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  • Ah, ce fameux Capcom Spotlight, un événement que nous attendons tous comme un enfant attend Noël — mais avec un peu plus de zombies et un peu moins de cadeaux. Le 27 juin, préparez-vous à être éblouis par des nouvelles sur Resident Evil Requiem et Pragmata, deux titres qui, espérons-le, finiront par sortir avant que nous ne soyons tous trop vieux pour jouer.

    Il faut avouer que la stratégie de Capcom est aussi mystérieuse que l’énigme d’un jeu Resident Evil. Ils adorent nous garder dans le flou, lançant des teasers comme si c’étaient des bonbons à Halloween. Mais soyons honnêtes, qui n'aime pas avoir un petit frisson d'excitation en attendant de savoir si le nouveau Resident Evil nous fera encore sauter de notre canapé ? On sait tous que la véritable horreur, c’est d’attendre des nouvelles pendant des mois, voire des années.

    D’ailleurs, concernant Pragmata, je me demande si ce nom est un clin d'œil à la difficulté de comprendre ce que Capcom essaie de nous raconter. Un jeu qui semble promettre de l’innovation, mais qui pourrait facilement se transformer en une autre aventure où l’on court après des ombres, tout en se demandant si on a vraiment besoin d’un autre protagoniste torturé. Mais après tout, qui ne voudrait pas d’un peu de mystère ? Peut-être que la vraie question est : "Pragmata, est-ce un jeu ou juste une métaphore pour notre existence ?"

    Et parlons de Resident Evil Requiem. Avec un titre aussi dramatique, on s’attend à ce qu’il soit rempli de moments de tension insoutenable, de monstres qui surgissent de nulle part, et, bien sûr, de personnages qui semblent avoir oublié comment utiliser des portes. Mais tant que Capcom continue à nous servir des graphismes époustouflants et des frissons à gogo, nous sommes prêts à pardonner ces petites incohérences — après tout, qui n’aime pas un bon saut de peur ?

    En résumé, le 27 juin est une date à marquer d'une pierre blanche (ou rouge, selon l'ambiance). Soyez prêt à subir une avalanche d’informations qui pourraient à la fois ravir les fans et les frustrer au plus haut point. Alors, sortez vos agendas, préparez votre meilleur popcorn et croisez les doigts pour que cette fois, Capcom ne nous laisse pas sur notre faim.

    #CapcomSpotlight #ResidentEvil #Pragmata #GamerLife #JeuxVidéo
    Ah, ce fameux Capcom Spotlight, un événement que nous attendons tous comme un enfant attend Noël — mais avec un peu plus de zombies et un peu moins de cadeaux. Le 27 juin, préparez-vous à être éblouis par des nouvelles sur Resident Evil Requiem et Pragmata, deux titres qui, espérons-le, finiront par sortir avant que nous ne soyons tous trop vieux pour jouer. Il faut avouer que la stratégie de Capcom est aussi mystérieuse que l’énigme d’un jeu Resident Evil. Ils adorent nous garder dans le flou, lançant des teasers comme si c’étaient des bonbons à Halloween. Mais soyons honnêtes, qui n'aime pas avoir un petit frisson d'excitation en attendant de savoir si le nouveau Resident Evil nous fera encore sauter de notre canapé ? On sait tous que la véritable horreur, c’est d’attendre des nouvelles pendant des mois, voire des années. D’ailleurs, concernant Pragmata, je me demande si ce nom est un clin d'œil à la difficulté de comprendre ce que Capcom essaie de nous raconter. Un jeu qui semble promettre de l’innovation, mais qui pourrait facilement se transformer en une autre aventure où l’on court après des ombres, tout en se demandant si on a vraiment besoin d’un autre protagoniste torturé. Mais après tout, qui ne voudrait pas d’un peu de mystère ? Peut-être que la vraie question est : "Pragmata, est-ce un jeu ou juste une métaphore pour notre existence ?" Et parlons de Resident Evil Requiem. Avec un titre aussi dramatique, on s’attend à ce qu’il soit rempli de moments de tension insoutenable, de monstres qui surgissent de nulle part, et, bien sûr, de personnages qui semblent avoir oublié comment utiliser des portes. Mais tant que Capcom continue à nous servir des graphismes époustouflants et des frissons à gogo, nous sommes prêts à pardonner ces petites incohérences — après tout, qui n’aime pas un bon saut de peur ? En résumé, le 27 juin est une date à marquer d'une pierre blanche (ou rouge, selon l'ambiance). Soyez prêt à subir une avalanche d’informations qui pourraient à la fois ravir les fans et les frustrer au plus haut point. Alors, sortez vos agendas, préparez votre meilleur popcorn et croisez les doigts pour que cette fois, Capcom ne nous laisse pas sur notre faim. #CapcomSpotlight #ResidentEvil #Pragmata #GamerLife #JeuxVidéo
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    Un Capcom Spotlight viendra nous donner des nouvelles de Resident Evil Requiem et Pragmata le 27 juin prochain
    ActuGaming.net Un Capcom Spotlight viendra nous donner des nouvelles de Resident Evil Requiem et Pragmata le 27 juin prochain Capcom a désormais pris l’habitude de se réserver des créneaux rien que pour lui à […] L'article Un Capcom Spot
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  • L'Ogre du Danube, un court-métrage qui vient de sortir de l'ESMA, a été mis en ligne récemment. Bon, c'est un film, je suppose. Les élèves de l'école ont décidé de s'attaquer à un sujet un peu sombre, comme d'habitude. C'est bien qu'ils diversifient les thèmes, mais parfois ça donne juste l'impression qu'ils cherchent à choquer pour rien.

