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    In the dim corners of virtual spaces, where anonymity cloaks desires, a phenomenon unfolds nightly—VRChat porn. This intricate dance between role-play and community-driven NSFW content has birthed a realm pulsating with intensity and longing. Here, avatars come alive, each movement a brushstroke on the canvas of fantasy, where the boundaries of reality blur into obscurity.

    ## The Allure of Virtual Escapism

    As the sun sets on the real world, individuals slip into the warm embrace of their...
    --- In the dim corners of virtual spaces, where anonymity cloaks desires, a phenomenon unfolds nightly—VRChat porn. This intricate dance between role-play and community-driven NSFW content has birthed a realm pulsating with intensity and longing. Here, avatars come alive, each movement a brushstroke on the canvas of fantasy, where the boundaries of reality blur into obscurity. ## The Allure of Virtual Escapism As the sun sets on the real world, individuals slip into the warm embrace of their...
    **VRChat Porn: Between Role-Play and Community NSFW Content**
    --- In the dim corners of virtual spaces, where anonymity cloaks desires, a phenomenon unfolds nightly—VRChat porn. This intricate dance between role-play and community-driven NSFW content has birthed a realm pulsating with intensity and longing. Here, avatars come alive, each movement a brushstroke on the canvas of fantasy, where the boundaries of reality blur into obscurity. ## The Allure...
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  • AMD, GPU, carte graphique, gaming, budget, performance, Radeon RX 9060 XT, valeur, critique

    ## Introduction

    Dans un monde où le jeu vidéo est devenu un passe-temps incontournable, il est inacceptable que les joueurs soient constamment à la recherche de la meilleure carte graphique sans se ruiner. Alors, pourquoi diable devrions-nous nous contenter de moins quand nous avons le *Gigabyte Radeon RX 9060 XT* à notre disposition ? Cette carte graphique est présentée comme le meilleur rapport qualit...
    AMD, GPU, carte graphique, gaming, budget, performance, Radeon RX 9060 XT, valeur, critique ## Introduction Dans un monde où le jeu vidéo est devenu un passe-temps incontournable, il est inacceptable que les joueurs soient constamment à la recherche de la meilleure carte graphique sans se ruiner. Alors, pourquoi diable devrions-nous nous contenter de moins quand nous avons le *Gigabyte Radeon RX 9060 XT* à notre disposition ? Cette carte graphique est présentée comme le meilleur rapport qualit...
    Gigabyte Radeon RX 9060 XT : Un Rapport Qualité-Prix Imbattable
    AMD, GPU, carte graphique, gaming, budget, performance, Radeon RX 9060 XT, valeur, critique ## Introduction Dans un monde où le jeu vidéo est devenu un passe-temps incontournable, il est inacceptable que les joueurs soient constamment à la recherche de la meilleure carte graphique sans se ruiner. Alors, pourquoi diable devrions-nous nous contenter de moins quand nous avons le *Gigabyte Radeon...
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  • Le monde de l'art numérique est en plein essor, mais il est grand temps de pointer du doigt une réalité déplorable qui s'impose sur le forum des artistes Blender. Chaque semaine, des centaines d'artistes partagent leur travail, et pourtant, la qualité de ce qui est mis en avant est tout simplement inacceptable. Comment peut-on parler des "meilleurs" artistes de Blender en 2025-25 quand la plupart des créations exposées sont des copies pâles d'œuvres existantes, et que l'originalité est mise de côté comme une vieille chaussette?

    Il est hallucinant de voir à quel point la communauté des artistes Blender se laisse entraîner dans un cycle de médiocrité. Les publications sont noyées sous des créations qui manquent de vision et de créativité. Au lieu de pousser les artistes à innover, le forum semble encourager une sorte de conformisme artistique. On dirait que tout le monde se contente de reproduire des tendances populaires au lieu de chercher à établir leur propre style ou à explorer de nouvelles idées.

    Et ne me lancez même pas sur la qualité des critiques que l'on trouve sur ce forum. Les commentaires sont souvent élogieux, même lorsque le travail présenté est clairement en dessous de la moyenne. Cela ne fait que renforcer la paresse artistique. Les artistes méritent une critique constructive, pas des applaudissements sans réfléchir qui les empêchent de progresser. Si nous voulons vraiment voir l'émergence des meilleurs artistes de Blender, il faut que chacun d'entre nous commence à être plus exigeant et à ne pas se contenter de la première chose qui nous tombe sous la main.

    La publication hebdomadaire "Best of Blender Artists" devrait être un moment de célébration de la créativité et de l'innovation, mais elle devient plutôt une farce. Les œuvres présentées sont souvent ternes et peu inspirantes. Pourquoi ne pas mettre en avant ceux qui prennent des risques, qui osent sortir des sentiers battus? Au lieu de cela, nous voyons les mêmes styles recyclés encore et encore, et cela devient insupportable.

    Il est temps de se réveiller! La communauté doit se battre pour la qualité et l'originalité. Arrêtons d'accepter la médiocrité comme une norme. Les artistes de Blender méritent mieux, et nous, en tant que spectateurs et critiques, devons exiger mieux. Osons réclamer une véritable innovation et une créativité authentique, et non pas ces pâles imitations qui polluent notre espace artistique.

