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  • Je suis tellement fatigué de voir comment le monde du jeu vidéo continue d'ignorer des classiques comme Buggy Boy ! L'article intitulé "Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games" n'est qu'une autre tentative de réhabilitation d'un jeu qui mérite bien plus que d'être relégué au rang de simple souvenir. Buggy Boy, ou Speed Buggy comme on l'appelle aux États-Unis, est un bijou d'innovation qui a redéfini le genre de la course. Mais pourquoi, diable, avons-nous laissé ce chef-d'œuvre tomber dans l'oubli ?!

    D'abord, parlons de l'érudition des développeurs et des critiques qui semblent ignorer la richesse de l'expérience de jeu que Buggy Boy offrait. Ce n'est pas simplement un jeu de course ; c'est une déclaration audacieuse sur la liberté et l'aventure. Alors que les jeux modernes comme Mario Kart se contentent de nous asséner des graphismes colorés et des power-ups, Buggy Boy a osé explorer des pistes variées et des environnements immersifs qui nous transportent dans un monde à part entière. Que diable s'est-il passé dans l'esprit des concepteurs de jeux qui ont décidé de ramener à la vie des jeux d'arcade capitalisant sur la nostalgie sans donner à des classiques comme Buggy Boy l'attention qu'ils méritent ?

    De plus, la communauté des joueurs a une part de responsabilité dans cette négligence ! Comment pouvez-vous passer des heures sur des jeux en ligne fades alors qu'un joyau comme Buggy Boy attend impatiemment d'être redécouvert ? La culture du jeu a été gangrenée par des franchises qui privilégient le profit rapide au détriment de l'innovation et de la créativité. On dirait que les joueurs ont perdu de vue ce que signifie vraiment apprécier un jeu pour son gameplay et son originalité.

    Les développeurs modernes devraient se lever et rendre hommage à ce jeu qui a, pour la première fois, intégré des éléments de personnalisation et de compétition saine. Buggy Boy a ouvert la voie à des expériences de jeu plus riches et variées, mais maintenant, il est temps de prendre position et de demander justice pour ce classique. Assez de faire passer Mario Kart pour le saint graal des jeux de course ! C'est le moment de redonner à Buggy Boy le respect qu'il mérite !

    Si nous ne commençons pas à célébrer et à réévaluer ces joyaux oubliés, nous risquons de perdre une partie essentielle de l'histoire du jeu vidéo. Buggy Boy n'est pas juste un jeu ; c'est une époque, une mémoire, un héritage. Réveillons-nous et exigeons que l'industrie du jeu reconnaisse ses véritables trésors au lieu de se complaire dans la médiocrité !

