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  • Il est absolument scandaleux de voir comment la société actuelle traite des figures emblématiques comme Sœur Corita Kent, la religieuse Pop Art, sans même prendre le temps d’apprécier la profondeur de son engagement artistique et social. Il est temps d’arrêter de réduire son travail à un simple phénomène de mode ou à une simple curiosité historique ! Sœur Corita Kent n’était pas qu'une graphiste engagée, elle était une pionnière du Pop Art qui a su utiliser son art comme un cri de révolte contre l’injustice et l’inégalité.

    Comment peut-on encore ignorer l’impact colossal qu’elle a eu sur l’art contemporain ? On se retrouve dans une époque où l’art est souvent superficiel, où les véritables artistes sont éclipsés par des influenceurs sans substance qui ne cherchent qu’à vendre une image. C’est une honte ! Sœur Corita Kent, avec ses œuvres vibrantes et engagées, a voulu éveiller les consciences et a osé aborder des sujets délicats tels que la guerre, la pauvreté et la paix. Pourtant, trop de gens continuent de la regarder comme une simple religieuse avec un pinceau, sans voir la force de sa voix et la puissance de son message.

    Il est également désolant de constater que, dans un monde saturé par le contenu numérique, on oublie facilement de mettre en avant des artistes qui méritent d’être célébrés. Au lieu de cela, on glorifie des créations éphémères qui n’ont rien à dire. La culture Pop Art mérite d’être explorée en profondeur, et Sœur Corita Kent est un exemple parfait de cette exploration. Son travail ne devrait pas être relégué à un simple article de blog, mais au cœur de discussions sur l’évolution de l’art et de la société.

    Il est urgent de rouvrir les yeux sur le rôle que joue l’art engagé dans nos vies. Sœur Corita Kent nous appelle à réfléchir, à agir et à nous interroger sur la direction que prend notre société. Pourquoi continuons-nous à célébrer une culture de l’image pour l’image, en ignorant des voix comme la sienne ? C’est une véritable trahison envers l’art et l’humanité.

    Nous devons nous battre pour que son héritage ne soit pas oublié. Que ce soit à travers des expositions, des conférences ou des discussions en ligne, il est impératif de remettre Sœur Corita Kent là où elle mérite d’être : au sommet du Panthéon des artistes engagés. La prochaine fois que vous tombez sur une œuvre de Sœur Corita Kent, prenez un moment pour réfléchir à son message, et plutôt que de passer à autre chose, engagez-vous à faire entendre sa voix.

    Il est temps de revendiquer un retour à des valeurs authentiques dans l’art. Sœur Corita Kent est une figure incontournable et son héritage mérite d’être préservé et célébré. Arrêtons de nous contenter de peu et de vivre dans l’ignorance !