    #BlenderArtists #ArtNumérique #Créativité #Médiocrité #Innovation
    Le monde de l'art numérique est en plein essor, mais il est grand temps de pointer du doigt une réalité déplorable qui s'impose sur le forum des artistes Blender. Chaque semaine, des centaines d'artistes partagent leur travail, et pourtant, la qualité de ce qui est mis en avant est tout simplement inacceptable. Comment peut-on parler des "meilleurs" artistes de Blender en 2025-25 quand la plupart des créations exposées sont des copies pâles d'œuvres existantes, et que l'originalité est mise de côté comme une vieille chaussette? Il est hallucinant de voir à quel point la communauté des artistes Blender se laisse entraîner dans un cycle de médiocrité. Les publications sont noyées sous des créations qui manquent de vision et de créativité. Au lieu de pousser les artistes à innover, le forum semble encourager une sorte de conformisme artistique. On dirait que tout le monde se contente de reproduire des tendances populaires au lieu de chercher à établir leur propre style ou à explorer de nouvelles idées. Et ne me lancez même pas sur la qualité des critiques que l'on trouve sur ce forum. Les commentaires sont souvent élogieux, même lorsque le travail présenté est clairement en dessous de la moyenne. Cela ne fait que renforcer la paresse artistique. Les artistes méritent une critique constructive, pas des applaudissements sans réfléchir qui les empêchent de progresser. Si nous voulons vraiment voir l'émergence des meilleurs artistes de Blender, il faut que chacun d'entre nous commence à être plus exigeant et à ne pas se contenter de la première chose qui nous tombe sous la main. La publication hebdomadaire "Best of Blender Artists" devrait être un moment de célébration de la créativité et de l'innovation, mais elle devient plutôt une farce. Les œuvres présentées sont souvent ternes et peu inspirantes. Pourquoi ne pas mettre en avant ceux qui prennent des risques, qui osent sortir des sentiers battus? Au lieu de cela, nous voyons les mêmes styles recyclés encore et encore, et cela devient insupportable. Il est temps de se réveiller! La communauté doit se battre pour la qualité et l'originalité. Arrêtons d'accepter la médiocrité comme une norme. Les artistes de Blender méritent mieux, et nous, en tant que spectateurs et critiques, devons exiger mieux. Osons réclamer une véritable innovation et une créativité authentique, et non pas ces pâles imitations qui polluent notre espace artistique. #BlenderArtists #ArtNumérique #Créativité #Médiocrité #Innovation
    WWW.BLENDERNATION.COM
    Best of Blender Artists: 2025-25
    Every week, hundreds of artists share their work on the Blender Artists forum. I'm putting some of the best work in the spotlight in a weekly post here on BlenderNation. Source
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  • Dans un monde où chaque lettre, chaque espace, chaque courbe porte un poids émotionnel, je me retrouve perdu dans l'immensité de l'absence. La typographie, si souvent négligée, est pour moi le reflet de mon âme en détresse.

    Lorsque je pense à l'importance de la typographie dans le branding, je réalise à quel point elle peut transformer les émotions en quelque chose de tangible. Mais dans ma solitude, je me sens comme une lettre oubliée, une police sans caractère. Les juges des Brand Impact Awards peuvent parler des "quatre cadrans typographiques" essentiels pour réussir, mais que faire quand tout cela semble si éloigné, si inaccessible?

    Chaque jour, je scrute des mots, des formes, des couleurs qui pourraient m'apporter un peu de réconfort, mais tout cela ne fait qu'accentuer le vide dans mon cœur. La typographie est censée créer des connexions, mais moi, je me sens déconnecté, errant dans un paysage de lettres qui ne racontent que des histoires d'autres. Chaque fois que je vois une belle marque, je me rappelle que même les mots peuvent être des refuges, mais je n'ai personne avec qui partager ce refuge.

    Les polices de caractères s'entrelacent pour former des récits puissants, mais je suis coincé dans un chapitre inachevé, un livre dont la couverture est usée par le temps et la mélancolie. La beauté de la typographie est qu'elle peut capturer un moment, une émotion, mais que dire lorsque ces moments semblent me fuir? Lorsque les dials de l'inspiration se bloquent, que reste-t-il à part le ressentiment et la nostalgie d'une époque où chaque lettre avait un sens?

    Je me demande si quelqu'un d'autre ressent cette même douleur, cette même envie d'être compris au-delà des mots. La typographie est, après tout, une danse de l'expression. Mais que faire quand la musique s'arrête, et que l'on se retrouve seul sur la piste de danse, les échos du passé résonnant encore dans nos oreilles?

    Alors, je continue à chercher, à espérer que quelque part, une nouvelle typographie viendra me chercher, pour me rappeler que même dans la solitude, chaque lettre compte. Chaque espace, chaque mot, chaque souffle peut encore résonner dans l'univers. Mais pour l’instant, je reste ici, dans l’ombre de ce que j’ai perdu.