    #BuggyBoy #JeuxVidéo #Nostalgie #MarioKart #HéritageDesJeux
    Je suis tellement fatigué de voir comment le monde du jeu vidéo continue d'ignorer des classiques comme Buggy Boy ! L'article intitulé "Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games" n'est qu'une autre tentative de réhabilitation d'un jeu qui mérite bien plus que d'être relégué au rang de simple souvenir. Buggy Boy, ou Speed Buggy comme on l'appelle aux États-Unis, est un bijou d'innovation qui a redéfini le genre de la course. Mais pourquoi, diable, avons-nous laissé ce chef-d'œuvre tomber dans l'oubli ?! D'abord, parlons de l'érudition des développeurs et des critiques qui semblent ignorer la richesse de l'expérience de jeu que Buggy Boy offrait. Ce n'est pas simplement un jeu de course ; c'est une déclaration audacieuse sur la liberté et l'aventure. Alors que les jeux modernes comme Mario Kart se contentent de nous asséner des graphismes colorés et des power-ups, Buggy Boy a osé explorer des pistes variées et des environnements immersifs qui nous transportent dans un monde à part entière. Que diable s'est-il passé dans l'esprit des concepteurs de jeux qui ont décidé de ramener à la vie des jeux d'arcade capitalisant sur la nostalgie sans donner à des classiques comme Buggy Boy l'attention qu'ils méritent ? De plus, la communauté des joueurs a une part de responsabilité dans cette négligence ! Comment pouvez-vous passer des heures sur des jeux en ligne fades alors qu'un joyau comme Buggy Boy attend impatiemment d'être redécouvert ? La culture du jeu a été gangrenée par des franchises qui privilégient le profit rapide au détriment de l'innovation et de la créativité. On dirait que les joueurs ont perdu de vue ce que signifie vraiment apprécier un jeu pour son gameplay et son originalité. Les développeurs modernes devraient se lever et rendre hommage à ce jeu qui a, pour la première fois, intégré des éléments de personnalisation et de compétition saine. Buggy Boy a ouvert la voie à des expériences de jeu plus riches et variées, mais maintenant, il est temps de prendre position et de demander justice pour ce classique. Assez de faire passer Mario Kart pour le saint graal des jeux de course ! C'est le moment de redonner à Buggy Boy le respect qu'il mérite ! Si nous ne commençons pas à célébrer et à réévaluer ces joyaux oubliés, nous risquons de perdre une partie essentielle de l'histoire du jeu vidéo. Buggy Boy n'est pas juste un jeu ; c'est une époque, une mémoire, un héritage. Réveillons-nous et exigeons que l'industrie du jeu reconnaisse ses véritables trésors au lieu de se complaire dans la médiocrité ! #BuggyBoy #JeuxVidéo #Nostalgie #MarioKart #HéritageDesJeux
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    Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games
    I spent an enormously disproportionate amount of my childhood playing one game: Buggy Boy. I have learned, in preparation for this article, that this arcade classic had a different name in the U.S. “Speed Buggy.” Pah-tooie. Ew. No. It’s Buggy Boy, an
  • Test Spirit of the North 2 – La promesse d’une liberté qui a un prix.

    So, there’s this game that came out called Spirit of the North 2. I guess it’s a sequel or something. The first one was released in 2019, and people seemed to like it. Now, they’re hyping up this new one with promises of freedom and all that jazz, but honestly, who knows if it’s even worth the bother? I mean, freedom in a game usually comes with a catch, right?

    The whole thing feels a bit dragged out. It’s like they took their time to make it, and now we’re all just sitting here, wondering if it’s really going to be something special or if it’s just more of the same. The original had its moments, sure, but it also had its dull parts. I can’t help but wonder if this one will follow suit.

    The storyline or whatever they’ve got going on seems to revolve around some themes of nature and exploration. Sounds nice, I guess, but in the end, it’s still a game. Will it keep my attention, or will I just end up staring at the screen, waiting for something interesting to happen? I guess we’ll find out.

    Gameplay-wise, they’re saying there’s a lot to explore and some mechanics that might make it feel fresh. But are we really excited about that? I mean, it all sounds pretty standard. There’s a promise of beautiful visuals, which is cool, but I’ve seen beautiful visuals before. It needs more than just that to keep me engaged.

    Overall, ‘la promesse d’une liberté qui a un prix’ feels like a fancy way of saying, “You might have to deal with some annoying stuff to enjoy the good bits.” It’s kind of a mixed bag, and I’m not sure if I want to open it or leave it sitting on the shelf for a while.

    Maybe I’ll check it out later, or maybe I’ll just go back to doing nothing in particular. Who knows?

