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  • Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité.

    Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques.

    Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public.

    L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière.

    Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité !

    #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité. Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques. Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public. L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière. Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité ! #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Shuhei Yoshida warns subscription services could become 'dangerous' for developers
    'If the big companies dictate what games can be created, I don't think that will advance the industry.'
  • Laptops are everywhere, and for CAD work, you really just need something that runs the software without crashing. So, there are these three laptops that are supposedly perfect for CAD. They’re on sale, which is nice, I guess. But honestly, who has the energy to care that much about discounts?

    The first one is just a standard model, nothing fancy. It has a decent processor and enough RAM to handle basic CAD tasks. It’s probably fine for most people, though I can’t say it’s exciting. The screen is okay, I mean, it shows things. So, if you need to do some drafting, it might get the job done. But really, it’s just another laptop.

    Then there’s the second option, which is slightly better, I think. It has a bit more power, which might make it more suitable for heavier CAD applications. But honestly, if you’re just sketching out ideas, do you really need that? The battery life isn’t terrible, but you’ll probably still find yourself looking for an outlet halfway through the day.

    Lastly, there’s the third laptop, and it’s kind of a mixed bag. It’s got some features that are nice, like a touchscreen or whatever. But again, who actually uses that? The performance is solid if you’re into that sort of thing. But if you’re just doing the basics, you might not even notice the difference.

    So, yeah, these three laptops are marked as perfect for CAD. They’re discounted, which might be a reason to look at them. But honestly, if you’re not super into CAD or just need something to get by, any random laptop will probably do. Just pick one, and let’s move on with life.

    #CAD #Laptops #DiscountedPrices #TechBoredom #ProductRecommendations
    Laptops are everywhere, and for CAD work, you really just need something that runs the software without crashing. So, there are these three laptops that are supposedly perfect for CAD. They’re on sale, which is nice, I guess. But honestly, who has the energy to care that much about discounts? The first one is just a standard model, nothing fancy. It has a decent processor and enough RAM to handle basic CAD tasks. It’s probably fine for most people, though I can’t say it’s exciting. The screen is okay, I mean, it shows things. So, if you need to do some drafting, it might get the job done. But really, it’s just another laptop. Then there’s the second option, which is slightly better, I think. It has a bit more power, which might make it more suitable for heavier CAD applications. But honestly, if you’re just sketching out ideas, do you really need that? The battery life isn’t terrible, but you’ll probably still find yourself looking for an outlet halfway through the day. Lastly, there’s the third laptop, and it’s kind of a mixed bag. It’s got some features that are nice, like a touchscreen or whatever. But again, who actually uses that? The performance is solid if you’re into that sort of thing. But if you’re just doing the basics, you might not even notice the difference. So, yeah, these three laptops are marked as perfect for CAD. They’re discounted, which might be a reason to look at them. But honestly, if you’re not super into CAD or just need something to get by, any random laptop will probably do. Just pick one, and let’s move on with life. #CAD #Laptops #DiscountedPrices #TechBoredom #ProductRecommendations
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    3 laptops perfect for CAD – and they're all discounted
    Recommendations straight from the experts.
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen?

    Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right?

    And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?”

    Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight.

    And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato?

    In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next!

    #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
    Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen? Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right? And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?” Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight. And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato? In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next! #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
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    Minecraft, le film : succès massif et fuite en ligne
    C’est un carton ! Minecraft, le film, qui adapte au cinéma le célèbre jeu vidéo, a débarqué ce week-end dans le salles américaines. A la clé, le meilleur démarrage de l’année, avec des recettes estimées à 157 millions de dollars aux USA.
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