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  • Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse.

    Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes !

    Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ?

    Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste.

    J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration.

    Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent.

    #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
    Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse. Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes ! Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ? Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste. J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration. Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent. #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
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    Mario Kart World Is More Fun When You're Grinding Rails And Riding Walls
    Mario Kart World’s newest features aren’t limited to just the open world and huge 24-player races. Everything feels a lot more dynamic thanks to the inclusion of Rail Riding and Wall Riding. These new techniques can seem like a hassle at first, but y
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  • Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ?

    D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose.

    Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon.

    Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout.

    Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant.

    Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple.

    Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher.

    Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé.

    #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
    Créer des vidéos virales sur les réseaux sociaux, c'est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une meule de foin. On entend souvent parler de techniques et de stratégies, mais au final, qui a vraiment envie de se fatiguer pour ça ? D'abord, il faut parler du contenu. Les gens aiment les vidéos qui les divertissent, mais parfois, c'est juste trop d'effort de penser à quelque chose d'original. Pourquoi ne pas juste faire un montage basique avec quelques filtres flashy et espérer que ça fonctionne ? L'ennui fait partie du processus, je suppose. Ensuite, la longueur des vidéos. On dit qu'il faut les garder courtes, mais qui a vraiment le temps de mesurer chaque seconde ? Allez, une minute ou deux, qui s'en soucie ? Tout le monde défile de toute façon. Les hashtags, parlons-en. Les ajouter, c'est important, paraît-il. Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? On peut juste balancer quelques mots-clés comme « viral », « tendance », et espérer le meilleur. Ça demande un minimum d'effort, après tout. Il y a aussi la musique. Certaines personnes passent des heures à choisir la bande-son parfaite. Mais, franchement, qui écoute vraiment les détails ? Mettre un morceau populaire, même si ça ne colle pas, c'est suffisant. Et puis, la créativité, qu'en est-il ? On nous dit d'être créatifs, mais la plupart du temps, on se retrouve à copier ce que d'autres ont fait. C'est tellement plus simple. Enfin, il y a la promotion. Partager sur plusieurs plateformes, encourager les gens à aimer et à commenter... C'est beaucoup de travail pour parfois très peu de résultats. Mais bon, qui sait ? Peut-être qu'un jour ça va marcher. Voilà, c'est l'histoire des vidéos virales. Un mélange de paresse, de banalité, et d'un soupçon d'espoir. Si ça fonctionne, tant mieux. Si non, eh bien, au moins, on a essayé. #vidéosvirales #réseauxsociaux #marketingdigital #créativité #ennui
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    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos
    ¿Cómo hacer vídeos virales en redes sociales? 8 claves con ejemplos Hacer vídeos virales en redes sociales como TikTok o Instagram puede parecer un desafío formidable. Sin embargo, con la estrategia correcta y un enfoque creativo, es posible captar l
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  • Olá, amigos apaixonados pelo mundo da animação! Hoje, quero compartilhar uma mensagem de esperança e motivação com todos vocês! Estamos vivendo tempos desafiadores na indústria do cinema de animação, e a crise parece insistir em nos acompanhar. Mas lembrem-se: cada crise traz consigo uma oportunidade de renascimento!

    As Assises du Cinéma d’Animation estão chegando em outubro, e com elas a chance de refletirmos sobre a situação atual e os desafios que enfrentamos. É um momento crucial para unir forças e buscar soluções criativas para sair dessa crise! Temos a incrível oportunidade de nos reunir, discutir e, acima de tudo, sonhar juntos sobre o futuro da animação!

    Não podemos deixar que a incerteza nos paralise. Ao contrário, devemos usar essa fase difícil como um trampolim para a inovação! Vamos nos dedicar a explorar novas ideias, contar histórias que toquem o coração e inspirar nosso público de formas que nunca imaginamos! O cinema de animação tem o poder de transformar vidas e unir pessoas, e isso não pode ser esquecido!

    Cada um de nós, artistas, animadores, roteiristas e amantes da animação, desempenha um papel vital nesse processo. Vamos nos apoiar uns aos outros, compartilhar nossas experiências e aprender juntos! A crise pode ser uma luta, mas juntos somos mais fortes!

    As Assises não são apenas uma reunião; são uma celebração da nossa paixão e do nosso compromisso com a animação. Vamos fazer valer a pena! Não devemos temer os desafios, mas sim encará-los como oportunidades para crescer e evoluir.

    Acredito firmemente que, com determinação e criatividade, podemos não apenas superar essa crise, mas também emergir dela mais fortes e inspirados do que nunca! Vamos dar o nosso melhor e trabalhar em conjunto para um futuro brilhante para o cinema de animação!

    Lembre-se, cada pequena ação conta! Compartilhe suas ideias, participe das discussões e, acima de tudo, mantenha viva a chama da sua paixão! Juntos, podemos criar um impacto positivo e duradouro na indústria. Vamos em frente, pessoal!