    Le rendu graphique est stylisé, mais bon, on a déjà vu ça mille fois. On se demande si c'est du nouveau ou juste un autre essai pour faire quelque chose de "différent". Le sujet est difficile, c'est vrai, mais est-ce que ça justifie vraiment l'effort ?

    Regarder ce genre de film, c'est un peu comme lire un livre qui ne finit jamais. On commence en se disant "peut-être que ça va devenir intéressant", mais on finit souvent par se demander pourquoi on a même commencé.

    Peut-être que l'Ogre du Danube a quelque chose à dire, mais à ce stade, je ne suis pas sûr que ça m'intéresse vraiment. Tout ça semble juste un peu... ennuyant. Pour ceux qui cherchent à s'immerger dans un univers glaçant, ça pourrait passer, mais je ne peux pas m'empêcher de ressentir une sorte de fatigue face à ces productions. Peut-être que je suis juste en mode paresseux.

    Voilà, c'est ce que j'en pense. Si vous avez le courage de le regarder, peut-être que vous trouverez quelque chose d'autre, mais pour moi, ça semble comme une autre tentative de l'ESMA de se faire remarquer.

    #OgreDuDanube #ESMA #CourtMétrage #Cinéma #FilmGlaçant
    L'Ogre du Danube, un court-métrage qui vient de sortir de l'ESMA, a été mis en ligne récemment. Bon, c'est un film, je suppose. Les élèves de l'école ont décidé de s'attaquer à un sujet un peu sombre, comme d'habitude. C'est bien qu'ils diversifient les thèmes, mais parfois ça donne juste l'impression qu'ils cherchent à choquer pour rien. Le rendu graphique est stylisé, mais bon, on a déjà vu ça mille fois. On se demande si c'est du nouveau ou juste un autre essai pour faire quelque chose de "différent". Le sujet est difficile, c'est vrai, mais est-ce que ça justifie vraiment l'effort ? Regarder ce genre de film, c'est un peu comme lire un livre qui ne finit jamais. On commence en se disant "peut-être que ça va devenir intéressant", mais on finit souvent par se demander pourquoi on a même commencé. Peut-être que l'Ogre du Danube a quelque chose à dire, mais à ce stade, je ne suis pas sûr que ça m'intéresse vraiment. Tout ça semble juste un peu... ennuyant. Pour ceux qui cherchent à s'immerger dans un univers glaçant, ça pourrait passer, mais je ne peux pas m'empêcher de ressentir une sorte de fatigue face à ces productions. Peut-être que je suis juste en mode paresseux. Voilà, c'est ce que j'en pense. Si vous avez le courage de le regarder, peut-être que vous trouverez quelque chose d'autre, mais pour moi, ça semble comme une autre tentative de l'ESMA de se faire remarquer. #OgreDuDanube #ESMA #CourtMétrage #Cinéma #FilmGlaçant
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    L’Ogre du Danube : un court-métrage glaçant venu de l’ESMA
    Ces dernières années, les élèves de l’ESMA ont diversifié les sujets abordés dans leurs films, avec des thématiques variées et des traitements graphiques qui le sont tout autant.L’Ogre du Danube, que l’école vient de mettre en ligne
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • ¿Quién necesita preocuparse por la última portada del álbum de Sabrina Carpenter? Al parecer, no soy el único que ha decidido ignorar esta obra maestra del arte gráfico contemporáneo. Es curioso cómo en la era de las redes sociales, donde todos parecen tener una opinión sobre cada susurro del viento, yo me encuentro aquí, en mi pequeño rincón del universo, preguntándome si realmente importan más de mil versiones de una imagen que, a todas luces, parece haber sido creada en la última clase de arte de la secundaria.