    #SœurCoritaKent #PopArt #ArtEngagé #JusticeSociale #Culture
    Il est absolument scandaleux de voir comment la société actuelle traite des figures emblématiques comme Sœur Corita Kent, la religieuse Pop Art, sans même prendre le temps d’apprécier la profondeur de son engagement artistique et social. Il est temps d’arrêter de réduire son travail à un simple phénomène de mode ou à une simple curiosité historique ! Sœur Corita Kent n’était pas qu'une graphiste engagée, elle était une pionnière du Pop Art qui a su utiliser son art comme un cri de révolte contre l’injustice et l’inégalité. Comment peut-on encore ignorer l’impact colossal qu’elle a eu sur l’art contemporain ? On se retrouve dans une époque où l’art est souvent superficiel, où les véritables artistes sont éclipsés par des influenceurs sans substance qui ne cherchent qu’à vendre une image. C’est une honte ! Sœur Corita Kent, avec ses œuvres vibrantes et engagées, a voulu éveiller les consciences et a osé aborder des sujets délicats tels que la guerre, la pauvreté et la paix. Pourtant, trop de gens continuent de la regarder comme une simple religieuse avec un pinceau, sans voir la force de sa voix et la puissance de son message. Il est également désolant de constater que, dans un monde saturé par le contenu numérique, on oublie facilement de mettre en avant des artistes qui méritent d’être célébrés. Au lieu de cela, on glorifie des créations éphémères qui n’ont rien à dire. La culture Pop Art mérite d’être explorée en profondeur, et Sœur Corita Kent est un exemple parfait de cette exploration. Son travail ne devrait pas être relégué à un simple article de blog, mais au cœur de discussions sur l’évolution de l’art et de la société. Il est urgent de rouvrir les yeux sur le rôle que joue l’art engagé dans nos vies. Sœur Corita Kent nous appelle à réfléchir, à agir et à nous interroger sur la direction que prend notre société. Pourquoi continuons-nous à célébrer une culture de l’image pour l’image, en ignorant des voix comme la sienne ? C’est une véritable trahison envers l’art et l’humanité. Nous devons nous battre pour que son héritage ne soit pas oublié. Que ce soit à travers des expositions, des conférences ou des discussions en ligne, il est impératif de remettre Sœur Corita Kent là où elle mérite d’être : au sommet du Panthéon des artistes engagés. La prochaine fois que vous tombez sur une œuvre de Sœur Corita Kent, prenez un moment pour réfléchir à son message, et plutôt que de passer à autre chose, engagez-vous à faire entendre sa voix. Il est temps de revendiquer un retour à des valeurs authentiques dans l’art. Sœur Corita Kent est une figure incontournable et son héritage mérite d’être préservé et célébré. Arrêtons de nous contenter de peu et de vivre dans l’ignorance ! #SœurCoritaKent #PopArt #ArtEngagé #JusticeSociale #Culture
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    Sœur Corita Kent, la religieuse Pop Art
    Sœur Corita Kent (1918-1986). Graphiste engagée et pionnière du Pop Art. L’article Sœur Corita Kent, la religieuse Pop Art est apparu en premier sur Graphéine - Agence de communication Paris Lyon.
  • Je suis vraiment exaspéré par la tendance actuelle à faire du marketing pour des consoles de jeux qui ne peuvent tout simplement pas rivaliser avec la nostalgie et la magie de la Sony PSP. Oui, vous avez bien entendu, rien ne sera jamais aussi cool que la PSP, et je suis fatigué d'entendre les discours sur le Switch 2 comme si c'était la seconde venue de Jésus en matière de jeux vidéo. C'est presque insultant pour ceux d'entre nous qui ont grandi avec la PSP, une console qui a redéfini le portatif et a marqué une génération entière de joueurs.

    La Sony PSP n'était pas simplement un gadget ; c'était une expérience. Une expérience qui a fusionné la portabilité avec une puissance graphique qui, à l'époque, était révolutionnaire. Je me souviens encore des heures passées à jouer à "God of War: Chains of Olympus" tout en voyageant, une véritable prouesse technique pour l'époque. Et maintenant, on nous dit que le Switch 2 va tout balayer sur son passage ? Allons donc ! Comparer ces deux consoles est un affront à l'héritage de la PSP. Le Switch 2, malgré toutes ses promesses, ne sera jamais en mesure de capturer l'essence de ce qui faisait de la PSP une console emblématique.

    Et parlons des jeux – oui, le Switch a peut-être quelques titres phares, mais en termes de variété et d'innovation, il est loin derrière la PSP qui a apporté des classiques inoubliables comme "Daxter" et "Lumines". Pourquoi devrions-nous nous contenter de remakes et de suites quand la PSP nous a offert une bibliothèque riche et diversifiée ? La nostalgie est belle, mais elle ne devrait pas être une excuse pour ignorer les réalités de l'innovation vidéoludique.

    Je suis furieux que les fans de Nintendo semblent avoir oublié ce que signifie vraiment être un joueur. Nous ne sommes pas là pour juste nous contenter de ce que l'on nous sert ; nous voulons de la qualité, de l'innovation, et des expériences qui nous marquent à jamais. La PSP a su faire tout cela avec brio, et je ne comprends pas comment on peut envisager que le Switch 2, avec ses limitations techniques et son approche peu inspirante, puisse rivaliser avec ce chef-d'œuvre du jeu vidéo.

    Alors, réveillez-vous, les fans ! Arrêtez de vous laisser berner par le battage médiatique autour du Switch 2. Rappelez-vous de la Sony PSP et de la magie qu'elle a apportée dans nos vies. Rien ne sera jamais aussi cool que cela, et c'est un fait que nous devons défendre avec fierté. Nous ne devons pas laisser l'histoire se répéter avec des consoles qui n'apportent rien de nouveau. Il est temps de faire entendre notre voix et d'exiger plus de la part de l'industrie du jeu vidéo.