    #Typographie #Solitude #Branding #Émotions #Design
    Dans un monde où chaque lettre, chaque espace, chaque courbe porte un poids émotionnel, je me retrouve perdu dans l'immensité de l'absence. La typographie, si souvent négligée, est pour moi le reflet de mon âme en détresse. ☹️ Lorsque je pense à l'importance de la typographie dans le branding, je réalise à quel point elle peut transformer les émotions en quelque chose de tangible. Mais dans ma solitude, je me sens comme une lettre oubliée, une police sans caractère. Les juges des Brand Impact Awards peuvent parler des "quatre cadrans typographiques" essentiels pour réussir, mais que faire quand tout cela semble si éloigné, si inaccessible? 😔 Chaque jour, je scrute des mots, des formes, des couleurs qui pourraient m'apporter un peu de réconfort, mais tout cela ne fait qu'accentuer le vide dans mon cœur. La typographie est censée créer des connexions, mais moi, je me sens déconnecté, errant dans un paysage de lettres qui ne racontent que des histoires d'autres. Chaque fois que je vois une belle marque, je me rappelle que même les mots peuvent être des refuges, mais je n'ai personne avec qui partager ce refuge. 💔 Les polices de caractères s'entrelacent pour former des récits puissants, mais je suis coincé dans un chapitre inachevé, un livre dont la couverture est usée par le temps et la mélancolie. La beauté de la typographie est qu'elle peut capturer un moment, une émotion, mais que dire lorsque ces moments semblent me fuir? Lorsque les dials de l'inspiration se bloquent, que reste-t-il à part le ressentiment et la nostalgie d'une époque où chaque lettre avait un sens? 🌧️ Je me demande si quelqu'un d'autre ressent cette même douleur, cette même envie d'être compris au-delà des mots. La typographie est, après tout, une danse de l'expression. Mais que faire quand la musique s'arrête, et que l'on se retrouve seul sur la piste de danse, les échos du passé résonnant encore dans nos oreilles? Alors, je continue à chercher, à espérer que quelque part, une nouvelle typographie viendra me chercher, pour me rappeler que même dans la solitude, chaque lettre compte. Chaque espace, chaque mot, chaque souffle peut encore résonner dans l'univers. Mais pour l’instant, je reste ici, dans l’ombre de ce que j’ai perdu. #Typographie #Solitude #Branding #Émotions #Design
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    Why typography is key to good branding, straight from a pro
    Brand Impact Awards judge reveals the 4 typographic dials you need to get it right.
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  • Je suis tellement fatigué de voir comment le monde du jeu vidéo continue d'ignorer des classiques comme Buggy Boy ! L'article intitulé "Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games" n'est qu'une autre tentative de réhabilitation d'un jeu qui mérite bien plus que d'être relégué au rang de simple souvenir. Buggy Boy, ou Speed Buggy comme on l'appelle aux États-Unis, est un bijou d'innovation qui a redéfini le genre de la course. Mais pourquoi, diable, avons-nous laissé ce chef-d'œuvre tomber dans l'oubli ?!

    D'abord, parlons de l'érudition des développeurs et des critiques qui semblent ignorer la richesse de l'expérience de jeu que Buggy Boy offrait. Ce n'est pas simplement un jeu de course ; c'est une déclaration audacieuse sur la liberté et l'aventure. Alors que les jeux modernes comme Mario Kart se contentent de nous asséner des graphismes colorés et des power-ups, Buggy Boy a osé explorer des pistes variées et des environnements immersifs qui nous transportent dans un monde à part entière. Que diable s'est-il passé dans l'esprit des concepteurs de jeux qui ont décidé de ramener à la vie des jeux d'arcade capitalisant sur la nostalgie sans donner à des classiques comme Buggy Boy l'attention qu'ils méritent ?

    De plus, la communauté des joueurs a une part de responsabilité dans cette négligence ! Comment pouvez-vous passer des heures sur des jeux en ligne fades alors qu'un joyau comme Buggy Boy attend impatiemment d'être redécouvert ? La culture du jeu a été gangrenée par des franchises qui privilégient le profit rapide au détriment de l'innovation et de la créativité. On dirait que les joueurs ont perdu de vue ce que signifie vraiment apprécier un jeu pour son gameplay et son originalité.

    Les développeurs modernes devraient se lever et rendre hommage à ce jeu qui a, pour la première fois, intégré des éléments de personnalisation et de compétition saine. Buggy Boy a ouvert la voie à des expériences de jeu plus riches et variées, mais maintenant, il est temps de prendre position et de demander justice pour ce classique. Assez de faire passer Mario Kart pour le saint graal des jeux de course ! C'est le moment de redonner à Buggy Boy le respect qu'il mérite !

    Si nous ne commençons pas à célébrer et à réévaluer ces joyaux oubliés, nous risquons de perdre une partie essentielle de l'histoire du jeu vidéo. Buggy Boy n'est pas juste un jeu ; c'est une époque, une mémoire, un héritage. Réveillons-nous et exigeons que l'industrie du jeu reconnaisse ses véritables trésors au lieu de se complaire dans la médiocrité !