    Es fascinante cómo las plataformas estallan con reacciones, desde "¡Es la mejor portada de la historia!" hasta "¿Por qué esta chica sigue sacando música?". Pero, ¿en serio? ¿Estamos tan desesperados por tener algo de qué hablar que tenemos que elevar la portada de un álbum a los altares de la cultura pop? Quizás deberíamos estar más preocupados por los problemas reales del mundo que por el nuevo color de las letras en el nombre de Sabrina, que, seamos sinceros, poco afecta nuestra vida diaria.

    Y no me malinterpreten, Sabrina tiene talento, eso es indiscutible. Pero la emoción colectiva por una simple portada de álbum me lleva a preguntarme si estamos saturados de contenido al punto de que cualquier cosa que brille se convierte en oro. ¿No sería mejor dedicar ese fervor a algo que realmente importe? Como, no sé, una campaña para salvar a los pingüinos en peligro de extinción. Pero claro, un pingüino no genera tantos "likes" como una foto bonita de una cantante posando con su nuevo álbum, ¿verdad?

    Imagínense esto: en lugar de criticar la portada, podríamos estar creando un movimiento para que la música de Sabrina Carpenter sea interpretada por una orquesta sinfónica en un evento benéfico. Pero, en lugar de eso, aquí estamos, discutiendo si su nuevo diseño es "inspirador" o "aburrido". A veces me pregunto si el verdadero arte no está en la música, sino en la forma en que se presenta. ¿Es este un intento de hacernos olvidar que, al final del día, lo que importa es la melodía, no el empaque?

    Así que, a todos los que están obsesionados con la última portada del álbum de Sabrina Carpenter, les dejo esta reflexión: tal vez deberíamos aprender a valorar el contenido, no solo el continente. Pero, ¿quién necesita una lección de vida cuando puedes simplemente hacer scroll y dejar un emoji de corazón?

    #SabrinaCarpenter #Música #ArteContemporáneo #CulturaPop #PortadaDeÁlbum
    ¿Quién necesita preocuparse por la última portada del álbum de Sabrina Carpenter? Al parecer, no soy el único que ha decidido ignorar esta obra maestra del arte gráfico contemporáneo. Es curioso cómo en la era de las redes sociales, donde todos parecen tener una opinión sobre cada susurro del viento, yo me encuentro aquí, en mi pequeño rincón del universo, preguntándome si realmente importan más de mil versiones de una imagen que, a todas luces, parece haber sido creada en la última clase de arte de la secundaria. Es fascinante cómo las plataformas estallan con reacciones, desde "¡Es la mejor portada de la historia!" hasta "¿Por qué esta chica sigue sacando música?". Pero, ¿en serio? ¿Estamos tan desesperados por tener algo de qué hablar que tenemos que elevar la portada de un álbum a los altares de la cultura pop? Quizás deberíamos estar más preocupados por los problemas reales del mundo que por el nuevo color de las letras en el nombre de Sabrina, que, seamos sinceros, poco afecta nuestra vida diaria. Y no me malinterpreten, Sabrina tiene talento, eso es indiscutible. Pero la emoción colectiva por una simple portada de álbum me lleva a preguntarme si estamos saturados de contenido al punto de que cualquier cosa que brille se convierte en oro. ¿No sería mejor dedicar ese fervor a algo que realmente importe? Como, no sé, una campaña para salvar a los pingüinos en peligro de extinción. Pero claro, un pingüino no genera tantos "likes" como una foto bonita de una cantante posando con su nuevo álbum, ¿verdad? Imagínense esto: en lugar de criticar la portada, podríamos estar creando un movimiento para que la música de Sabrina Carpenter sea interpretada por una orquesta sinfónica en un evento benéfico. Pero, en lugar de eso, aquí estamos, discutiendo si su nuevo diseño es "inspirador" o "aburrido". A veces me pregunto si el verdadero arte no está en la música, sino en la forma en que se presenta. ¿Es este un intento de hacernos olvidar que, al final del día, lo que importa es la melodía, no el empaque? Así que, a todos los que están obsesionados con la última portada del álbum de Sabrina Carpenter, les dejo esta reflexión: tal vez deberíamos aprender a valorar el contenido, no solo el continente. Pero, ¿quién necesita una lección de vida cuando puedes simplemente hacer scroll y dejar un emoji de corazón? #SabrinaCarpenter #Música #ArteContemporáneo #CulturaPop #PortadaDeÁlbum
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    Sorry Sabrina Carpenter, but I don't care about your latest album artwork
    And I seem to be the only one.
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  • It's infuriating to see how many businesses are still in the dark about the true power of local SEO! Seriously, how many times do we have to explain that ignoring local search is like handing your competition a golden ticket to snatch away your potential customers? In a world where everything is interconnected, the sheer neglect of local SEO is maddening.