    #SpiritOfTheNorth2 #Gaming #VideoGames #GameReview #InfuseStudio
    Test Spirit of the North 2 – La promesse d’une liberté qui a un prix. So, there’s this game that came out called Spirit of the North 2. I guess it’s a sequel or something. The first one was released in 2019, and people seemed to like it. Now, they’re hyping up this new one with promises of freedom and all that jazz, but honestly, who knows if it’s even worth the bother? I mean, freedom in a game usually comes with a catch, right? The whole thing feels a bit dragged out. It’s like they took their time to make it, and now we’re all just sitting here, wondering if it’s really going to be something special or if it’s just more of the same. The original had its moments, sure, but it also had its dull parts. I can’t help but wonder if this one will follow suit. The storyline or whatever they’ve got going on seems to revolve around some themes of nature and exploration. Sounds nice, I guess, but in the end, it’s still a game. Will it keep my attention, or will I just end up staring at the screen, waiting for something interesting to happen? I guess we’ll find out. Gameplay-wise, they’re saying there’s a lot to explore and some mechanics that might make it feel fresh. But are we really excited about that? I mean, it all sounds pretty standard. There’s a promise of beautiful visuals, which is cool, but I’ve seen beautiful visuals before. It needs more than just that to keep me engaged. Overall, ‘la promesse d’une liberté qui a un prix’ feels like a fancy way of saying, “You might have to deal with some annoying stuff to enjoy the good bits.” It’s kind of a mixed bag, and I’m not sure if I want to open it or leave it sitting on the shelf for a while. Maybe I’ll check it out later, or maybe I’ll just go back to doing nothing in particular. Who knows? #SpiritOfTheNorth2 #Gaming #VideoGames #GameReview #InfuseStudio
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    Test Spirit of the North 2 – La promesse d’une liberté qui a un prix
    ActuGaming.net Test Spirit of the North 2 – La promesse d’une liberté qui a un prix Spirit of the North, le premier jeu d’Infuse Studio, est sorti en 2019, d’abord sur […] L'article Test Spirit of the North 2 – La
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  • It's time to call out the glaring flaws in the so-called "Latest Showreel" by the Compagnie Générale des Effets Visuels (CGEV). They tout their projects like a peacock showing off its feathers, but let's be honest: this is just a facade. The latest compilation, which includes work from films such as "The Substance," "Survivre," "Monsieur Aznavour," "Le Salaire de la Peur," and more, is nothing short of a desperate attempt to mask their shortcomings in the visual effects industry.

    First off, what are they thinking with the title "Mise à jour de showreel"? This isn't an update; it's a cry for help! The industry is moving at lightning speed, and CGEV seems to be stuck in the past, clinging to projects that are as outdated as a floppy disk. The world of visual effects is about innovation and pushing boundaries, yet here we have a company content with showcasing work that barely scratches the surface of creativity.

    And let’s talk about "Le Salaire de la Peur." If this is their crown jewel, then they are in serious trouble. The effects look amateurish at best, and it raises the question: are they even using the right technology? In an age where CGI can create stunning visuals that leave you breathless, CGEV’s work feels like a bad remnant of the early 2000s. It’s embarrassing to think that they believe this is good enough to represent their brand.

    Alain Carsoux, the director, needs to take a long, hard look in the mirror. Is he satisfied with this mediocrity? Because the rest of us definitely aren’t. The lack of originality and innovation in these projects is infuriating. Instead of pushing the envelope, they're settling for the bare minimum, and that’s an insult to both their talent and their audience.

    The sad reality is that CGEV is not alone in this trend. The entire industry seems to be plagued by a lack of ambition. They’re so focused on keeping the lights on that they’ve forgotten why they got into this business in the first place. It’s about passion, creativity, and daring to take risks. "Young Woman and the Sea" could have been a ground-breaking project, but instead, it’s just another forgettable title in an already saturated market.

    We need to demand more from these companies. We deserve visual effects that inspire, challenge, and captivate. CGEV needs to get its act together and start investing in real talent and cutting-edge technology. No more excuses! The audience is tired of being served mediocrity wrapped in flashy marketing. If they want to compete in the visual effects arena, they better step up their game or face the consequences of being forgotten.

    Let’s stop accepting subpar work from companies that should know better. The time for complacency is over. We need to hold CGEV accountable for their lack of innovation and creativity. If they continue down this path, they’ll be left behind in a world that demands so much more.