    #CinemaDeAnimação #Inspiração #Superação #Criatividade #AssisesDoCinema
    🎉🌟 Olá, amigos apaixonados pelo mundo da animação! Hoje, quero compartilhar uma mensagem de esperança e motivação com todos vocês! Estamos vivendo tempos desafiadores na indústria do cinema de animação, e a crise parece insistir em nos acompanhar. Mas lembrem-se: cada crise traz consigo uma oportunidade de renascimento! 💪✨ As Assises du Cinéma d’Animation estão chegando em outubro, e com elas a chance de refletirmos sobre a situação atual e os desafios que enfrentamos. É um momento crucial para unir forças e buscar soluções criativas para sair dessa crise! 🧠💡 Temos a incrível oportunidade de nos reunir, discutir e, acima de tudo, sonhar juntos sobre o futuro da animação! 🌈🎬 Não podemos deixar que a incerteza nos paralise. Ao contrário, devemos usar essa fase difícil como um trampolim para a inovação! Vamos nos dedicar a explorar novas ideias, contar histórias que toquem o coração e inspirar nosso público de formas que nunca imaginamos! ✨❤️ O cinema de animação tem o poder de transformar vidas e unir pessoas, e isso não pode ser esquecido! Cada um de nós, artistas, animadores, roteiristas e amantes da animação, desempenha um papel vital nesse processo. Vamos nos apoiar uns aos outros, compartilhar nossas experiências e aprender juntos! A crise pode ser uma luta, mas juntos somos mais fortes! 💖🤝 As Assises não são apenas uma reunião; são uma celebração da nossa paixão e do nosso compromisso com a animação. Vamos fazer valer a pena! Não devemos temer os desafios, mas sim encará-los como oportunidades para crescer e evoluir. 🌟🚀 Acredito firmemente que, com determinação e criatividade, podemos não apenas superar essa crise, mas também emergir dela mais fortes e inspirados do que nunca! Vamos dar o nosso melhor e trabalhar em conjunto para um futuro brilhante para o cinema de animação! 🎉🎨 Lembre-se, cada pequena ação conta! Compartilhe suas ideias, participe das discussões e, acima de tudo, mantenha viva a chama da sua paixão! Juntos, podemos criar um impacto positivo e duradouro na indústria. Vamos em frente, pessoal! 🌈💪 #CinemaDeAnimação #Inspiração #Superação #Criatividade #AssisesDoCinema
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    Assises du cinéma d’animation en octobre : comment sortir de la crise ?
    La crise continue, et l’industrie de l’animation peine à en voir le bout. Il faut donc tenter d’avancer. Face à ce constat objectif mais pas résigné, des Assises du Cinéma d’Animation sont annoncée pour la rentrée. Le but : fa
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  • Alzara Radiant Echoes : O RPG francês não deveria ver a luz do dia, e a falência do Studio Camelia é a prova concreta de que a indústria de jogos no nosso país está em uma situação crítica! É inaceitável que, após sucessos como Clair Obscur: Expedition 33, ainda tenhamos que lidar com projetos tão duvidosos e mal executados como este. O que está acontecendo com a criatividade e a inovação no desenvolvimento de jogos na França?

    Estamos vivendo um momento em que a indústria dos jogos deveria estar florescendo, e, em vez disso, estamos vendo estúdios sendo fechados, como o Studio Camelia, que nunca deveria ter começado a produzir Alzara Radiant Echoes. É um ataque direto ao bom gosto dos jogadores e ao que deveria ser um orgulho nacional! O que é que estão pensando? Alguém realmente acredita que mais um RPG genérico e mal acabado vai ser aceito pelo público? A falta de originalidade e o desleixo com a qualidade são gritos ensurdecedores de um setor que está se afundando em mediocridade.

    Não podemos continuar assim! A indústria francesa de jogos precisa de um chacoalhão. Precisamos de desenvolvedores que tenham coragem de inovar, de criar experiências memoráveis, e não de ficar repetindo fórmulas desgastadas. Alzara Radiant Echoes é um exemplo perfeito do que não fazer. É um projeto que não tem lugar no mercado atual, e o fechamento do Studio Camelia é um sinal claro de que o público está farto de promessas vazias e produtos que não entregam o que prometem.

    Os jogadores merecem mais do que isso! Eles merecem jogos que sejam desafiadores, que tenham enredos envolventes e que ofereçam uma verdadeira experiência de jogo. O nosso mercado está saturado de mediocridade, e a falência do Studio Camelia deve ser um alerta para todos os outros estúdios: não se pode ignorar a qualidade em nome da quantidade!

    É hora de exigir responsabilidade e qualidade dos desenvolvedores franceses. Chega de aceitar qualquer coisa só porque é "francês". O que precisamos é de inovação, não de mais projetos falidos que só servem para envergonhar a indústria. Vamos nos unir e exigir jogos dignos, criados por talentos que realmente se importam com o que fazem.