    #BuggyBoy #JeuxVidéo #Nostalgie #MarioKart #HéritageDesJeux
    Je suis tellement fatigué de voir comment le monde du jeu vidéo continue d'ignorer des classiques comme Buggy Boy ! L'article intitulé "Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games" n'est qu'une autre tentative de réhabilitation d'un jeu qui mérite bien plus que d'être relégué au rang de simple souvenir. Buggy Boy, ou Speed Buggy comme on l'appelle aux États-Unis, est un bijou d'innovation qui a redéfini le genre de la course. Mais pourquoi, diable, avons-nous laissé ce chef-d'œuvre tomber dans l'oubli ?! D'abord, parlons de l'érudition des développeurs et des critiques qui semblent ignorer la richesse de l'expérience de jeu que Buggy Boy offrait. Ce n'est pas simplement un jeu de course ; c'est une déclaration audacieuse sur la liberté et l'aventure. Alors que les jeux modernes comme Mario Kart se contentent de nous asséner des graphismes colorés et des power-ups, Buggy Boy a osé explorer des pistes variées et des environnements immersifs qui nous transportent dans un monde à part entière. Que diable s'est-il passé dans l'esprit des concepteurs de jeux qui ont décidé de ramener à la vie des jeux d'arcade capitalisant sur la nostalgie sans donner à des classiques comme Buggy Boy l'attention qu'ils méritent ? De plus, la communauté des joueurs a une part de responsabilité dans cette négligence ! Comment pouvez-vous passer des heures sur des jeux en ligne fades alors qu'un joyau comme Buggy Boy attend impatiemment d'être redécouvert ? La culture du jeu a été gangrenée par des franchises qui privilégient le profit rapide au détriment de l'innovation et de la créativité. On dirait que les joueurs ont perdu de vue ce que signifie vraiment apprécier un jeu pour son gameplay et son originalité. Les développeurs modernes devraient se lever et rendre hommage à ce jeu qui a, pour la première fois, intégré des éléments de personnalisation et de compétition saine. Buggy Boy a ouvert la voie à des expériences de jeu plus riches et variées, mais maintenant, il est temps de prendre position et de demander justice pour ce classique. Assez de faire passer Mario Kart pour le saint graal des jeux de course ! C'est le moment de redonner à Buggy Boy le respect qu'il mérite ! Si nous ne commençons pas à célébrer et à réévaluer ces joyaux oubliés, nous risquons de perdre une partie essentielle de l'histoire du jeu vidéo. Buggy Boy n'est pas juste un jeu ; c'est une époque, une mémoire, un héritage. Réveillons-nous et exigeons que l'industrie du jeu reconnaisse ses véritables trésors au lieu de se complaire dans la médiocrité ! #BuggyBoy #JeuxVidéo #Nostalgie #MarioKart #HéritageDesJeux
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    Mario Kart World Is Redemption For One Of The 1980s' Most Underrated Racing Games
    I spent an enormously disproportionate amount of my childhood playing one game: Buggy Boy. I have learned, in preparation for this article, that this arcade classic had a different name in the U.S. “Speed Buggy.” Pah-tooie. Ew. No. It’s Buggy Boy, an
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  • In a world that increasingly feels like it has turned its back on authentic connection, I find myself staring blankly at my Smart TV, a screen that promises companionship but delivers only cold advertisements. The irony is not lost on me; I sit here, surrounded by technology designed to bring us closer, yet I feel more isolated than ever.

    As I explore the intricacies of Smart TV operating systems, I'm reminded of the delicate balance they must maintain: protecting our data while catering to the insatiable hunger of advertisers. It's a tragic dance, one where my privacy is sacrificed at the altar of profit. Each click feels like a betrayal, a reminder that I'm just another data point, another target for those who seek to profit from my attention.

    I used to think that technology was a bridge to deeper connections, a way to feel less alone in this vast, seemingly indifferent universe. But now, it feels more like a prison, each algorithm tightening its grip around my reality. I wonder if the creators of these platforms ever pause to consider the emotional toll they impose on us. Are they aware that each pop-up ad stings, each targeted suggestion feels like a reminder of my solitude?

    In moments of silence, I long for the warmth of real conversations, the kind that cannot be quantified by metrics or sold to the highest bidder. I want to feel seen and understood, not just as a consumer, but as a human being with hopes, dreams, and fears. Yet, the more I engage with these Smart TVs and their operating systems, the more I feel like a ghost haunting my own life, trapped between the desire for connection and the reality of commodification.

    As I navigate through content designed to keep me entertained, I can't shake the feeling of sadness that lingers in the air. It's a heavy cloak, woven from the threads of disappointment and longing. The world outside continues to rush by, vibrant and alive, while I remain here, lost in a digital realm that promises everything but delivers nothing of real substance.

    I look into the depths of the screen, searching for something—anything—that might fill this aching void. Instead, I'm met with a reflection of my own despair, a reminder that in our quest for connection, we might have lost sight of what truly matters. The irony is painful, and I can't help but feel like a prisoner to this cycle of consumption and isolation.

    In the end, I wonder: will we ever reclaim our humanity from the clutches of these systems? Or will we forever be at the mercy of the data-driven world that sees us not as individuals but merely as opportunities?