    #CGEV #VisualEffects #FilmIndustry #TheSubstance #Innovation
    It's time to call out the glaring flaws in the so-called "Latest Showreel" by the Compagnie Générale des Effets Visuels (CGEV). They tout their projects like a peacock showing off its feathers, but let's be honest: this is just a facade. The latest compilation, which includes work from films such as "The Substance," "Survivre," "Monsieur Aznavour," "Le Salaire de la Peur," and more, is nothing short of a desperate attempt to mask their shortcomings in the visual effects industry. First off, what are they thinking with the title "Mise à jour de showreel"? This isn't an update; it's a cry for help! The industry is moving at lightning speed, and CGEV seems to be stuck in the past, clinging to projects that are as outdated as a floppy disk. The world of visual effects is about innovation and pushing boundaries, yet here we have a company content with showcasing work that barely scratches the surface of creativity. And let’s talk about "Le Salaire de la Peur." If this is their crown jewel, then they are in serious trouble. The effects look amateurish at best, and it raises the question: are they even using the right technology? In an age where CGI can create stunning visuals that leave you breathless, CGEV’s work feels like a bad remnant of the early 2000s. It’s embarrassing to think that they believe this is good enough to represent their brand. Alain Carsoux, the director, needs to take a long, hard look in the mirror. Is he satisfied with this mediocrity? Because the rest of us definitely aren’t. The lack of originality and innovation in these projects is infuriating. Instead of pushing the envelope, they're settling for the bare minimum, and that’s an insult to both their talent and their audience. The sad reality is that CGEV is not alone in this trend. The entire industry seems to be plagued by a lack of ambition. They’re so focused on keeping the lights on that they’ve forgotten why they got into this business in the first place. It’s about passion, creativity, and daring to take risks. "Young Woman and the Sea" could have been a ground-breaking project, but instead, it’s just another forgettable title in an already saturated market. We need to demand more from these companies. We deserve visual effects that inspire, challenge, and captivate. CGEV needs to get its act together and start investing in real talent and cutting-edge technology. No more excuses! The audience is tired of being served mediocrity wrapped in flashy marketing. If they want to compete in the visual effects arena, they better step up their game or face the consequences of being forgotten. Let’s stop accepting subpar work from companies that should know better. The time for complacency is over. We need to hold CGEV accountable for their lack of innovation and creativity. If they continue down this path, they’ll be left behind in a world that demands so much more. #CGEV #VisualEffects #FilmIndustry #TheSubstance #Innovation
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    Mise à jour de showreel pour la CGEV : de The Substance au Salaire de la Peur
    La Compagnie Générale des Effets Visuels présente une compilation de ses derniers projets. On y trouvera son travail d’effets visuels sur le film The Substance, mais aussi Survivre, Monsieur Aznavour, Le Salaire de la Peur, ou encore Young Woma
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  • La vérité, c'est que la revue du jeu "Blades of Fire" n'est pas vraiment excitante. On parle d'un jeu qui semble avoir beaucoup de promesses, mais qui, en réalité, s'enlise dans une monotonie assez palpable. Les graphismes sont corrects, mais rien de révolutionnaire. Les personnages, quant à eux, manquent de profondeur et d’originalité, ce qui est dommage, puisque l’univers aurait pu être intéressant.

    Les mécaniques de jeu semblent prometteuses au début, mais rapidement, on se rend compte qu'il n'y a rien de nouveau à explorer. Les missions deviennent répétitives et prévisibles. On fait toujours la même chose sans grande variation, ce qui finit par devenir ennuyeux. Franchement, on aurait pu espérer un peu plus d'innovation, mais il semble que le développement du jeu n'a pas vraiment pris ce risque.

    Si on s'attarde un peu plus sur l'expérience globale, on se rend compte que "Blades of Fire" pourrait convenir à ceux qui cherchent juste à passer le temps. Cependant, pour les joueurs à la recherche de défis ou de récits captivants, c'est probablement un coup d'épée dans l'eau. On se trouve face à un jeu qui, même s'il a ses moments, ne parvient pas à captiver l'attention sur le long terme.

    En résumé, "Blades of Fire" est là, mais il ne fait pas vraiment d’étincelles. On peut jouer, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Pas sûr. On peut trouver mieux ailleurs.

