancienne base aérienne militaire de Cambrai, où d’immenses entrepôts rassemblent le plus grand centre logistique d’Europe. Il vous reste 73.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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  • Cathay Innovation boucle un fonds d'un milliard de dollars pour les start-up d'IA

    Cathay Innovation, société internationale de capital-risque basée à Paris, annonce ce 27 mai avoir bouclé son troisième fonds. Doté d'un...
    #cathay #innovation #boucle #fonds #d039un
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    Cathay Innovation, société internationale de capital-risque basée à Paris, annonce ce 27 mai avoir bouclé son troisième fonds. Doté d'un... #cathay #innovation #boucle #fonds #d039un
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    Cathay Innovation boucle un fonds d'un milliard de dollars pour les start-up d'IA
    Cathay Innovation, société internationale de capital-risque basée à Paris, annonce ce 27 mai avoir bouclé son troisième fonds. Doté d'un...
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  • Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant

    Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant D’une puissance équivalente à une centrale nucléaire EPR, le campus annoncé par une large alliance d’entreprises, lundi 19 mai, au sommet Choose France, à Versailles, symbolise une croissance des investissements qui suscite des questions. Article réservé aux abonnés Emmanuel Macron participe à une table ronde sur l’intelligence artificielle lors du sommet Choose France, au château de Versailles, le 19 mai 2025. KAMIL ZIHNIOGLU POUR « LE MONDE » Une puissance électrique allant jusqu’à 1,4 gigawattsen 2030, soit presque autant que la centrale nucléaire EPR dernier cri de Flamanville, et 8,5 milliards d’euros d’investissement… L’un des projets de centres de données annoncés lundi 19 mai, à Versailles, lors du sommet Choose France – organisé par l’Elysée –, qui accueille les dirigeants de grandes entreprises étrangères, assume une forme de gigantisme : il promet « le plus grand campus d’intelligence artificielled’Europe », Lire le récit : Article réservé à nos abonnés Data centers géants : Emmanuel Macron vante une France « dans la course » de l’IA L’alliance de partenaires réunis dans une joint-venture spécifique est également inédite : on y trouve la start-up d’IA générative française Mistral AI, le fonds d’investissement des Emirats arabes unis consacré à l’IA MGX, l’américain leader mondial des processeurs pour IA Nvidia, ainsi que le groupe de construction Bouygues, le spécialiste Non encore dévoilé, le site sera situé « en Ile-de-France ». La construction devrait débuter au second semestre 2026, et la mise en service d’ici à 2028. Il vous reste 78.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #intelligence #artificielle #français #mistral #fonds
    Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant
    Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant D’une puissance équivalente à une centrale nucléaire EPR, le campus annoncé par une large alliance d’entreprises, lundi 19 mai, au sommet Choose France, à Versailles, symbolise une croissance des investissements qui suscite des questions. Article réservé aux abonnés Emmanuel Macron participe à une table ronde sur l’intelligence artificielle lors du sommet Choose France, au château de Versailles, le 19 mai 2025. KAMIL ZIHNIOGLU POUR « LE MONDE » Une puissance électrique allant jusqu’à 1,4 gigawattsen 2030, soit presque autant que la centrale nucléaire EPR dernier cri de Flamanville, et 8,5 milliards d’euros d’investissement… L’un des projets de centres de données annoncés lundi 19 mai, à Versailles, lors du sommet Choose France – organisé par l’Elysée –, qui accueille les dirigeants de grandes entreprises étrangères, assume une forme de gigantisme : il promet « le plus grand campus d’intelligence artificielled’Europe », Lire le récit : Article réservé à nos abonnés Data centers géants : Emmanuel Macron vante une France « dans la course » de l’IA L’alliance de partenaires réunis dans une joint-venture spécifique est également inédite : on y trouve la start-up d’IA générative française Mistral AI, le fonds d’investissement des Emirats arabes unis consacré à l’IA MGX, l’américain leader mondial des processeurs pour IA Nvidia, ainsi que le groupe de construction Bouygues, le spécialiste Non encore dévoilé, le site sera situé « en Ile-de-France ». La construction devrait débuter au second semestre 2026, et la mise en service d’ici à 2028. Il vous reste 78.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #intelligence #artificielle #français #mistral #fonds
