• Ah, le grand retour des crypto-milliardaires ! Qui aurait cru que le rêve de la "re-banking" deviendrait réalité grâce à quelques fintechs sous l'égide de l'administration Trump ? Après des années à se lamenter d'être "débankés", voilà qu'ils déroulent le tapis rouge. Peut-être que la prochaine étape sera de les voir ouvrir des comptes épargne dans des banques de bonbons, histoire de diversifier leurs actifs ? La vraie question, c'est : qui va encore se soucier des cryptos quand on a des bonbons en vedette ?

    #Crypto #ReBanking #Fintech #Humour #Investissement
    Ah, le grand retour des crypto-milliardaires ! Qui aurait cru que le rêve de la "re-banking" deviendrait réalité grâce à quelques fintechs sous l'égide de l'administration Trump ? Après des années à se lamenter d'être "débankés", voilà qu'ils déroulent le tapis rouge. Peut-être que la prochaine étape sera de les voir ouvrir des comptes épargne dans des banques de bonbons, histoire de diversifier leurs actifs ? La vraie question, c'est : qui va encore se soucier des cryptos quand on a des bonbons en vedette ? #Crypto #ReBanking #Fintech #Humour #Investissement
    The Great Crypto Re-Banking Has Begun
    For years, crypto firms complained about being “debanked” in the US. Under the Trump administration, a group of fintechs is rolling out the red carpet.
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  • Il est inacceptable que le secrétaire au Commerce de Trump, Howard Lutnick, profite de la situation tout en pariant contre ses propres politiques tarifaires ! Comment peut-on faire confiance à un homme dont la société d'investissement, Cantor Fitzgerald, permet à ses clients de miser sur l'échec des tarifs ? C'est une hypocrisie sans précédent qui démontre à quel point ces élites sont déconnectées de la réalité. Lutnick, au lieu de défendre les intérêts des travailleurs américains, préfère jouer à la roulette sur l'avenir économique de notre pays. Cette situation est scandaleuse et elle doit être dénoncée haut et fort !

    #Tarifs #HowardLutnick #Commerce #Hypocrisie #Économie
    Il est inacceptable que le secrétaire au Commerce de Trump, Howard Lutnick, profite de la situation tout en pariant contre ses propres politiques tarifaires ! Comment peut-on faire confiance à un homme dont la société d'investissement, Cantor Fitzgerald, permet à ses clients de miser sur l'échec des tarifs ? C'est une hypocrisie sans précédent qui démontre à quel point ces élites sont déconnectées de la réalité. Lutnick, au lieu de défendre les intérêts des travailleurs américains, préfère jouer à la roulette sur l'avenir économique de notre pays. Cette situation est scandaleuse et elle doit être dénoncée haut et fort ! #Tarifs #HowardLutnick #Commerce #Hypocrisie #Économie
    Trump’s Commerce Secretary Loves Tariffs. His Former Investment Bank Is Taking Bets Against Them
    A subsidiary of Cantor Fitzgerald, which is run by the sons of US commerce secretary Howard Lutnick, is letting clients essentially bet that President Donald Trump’s tariffs will be struck down in court.
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  • Quand on dit que la dernière tablette budget d'Honor, la Honor Pad 10, est surprenante, on se demande si c'est un compliment ou une blague. Après tout, qui aurait cru qu'un appareil à petit prix pouvait donner l'impression de luxe ? C'est comme dire qu'un sandwich à un euro a le goût d'un plat étoilé Michelin. Peut-être qu'ils ont trouvé une nouvelle recette secrète : "mélange de plastiques premium et d'illusion".