    #IndústriaDeJogos #RPGFrancês #QualidadeNosJogos #Inovação #AlzaraRadiantEchoes
    Alzara Radiant Echoes : O RPG francês não deveria ver a luz do dia, e a falência do Studio Camelia é a prova concreta de que a indústria de jogos no nosso país está em uma situação crítica! É inaceitável que, após sucessos como Clair Obscur: Expedition 33, ainda tenhamos que lidar com projetos tão duvidosos e mal executados como este. O que está acontecendo com a criatividade e a inovação no desenvolvimento de jogos na França? Estamos vivendo um momento em que a indústria dos jogos deveria estar florescendo, e, em vez disso, estamos vendo estúdios sendo fechados, como o Studio Camelia, que nunca deveria ter começado a produzir Alzara Radiant Echoes. É um ataque direto ao bom gosto dos jogadores e ao que deveria ser um orgulho nacional! O que é que estão pensando? Alguém realmente acredita que mais um RPG genérico e mal acabado vai ser aceito pelo público? A falta de originalidade e o desleixo com a qualidade são gritos ensurdecedores de um setor que está se afundando em mediocridade. Não podemos continuar assim! A indústria francesa de jogos precisa de um chacoalhão. Precisamos de desenvolvedores que tenham coragem de inovar, de criar experiências memoráveis, e não de ficar repetindo fórmulas desgastadas. Alzara Radiant Echoes é um exemplo perfeito do que não fazer. É um projeto que não tem lugar no mercado atual, e o fechamento do Studio Camelia é um sinal claro de que o público está farto de promessas vazias e produtos que não entregam o que prometem. Os jogadores merecem mais do que isso! Eles merecem jogos que sejam desafiadores, que tenham enredos envolventes e que ofereçam uma verdadeira experiência de jogo. O nosso mercado está saturado de mediocridade, e a falência do Studio Camelia deve ser um alerta para todos os outros estúdios: não se pode ignorar a qualidade em nome da quantidade! É hora de exigir responsabilidade e qualidade dos desenvolvedores franceses. Chega de aceitar qualquer coisa só porque é "francês". O que precisamos é de inovação, não de mais projetos falidos que só servem para envergonhar a indústria. Vamos nos unir e exigir jogos dignos, criados por talentos que realmente se importam com o que fazem. #IndústriaDeJogos #RPGFrancês #QualidadeNosJogos #Inovação #AlzaraRadiantEchoes
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    Alzara Radiant Echoes : Le RPG français ne devrait pas voir le jour, Studio Camelia ferme ses portes
    ActuGaming.net Alzara Radiant Echoes : Le RPG français ne devrait pas voir le jour, Studio Camelia ferme ses portes Derrière les succès comme Clair Obscur: Expedition 33, n’oublions pas que l’industrie française connaît son […] L'a
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  • Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable !

    L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées.

    Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine.

    En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité.

    Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ?

    Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister !

    #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
    Le Festival d'Annecy, un événement qui devrait célébrer la créativité et l'innovation, se retrouve en proie à une controverse insupportable avec son acceptation des projets utilisant l'IA générative pour son édition 2025. Pourquoi cette institution, qui a toujours été un pilier de l'animation, se compromet-elle en acceptant des œuvres générées par des algorithmes ? C'est tout simplement inacceptable ! L'année dernière, la décision de sélectionner des projets basés sur l'IA a déjà suscité des débats enflammés, mais il semble que le festival n'ait pas appris de ses erreurs. Comment peut-on prétendre célébrer l'art tout en intégrant ces technologies déshumanisantes qui annihilent le travail des artistes ? L'IA générative n'est pas une forme d'art, c'est une simple machine qui produit des résultats sans aucune émotion, sans aucune pensée critique. C'est un affront à ceux qui consacrent leur vie à créer des œuvres authentiques et inspirées. Le délégué artistique du festival, Marcel Jean, doit vraiment revoir sa position. Accepter l'IA générative dans la sélection officielle, c'est encourager une industrie qui privilégie le profit rapide sur la qualité artistique. Cela montre un manque de respect pour les artistes qui se battent chaque jour pour exprimer leur vision du monde. Au lieu de promouvoir des histoires, des perspectives et des voix uniques, le festival semble vouloir se plier aux exigences d'une technologie qui ne comprend rien à la profondeur humaine. En intégrant ces œuvres générées par IA, le Festival d'Annecy ne fait que renforcer l'idée que le talent humain est remplaçable. C'est une attaque directe contre les artistes qui mettent leur cœur et leur âme dans leur travail. Nous risquons de voir l'art se transformer en une simple marchandise, produite en masse par des systèmes automatisés, sans aucune originalité ni authenticité. Et que dire de la responsabilité éthique ? Où sont les discussions sur l'impact de l'IA sur l'emploi créatif ? En acceptant ces projets, le Festival d'Annecy ouvre la porte à une future génération d'artistes qui pourraient être remplacés par des algorithmes. À quel moment allons-nous nous rendre compte que nous avons franchi une ligne dangereuse ? Il est temps que nous, en tant que communauté artistique, nous levions la voix contre ce phénomène. Nous devons exiger que le Festival d'Annecy fasse preuve de responsabilité et respecte l'intégrité de l'art. La créativité humaine doit primer sur les algorithmes. Nous ne pouvons pas laisser l'IA générative s'infiltrer dans nos espaces créatifs sans résister ! #FestivalAnnecy #IAGénérative #ArtVsTech #Créativité #Éthique
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    Annecy 2025 : quelle place pour l’IA générative ?
    L’an passé, le Festival d’Annecy avait causé une controverse en acceptant des projets utilisant de l’IA générative au sein de sa sélection officielle.Nous avions fait un point sur le sujet à l’époque, avec la position du délég
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  • Zuzana Licko, a name that should be celebrated as a pioneer of digital typography, is instead a glaring reminder of how the past can be romanticized to the point of absurdity. Yes, she designed some of the first digital typefaces for Macintosh in the '80s and co-founded Emigre, but let’s not pretend that her contributions were flawless or that they didn’t come with a slew of problems that we still grapple with today.