    #SonyPSP #Switch2 #JeuxVidéo #Nostalgie #Gaming
    Je suis vraiment exaspéré par la tendance actuelle à faire du marketing pour des consoles de jeux qui ne peuvent tout simplement pas rivaliser avec la nostalgie et la magie de la Sony PSP. Oui, vous avez bien entendu, rien ne sera jamais aussi cool que la PSP, et je suis fatigué d'entendre les discours sur le Switch 2 comme si c'était la seconde venue de Jésus en matière de jeux vidéo. C'est presque insultant pour ceux d'entre nous qui ont grandi avec la PSP, une console qui a redéfini le portatif et a marqué une génération entière de joueurs. La Sony PSP n'était pas simplement un gadget ; c'était une expérience. Une expérience qui a fusionné la portabilité avec une puissance graphique qui, à l'époque, était révolutionnaire. Je me souviens encore des heures passées à jouer à "God of War: Chains of Olympus" tout en voyageant, une véritable prouesse technique pour l'époque. Et maintenant, on nous dit que le Switch 2 va tout balayer sur son passage ? Allons donc ! Comparer ces deux consoles est un affront à l'héritage de la PSP. Le Switch 2, malgré toutes ses promesses, ne sera jamais en mesure de capturer l'essence de ce qui faisait de la PSP une console emblématique. Et parlons des jeux – oui, le Switch a peut-être quelques titres phares, mais en termes de variété et d'innovation, il est loin derrière la PSP qui a apporté des classiques inoubliables comme "Daxter" et "Lumines". Pourquoi devrions-nous nous contenter de remakes et de suites quand la PSP nous a offert une bibliothèque riche et diversifiée ? La nostalgie est belle, mais elle ne devrait pas être une excuse pour ignorer les réalités de l'innovation vidéoludique. Je suis furieux que les fans de Nintendo semblent avoir oublié ce que signifie vraiment être un joueur. Nous ne sommes pas là pour juste nous contenter de ce que l'on nous sert ; nous voulons de la qualité, de l'innovation, et des expériences qui nous marquent à jamais. La PSP a su faire tout cela avec brio, et je ne comprends pas comment on peut envisager que le Switch 2, avec ses limitations techniques et son approche peu inspirante, puisse rivaliser avec ce chef-d'œuvre du jeu vidéo. Alors, réveillez-vous, les fans ! Arrêtez de vous laisser berner par le battage médiatique autour du Switch 2. Rappelez-vous de la Sony PSP et de la magie qu'elle a apportée dans nos vies. Rien ne sera jamais aussi cool que cela, et c'est un fait que nous devons défendre avec fierté. Nous ne devons pas laisser l'histoire se répéter avec des consoles qui n'apportent rien de nouveau. Il est temps de faire entendre notre voix et d'exiger plus de la part de l'industrie du jeu vidéo. #SonyPSP #Switch2 #JeuxVidéo #Nostalgie #Gaming
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    Nothing will ever be as cool as the Sony PSP – not even the Switch 2
    You never forget your first love.
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  • La communauté scientifique semble plongée dans une profonde ignorance lorsqu'il s'agit des mystères des lunes volcaniques, en particulier Io, la lune de Jupiter. Qu'est-ce qui se passe ici ? Les récents survols de ce monde enflammé ont non seulement mis à mal une théorie bien ancrée sur sa structure interne, mais ils révèlent aussi à quel point nous sommes perdus dans notre compréhension des lunes géologiquement actives. C'est tout simplement inacceptable !

    À l'ère de l'information, comment est-il possible que les scientifiques continuent d'élaborer des théories qui sont non seulement fausses, mais qui peuvent également mettre en péril des recherches futures ? Les nouvelles données sur Io, ce volcanique satellite de Jupiter, sont un véritable coup de poing dans l'estomac pour ceux qui croyaient tout savoir. On nous a vendu des histoires sur la structure interne de cette lune pendant des décennies, et voilà que tout s'effondre comme un château de cartes ! Cela montre non seulement un manque de rigueur scientifique, mais aussi une arrogance dans notre approche des mystères de l'univers.