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    Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant
    Intelligence artificielle : le français Mistral AI et le fonds émirati MGX associés dans un projet de data center géant D’une puissance équivalente à une centrale nucléaire EPR, le campus annoncé par une large alliance d’entreprises, lundi 19 mai, au sommet Choose France, à Versailles, symbolise une croissance des investissements qui suscite des questions. Article réservé aux abonnés Emmanuel Macron participe à une table ronde sur l’intelligence artificielle lors du sommet Choose France, au château de Versailles, le 19 mai 2025. KAMIL ZIHNIOGLU POUR « LE MONDE » Une puissance électrique allant jusqu’à 1,4 gigawatts (GW) en 2030, soit presque autant que la centrale nucléaire EPR dernier cri de Flamanville (1,6 GW), et 8,5 milliards d’euros d’investissement… L’un des projets de centres de données annoncés lundi 19 mai, à Versailles, lors du sommet Choose France – organisé par l’Elysée –, qui accueille les dirigeants de grandes entreprises étrangères, assume une forme de gigantisme : il promet « le plus grand campus d’intelligence artificielle [IA] d’Europe », Lire le récit : Article réservé à nos abonnés Data centers géants : Emmanuel Macron vante une France « dans la course » de l’IA L’alliance de partenaires réunis dans une joint-venture spécifique est également inédite : on y trouve la start-up d’IA générative française Mistral AI, le fonds d’investissement des Emirats arabes unis consacré à l’IA MGX, l’américain leader mondial des processeurs pour IA Nvidia, ainsi que le groupe de construction Bouygues, le spécialiste Non encore dévoilé, le site sera situé « en Ile-de-France ». La construction devrait débuter au second semestre 2026, et la mise en service d’ici à 2028. Il vous reste 78.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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  • Nuclear waste could power Europe for decades. This startup plans to prove it

    Europe has been turning uranium into energy for over half a century. In the process, the continent has amassed vast stockpiles of nuclear waste. This radioactive material can take millions of years to become safe, and no one really knows what to do with it.
    Thorizon, a Franco-Dutch startup, has an idea: reuse the nuclear waste to generate new energy. The company is developing a small modular molten salt reactorthat runs on a mix of spent nuclear fuel and thorium, a radioactive metal with untapped potential. 
    Thorizon aims to begin construction of its first reactor, Thorizon One, within five years. Once complete, the plant is expected to produce 100 megawatts of electricity — enough to power around 100,000 homes or a major data centre.
    “We’re not just building a new type of reactor — we’re rethinking how we use the fuel we already have,” Thorizon’s CEO Kiki Leuwers told TNW. “Europe is sitting on a stockpile of valuable nuclear material. With the right technology, that waste becomes a resource.” 
    A 3D render of Thorizon’s nuclear reactor: Credit: Thorizon

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    When the radioactive uranium is used as fuel in a nuclear reactor, its atoms undergo fission, releasing heat. This heat is then used to produce steam, which spins a turbine to generate electricity. The radioactive waste produced in this process still retains around 90% of the uranium’s original energy.
    Lauwers estimates that Europe’s stockpiles of nuclear waste could power the entire region for 40 years. In the US, scientists believe it could power their country for around 100 years.
    Why aren’t we reusing nuclear waste?
    Countries including the US, France, and Japan have long understood the potential of reusing spent nuclear fuel. In the 1960s and ‘70s many so-called fast reactors were built — advanced designs capable of extracting more energy from nuclear fuel and even “breeding” new fuel from waste. But in the decades that followed, most were phased out.