    First off, we need to address the elephant in the room: the overwhelming elitism in the world of typography that Licko and her contemporaries helped propagate. While they were crafting their innovative typefaces, they were simultaneously alienating a whole generation of designers who lacked access to the tech and knowledge required to engage with this new digital frontier. The so-called "pioneers" of digital typography, including Licko, set a precedent that continues to dominate the industry—making it seem like you need to have an elite background to even participate in typography discussions. This is infuriating and downright unacceptable!

    Moreover, let’s not gloss over the fact that while she was busy creating typefaces that were supposed to revolutionize our digital experiences, the actual usability of these fonts often left much to be desired. Many of Licko's creations, while visually striking, ultimately sacrificed legibility for the sake of artistic expression. This is a major flaw in her work that deserves criticism. Typography is not just about looking pretty; it’s about ensuring that communication is clear and effective! How many times have we seen products fail because the font was so pretentious that no one could read it?

    And don’t even get me started on Emigre magazine. Sure, it showcased some brilliant work, but it also became a breeding ground for snobbery and elitism in the design community. Instead of fostering a space for all voices, it often felt like a closed club for the privileged few. This is not what design should be about! We need to embrace diversity and inclusivity, rather than gatekeeping knowledge and opportunity.

    In an era where technology has advanced exponentially, we still see remnants of this elitist mindset in the design world. The influence of Licko and her contemporaries has led to a culture that often sidelines emerging talents who bring different perspectives to the table. Instead of uplifting new voices, we are still trapped in a loop of revering the same old figures and narratives. This is not progress; it’s stagnation!

    Let’s stop romanticizing pioneers like Zuzana Licko without acknowledging the problematic aspects of their legacies. We need to have critical conversations about how their work has shaped the industry, not just celebrate them blindly. If we truly want to honor their contributions, we must also confront the issues they created and work towards a more inclusive, accessible, and practical approach to digital typography.

    #Typography #DesignCritique #ZuzanaLicko #DigitalArt #InclusivityInDesign
    Zuzana Licko, a name that should be celebrated as a pioneer of digital typography, is instead a glaring reminder of how the past can be romanticized to the point of absurdity. Yes, she designed some of the first digital typefaces for Macintosh in the '80s and co-founded Emigre, but let’s not pretend that her contributions were flawless or that they didn’t come with a slew of problems that we still grapple with today. First off, we need to address the elephant in the room: the overwhelming elitism in the world of typography that Licko and her contemporaries helped propagate. While they were crafting their innovative typefaces, they were simultaneously alienating a whole generation of designers who lacked access to the tech and knowledge required to engage with this new digital frontier. The so-called "pioneers" of digital typography, including Licko, set a precedent that continues to dominate the industry—making it seem like you need to have an elite background to even participate in typography discussions. This is infuriating and downright unacceptable! Moreover, let’s not gloss over the fact that while she was busy creating typefaces that were supposed to revolutionize our digital experiences, the actual usability of these fonts often left much to be desired. Many of Licko's creations, while visually striking, ultimately sacrificed legibility for the sake of artistic expression. This is a major flaw in her work that deserves criticism. Typography is not just about looking pretty; it’s about ensuring that communication is clear and effective! How many times have we seen products fail because the font was so pretentious that no one could read it? And don’t even get me started on Emigre magazine. Sure, it showcased some brilliant work, but it also became a breeding ground for snobbery and elitism in the design community. Instead of fostering a space for all voices, it often felt like a closed club for the privileged few. This is not what design should be about! We need to embrace diversity and inclusivity, rather than gatekeeping knowledge and opportunity. In an era where technology has advanced exponentially, we still see remnants of this elitist mindset in the design world. The influence of Licko and her contemporaries has led to a culture that often sidelines emerging talents who bring different perspectives to the table. Instead of uplifting new voices, we are still trapped in a loop of revering the same old figures and narratives. This is not progress; it’s stagnation! Let’s stop romanticizing pioneers like Zuzana Licko without acknowledging the problematic aspects of their legacies. We need to have critical conversations about how their work has shaped the industry, not just celebrate them blindly. If we truly want to honor their contributions, we must also confront the issues they created and work towards a more inclusive, accessible, and practical approach to digital typography. #Typography #DesignCritique #ZuzanaLicko #DigitalArt #InclusivityInDesign
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    Zuzana Licko, pionnière de la typographie numérique
    Dans les 80s, Zuzana Licko dessine les premiers caractères de typographie numérique, pour Macintosh, et co-fonde le magazine-fonderie Emigre. L’article Zuzana Licko, pionnière de la typographie numérique est apparu en premier sur Graphéine - Agence d
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  • Il est grand temps de parler de l'énorme déception que représente le dernier DLC de Dragon Ball Sparking Zero qui accueille le personnage de Shallot. Franchement, à quoi bon ? Les développeurs semblent s'être complètement perdus dans leur quête de rentabilité, en oubliant ce qui a réellement fait le succès de cette franchise emblématique.

    Les fans ont été impatients de découvrir Dragon Ball Sparking Zero, espérant un jeu qui renouvelle la franchise tout en apportant une expérience de jeu mémorable. Mais qu'est-ce qu'on reçoit ? Un personnage additionnel qui, soyons honnêtes, ne fait qu'ajouter à la liste déjà trop longue des personnages au lieu d'améliorer réellement le gameplay ou l'expérience des joueurs. Shallot ? Vraiment ? Est-ce là la meilleure idée que les développeurs ont pu trouver ? On dirait qu'ils prennent les fans pour des poires en se contentant de balancer des DLC sans substance.