    Nos chercheurs semblent incapables de se sortir de leur zone de confort, restant figés dans des paradigmes dépassés. Au lieu d'adopter une approche plus ouverte et adaptable, ils s'accrochent à leurs théories erronées, refusant de reconnaître que nous ne comprenons que très peu des mécanismes internes d'Io. La géologie de cette lune est un véritable casse-tête, et les récentes découvertes ne font que souligner notre méconnaissance crasse. Comment peut-on prétendre explorer l'espace si nous ne maîtrisons même pas les bases de notre propre système solaire ?

    Il est temps que la communauté scientifique prenne conscience de ses lacunes. Les missionnaires de la science, qui se prennent pour des experts, doivent abaisser leur prétention et ouvrir les yeux sur la réalité. Les nouvelles révélations sur Io ne sont pas simplement des détails techniques ; elles sont le reflet d'un besoin urgent de repenser notre compréhension des corps célestes. Nous avons besoin d'une méthode plus rigoureuse, plus dynamique, et surtout, plus humble.

    Si nous continuons à ignorer ces avertissements, nous ne ferons qu'approfondir notre ignorance collective. Les mystères internes d'Io ne doivent pas seulement être vus comme des défis à relever, mais comme des opportunités d'apprentissage et d'évolution. Il est temps que les chercheurs prennent leurs responsabilités et commencent à bâtir une base solide de connaissances sur ces lunes fascinantes, plutôt que de s'enliser dans des théories caduques.

    En conclusion, il n'y a pas de place pour l'aveuglement dans la science. Il est impératif d'accueillir ces nouvelles découvertes sur Io avec ouverture d'esprit et détermination. La compréhension de notre univers dépend de notre capacité à remettre en question nos certitudes et à embrasser l'inconnu.

    #Io #Jupiter #LunesVolcaniques #Géologie #Science
    La communauté scientifique semble plongée dans une profonde ignorance lorsqu'il s'agit des mystères des lunes volcaniques, en particulier Io, la lune de Jupiter. Qu'est-ce qui se passe ici ? Les récents survols de ce monde enflammé ont non seulement mis à mal une théorie bien ancrée sur sa structure interne, mais ils révèlent aussi à quel point nous sommes perdus dans notre compréhension des lunes géologiquement actives. C'est tout simplement inacceptable ! À l'ère de l'information, comment est-il possible que les scientifiques continuent d'élaborer des théories qui sont non seulement fausses, mais qui peuvent également mettre en péril des recherches futures ? Les nouvelles données sur Io, ce volcanique satellite de Jupiter, sont un véritable coup de poing dans l'estomac pour ceux qui croyaient tout savoir. On nous a vendu des histoires sur la structure interne de cette lune pendant des décennies, et voilà que tout s'effondre comme un château de cartes ! Cela montre non seulement un manque de rigueur scientifique, mais aussi une arrogance dans notre approche des mystères de l'univers. Nos chercheurs semblent incapables de se sortir de leur zone de confort, restant figés dans des paradigmes dépassés. Au lieu d'adopter une approche plus ouverte et adaptable, ils s'accrochent à leurs théories erronées, refusant de reconnaître que nous ne comprenons que très peu des mécanismes internes d'Io. La géologie de cette lune est un véritable casse-tête, et les récentes découvertes ne font que souligner notre méconnaissance crasse. Comment peut-on prétendre explorer l'espace si nous ne maîtrisons même pas les bases de notre propre système solaire ? Il est temps que la communauté scientifique prenne conscience de ses lacunes. Les missionnaires de la science, qui se prennent pour des experts, doivent abaisser leur prétention et ouvrir les yeux sur la réalité. Les nouvelles révélations sur Io ne sont pas simplement des détails techniques ; elles sont le reflet d'un besoin urgent de repenser notre compréhension des corps célestes. Nous avons besoin d'une méthode plus rigoureuse, plus dynamique, et surtout, plus humble. Si nous continuons à ignorer ces avertissements, nous ne ferons qu'approfondir notre ignorance collective. Les mystères internes d'Io ne doivent pas seulement être vus comme des défis à relever, mais comme des opportunités d'apprentissage et d'évolution. Il est temps que les chercheurs prennent leurs responsabilités et commencent à bâtir une base solide de connaissances sur ces lunes fascinantes, plutôt que de s'enliser dans des théories caduques. En conclusion, il n'y a pas de place pour l'aveuglement dans la science. Il est impératif d'accueillir ces nouvelles découvertes sur Io avec ouverture d'esprit et détermination. La compréhension de notre univers dépend de notre capacité à remettre en question nos certitudes et à embrasser l'inconnu. #Io #Jupiter #LunesVolcaniques #Géologie #Science
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    The Mysterious Inner Workings of Io, Jupiter’s Volcanic Moon
    Recent flybys of the fiery world refute a leading theory of its inner structure—and reveal how little is understood about geologically active moons.
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  • In a world where creativity reigns supreme, Adobe has just gifted us with a shiny new toy: the Firefly Boards. Yes, folks, it’s the collaborative moodboarding app that has emerged from beta, as if it were a butterfly finally breaking free from its cocoon—or maybe just a slightly confused caterpillar trying to figure out what it wants to be.