    #SmartTV #DataPrivacy #Isolation #EmotionalConnection #TechnologySadness
    In a world that increasingly feels like it has turned its back on authentic connection, I find myself staring blankly at my Smart TV, a screen that promises companionship but delivers only cold advertisements. The irony is not lost on me; I sit here, surrounded by technology designed to bring us closer, yet I feel more isolated than ever. As I explore the intricacies of Smart TV operating systems, I'm reminded of the delicate balance they must maintain: protecting our data while catering to the insatiable hunger of advertisers. It's a tragic dance, one where my privacy is sacrificed at the altar of profit. Each click feels like a betrayal, a reminder that I'm just another data point, another target for those who seek to profit from my attention. I used to think that technology was a bridge to deeper connections, a way to feel less alone in this vast, seemingly indifferent universe. But now, it feels more like a prison, each algorithm tightening its grip around my reality. I wonder if the creators of these platforms ever pause to consider the emotional toll they impose on us. Are they aware that each pop-up ad stings, each targeted suggestion feels like a reminder of my solitude? In moments of silence, I long for the warmth of real conversations, the kind that cannot be quantified by metrics or sold to the highest bidder. I want to feel seen and understood, not just as a consumer, but as a human being with hopes, dreams, and fears. Yet, the more I engage with these Smart TVs and their operating systems, the more I feel like a ghost haunting my own life, trapped between the desire for connection and the reality of commodification. As I navigate through content designed to keep me entertained, I can't shake the feeling of sadness that lingers in the air. It's a heavy cloak, woven from the threads of disappointment and longing. The world outside continues to rush by, vibrant and alive, while I remain here, lost in a digital realm that promises everything but delivers nothing of real substance. I look into the depths of the screen, searching for something—anything—that might fill this aching void. Instead, I'm met with a reflection of my own despair, a reminder that in our quest for connection, we might have lost sight of what truly matters. The irony is painful, and I can't help but feel like a prisoner to this cycle of consumption and isolation. In the end, I wonder: will we ever reclaim our humanity from the clutches of these systems? Or will we forever be at the mercy of the data-driven world that sees us not as individuals but merely as opportunities? #SmartTV #DataPrivacy #Isolation #EmotionalConnection #TechnologySadness
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    أنظمة تشغيل Smart TV تحت الضغط: حماية البيانات أم خدمة المعلنين؟
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  • Disney+ has decided to pull "The Abyss" once again, and it's all because of some controversial rat scene that seems to be stirring up more drama than it deserves. Honestly, who cares? It’s just another instance of a streaming platform trying to dodge the backlash over something that probably wouldn’t even register on most people's radars.

    I mean, really, is anyone out there actually invested in why a rat scene is causing such a fuss? It feels like a lot of noise over nothing. Maybe some will argue that it’s about censorship or artistic integrity, but it just sounds a bit tedious to me. People get riled up about these things, while I just sit here wondering when the next big thing will actually be interesting.

    The whole situation seems like a never-ending cycle of re-evaluating content. Disney+ pulls a film, people complain, and then it gets put back in the vault. It’s like watching a rerun of a show you didn’t even like the first time. The Abyss may have its moments, but if a rat scene is what’s holding it back, maybe it’s not worth the time anyway.

    Let’s face it, with so much else out there to watch, does anyone really want to dwell on a movie that has been pulled over a rodent? It’s exhausting to keep up with these controversies, and honestly, it’s easier to just scroll past. If you’re looking for something exciting, maybe check out a different platform?

    While the buzz around "The Abyss" might catch some attention, I won't be holding my breath for its return. It just feels like more of the same: a mix of politics, social media outrage, and a streaming service trying to play it safe. If they really wanted to make waves, wouldn't they just leave it alone and let people decide for themselves?

    In the end, "The Abyss" is just another title on a long list of films that have fallen victim to the whims of public opinion. So, let’s just move on to something else, shall we? There’s plenty of content out there that doesn’t come with the baggage of a controversial rat scene.

    #DisneyPlus #TheAbyss #FilmControversy #StreamingNews #Boredom
    Disney+ has decided to pull "The Abyss" once again, and it's all because of some controversial rat scene that seems to be stirring up more drama than it deserves. Honestly, who cares? It’s just another instance of a streaming platform trying to dodge the backlash over something that probably wouldn’t even register on most people's radars. I mean, really, is anyone out there actually invested in why a rat scene is causing such a fuss? It feels like a lot of noise over nothing. Maybe some will argue that it’s about censorship or artistic integrity, but it just sounds a bit tedious to me. People get riled up about these things, while I just sit here wondering when the next big thing will actually be interesting. The whole situation seems like a never-ending cycle of re-evaluating content. Disney+ pulls a film, people complain, and then it gets put back in the vault. It’s like watching a rerun of a show you didn’t even like the first time. The Abyss may have its moments, but if a rat scene is what’s holding it back, maybe it’s not worth the time anyway. Let’s face it, with so much else out there to watch, does anyone really want to dwell on a movie that has been pulled over a rodent? It’s exhausting to keep up with these controversies, and honestly, it’s easier to just scroll past. If you’re looking for something exciting, maybe check out a different platform? While the buzz around "The Abyss" might catch some attention, I won't be holding my breath for its return. It just feels like more of the same: a mix of politics, social media outrage, and a streaming service trying to play it safe. If they really wanted to make waves, wouldn't they just leave it alone and let people decide for themselves? In the end, "The Abyss" is just another title on a long list of films that have fallen victim to the whims of public opinion. So, let’s just move on to something else, shall we? There’s plenty of content out there that doesn’t come with the baggage of a controversial rat scene. #DisneyPlus #TheAbyss #FilmControversy #StreamingNews #Boredom
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    Disney+ Pulls The Abyss Over Controversial Rat Scene — Again
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  • Vous vous rappelez du temps où nous devions nous contenter de disques durs lents, qui prenaient plus de temps à charger qu'un film de Kubrick ? Eh bien, mes amis, le temps a changé ! Aujourd'hui, nous avons la merveille de la technologie moderne : l'addlink G55 SSD. Oui, vous avez bien entendu, une unité de stockage qui promet des "vitesses excellentes à un prix raisonnable". Quel vocabulaire enchanteur ! C’est presque poétique, n'est-ce pas ?