    There were two key reasons: politics and economics. Fast reactors produce significant quantities of plutonium, the building block of atomic bombs. At the height of the Cold War, fears of nuclear proliferation prompted many countries, especially the US, to abandon efforts to recycle nuclear waste.
    At the same time, global uranium supplies turned out to be far more abundant than expected. Discoveries of deposits in Australia, Canada, and Africa drove prices down, making it cheaper to mine fresh uranium than to invest in recycling infrastructure. Combined, these factors put radioactive recycling on ice.  
    While France and Japan still reprocess some of their used fuel, most of the world’s nuclear waste today ends up in massive steel cylinders called dry casks — a temporary solution to a very, very long-term problem. Efforts to bury it deep underground for eternity — like Finland’s 500-metre-deep Onkalo repository — are making progress, but remain contentious and expensive.
    Meanwhile, expanding nuclear power in Europe continues to be a thorny issue, but the tide may be turning. Faced with the twin crises of climate change and energy insecurity, countries including the UK and France are pushing to expand nuclear power capacity, especially in small modular reactors. 
    Whether nuclear energy gets its moment back in the sun or not, Europe still has a massive nuclear waste problem. One that Thorizon hopes to clean up.  
    How will Thorizon’s plant work?
    Thorizon’s MSR operates at high temperatures but low pressure, making it safer and more efficient. If something goes wrong, the salt solidifies and contains the radioactive material, limiting the risk of leaks or explosions. 
    MSRs were first developed in the 1960s at the Oak Ridge National Laboratory in the US and showed great promise. But they never reached commercial viability, largely because housing the corrosive salts safely proved technically challenging and expensive.  
    To counter this, Thorizon’s design uses a system of cartridges. Each massive steel cylinder is filled with molten salt and a mix of spent fuel from traditional reactors and fresh thorium — a radioactive material much more abundant than uranium and safer to handle. The idea is that these cylinders can simply be replaced once the radioactive part of the fuel has largely been depleted.
    “The cartridge approach lets us isolate the most extreme conditions inside the reactor,” said Lauwers. “It’s modular, replaceable, and gives us a safe way to deal with radioactive materials.”
    Thorizon spun out from the Netherlands’ nuclear research institute NRG in 2018. It now employs around 50 engineers split between Amsterdam and Lyon. The company says it has completed its conceptual design and is engaged in regulatory talks with Dutch, French, and Belgian authorities. 
    Three pre-feasibility studies are underway for potential launch sites in France, the Netherlands, and Belgium. Industry partners, including Dutch manufacturing giant VDL, are helping prototype core components.  
    By blending spent uranium fuel with thorium in a molten salt reactor, Thorizon aims to create a cleaner, more sustainable source of nuclear energy. It could turn a huge nuclear waste problem into a solution for Europe’s clean energy future. But the benefits won’t come cheap.    
    Funding a nuclear waste renaissance 
    So far, Thorizon has raised €42.5mn, including funding from the French government and Dutch bodies such as Invest-NL and the Brabant Startup Fonds. However, that’s just a fraction of the €750mn it says it needs to begin building its prototype reactor. 
    The long timelines, strict regulations, and high upfront costs of nuclear startups typically make them a hard sell. “To bring the technology to life, public-private partnerships are crucial,” said Lauwers. “Some of the money being spent on burying nuclear waste could be instead diverted to reusing it.” 
    Government backing will be crucial, she said, as will venture capital. However, the CEO said that being based in Europe may put the company at a disadvantage from a funding perspective. 
    “In the US, relatively small teams have been able to scale much faster, obtain more private funding, and obtain their licenses,” she said. “Here in Europe, that can take longer.” 
    TerraPower and X-Power are two examples. Each SMR startup has raised over bn to commercialise its technology. In Europe, by contrast, no tech companies have attracted a fraction of that funding.