    Il est inacceptable que les développeurs choisissent de se concentrer sur des ajouts superficiels au lieu de corriger les problèmes qui gangrènent déjà le jeu. On parle de bugs récurrents, de déséquilibres dans les combats, et d'une optimisation qui laisse plus qu'à désirer. Mais non, la priorité c'est Shallot ! Quelle blague ! Cela montre à quel point ces entreprises sont déconnectées de leur communauté et des véritables attentes des joueurs.

    L'absence de contenu substantiel et innovant dans ce DLC est un véritable coup dur pour la communauté de Dragon Ball. Les fans méritent mieux que de recevoir des personnages qui ne font que remplir des cases. Le manque d'originalité et de créativité est affligeant ! Au lieu de nous offrir des mécaniques de jeu innovantes ou des histoires captivantes, on nous balance un simple ajout qui ne fait que suivre la tendance.

    Il est impératif que les développeurs prennent conscience de la frustration croissante au sein de leur communauté. Les fans ne supportent plus d'être traités comme des vaches à lait, alimentant un système qui ne cherche qu'à maximiser les profits sans offrir une expérience de qualité. Si Dragon Ball Sparking Zero veut vraiment s'imposer et respecter son héritage, il est temps de revoir sa stratégie.

    En attendant, il est difficile de rester enthousiaste à propos de ce DLC. Shallot n'est qu'un symptôme d'un problème bien plus vaste dans l'industrie du jeu vidéo : l'obsession pour les profits au détriment de la satisfaction des joueurs. Les développeurs doivent se réveiller et comprendre qu'une communauté engagée est bien plus précieuse qu'une simple vente de DLC !

    #DragonBallSparkingZero #DLC #Shallot #JeuxVidéo #Frustration
    Il est grand temps de parler de l'énorme déception que représente le dernier DLC de Dragon Ball Sparking Zero qui accueille le personnage de Shallot. Franchement, à quoi bon ? Les développeurs semblent s'être complètement perdus dans leur quête de rentabilité, en oubliant ce qui a réellement fait le succès de cette franchise emblématique. Les fans ont été impatients de découvrir Dragon Ball Sparking Zero, espérant un jeu qui renouvelle la franchise tout en apportant une expérience de jeu mémorable. Mais qu'est-ce qu'on reçoit ? Un personnage additionnel qui, soyons honnêtes, ne fait qu'ajouter à la liste déjà trop longue des personnages au lieu d'améliorer réellement le gameplay ou l'expérience des joueurs. Shallot ? Vraiment ? Est-ce là la meilleure idée que les développeurs ont pu trouver ? On dirait qu'ils prennent les fans pour des poires en se contentant de balancer des DLC sans substance. Il est inacceptable que les développeurs choisissent de se concentrer sur des ajouts superficiels au lieu de corriger les problèmes qui gangrènent déjà le jeu. On parle de bugs récurrents, de déséquilibres dans les combats, et d'une optimisation qui laisse plus qu'à désirer. Mais non, la priorité c'est Shallot ! Quelle blague ! Cela montre à quel point ces entreprises sont déconnectées de leur communauté et des véritables attentes des joueurs. L'absence de contenu substantiel et innovant dans ce DLC est un véritable coup dur pour la communauté de Dragon Ball. Les fans méritent mieux que de recevoir des personnages qui ne font que remplir des cases. Le manque d'originalité et de créativité est affligeant ! Au lieu de nous offrir des mécaniques de jeu innovantes ou des histoires captivantes, on nous balance un simple ajout qui ne fait que suivre la tendance. Il est impératif que les développeurs prennent conscience de la frustration croissante au sein de leur communauté. Les fans ne supportent plus d'être traités comme des vaches à lait, alimentant un système qui ne cherche qu'à maximiser les profits sans offrir une expérience de qualité. Si Dragon Ball Sparking Zero veut vraiment s'imposer et respecter son héritage, il est temps de revoir sa stratégie. En attendant, il est difficile de rester enthousiaste à propos de ce DLC. Shallot n'est qu'un symptôme d'un problème bien plus vaste dans l'industrie du jeu vidéo : l'obsession pour les profits au détriment de la satisfaction des joueurs. Les développeurs doivent se réveiller et comprendre qu'une communauté engagée est bien plus précieuse qu'une simple vente de DLC ! #DragonBallSparkingZero #DLC #Shallot #JeuxVidéo #Frustration
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    Dragon Ball Sparking Zero accueille le personnage de Shallot dans ses rangs pour son prochain DLC
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  • San Serriffe, o da ne? Bir balık hikayesi gibi kulağa geliyor, değil mi? Belki de bir yazı tipi adının biraz abartılı bir versiyonu! Düşünün, The Guardian nasıl bir gazetecilik mucizesine imza atmış; hayali bir adayı, San Serriffe’i, kurgulayarak okuyucularını tuzağa düşürmüş. Gerçekten de, tipografi dünyasında bu kadar derin bir dalga yaratmak, sanırım sadece bir “1 Nisan” şakası ile mümkün olabilir.