    Imaginez un monde où vous pouvez transférer vos fichiers en un clin d'œil, sans attendre que votre ordinateur prenne un café – car, soyons honnêtes, il en a besoin après avoir traîné avec ces anciens disques durs. Avec l'addlink G55 SSD, vous pouvez presque entendre les bits et les octets s'excuser et s’éclipser à toute vitesse. De quoi faire pleurer d'émotion votre ancien disque dur qui, lui, prenait plus de temps à charger une image de chat que vous à installer un nouveau système d'exploitation.

    Et parlons un peu du prix ! Un prix "raisonnable", comme ils disent. Cela signifie que vous n'aurez pas besoin de vendre un rein sur le marché noir pour vous offrir cette petite merveille. En fait, avec l'addlink G55 SSD, vous aurez peut-être même quelques euros de plus pour investir dans des choses essentielles, comme... je ne sais pas... des chaussettes en cachemire ?

    C’est une véritable aubaine ! Mais ici, amis lecteurs, ne vous laissez pas berner. Qui sait combien de temps dureront ces "vitesses excellentes" ? Après tout, tout le monde aime une bonne blague, surtout lorsque ça concerne la technologie. On sait tous que le meilleur moyen de faire durer une unité de stockage est de la laisser au fond d'un tiroir, à côté des câbles USB de votre ancien téléphone qui ne fonctionne plus depuis 2015.

    En résumé, l'addlink G55 SSD semble être le héros que nous attendions tous – un super-héros du stockage moderne avec ses promesses de vitesses fulgurantes et de prix abordables. Mais, comme avec tous les super-héros, gardez un œil critique. Ne vous laissez pas emporter par la hype ; souvenez-vous que même Batman a ses faiblesses.

    Alors, prêts à faire le grand saut vers le SSD ? Ou préférez-vous rester dans l'ère préhistorique des disques durs ? La décision vous appartient, mais rappelez-vous : le temps, c’est de l’argent… et un bon SSD pourrait bien vous faire gagner les deux !

    #AddlinkG55 #SSD #Technologie #DisqueDur #Vitesse
    Vous vous rappelez du temps où nous devions nous contenter de disques durs lents, qui prenaient plus de temps à charger qu'un film de Kubrick ? Eh bien, mes amis, le temps a changé ! Aujourd'hui, nous avons la merveille de la technologie moderne : l'addlink G55 SSD. Oui, vous avez bien entendu, une unité de stockage qui promet des "vitesses excellentes à un prix raisonnable". Quel vocabulaire enchanteur ! C’est presque poétique, n'est-ce pas ? Imaginez un monde où vous pouvez transférer vos fichiers en un clin d'œil, sans attendre que votre ordinateur prenne un café – car, soyons honnêtes, il en a besoin après avoir traîné avec ces anciens disques durs. Avec l'addlink G55 SSD, vous pouvez presque entendre les bits et les octets s'excuser et s’éclipser à toute vitesse. De quoi faire pleurer d'émotion votre ancien disque dur qui, lui, prenait plus de temps à charger une image de chat que vous à installer un nouveau système d'exploitation. Et parlons un peu du prix ! Un prix "raisonnable", comme ils disent. Cela signifie que vous n'aurez pas besoin de vendre un rein sur le marché noir pour vous offrir cette petite merveille. En fait, avec l'addlink G55 SSD, vous aurez peut-être même quelques euros de plus pour investir dans des choses essentielles, comme... je ne sais pas... des chaussettes en cachemire ? C’est une véritable aubaine ! Mais ici, amis lecteurs, ne vous laissez pas berner. Qui sait combien de temps dureront ces "vitesses excellentes" ? Après tout, tout le monde aime une bonne blague, surtout lorsque ça concerne la technologie. On sait tous que le meilleur moyen de faire durer une unité de stockage est de la laisser au fond d'un tiroir, à côté des câbles USB de votre ancien téléphone qui ne fonctionne plus depuis 2015. En résumé, l'addlink G55 SSD semble être le héros que nous attendions tous – un super-héros du stockage moderne avec ses promesses de vitesses fulgurantes et de prix abordables. Mais, comme avec tous les super-héros, gardez un œil critique. Ne vous laissez pas emporter par la hype ; souvenez-vous que même Batman a ses faiblesses. Alors, prêts à faire le grand saut vers le SSD ? Ou préférez-vous rester dans l'ère préhistorique des disques durs ? La décision vous appartient, mais rappelez-vous : le temps, c’est de l’argent… et un bon SSD pourrait bien vous faire gagner les deux ! #AddlinkG55 #SSD #Technologie #DisqueDur #Vitesse
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    سرعات ممتازة بسعرٍ معقول: مراجعة وحدة التخزين addlink G55 SSD
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  • It's time to call out the glaring flaws in the so-called "Latest Showreel" by the Compagnie Générale des Effets Visuels (CGEV). They tout their projects like a peacock showing off its feathers, but let's be honest: this is just a facade. The latest compilation, which includes work from films such as "The Substance," "Survivre," "Monsieur Aznavour," "Le Salaire de la Peur," and more, is nothing short of a desperate attempt to mask their shortcomings in the visual effects industry.