    Alors, est-ce que cet investissement en vaut vraiment la peine ? À moins que vous ne soyez un amateur de désillusions tech, je vous laisse juger. En attendant, le marketing fait son show, et nous, on regarde avec un sourire
    Quand on dit que la dernière tablette budget d'Honor, la Honor Pad 10, est surprenante, on se demande si c'est un compliment ou une blague. Après tout, qui aurait cru qu'un appareil à petit prix pouvait donner l'impression de luxe ? C'est comme dire qu'un sandwich à un euro a le goût d'un plat étoilé Michelin. Peut-être qu'ils ont trouvé une nouvelle recette secrète : "mélange de plastiques premium et d'illusion". Alors, est-ce que cet investissement en vaut vraiment la peine ? À moins que vous ne soyez un amateur de désillusions tech, je vous laisse juger. En attendant, le marketing fait son show, et nous, on regarde avec un sourire
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    I tested Honor's latest budget tablet, and it feels surprisingly premium
    My Honor Pad 10 review asks if this budget tablet is worth investing in.
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  • Dans un monde où l'on parle sans cesse de rêves américains, il semble que le capital-investissement ait mis un coup dur à tout ça. Dans son livre "Bad Company", la journaliste Megan Greenwell explique comment le capital-investissement a transformé des secteurs clés, comme la santé et les médias locaux. C'est un peu déprimant de voir comment des industries qui étaient autrefois essentielles sont devenues des ombres d'elles-mêmes, tout ça à cause de l'appât du gain.

    L'idée que les travailleurs se battent contre ces changements est un peu réconfortante, mais en même temps, ça donne l'impression que tout est devenu une bataille sans fin. Les gens essaient de récupérer ce qu'ils ont perdu, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Les nouvelles stratégies de ces grandes entreprises semblent souvent déconnectées des réalités du quotidien.

    Il y a quelque chose de lassant à regarder ce cycle sans fin où les rêves d'un avenir meilleur se heurtent à la dure réalité du marché. On a l'impression que le combat pour un meilleur avenir est déjà perdu d'avance. Les histoires de ceux qui luttent sont importantes, mais il est difficile de rester motivé quand on voit à quel point les choses sont devenues compliquées.

    Les livres comme celui-ci nous rappellent que derrière chaque changement, il y a des vies, mais parfois, il serait plus simple de fermer les yeux et de faire comme si de rien n'était. La désillusion est palpable, et l'absence d'enthousiasme est de mise. Qui a vraiment le temps et l'énergie de se battre pour un rêve qui semble de plus en plus inaccessible ?

    Les pages de l'histoire se tournent lentement, et il est probable que le rêve américain, tel que nous le connaissions, ne soit plus qu'un souvenir lointain. Peut-être qu'il est temps d'accepter la réalité telle qu'elle est, même si c'est un peu frustrant.

    #RêveAméricain #CapitalInvestissement #MeganGreenwell #BadCompany #Désillusion
    Dans un monde où l'on parle sans cesse de rêves américains, il semble que le capital-investissement ait mis un coup dur à tout ça. Dans son livre "Bad Company", la journaliste Megan Greenwell explique comment le capital-investissement a transformé des secteurs clés, comme la santé et les médias locaux. C'est un peu déprimant de voir comment des industries qui étaient autrefois essentielles sont devenues des ombres d'elles-mêmes, tout ça à cause de l'appât du gain. L'idée que les travailleurs se battent contre ces changements est un peu réconfortante, mais en même temps, ça donne l'impression que tout est devenu une bataille sans fin. Les gens essaient de récupérer ce qu'ils ont perdu, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Les nouvelles stratégies de ces grandes entreprises semblent souvent déconnectées des réalités du quotidien. Il y a quelque chose de lassant à regarder ce cycle sans fin où les rêves d'un avenir meilleur se heurtent à la dure réalité du marché. On a l'impression que le combat pour un meilleur avenir est déjà perdu d'avance. Les histoires de ceux qui luttent sont importantes, mais il est difficile de rester motivé quand on voit à quel point les choses sont devenues compliquées. Les livres comme celui-ci nous rappellent que derrière chaque changement, il y a des vies, mais parfois, il serait plus simple de fermer les yeux et de faire comme si de rien n'était. La désillusion est palpable, et l'absence d'enthousiasme est de mise. Qui a vraiment le temps et l'énergie de se battre pour un rêve qui semble de plus en plus inaccessible ? Les pages de l'histoire se tournent lentement, et il est probable que le rêve américain, tel que nous le connaissions, ne soit plus qu'un souvenir lointain. Peut-être qu'il est temps d'accepter la réalité telle qu'elle est, même si c'est un peu frustrant. #RêveAméricain #CapitalInvestissement #MeganGreenwell #BadCompany #Désillusion
    How Private Equity Killed the American Dream
    In her new book Bad Company, journalist Megan Greenwell chronicles how private equity upended industries from health care to local news—and the ways workers are fighting back.
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  • Tencent investit encore plus d'argent dans le nouveau studio du fondateur de Playground Games. Lighthouse Games, fondé par Gavin Raeburn en 2022, travaille actuellement sur une franchise de course. C'est intéressant, je suppose. Une autre entreprise qui reçoit du financement pour créer quelque chose. On se demande si ça va être vraiment différent des autres jeux de course qui sont déjà sur le marché. On a déjà vu tant de choses dans ce genre, des voitures qui vont vite, des pistes, des compétitions… tout ça.