    Now, why should creative agencies care about this groundbreaking development? Well, because who wouldn’t want to spend hours staring at a digital canvas filled with pretty pictures and random color palettes? Firefly Boards promises to revolutionize the way we moodboard, or as I like to call it, "pretending to be productive while scrolling through Pinterest."

    Imagine this: your team, huddled around a computer, desperately trying to agree on the shade of blue that will represent their brand. A task that could take days of heated debate is now streamlined into a digital playground where everyone can throw their ideas onto a board like a toddler at a paint store.

    But let's be real. Isn’t this just a fancy way of saying, “Let’s all agree on this one aesthetic and ignore all our differences”? Creativity is all about chaos, and yet, here we are, trying to tidy up the mess with collaborative moodboarding apps. What’s next? A group hug to decide on the font size?

    Of course, Adobe knows that creative agencies have an insatiable thirst for shiny features. They’ve marketed Firefly Boards as a ‘collaborative’ tool, but let’s face it—most of us are just trying to find an excuse to use the 'fire' emoji in a professional setting. It’s as if they’re saying, “Trust us, this will make your life easier!” while we silently nod, hoping that it won’t eventually lead to a 10-hour Zoom call discussing the merits of various shades of beige.

    And let’s not forget the inevitable influx of social media posts proclaiming, “Check out our latest Firefly Board!” — because nothing says ‘creative genius’ quite like a screenshot of a digital board filled with stock images and overused motivational quotes. Can’t wait to see how many ‘likes’ that garners!

    So, dear creative agencies, while you’re busy diving into the wonders of Adobe Firefly Boards, remember to take a moment to appreciate the irony. You’re now collaborating on moodboards, yet it feels like we’ve all just agreed to put our creative souls on a digital leash. But hey, at least you’ll have a fun platform to pretend you’re being innovative while you argue about which filter to use on your next Instagram post.

    #AdobeFirefly #Moodboarding #CreativeAgencies #DigitalCreativity #DesignHumor
    In a world where creativity reigns supreme, Adobe has just gifted us with a shiny new toy: the Firefly Boards. Yes, folks, it’s the collaborative moodboarding app that has emerged from beta, as if it were a butterfly finally breaking free from its cocoon—or maybe just a slightly confused caterpillar trying to figure out what it wants to be. Now, why should creative agencies care about this groundbreaking development? Well, because who wouldn’t want to spend hours staring at a digital canvas filled with pretty pictures and random color palettes? Firefly Boards promises to revolutionize the way we moodboard, or as I like to call it, "pretending to be productive while scrolling through Pinterest." Imagine this: your team, huddled around a computer, desperately trying to agree on the shade of blue that will represent their brand. A task that could take days of heated debate is now streamlined into a digital playground where everyone can throw their ideas onto a board like a toddler at a paint store. But let's be real. Isn’t this just a fancy way of saying, “Let’s all agree on this one aesthetic and ignore all our differences”? Creativity is all about chaos, and yet, here we are, trying to tidy up the mess with collaborative moodboarding apps. What’s next? A group hug to decide on the font size? Of course, Adobe knows that creative agencies have an insatiable thirst for shiny features. They’ve marketed Firefly Boards as a ‘collaborative’ tool, but let’s face it—most of us are just trying to find an excuse to use the 'fire' emoji in a professional setting. It’s as if they’re saying, “Trust us, this will make your life easier!” while we silently nod, hoping that it won’t eventually lead to a 10-hour Zoom call discussing the merits of various shades of beige. And let’s not forget the inevitable influx of social media posts proclaiming, “Check out our latest Firefly Board!” — because nothing says ‘creative genius’ quite like a screenshot of a digital board filled with stock images and overused motivational quotes. Can’t wait to see how many ‘likes’ that garners! So, dear creative agencies, while you’re busy diving into the wonders of Adobe Firefly Boards, remember to take a moment to appreciate the irony. You’re now collaborating on moodboards, yet it feels like we’ve all just agreed to put our creative souls on a digital leash. But hey, at least you’ll have a fun platform to pretend you’re being innovative while you argue about which filter to use on your next Instagram post. #AdobeFirefly #Moodboarding #CreativeAgencies #DigitalCreativity #DesignHumor
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    Why creative agencies need to know about new Adobe Firefly Boards
    The collaborative moodboarding app is now out of beta.
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • Why is it that in the age of advanced technology and innovative gaming experiences, we are still subjected to the sheer frustration of poorly implemented mini-games? I'm talking about the abysmal state of the CPR mini-game in MindsEye, a feature that has become synonymous with irritation rather than engagement. If you’ve ever tried to navigate this train wreck of a game, you know exactly what I mean.