    Bu “tipografik ada” hikayesi, sanki bir grup yazı tipi meraklısının bir araya gelip, “Haydi, gelin biraz eğlenelim!” demesiyle başlamış gibi. Evet, San Serriffe, hem eğlenceli hem de düşündürücü. Kim bilir, belki de bu ada, Arial ve Times New Roman arasında bir barış anlaşması kurmak için gizli bir toplantı yeri!

    Şimdi, bu hayali adanın özelliklerine biraz göz atalım. Düşünün, harfler ve karakterler arasında geçen bir kargaşa! Orada “Garamond” kafasıyla “Comic Sans” arasında bir çatışma yaşansa, nasıl olurdu? Elbette, “Garamond” her zaman “ben daha şıkim” derken, “Comic Sans” da “ben daha eğlenceliyim” diye bağırıyor olacak. San Serriffe, bu iki kutbun ortasında bir denge arayışının tam da merkezi.

    İşte, bu tür bir mizah anlayışıyla, The Guardian sadece okuyucularını eğlendirmekle kalmamış; aynı zamanda, gazeteciliğin sınırlarını zorlayarak, bir sosyal deneyin kapılarını aralamış. Okuyucular, bu absürt ama bir o kadar da zekice kurgulanmış hikaye ile karşılaştıklarında, “Acaba ben de bu adayı ziyaret etsem, oradaki yazı tipleriyle tanışabilir miyim?” diye düşünmeden edememiştir.

    San Serriffe, sadece bir balık hikayesi değil; aynı zamanda, tipografi dünyasında bir efsane olarak kalmayı başardı. Gazetecilikteki bu tür “kurgusal” yaklaşımlar, bazen gerçeklerden daha etkileyici olabiliyor. Her ne kadar bu ada gerçek olmasa da, yarattığı etki ve mizah anlayışı, gazeteciliğin de eğlenceli olabileceğini gösteriyor. Gerçekten de, bu tür bir mizah, okurları düşündürmekle kalmaz; aynı zamanda onları güldürmeyi de başarıyor.

    Sonuç olarak, San Serriffe’i keşfetmek, sadece bir tipografi yolculuğu değil; aynı zamanda, gerçek ve hayal arasındaki ince çizgide yürümek demek. O nedenle, bir sonraki okuma seansınızda, bir parça mizah katmayı unutmayın!

    #SanSerriffe #Gazetecilik #Tipografi #Mizah #YazıTipi
    San Serriffe, o da ne? Bir balık hikayesi gibi kulağa geliyor, değil mi? Belki de bir yazı tipi adının biraz abartılı bir versiyonu! Düşünün, The Guardian nasıl bir gazetecilik mucizesine imza atmış; hayali bir adayı, San Serriffe’i, kurgulayarak okuyucularını tuzağa düşürmüş. Gerçekten de, tipografi dünyasında bu kadar derin bir dalga yaratmak, sanırım sadece bir “1 Nisan” şakası ile mümkün olabilir. Bu “tipografik ada” hikayesi, sanki bir grup yazı tipi meraklısının bir araya gelip, “Haydi, gelin biraz eğlenelim!” demesiyle başlamış gibi. Evet, San Serriffe, hem eğlenceli hem de düşündürücü. Kim bilir, belki de bu ada, Arial ve Times New Roman arasında bir barış anlaşması kurmak için gizli bir toplantı yeri! Şimdi, bu hayali adanın özelliklerine biraz göz atalım. Düşünün, harfler ve karakterler arasında geçen bir kargaşa! Orada “Garamond” kafasıyla “Comic Sans” arasında bir çatışma yaşansa, nasıl olurdu? Elbette, “Garamond” her zaman “ben daha şıkim” derken, “Comic Sans” da “ben daha eğlenceliyim” diye bağırıyor olacak. San Serriffe, bu iki kutbun ortasında bir denge arayışının tam da merkezi. İşte, bu tür bir mizah anlayışıyla, The Guardian sadece okuyucularını eğlendirmekle kalmamış; aynı zamanda, gazeteciliğin sınırlarını zorlayarak, bir sosyal deneyin kapılarını aralamış. Okuyucular, bu absürt ama bir o kadar da zekice kurgulanmış hikaye ile karşılaştıklarında, “Acaba ben de bu adayı ziyaret etsem, oradaki yazı tipleriyle tanışabilir miyim?” diye düşünmeden edememiştir. San Serriffe, sadece bir balık hikayesi değil; aynı zamanda, tipografi dünyasında bir efsane olarak kalmayı başardı. Gazetecilikteki bu tür “kurgusal” yaklaşımlar, bazen gerçeklerden daha etkileyici olabiliyor. Her ne kadar bu ada gerçek olmasa da, yarattığı etki ve mizah anlayışı, gazeteciliğin de eğlenceli olabileceğini gösteriyor. Gerçekten de, bu tür bir mizah, okurları düşündürmekle kalmaz; aynı zamanda onları güldürmeyi de başarıyor. Sonuç olarak, San Serriffe’i keşfetmek, sadece bir tipografi yolculuğu değil; aynı zamanda, gerçek ve hayal arasındaki ince çizgide yürümek demek. O nedenle, bir sonraki okuma seansınızda, bir parça mizah katmayı unutmayın! #SanSerriffe #Gazetecilik #Tipografi #Mizah #YazıTipi
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    L’île typographique de San Serriffe
    Découvrez comment The Guardian a piégé ses lecteurs en inventant l'île de San Serriffe, une république fictive née d'un poisson d’avril typographique devenu culte. Entre satire subtile et jeux de mots typographiques, plongez dans l'un des canulars jo
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  • En un mundo donde la bioimpresión 3D parece ser la solución a todos nuestros problemas de salud, Systemic Bio se presenta como el héroe inesperado, armado con hidrogeles y células humanas. ¿Quién necesita la investigación farmacéutica tradicional cuando puedes simplemente imprimir tus medicamentos? ¡Es como tener una impresora de papel, pero con un poco más de ciencia y un toque de magia!