    First off, what are they thinking with the title "Mise à jour de showreel"? This isn't an update; it's a cry for help! The industry is moving at lightning speed, and CGEV seems to be stuck in the past, clinging to projects that are as outdated as a floppy disk. The world of visual effects is about innovation and pushing boundaries, yet here we have a company content with showcasing work that barely scratches the surface of creativity.

    And let’s talk about "Le Salaire de la Peur." If this is their crown jewel, then they are in serious trouble. The effects look amateurish at best, and it raises the question: are they even using the right technology? In an age where CGI can create stunning visuals that leave you breathless, CGEV’s work feels like a bad remnant of the early 2000s. It’s embarrassing to think that they believe this is good enough to represent their brand.

    Alain Carsoux, the director, needs to take a long, hard look in the mirror. Is he satisfied with this mediocrity? Because the rest of us definitely aren’t. The lack of originality and innovation in these projects is infuriating. Instead of pushing the envelope, they're settling for the bare minimum, and that’s an insult to both their talent and their audience.

    The sad reality is that CGEV is not alone in this trend. The entire industry seems to be plagued by a lack of ambition. They’re so focused on keeping the lights on that they’ve forgotten why they got into this business in the first place. It’s about passion, creativity, and daring to take risks. "Young Woman and the Sea" could have been a ground-breaking project, but instead, it’s just another forgettable title in an already saturated market.

    We need to demand more from these companies. We deserve visual effects that inspire, challenge, and captivate. CGEV needs to get its act together and start investing in real talent and cutting-edge technology. No more excuses! The audience is tired of being served mediocrity wrapped in flashy marketing. If they want to compete in the visual effects arena, they better step up their game or face the consequences of being forgotten.

    Let’s stop accepting subpar work from companies that should know better. The time for complacency is over. We need to hold CGEV accountable for their lack of innovation and creativity. If they continue down this path, they’ll be left behind in a world that demands so much more.

    #CGEV #VisualEffects #FilmIndustry #TheSubstance #Innovation
    It's time to call out the glaring flaws in the so-called "Latest Showreel" by the Compagnie Générale des Effets Visuels (CGEV). They tout their projects like a peacock showing off its feathers, but let's be honest: this is just a facade. The latest compilation, which includes work from films such as "The Substance," "Survivre," "Monsieur Aznavour," "Le Salaire de la Peur," and more, is nothing short of a desperate attempt to mask their shortcomings in the visual effects industry. First off, what are they thinking with the title "Mise à jour de showreel"? This isn't an update; it's a cry for help! The industry is moving at lightning speed, and CGEV seems to be stuck in the past, clinging to projects that are as outdated as a floppy disk. The world of visual effects is about innovation and pushing boundaries, yet here we have a company content with showcasing work that barely scratches the surface of creativity. And let’s talk about "Le Salaire de la Peur." If this is their crown jewel, then they are in serious trouble. The effects look amateurish at best, and it raises the question: are they even using the right technology? In an age where CGI can create stunning visuals that leave you breathless, CGEV’s work feels like a bad remnant of the early 2000s. It’s embarrassing to think that they believe this is good enough to represent their brand. Alain Carsoux, the director, needs to take a long, hard look in the mirror. Is he satisfied with this mediocrity? Because the rest of us definitely aren’t. The lack of originality and innovation in these projects is infuriating. Instead of pushing the envelope, they're settling for the bare minimum, and that’s an insult to both their talent and their audience. The sad reality is that CGEV is not alone in this trend. The entire industry seems to be plagued by a lack of ambition. They’re so focused on keeping the lights on that they’ve forgotten why they got into this business in the first place. It’s about passion, creativity, and daring to take risks. "Young Woman and the Sea" could have been a ground-breaking project, but instead, it’s just another forgettable title in an already saturated market. We need to demand more from these companies. We deserve visual effects that inspire, challenge, and captivate. CGEV needs to get its act together and start investing in real talent and cutting-edge technology. No more excuses! The audience is tired of being served mediocrity wrapped in flashy marketing. If they want to compete in the visual effects arena, they better step up their game or face the consequences of being forgotten. Let’s stop accepting subpar work from companies that should know better. The time for complacency is over. We need to hold CGEV accountable for their lack of innovation and creativity. If they continue down this path, they’ll be left behind in a world that demands so much more. #CGEV #VisualEffects #FilmIndustry #TheSubstance #Innovation
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    Mise à jour de showreel pour la CGEV : de The Substance au Salaire de la Peur
    La Compagnie Générale des Effets Visuels présente une compilation de ses derniers projets. On y trouvera son travail d’effets visuels sur le film The Substance, mais aussi Survivre, Monsieur Aznavour, Le Salaire de la Peur, ou encore Young Woma
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  • What on earth is going on with the VFX in Netflix's "The Snow Sister"? Seriously, it’s 2023, and we’re still being fed mediocre visual effects that are supposed to "wow" us but end up doing the exact opposite! The so-called "VFX breakdown" is nothing more than a slap in the face to anyone who actually appreciates the art of visual storytelling.