    Gavin Raeburn a une certaine réputation grâce à Playground Games, mais est-ce que cela garantit que Lighthouse Games produira quelque chose de mémorable ? Peut-être que Tencent, avec son investissement, espère que cette nouvelle aventure conduira à des résultats impressionnants. Mais bon, la réalité est souvent moins excitante que les promesses. On se retrouve souvent avec des jeux qui se ressemblent et qui ne font que passer le temps.

    Le fait que Lighthouse Games soit en train de développer une franchise de course soulève des questions. Est-ce que le monde a vraiment besoin d'un autre jeu de course ? Peut-être qu'ils essaient de se démarquer avec des éléments innovants, mais à ce stade, je ne suis pas sûr que cela suffira à capter l'attention du public.

    En attendant, on continue à attendre et à voir ce que cela va donner. Peut-être qu'ils vont annoncer quelque chose d'intéressant, mais avec tant de jeux qui sortent chaque mois, il est facile de perdre l'intérêt. Il se pourrait que, d'ici-là, on soit déjà passés à autre chose. Le temps nous le dira.

    #Tencent #LighthouseGames #GavinRaeburn #JeuxVidéo #FranchiseDeCourse
    Tencent investit encore plus d'argent dans le nouveau studio du fondateur de Playground Games. Lighthouse Games, fondé par Gavin Raeburn en 2022, travaille actuellement sur une franchise de course. C'est intéressant, je suppose. Une autre entreprise qui reçoit du financement pour créer quelque chose. On se demande si ça va être vraiment différent des autres jeux de course qui sont déjà sur le marché. On a déjà vu tant de choses dans ce genre, des voitures qui vont vite, des pistes, des compétitions… tout ça. Gavin Raeburn a une certaine réputation grâce à Playground Games, mais est-ce que cela garantit que Lighthouse Games produira quelque chose de mémorable ? Peut-être que Tencent, avec son investissement, espère que cette nouvelle aventure conduira à des résultats impressionnants. Mais bon, la réalité est souvent moins excitante que les promesses. On se retrouve souvent avec des jeux qui se ressemblent et qui ne font que passer le temps. Le fait que Lighthouse Games soit en train de développer une franchise de course soulève des questions. Est-ce que le monde a vraiment besoin d'un autre jeu de course ? Peut-être qu'ils essaient de se démarquer avec des éléments innovants, mais à ce stade, je ne suis pas sûr que cela suffira à capter l'attention du public. En attendant, on continue à attendre et à voir ce que cela va donner. Peut-être qu'ils vont annoncer quelque chose d'intéressant, mais avec tant de jeux qui sortent chaque mois, il est facile de perdre l'intérêt. Il se pourrait que, d'ici-là, on soit déjà passés à autre chose. Le temps nous le dira. #Tencent #LighthouseGames #GavinRaeburn #JeuxVidéo #FranchiseDeCourse
    Tencent sinks more cash into Playground Games founder's new studio
    Lighthouse Games was established by Gavin Raeburn in 2022 and is currently working on a racing franchise.
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  • Il y a 14 métriques à suivre pour évaluer la performance de votre site web. Franchement, ça peut sembler un peu ennuyeux, mais bon, on doit le faire. Plusieurs de ces métriques vous diront ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Pour rester compétitif.

    D’abord, le trafic. Oui, combien de personnes visitent votre site. Pas très excitant. Puis, il y a le taux de rebond, qui indique si les gens restent ou s’ils s’en vont rapidement. C’est un peu comme un rendez-vous où personne ne reste.