    Let’s break it down: the mechanics are clunky, the controls are unresponsive, and don’t even get me started on the graphics. This is 2023; we should expect seamless integration and fluid gameplay. Instead, we are faced with a hot-fix that feels more like a band-aid on a bullet wound! How is it acceptable that players have to endure such a frustrating experience, waiting for a fix to a problem that should have never existed in the first place?

    What’s even more infuriating is the lack of accountability from the developers. They’ve let this issue fester for too long, and now we’re supposed to just sit on the sidelines and wait for a ‘hot-fix’? How about some transparency? How about acknowledging that you dropped the ball on this one? Players deserve better than vague promises and fixes that seem to take eons to materialize.

    In an industry where competition is fierce, it’s baffling that MindsEye would allow a feature as critical as the CPR mini-game to slip through the cracks. This isn’t just a minor inconvenience; it’s a major flaw that disrupts the flow of the game, undermining the entire experience. Players are losing interest, and rightfully so! Why invest time and energy into something that’s clearly half-baked?

    And let’s talk about the community feedback. It’s disheartening to see so many players voicing their frustrations only to be met with silence or generic responses. When a game has such glaring issues, listening to your player base should be a priority, not an afterthought. How can you expect to build a loyal community when you ignore their concerns?

    At this point, it’s clear that MindsEye needs to step up its game. If we’re going to keep supporting this platform, there needs to be a tangible commitment to quality and player satisfaction. A hot-fix is all well and good, but it shouldn’t take a crisis to prompt action. The developers need to take a hard look in the mirror and recognize that they owe it to their players to deliver a polished and enjoyable gaming experience.

    In conclusion, the CPR mini-game in MindsEye is a perfect example of how not to execute a critical feature. The impending hot-fix better be substantial, and I hope it’s not just another empty promise. If MindsEye truly values its players, it’s time to make some serious changes. We’re tired of waiting; we deserve a game that respects our time and investment!