    Let’s get straight to the point: local SEO isn't just a trendy buzzword; it's an absolute necessity for any business that wants to thrive in its community! If you're still sitting on the sidelines, thinking that social media posts or fancy ads will magically draw customers through your door, think again! The reality is that those who master local SEO will dominate search results, while the rest are doomed to languish in obscurity.

    The absurdity of this situation is mind-boggling. Businesses have the tools at their disposal, but many still fail to understand the significance of geolocalization. It’s not rocket science! Local SEO can significantly improve your organic positioning, and yet, here we are, shouting into the void. You want visibility? You want to attract local customers? Then optimize your Google My Business listing, gather those reviews, and ensure your NAP (Name, Address, Phone number) information is consistent across all platforms. It’s not that complicated, yet so many are just too lazy to put in the work!

    And let’s talk about the content. Enough with the generic posts that have nothing to do with your local audience! If your content doesn’t resonate with the community you serve, it’s as good as throwing money out the window. Local SEO thrives on relevance and authenticity, so start creating content that speaks directly to your audience. Be the business that knows its customers, not just another faceless entity in the digital ether.

    It’s time to wake up, people! Local SEO is the lifeblood of businesses that want to thrive in today’s competitive landscape. Stop making excuses for why you can’t implement these strategies. It’s not about being tech-savvy; it’s about being smart, strategic, and willing to adapt. The longer you wait, the more customers you lose to those who understand the importance of local SEO.

    If you’re still clueless, it’s time to educate yourself because ignoring local SEO is a direct ticket to failure. Don’t let your competitors leave you in their dust. Step up, get informed, and start making the changes that will propel your business forward. Your community is waiting for you—don’t keep them waiting any longer!

    #LocalSEO #DigitalMarketing #SmallBusiness #OrganicPositioning #SEO
    It's infuriating to see how many businesses are still in the dark about the true power of local SEO! Seriously, how many times do we have to explain that ignoring local search is like handing your competition a golden ticket to snatch away your potential customers? In a world where everything is interconnected, the sheer neglect of local SEO is maddening. Let’s get straight to the point: local SEO isn't just a trendy buzzword; it's an absolute necessity for any business that wants to thrive in its community! If you're still sitting on the sidelines, thinking that social media posts or fancy ads will magically draw customers through your door, think again! The reality is that those who master local SEO will dominate search results, while the rest are doomed to languish in obscurity. The absurdity of this situation is mind-boggling. Businesses have the tools at their disposal, but many still fail to understand the significance of geolocalization. It’s not rocket science! Local SEO can significantly improve your organic positioning, and yet, here we are, shouting into the void. You want visibility? You want to attract local customers? Then optimize your Google My Business listing, gather those reviews, and ensure your NAP (Name, Address, Phone number) information is consistent across all platforms. It’s not that complicated, yet so many are just too lazy to put in the work! And let’s talk about the content. Enough with the generic posts that have nothing to do with your local audience! If your content doesn’t resonate with the community you serve, it’s as good as throwing money out the window. Local SEO thrives on relevance and authenticity, so start creating content that speaks directly to your audience. Be the business that knows its customers, not just another faceless entity in the digital ether. It’s time to wake up, people! Local SEO is the lifeblood of businesses that want to thrive in today’s competitive landscape. Stop making excuses for why you can’t implement these strategies. It’s not about being tech-savvy; it’s about being smart, strategic, and willing to adapt. The longer you wait, the more customers you lose to those who understand the importance of local SEO. If you’re still clueless, it’s time to educate yourself because ignoring local SEO is a direct ticket to failure. Don’t let your competitors leave you in their dust. Step up, get informed, and start making the changes that will propel your business forward. Your community is waiting for you—don’t keep them waiting any longer! #LocalSEO #DigitalMarketing #SmallBusiness #OrganicPositioning #SEO
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  • generative engine optimization, AI-powered search, content optimization, search engines, ChatGPT, Google SEO, digital marketing, AI content strategies, online visibility, future of search

    ## Introduction

    In the evolving landscape of digital marketing, the term Generative Engine Optimization (GEO) has surfaced as a significant development. This practice revolves around optimizing content specifically for AI-powered search engines, such as ChatGPT and Google. As search engines continue to incorp...
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    Generative Engine Optimization: The New Era of Search
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