    Imagínate, en lugar de pasarte horas estudiando los efectos secundarios de un fármaco, solo necesitas pulsar un botón y ¡zas! Tu medicina personal sale impresa en 3D, lista para ser consumida. Desarrollar fármacos nunca ha sido tan fácil, ¿verdad? Olvídate de los laboratorios y las pruebas en animales. Ahora, gracias a la bioimpresión, podemos jugar a ser dioses con células humanas. ¿Qué podría salir mal?

    Y mientras tanto, en la otra cara de la moneda, los laboratorios tradicionales están probablemente llorando en sus pipetas. “¡Pero nosotros hemos pasado años en investigaciones y ensayos clínicos!”, gritan, mientras un grupo de científicos se sienta frente a una impresora 3D, pensando en cómo hacer que la medicina sea tan accesible como un café en una máquina expendedora.

    Pero, ¡espera! Antes de que te emociones demasiado con la idea de tener tu propio botiquín impreso, recordemos que la ciencia siempre tiene su lado oscuro. Te imaginas tomando una pastilla que no solo es una pastilla, sino que también podría ser un minúsculo artefacto en 3D con la forma de tu personaje favorito de videojuegos. “¡Mamá, me siento como Mario después de comer esta píldora!”

    Los avances en bioimpresión 3D prometen revolucionar no solo la medicina regenerativa, sino también el desarrollo de fármacos. Pero, ¿realmente estamos listos para confiar en que una impresora entienda las complejidades del cuerpo humano? Tal vez deberíamos mantener un pie en el mundo real, solo en caso de que nuestros nuevos "fármacos" terminen siendo más arte que medicina.

    En fin, mientras Systemic Bio continúa acelerando el desarrollo de fármacos de una manera que solo podría ser descrita como "futurista" (también conocido como "¿qué demonios están haciendo?"), nosotros simplemente observaremos con una mezcla de asombro y un toque de escepticismo. Después de todo, si la bioimpresión 3D se convierte en el nuevo estándar de oro, quizás deberíamos empezar a pensar en invertir en impresoras 3D y olvidarnos de las farmacias.

    #Bioimpresión3D #DesarrolloDeFármacos #CienciaDivertida #SystemicBio #SaludDelFuturo
    En un mundo donde la bioimpresión 3D parece ser la solución a todos nuestros problemas de salud, Systemic Bio se presenta como el héroe inesperado, armado con hidrogeles y células humanas. ¿Quién necesita la investigación farmacéutica tradicional cuando puedes simplemente imprimir tus medicamentos? ¡Es como tener una impresora de papel, pero con un poco más de ciencia y un toque de magia! Imagínate, en lugar de pasarte horas estudiando los efectos secundarios de un fármaco, solo necesitas pulsar un botón y ¡zas! Tu medicina personal sale impresa en 3D, lista para ser consumida. Desarrollar fármacos nunca ha sido tan fácil, ¿verdad? Olvídate de los laboratorios y las pruebas en animales. Ahora, gracias a la bioimpresión, podemos jugar a ser dioses con células humanas. ¿Qué podría salir mal? Y mientras tanto, en la otra cara de la moneda, los laboratorios tradicionales están probablemente llorando en sus pipetas. “¡Pero nosotros hemos pasado años en investigaciones y ensayos clínicos!”, gritan, mientras un grupo de científicos se sienta frente a una impresora 3D, pensando en cómo hacer que la medicina sea tan accesible como un café en una máquina expendedora. Pero, ¡espera! Antes de que te emociones demasiado con la idea de tener tu propio botiquín impreso, recordemos que la ciencia siempre tiene su lado oscuro. Te imaginas tomando una pastilla que no solo es una pastilla, sino que también podría ser un minúsculo artefacto en 3D con la forma de tu personaje favorito de videojuegos. “¡Mamá, me siento como Mario después de comer esta píldora!” Los avances en bioimpresión 3D prometen revolucionar no solo la medicina regenerativa, sino también el desarrollo de fármacos. Pero, ¿realmente estamos listos para confiar en que una impresora entienda las complejidades del cuerpo humano? Tal vez deberíamos mantener un pie en el mundo real, solo en caso de que nuestros nuevos "fármacos" terminen siendo más arte que medicina. En fin, mientras Systemic Bio continúa acelerando el desarrollo de fármacos de una manera que solo podría ser descrita como "futurista" (también conocido como "¿qué demonios están haciendo?"), nosotros simplemente observaremos con una mezcla de asombro y un toque de escepticismo. Después de todo, si la bioimpresión 3D se convierte en el nuevo estándar de oro, quizás deberíamos empezar a pensar en invertir en impresoras 3D y olvidarnos de las farmacias. #Bioimpresión3D #DesarrolloDeFármacos #CienciaDivertida #SystemicBio #SaludDelFuturo
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    Systemic Bio acelera el desarrollo de fármacos 3D a partir de hidrogeles y células humanas
    El desarrollo de la bioimpresión 3D está abriendo nuevas fronteras en el ámbito médico, no solo en medicina regenerativa, sino también en el descubrimiento y desarrollo de fármacos. En este contexto, la empresa Systemic Bio, filial de 3D Systems, ha&
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  • When you think about horror films, what comes to mind? Creepy monsters? Jump scares? The classic trope of a group of friends who somehow forget that splitting up is a bad idea? Well, hold onto your popcorn, because the talented folks at ESMA are here to remind us that the only thing scarier than a killer lurking in the shadows is the idea of them trying to be funny while doing it.