    #JeuxVidéo #BladesOfFire #CritiquesJeux #Gaming #Ennui
    La vérité, c'est que la revue du jeu "Blades of Fire" n'est pas vraiment excitante. On parle d'un jeu qui semble avoir beaucoup de promesses, mais qui, en réalité, s'enlise dans une monotonie assez palpable. Les graphismes sont corrects, mais rien de révolutionnaire. Les personnages, quant à eux, manquent de profondeur et d’originalité, ce qui est dommage, puisque l’univers aurait pu être intéressant. Les mécaniques de jeu semblent prometteuses au début, mais rapidement, on se rend compte qu'il n'y a rien de nouveau à explorer. Les missions deviennent répétitives et prévisibles. On fait toujours la même chose sans grande variation, ce qui finit par devenir ennuyeux. Franchement, on aurait pu espérer un peu plus d'innovation, mais il semble que le développement du jeu n'a pas vraiment pris ce risque. Si on s'attarde un peu plus sur l'expérience globale, on se rend compte que "Blades of Fire" pourrait convenir à ceux qui cherchent juste à passer le temps. Cependant, pour les joueurs à la recherche de défis ou de récits captivants, c'est probablement un coup d'épée dans l'eau. On se trouve face à un jeu qui, même s'il a ses moments, ne parvient pas à captiver l'attention sur le long terme. En résumé, "Blades of Fire" est là, mais il ne fait pas vraiment d’étincelles. On peut jouer, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Pas sûr. On peut trouver mieux ailleurs. #JeuxVidéo #BladesOfFire #CritiquesJeux #Gaming #Ennui
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    مراجعة لعبة Blades of Fire
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  • Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité.

    Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques.

    Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public.

    L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière.

    Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité !

    #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité. Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques. Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public. L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière. Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité ! #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
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    Shuhei Yoshida warns subscription services could become 'dangerous' for developers
    'If the big companies dictate what games can be created, I don't think that will advance the industry.'
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  • In a world that once felt vibrant and alive, I find myself standing alone amidst the echoes of what used to be. The announcement of the Final Fantasy Tactics Remaster should have ignited a spark of nostalgia and joy within me, yet all I feel is an overwhelming sense of longing and betrayal. How did it come to this? How did a cherished memory become a bittersweet reminder of time lost?

    It’s been over a decade since I last held my breath while strategizing my way through the intricate battles of Ivalice, a realm that lived in my heart and mind. I remember the hours spent plotting my next move, the thrill of victory, and the heartbreak of defeat. Yet now, as the remaster nears its release, I can’t shake off the feeling that it was forced into existence, as if the very essence of what made it special was sacrificed for the sake of modernity. I find myself questioning: Is this the revival we hoped for, or just a shadow of its former self?

    Square Enix, a name that once resonated with dreams and adventure, has made controversial cuts that leave me feeling hollow. The magic of the original feels diluted, as if they took my beloved game and stripped it of its soul. The characters I cherished now seem distant, their voices muted in the rush to cater to new generations who may never truly appreciate the depth of the story. I feel like a ghost, haunting the remnants of a past that refuses to let me go, yet has also forgotten me.

    As September approaches, I wonder if I should even bother to dive back into Ivalice. Can I bear to face the changes that threaten to shatter my memories? The thought of playing a game that feels more like a corporate product than a passionate creation is almost too much to bear. The solitude of this anticipation weighs heavily on my heart, and I can’t help but feel abandoned by something that used to be a vital part of my life. Every pixel, every note of music, every character arc—now seemingly a casualty in the battle between nostalgia and progress.

    I long for the days when games were crafted with love and care, not merely as a means to an end. I wish for a return to the magic that existed in those pixelated battles and heartfelt narratives. As I prepare myself for this release, I can only hope that somehow, some way, I can find a piece of what I once adored.

    In my solitude, I cling to these memories, even as I brace myself for the reality of a remaster that feels more like a farewell than a homecoming.