    Ensuite, les pages par session. Cela montre combien de pages un visiteur consulte. Un chiffre bas n’est pas génial, mais bon, qui a vraiment envie de passer trop de temps sur un site ? On a tous des choses à faire.

    Il y a aussi le temps de chargement des pages. Si ça met trop de temps, les gens s’en vont. Mais bon, comme si on avait tous la patience d’attendre. Il y a aussi le taux de conversion. Combien de visiteurs effectuent une action souhaitée ? Si vous n’aimez pas trop les chiffres, ça va vite devenir monotone.

    Les sources de trafic, c’est une autre métrique. On peut voir d’où viennent les visiteurs. Mais bon, encore une fois, qui se soucie vraiment de ça ? On a tous des vies à mener.

    Le trafic mobile est aussi important, mais tout le monde utilise son téléphone de nos jours. Alors, est-ce vraiment une surprise ? Puis, il y a les utilisateurs uniques. Ça peut sembler intéressant, mais au fond, qui a vraiment le temps de se concentrer là-dessus ?

    Les réseaux sociaux et leur impact sur le trafic, c’est une autre métrique. Les likes et les partages, c’est sympa, mais ça ne remplace pas une vraie interaction.

    Enfin, il y a les indicateurs de performance, comme le retour sur investissement. Ça, c’est un mot qui fait peur. Qui a envie de s’embêter à calculer tout ça ? Juste pour rester compétitif.

    Donc, voilà, 14 métriques à suivre pour la performance de votre site. Ça peut sembler un peu fastidieux, mais si vous voulez vraiment savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, il faut le faire. On n’a pas le choix.

    #SiteWeb #Métriques #Performance #SEO #Compétitivité
    Il y a 14 métriques à suivre pour évaluer la performance de votre site web. Franchement, ça peut sembler un peu ennuyeux, mais bon, on doit le faire. Plusieurs de ces métriques vous diront ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Pour rester compétitif. D’abord, le trafic. Oui, combien de personnes visitent votre site. Pas très excitant. Puis, il y a le taux de rebond, qui indique si les gens restent ou s’ils s’en vont rapidement. C’est un peu comme un rendez-vous où personne ne reste. Ensuite, les pages par session. Cela montre combien de pages un visiteur consulte. Un chiffre bas n’est pas génial, mais bon, qui a vraiment envie de passer trop de temps sur un site ? On a tous des choses à faire. Il y a aussi le temps de chargement des pages. Si ça met trop de temps, les gens s’en vont. Mais bon, comme si on avait tous la patience d’attendre. Il y a aussi le taux de conversion. Combien de visiteurs effectuent une action souhaitée ? Si vous n’aimez pas trop les chiffres, ça va vite devenir monotone. Les sources de trafic, c’est une autre métrique. On peut voir d’où viennent les visiteurs. Mais bon, encore une fois, qui se soucie vraiment de ça ? On a tous des vies à mener. Le trafic mobile est aussi important, mais tout le monde utilise son téléphone de nos jours. Alors, est-ce vraiment une surprise ? Puis, il y a les utilisateurs uniques. Ça peut sembler intéressant, mais au fond, qui a vraiment le temps de se concentrer là-dessus ? Les réseaux sociaux et leur impact sur le trafic, c’est une autre métrique. Les likes et les partages, c’est sympa, mais ça ne remplace pas une vraie interaction. Enfin, il y a les indicateurs de performance, comme le retour sur investissement. Ça, c’est un mot qui fait peur. Qui a envie de s’embêter à calculer tout ça ? Juste pour rester compétitif. Donc, voilà, 14 métriques à suivre pour la performance de votre site. Ça peut sembler un peu fastidieux, mais si vous voulez vraiment savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, il faut le faire. On n’a pas le choix. #SiteWeb #Métriques #Performance #SEO #Compétitivité
    14 Website Metrics for Tracking Your Performance
    Measure these website metrics to understand what’s working and what to improve to stay competitive.
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  • IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »

    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #les #robots #peuventils #battre #loups
    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #les #robots #peuventils #battre #loups
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    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford (Californie), avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificielle (IA) a écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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