    Enter "Claw," a short film that dares to blend the horror genre with a sprinkle of humor – because who wouldn't want to laugh while being chased by a guy with a chainsaw? This cinematic masterpiece, which apparently took inspiration from the likes of "Last Action Hero," is like if a horror movie and a stand-up comedian had a baby, and we’re all just waiting for the punchline as we hide behind our couches.

    Imagine a young cinephile named Andrew, who is living his best life by binge-watching horror classics. However, instead of the usual blood and guts, he encounters a version of horror that leaves you both terrified and chuckling nervously. It’s like the directors at ESMA sat down and said, “Why not take everything that terrifies us and add a dash of quirky humor?” Honestly, it’s a wonder they didn’t throw in a musical number.

    Sure, we all adore the suspense that makes our hearts race, but the thought of Andrew laughing nervously at a killer with a penchant for puns? Now that’s a new level of fear. Who knew that horror could provide comic relief while simultaneously making us question our life choices? Forget battling your demons; let’s just joke about them instead! And if you think about it, that’s probably the best coping mechanism we’ve got.

    But beware! As you dive into this horror-comedy concoction, you might just find yourself chuckling at the most inappropriate moments. Like when the killer slips on a banana peel right before going for the kill – because nothing says “I’m terrified” like a comedy skit in a death scene. After all, isn’t that the essence of horror? To laugh in the face of danger, even if it’s through the lens of ESMA’s latest cinematic exploration?

    So, if you’re looking for a good time that sends shivers down your spine while keeping you in stitches, “Claw” is your go-to film. Just remember to keep a straight face when explaining to your friends why you’re laughing while watching someone get chased by a masked figure. But hey, in the world of horror, even the scariest movies can have a light-hearted twist – because why not?

    Embrace the terror, welcome the humor, and prepare yourself for a rollercoaster of emotions with "Claw." After all, if we can’t laugh at our fears, what’s the point?

    #ClawFilm #HorrorComedy #ESMA #CinematicHumor #HorrorMovies
    When you think about horror films, what comes to mind? Creepy monsters? Jump scares? The classic trope of a group of friends who somehow forget that splitting up is a bad idea? Well, hold onto your popcorn, because the talented folks at ESMA are here to remind us that the only thing scarier than a killer lurking in the shadows is the idea of them trying to be funny while doing it. Enter "Claw," a short film that dares to blend the horror genre with a sprinkle of humor – because who wouldn't want to laugh while being chased by a guy with a chainsaw? This cinematic masterpiece, which apparently took inspiration from the likes of "Last Action Hero," is like if a horror movie and a stand-up comedian had a baby, and we’re all just waiting for the punchline as we hide behind our couches. Imagine a young cinephile named Andrew, who is living his best life by binge-watching horror classics. However, instead of the usual blood and guts, he encounters a version of horror that leaves you both terrified and chuckling nervously. It’s like the directors at ESMA sat down and said, “Why not take everything that terrifies us and add a dash of quirky humor?” Honestly, it’s a wonder they didn’t throw in a musical number. Sure, we all adore the suspense that makes our hearts race, but the thought of Andrew laughing nervously at a killer with a penchant for puns? Now that’s a new level of fear. Who knew that horror could provide comic relief while simultaneously making us question our life choices? Forget battling your demons; let’s just joke about them instead! And if you think about it, that’s probably the best coping mechanism we’ve got. But beware! As you dive into this horror-comedy concoction, you might just find yourself chuckling at the most inappropriate moments. Like when the killer slips on a banana peel right before going for the kill – because nothing says “I’m terrified” like a comedy skit in a death scene. After all, isn’t that the essence of horror? To laugh in the face of danger, even if it’s through the lens of ESMA’s latest cinematic exploration? So, if you’re looking for a good time that sends shivers down your spine while keeping you in stitches, “Claw” is your go-to film. Just remember to keep a straight face when explaining to your friends why you’re laughing while watching someone get chased by a masked figure. But hey, in the world of horror, even the scariest movies can have a light-hearted twist – because why not? Embrace the terror, welcome the humor, and prepare yourself for a rollercoaster of emotions with "Claw." After all, if we can’t laugh at our fears, what’s the point? #ClawFilm #HorrorComedy #ESMA #CinematicHumor #HorrorMovies
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    L’ESMA détourne les clichés des films d’horreurs : tremblez !
    Découvrez Claw, un court de fin d’études de l’ESMA qui s’inspire des codes des films d’horreur pour en proposer une version revisitée. A partir d’un concept qui rappelle Last Action Hero, l’équipe a concocté un fil
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