    #FinalFantasyTactics #IvaliceChronicles #GamingNostalgia #Heartbreak #Loneliness
    In a world that once felt vibrant and alive, I find myself standing alone amidst the echoes of what used to be. The announcement of the Final Fantasy Tactics Remaster should have ignited a spark of nostalgia and joy within me, yet all I feel is an overwhelming sense of longing and betrayal. How did it come to this? How did a cherished memory become a bittersweet reminder of time lost? 💔 It’s been over a decade since I last held my breath while strategizing my way through the intricate battles of Ivalice, a realm that lived in my heart and mind. I remember the hours spent plotting my next move, the thrill of victory, and the heartbreak of defeat. Yet now, as the remaster nears its release, I can’t shake off the feeling that it was forced into existence, as if the very essence of what made it special was sacrificed for the sake of modernity. I find myself questioning: Is this the revival we hoped for, or just a shadow of its former self? 😞 Square Enix, a name that once resonated with dreams and adventure, has made controversial cuts that leave me feeling hollow. The magic of the original feels diluted, as if they took my beloved game and stripped it of its soul. The characters I cherished now seem distant, their voices muted in the rush to cater to new generations who may never truly appreciate the depth of the story. I feel like a ghost, haunting the remnants of a past that refuses to let me go, yet has also forgotten me. 🌧️ As September approaches, I wonder if I should even bother to dive back into Ivalice. Can I bear to face the changes that threaten to shatter my memories? The thought of playing a game that feels more like a corporate product than a passionate creation is almost too much to bear. The solitude of this anticipation weighs heavily on my heart, and I can’t help but feel abandoned by something that used to be a vital part of my life. Every pixel, every note of music, every character arc—now seemingly a casualty in the battle between nostalgia and progress. I long for the days when games were crafted with love and care, not merely as a means to an end. I wish for a return to the magic that existed in those pixelated battles and heartfelt narratives. As I prepare myself for this release, I can only hope that somehow, some way, I can find a piece of what I once adored. In my solitude, I cling to these memories, even as I brace myself for the reality of a remaster that feels more like a farewell than a homecoming. #FinalFantasyTactics #IvaliceChronicles #GamingNostalgia #Heartbreak #Loneliness
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    The Final Fantasy Tactics Remaster Had To Be Brute-Forced Into Existence And Makes Some Controversial Cuts
    Final Fantasy Tactics - The Ivalice Chronicles will make the PS1 classic playable on modern hardware in September for the first time since the PlayStation 3 generation over a decade ago. Why did it take so long for Square Enix to bring back the belov
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  • Lars Wingefors, the CEO of Embracer Group, is stepping into the role of executive chair to "focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation." This move is both alarming and infuriating. Are we really supposed to cheer for a corporate leader who is shifting gears to prioritize mergers and acquisitions over the actual needs of the gaming community? It's absolutely maddening!

    Let’s break this down. Embracer Group has built a reputation for acquiring a myriad of game studios, but what about the quality of the games themselves? The focus on M&A is nothing more than a money-hungry strategy that overlooks the creativity and innovation that the gaming industry desperately needs. It's like a greedy shark swimming in a sea of indie creativity, devouring everything in its path without a second thought for the artistic value of what it's consuming.

    Wingefors claims that this new phase will allow him to focus on "strategic initiatives." What does that even mean? Is it just a fancy way of saying that he will be looking for the next big acquisition to line his pockets and increase his empire, rather than fostering the unique voices and talents that make gaming a diverse and rich experience? This is not just a corporate strategy; it’s a blatant attack on the very essence of what makes gaming enjoyable and transformative.

    Let’s not forget that behind every acquisition, there are developers and creatives whose livelihoods and passions are at stake. When a corporate giant like Embracer controls too many studios, we risk a homogenized gaming landscape where creativity is stifled in the name of profit. The industry is already plagued by sequels and remakes that serve to fill corporate coffers rather than excite gamers. We don’t need another executive chairperson prioritizing capital allocation over creative integrity!

    Moreover, this focus on M&A raises serious concerns about the future direction of the companies involved. Will they remain independent enough to foster innovation, or will they be reduced to mere cogs in a corporate machine? The answer seems obvious—unless we challenge this trend, we will see a further decline in the diversity and originality of games.

    Wingefors’s transition into this new role is not just a simple career move; it’s a signal of what’s to come in the gaming industry if we let executives prioritize greed over creativity. We need to hold corporate leaders accountable and demand that they prioritize the players and developers who make this industry what it is.