    However, if Thorizon manages to overcome the hurdles, it could hit three birds with one stone: cleaning up nuclear waste, reducing Europe’s reliance on fossil fuels, and supplying stable baseload power to homes and industries.  

    Story by

    Siôn Geschwindt

    Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicSiôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. You can contact him at: sion.geschwindtprotonmailcom

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    Nuclear waste could power Europe for decades. This startup plans to prove it
    Europe has been turning uranium into energy for over half a century. In the process, the continent has amassed vast stockpiles of nuclear waste. This radioactive material can take millions of years to become safe, and no one really knows what to do with it. Thorizon, a Franco-Dutch startup, has an idea: reuse the nuclear waste to generate new energy. The company is developing a small modular molten salt reactorthat runs on a mix of spent nuclear fuel and thorium, a radioactive metal with untapped potential.  Thorizon aims to begin construction of its first reactor, Thorizon One, within five years. Once complete, the plant is expected to produce 100 megawatts of electricity — enough to power around 100,000 homes or a major data centre. “We’re not just building a new type of reactor — we’re rethinking how we use the fuel we already have,” Thorizon’s CEO Kiki Leuwers told TNW. “Europe is sitting on a stockpile of valuable nuclear material. With the right technology, that waste becomes a resource.”  A 3D render of Thorizon’s nuclear reactor: Credit: Thorizon Register now When the radioactive uranium is used as fuel in a nuclear reactor, its atoms undergo fission, releasing heat. This heat is then used to produce steam, which spins a turbine to generate electricity. The radioactive waste produced in this process still retains around 90% of the uranium’s original energy. Lauwers estimates that Europe’s stockpiles of nuclear waste could power the entire region for 40 years. In the US, scientists believe it could power their country for around 100 years. Why aren’t we reusing nuclear waste? Countries including the US, France, and Japan have long understood the potential of reusing spent nuclear fuel. In the 1960s and ‘70s many so-called fast reactors were built — advanced designs capable of extracting more energy from nuclear fuel and even “breeding” new fuel from waste. But in the decades that followed, most were phased out. There were two key reasons: politics and economics. Fast reactors produce significant quantities of plutonium, the building block of atomic bombs. At the height of the Cold War, fears of nuclear proliferation prompted many countries, especially the US, to abandon efforts to recycle nuclear waste. At the same time, global uranium supplies turned out to be far more abundant than expected. Discoveries of deposits in Australia, Canada, and Africa drove prices down, making it cheaper to mine fresh uranium than to invest in recycling infrastructure. Combined, these factors put radioactive recycling on ice.   While France and Japan still reprocess some of their used fuel, most of the world’s nuclear waste today ends up in massive steel cylinders called dry casks — a temporary solution to a very, very long-term problem. Efforts to bury it deep underground for eternity — like Finland’s 500-metre-deep Onkalo repository — are making progress, but remain contentious and expensive. Meanwhile, expanding nuclear power in Europe continues to be a thorny issue, but the tide may be turning. Faced with the twin crises of climate change and energy insecurity, countries including the UK and France are pushing to expand nuclear power capacity, especially in small modular reactors.  Whether nuclear energy gets its moment back in the sun or not, Europe still has a massive nuclear waste problem. One that Thorizon hopes to clean up.   How will Thorizon’s plant work? Thorizon’s MSR operates at high temperatures but low pressure, making it safer and more efficient. If something goes wrong, the salt solidifies and contains the radioactive material, limiting the risk of leaks or explosions.  MSRs were first developed in the 1960s at the Oak Ridge National Laboratory in the US and showed great promise. But they never reached commercial viability, largely because housing the corrosive salts safely proved technically challenging and expensive.   