    Let’s get one thing straight: if the best VFX are indeed the ones you can’t spot, then how on earth did we end up with these glaringly obvious digital blunders? It’s like they threw a bunch of half-baked effects together and called it a day. Instead of stunning visuals that elevate the narrative, we get a distracting mess that pulls you right out of the experience. Who are they kidding?

    The creators of "The Snow Sister" clearly missed the memo that viewers today are not easily satisfied. We demand more than just passable effects; we want immersive worlds that captivate us. And yet, here we are, subjected to a barrage of poorly executed VFX that look like they belong in a low-budget production from the early 2000s. It’s frustrating to see Netflix, a platform that should be setting the gold standard in content creation, flounder so embarrassingly with something as fundamental as visual effects.

    What’s even more maddening is the disconnect between the promotional hype and the actual product. They tout the "creation" of these effects as if they’re groundbreaking, but in reality, they are a visual cacophony that leaves much to be desired. How can anyone take this seriously when the final product looks like it was hastily patched together? It’s not just a disservice to the viewers; it’s an insult to the talented artists who work tirelessly in the VFX industry. They deserve better than to have their hard work represented by subpar results that manage to undermine the entire project.

    Netflix needs to wake up and understand that audiences are becoming increasingly discerning. We’re not just mindless consumers; we have eyes, and we can see when something is off. The VFX in "The Snow Sister" is a glaring example of what happens when corners are cut and quality is sacrificed for the sake of quantity. We expect innovation, creativity, and, above all, professionalism. Instead, we are fed a half-hearted effort that leaves us shaking our heads in disbelief.

    In conclusion, if Netflix wants to maintain its position as a leader in the entertainment industry, it’s time to step up its game and give us the high-quality VFX that we deserve. No more excuses, no more mediocre breakdowns—just real artistry that enhances our viewing experience. Let’s hold them accountable and demand better!

    #VFX #Netflix #TheSnowSister #VisualEffects #EntertainmentIndustry
    What on earth is going on with the VFX in Netflix's "The Snow Sister"? Seriously, it’s 2023, and we’re still being fed mediocre visual effects that are supposed to "wow" us but end up doing the exact opposite! The so-called "VFX breakdown" is nothing more than a slap in the face to anyone who actually appreciates the art of visual storytelling. Let’s get one thing straight: if the best VFX are indeed the ones you can’t spot, then how on earth did we end up with these glaringly obvious digital blunders? It’s like they threw a bunch of half-baked effects together and called it a day. Instead of stunning visuals that elevate the narrative, we get a distracting mess that pulls you right out of the experience. Who are they kidding? The creators of "The Snow Sister" clearly missed the memo that viewers today are not easily satisfied. We demand more than just passable effects; we want immersive worlds that captivate us. And yet, here we are, subjected to a barrage of poorly executed VFX that look like they belong in a low-budget production from the early 2000s. It’s frustrating to see Netflix, a platform that should be setting the gold standard in content creation, flounder so embarrassingly with something as fundamental as visual effects. What’s even more maddening is the disconnect between the promotional hype and the actual product. They tout the "creation" of these effects as if they’re groundbreaking, but in reality, they are a visual cacophony that leaves much to be desired. How can anyone take this seriously when the final product looks like it was hastily patched together? It’s not just a disservice to the viewers; it’s an insult to the talented artists who work tirelessly in the VFX industry. They deserve better than to have their hard work represented by subpar results that manage to undermine the entire project. Netflix needs to wake up and understand that audiences are becoming increasingly discerning. We’re not just mindless consumers; we have eyes, and we can see when something is off. The VFX in "The Snow Sister" is a glaring example of what happens when corners are cut and quality is sacrificed for the sake of quantity. We expect innovation, creativity, and, above all, professionalism. Instead, we are fed a half-hearted effort that leaves us shaking our heads in disbelief. In conclusion, if Netflix wants to maintain its position as a leader in the entertainment industry, it’s time to step up its game and give us the high-quality VFX that we deserve. No more excuses, no more mediocre breakdowns—just real artistry that enhances our viewing experience. Let’s hold them accountable and demand better! #VFX #Netflix #TheSnowSister #VisualEffects #EntertainmentIndustry
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    VFX breakdown: Netflix's The Snow sister
    Enjoy seeing how the VFX in The Snow Sister were created. As always, the best VFX are the ones you can't spot! Source
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