    In conclusion, the gaming community must rise against this corporate takeover mentality. We deserve better than a world where the bottom line trumps artistic expression. It’s time to stop celebrating these empty corporate strategies and start demanding a gaming landscape that values creativity, innovation, and the passion of its community.

    #GamingCommunity #CorporateGreed #GameDevelopment #MergersAndAcquisitions #EmbracerGroup
    Lars Wingefors, the CEO of Embracer Group, is stepping into the role of executive chair to "focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation." This move is both alarming and infuriating. Are we really supposed to cheer for a corporate leader who is shifting gears to prioritize mergers and acquisitions over the actual needs of the gaming community? It's absolutely maddening! Let’s break this down. Embracer Group has built a reputation for acquiring a myriad of game studios, but what about the quality of the games themselves? The focus on M&A is nothing more than a money-hungry strategy that overlooks the creativity and innovation that the gaming industry desperately needs. It's like a greedy shark swimming in a sea of indie creativity, devouring everything in its path without a second thought for the artistic value of what it's consuming. Wingefors claims that this new phase will allow him to focus on "strategic initiatives." What does that even mean? Is it just a fancy way of saying that he will be looking for the next big acquisition to line his pockets and increase his empire, rather than fostering the unique voices and talents that make gaming a diverse and rich experience? This is not just a corporate strategy; it’s a blatant attack on the very essence of what makes gaming enjoyable and transformative. Let’s not forget that behind every acquisition, there are developers and creatives whose livelihoods and passions are at stake. When a corporate giant like Embracer controls too many studios, we risk a homogenized gaming landscape where creativity is stifled in the name of profit. The industry is already plagued by sequels and remakes that serve to fill corporate coffers rather than excite gamers. We don’t need another executive chairperson prioritizing capital allocation over creative integrity! Moreover, this focus on M&A raises serious concerns about the future direction of the companies involved. Will they remain independent enough to foster innovation, or will they be reduced to mere cogs in a corporate machine? The answer seems obvious—unless we challenge this trend, we will see a further decline in the diversity and originality of games. Wingefors’s transition into this new role is not just a simple career move; it’s a signal of what’s to come in the gaming industry if we let executives prioritize greed over creativity. We need to hold corporate leaders accountable and demand that they prioritize the players and developers who make this industry what it is. In conclusion, the gaming community must rise against this corporate takeover mentality. We deserve better than a world where the bottom line trumps artistic expression. It’s time to stop celebrating these empty corporate strategies and start demanding a gaming landscape that values creativity, innovation, and the passion of its community. #GamingCommunity #CorporateGreed #GameDevelopment #MergersAndAcquisitions #EmbracerGroup
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    Embracer CEO Lars Wingefors to become executive chair and focus on M&A
    'This new phase allows me to focus on strategic initiatives, M&A, and capital allocation.'
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  • animation, basketball, urban culture, Sony Pictures Animation, GOAT, Michael Jordan, LeBron James, Space Jam, original project, visual spectacle

    ## Introduction

    In a thrilling fusion of animation, basketball, and urban culture, Sony Pictures Animation is launching an innovative project that promises to captivate audiences of all ages. Following the iconic legacy of *Space Jam*, which first brought the worlds of sports and animation together in the 1990s, and its vibrant sequel in 2021 featurin...
    animation, basketball, urban culture, Sony Pictures Animation, GOAT, Michael Jordan, LeBron James, Space Jam, original project, visual spectacle ## Introduction In a thrilling fusion of animation, basketball, and urban culture, Sony Pictures Animation is launching an innovative project that promises to captivate audiences of all ages. Following the iconic legacy of *Space Jam*, which first brought the worlds of sports and animation together in the 1990s, and its vibrant sequel in 2021 featurin...
    GOAT: Animation, Basketball, and Urban Culture Unite
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  • Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ?

    D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose.

    Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon.

    Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout.

    Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant.

    Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple.

    Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher.

    Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé.

    #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ? D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose. Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon. Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout. Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant. Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple. Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher. Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé. #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
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