To counter this, Thorizon’s design uses a system of cartridges. Each massive steel cylinder is filled with molten salt and a mix of spent fuel from traditional reactors and fresh thorium — a radioactive material much more abundant than uranium and safer to handle. The idea is that these cylinders can simply be replaced once the radioactive part of the fuel has largely been depleted. “The cartridge approach lets us isolate the most extreme conditions inside the reactor,” said Lauwers. “It’s modular, replaceable, and gives us a safe way to deal with radioactive materials.” Thorizon spun out from the Netherlands’ nuclear research institute NRG in 2018. It now employs around 50 engineers split between Amsterdam and Lyon. The company says it has completed its conceptual design and is engaged in regulatory talks with Dutch, French, and Belgian authorities.  Three pre-feasibility studies are underway for potential launch sites in France, the Netherlands, and Belgium. Industry partners, including Dutch manufacturing giant VDL, are helping prototype core components.   By blending spent uranium fuel with thorium in a molten salt reactor, Thorizon aims to create a cleaner, more sustainable source of nuclear energy. It could turn a huge nuclear waste problem into a solution for Europe’s clean energy future. But the benefits won’t come cheap.     Funding a nuclear waste renaissance  So far, Thorizon has raised €42.5mn, including funding from the French government and Dutch bodies such as Invest-NL and the Brabant Startup Fonds. However, that’s just a fraction of the €750mn it says it needs to begin building its prototype reactor.  The long timelines, strict regulations, and high upfront costs of nuclear startups typically make them a hard sell. “To bring the technology to life, public-private partnerships are crucial,” said Lauwers. “Some of the money being spent on burying nuclear waste could be instead diverted to reusing it.”  Government backing will be crucial, she said, as will venture capital. However, the CEO said that being based in Europe may put the company at a disadvantage from a funding perspective.  “In the US, relatively small teams have been able to scale much faster, obtain more private funding, and obtain their licenses,” she said. “Here in Europe, that can take longer.”  TerraPower and X-Power are two examples. Each SMR startup has raised over bn to commercialise its technology. In Europe, by contrast, no tech companies have attracted a fraction of that funding. However, if Thorizon manages to overcome the hurdles, it could hit three birds with one stone: cleaning up nuclear waste, reducing Europe’s reliance on fossil fuels, and supplying stable baseload power to homes and industries.   Story by Siôn Geschwindt Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicSiôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. 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    Nuclear waste could power Europe for decades. This startup plans to prove it
    Europe has been turning uranium into energy for over half a century. In the process, the continent has amassed vast stockpiles of nuclear waste. This radioactive material can take millions of years to become safe, and no one really knows what to do with it. Thorizon, a Franco-Dutch startup, has an idea: reuse the nuclear waste to generate new energy. The company is developing a small modular molten salt reactor (MSR) that runs on a mix of spent nuclear fuel and thorium, a radioactive metal with untapped potential.  Thorizon aims to begin construction of its first reactor, Thorizon One, within five years. Once complete, the plant is expected to produce 100 megawatts of electricity — enough to power around 100,000 homes or a major data centre. “We’re not just building a new type of reactor — we’re rethinking how we use the fuel we already have,” Thorizon’s CEO Kiki Leuwers told TNW. “Europe is sitting on a stockpile of valuable nuclear material. With the right technology, that waste becomes a resource.”  A 3D render of Thorizon’s nuclear reactor: Credit: Thorizon Register now When the radioactive uranium is used as fuel in a nuclear reactor, its atoms undergo fission, releasing heat. This heat is then used to produce steam, which spins a turbine to generate electricity. The radioactive waste produced in this process still retains around 90% of the uranium’s original energy. Lauwers estimates that Europe’s stockpiles of nuclear waste could power the entire region for 40 years. In the US, scientists believe it could power their country for around 100 years. Why aren’t we reusing nuclear waste? Countries including the US, France, and Japan have long understood the potential of reusing spent nuclear fuel. In the 1960s and ‘70s many so-called fast reactors were built — advanced designs capable of extracting more energy from nuclear fuel and even “breeding” new fuel from waste. But in the decades that followed, most were phased out. There were two key reasons: politics and economics. Fast reactors produce significant quantities of plutonium, the building block of atomic bombs. At the height of the Cold War, fears of nuclear proliferation prompted many countries, especially the US, to abandon efforts to recycle nuclear waste. At the same time, global uranium supplies turned out to be far more abundant than expected. Discoveries of deposits in Australia, Canada, and Africa drove prices down, making it cheaper to mine fresh uranium than to invest in recycling infrastructure. Combined, these factors put radioactive recycling on ice.   While France and Japan still reprocess some of their used fuel, most of the world’s nuclear waste today ends up in massive steel cylinders called dry casks — a temporary solution to a very, very long-term problem. Efforts to bury it deep underground for eternity — like Finland’s 500-metre-deep Onkalo repository — are making progress, but remain contentious and expensive. Meanwhile, expanding nuclear power in Europe continues to be a thorny issue, but the tide may be turning. Faced with the twin crises of climate change and energy insecurity, countries including the UK and France are pushing to expand nuclear power capacity, especially in small modular reactors (SMRs).  Whether nuclear energy gets its moment back in the sun or not, Europe still has a massive nuclear waste problem. One that Thorizon hopes to clean up.   How will Thorizon’s plant work? Thorizon’s MSR operates at high temperatures but low pressure, making it safer and more efficient. If something goes wrong, the salt solidifies and contains the radioactive material, limiting the risk of leaks or explosions.  MSRs were first developed in the 1960s at the Oak Ridge National Laboratory in the US and showed great promise. But they never reached commercial viability, largely because housing the corrosive salts safely proved technically challenging and expensive.   To counter this, Thorizon’s design uses a system of cartridges. Each massive steel cylinder is filled with molten salt and a mix of spent fuel from traditional reactors and fresh thorium — a radioactive material much more abundant than uranium and safer to handle. The idea is that these cylinders can simply be replaced once the radioactive part of the fuel has largely been depleted. “The cartridge approach lets us isolate the most extreme conditions inside the reactor,” said Lauwers. “It’s modular, replaceable, and gives us a safe way to deal with radioactive materials.” Thorizon spun out from the Netherlands’ nuclear research institute NRG in 2018. It now employs around 50 engineers split between Amsterdam and Lyon. The company says it has completed its conceptual design and is engaged in regulatory talks with Dutch, French, and Belgian authorities.  Three pre-feasibility studies are underway for potential launch sites in France, the Netherlands, and Belgium. Industry partners, including Dutch manufacturing giant VDL, are helping prototype core components.   By blending spent uranium fuel with thorium in a molten salt reactor, Thorizon aims to create a cleaner, more sustainable source of nuclear energy. It could turn a huge nuclear waste problem into a solution for Europe’s clean energy future. But the benefits won’t come cheap.     Funding a nuclear waste renaissance  So far, Thorizon has raised €42.5mn, including funding from the French government and Dutch bodies such as Invest-NL and the Brabant Startup Fonds. However, that’s just a fraction of the €750mn it says it needs to begin building its prototype reactor.  The long timelines, strict regulations, and high upfront costs of nuclear startups typically make them a hard sell. “To bring the technology to life, public-private partnerships are crucial,” said Lauwers. “Some of the money being spent on burying nuclear waste could be instead diverted to reusing it.”  Government backing will be crucial, she said, as will venture capital. However, the CEO said that being based in Europe may put the company at a disadvantage from a funding perspective.  “In the US, relatively small teams have been able to scale much faster, obtain more private funding, and obtain their licenses,” she said. “Here in Europe, that can take longer.”  TerraPower and X-Power are two examples. Each SMR startup has raised over $1bn to commercialise its technology. In Europe, by contrast, no tech companies have attracted a fraction of that funding. However, if Thorizon manages to overcome the hurdles, it could hit three birds with one stone: cleaning up nuclear waste, reducing Europe’s reliance on fossil fuels, and supplying stable baseload power to homes and industries.   Story by Siôn Geschwindt Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehic (show all) Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. 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