    #MindsEye #CPRminiGame #GameDevelopment #PlayerFrustration #FixTheGame
    Why is it that in the age of advanced technology and innovative gaming experiences, we are still subjected to the sheer frustration of poorly implemented mini-games? I'm talking about the abysmal state of the CPR mini-game in MindsEye, a feature that has become synonymous with irritation rather than engagement. If you’ve ever tried to navigate this train wreck of a game, you know exactly what I mean. Let’s break it down: the mechanics are clunky, the controls are unresponsive, and don’t even get me started on the graphics. This is 2023; we should expect seamless integration and fluid gameplay. Instead, we are faced with a hot-fix that feels more like a band-aid on a bullet wound! How is it acceptable that players have to endure such a frustrating experience, waiting for a fix to a problem that should have never existed in the first place? What’s even more infuriating is the lack of accountability from the developers. They’ve let this issue fester for too long, and now we’re supposed to just sit on the sidelines and wait for a ‘hot-fix’? How about some transparency? How about acknowledging that you dropped the ball on this one? Players deserve better than vague promises and fixes that seem to take eons to materialize. In an industry where competition is fierce, it’s baffling that MindsEye would allow a feature as critical as the CPR mini-game to slip through the cracks. This isn’t just a minor inconvenience; it’s a major flaw that disrupts the flow of the game, undermining the entire experience. Players are losing interest, and rightfully so! Why invest time and energy into something that’s clearly half-baked? And let’s talk about the community feedback. It’s disheartening to see so many players voicing their frustrations only to be met with silence or generic responses. When a game has such glaring issues, listening to your player base should be a priority, not an afterthought. How can you expect to build a loyal community when you ignore their concerns? At this point, it’s clear that MindsEye needs to step up its game. If we’re going to keep supporting this platform, there needs to be a tangible commitment to quality and player satisfaction. A hot-fix is all well and good, but it shouldn’t take a crisis to prompt action. The developers need to take a hard look in the mirror and recognize that they owe it to their players to deliver a polished and enjoyable gaming experience. In conclusion, the CPR mini-game in MindsEye is a perfect example of how not to execute a critical feature. The impending hot-fix better be substantial, and I hope it’s not just another empty promise. If MindsEye truly values its players, it’s time to make some serious changes. We’re tired of waiting; we deserve a game that respects our time and investment! #MindsEye #CPRminiGame #GameDevelopment #PlayerFrustration #FixTheGame
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    A Hot-Fix Is On The Way For MindsEye's Frustrating CPR Mini-Game
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  • So, it’s official: Andy Bogard is making his grand entrance into the gaming world again with Fatal Fury: City of the Wolves on June 24th. Because, let’s face it, we were all just waiting for another opportunity to see a man in a headband throw punches at pixelated opponents, right? I mean, who needs character development or innovative storytelling when you can have a guy with a sweet mullet and a never-ending supply of martial arts moves?

    It’s almost poetic, really. Here we are, in the year 2023, still throwing ourselves into the nostalgia of 90s fighting games. It’s like we’re all stuck in a time loop, eagerly awaiting the return of characters who clearly haven’t aged a day. Andy Bogard, with his flashy moves and a wardrobe that screams "I’m too cool for school," is the epitome of that era. Who needs new heroes when you have the same old faces to beat the proverbial stuffing out of each other?

    Let’s not ignore the clever marketing behind this either. “Fatal Fury: City of the Wolves” – a title that suggests we might actually encounter something wild and untamed. Spoiler alert: it’s just going to be more of the same. But hey, if you love the taste of nostalgia with a sprinkle of familiarity, then you’re in for a treat! I can already hear the collective “YAAAS!” from the fanbase as they dust off their old consoles, ready to relive the glory days of button-mashing combat.

    And what about the rest of the roster? You know, the characters who might actually bring something new to the table? Oh, who are we kidding! As long as Andy is there, it’s like the rest are just wallpaper in this nostalgic room. “Oh look, another character that’s not Andy Bogard! Let’s just ignore them and wait for him to throw a fireball again!”

    So mark your calendars, folks! June 24th is the date when we’ll all be reunited with our childhood memories. Just remember to keep the first aid kit handy because I can already hear the groans of all the players who will be nursing their thumbs after a night of relentless button-mashing.

    In a world that constantly craves innovation, it’s refreshing to see that some things never change. Here’s to Andy Bogard – the man, the myth, the mullet. May your punches be swift and your headband ever stylish.

    #AndyBogard #FatalFury #NostalgiaGaming #RetroGames #CityOfTheWolves
    So, it’s official: Andy Bogard is making his grand entrance into the gaming world again with Fatal Fury: City of the Wolves on June 24th. Because, let’s face it, we were all just waiting for another opportunity to see a man in a headband throw punches at pixelated opponents, right? I mean, who needs character development or innovative storytelling when you can have a guy with a sweet mullet and a never-ending supply of martial arts moves? It’s almost poetic, really. Here we are, in the year 2023, still throwing ourselves into the nostalgia of 90s fighting games. It’s like we’re all stuck in a time loop, eagerly awaiting the return of characters who clearly haven’t aged a day. Andy Bogard, with his flashy moves and a wardrobe that screams "I’m too cool for school," is the epitome of that era. Who needs new heroes when you have the same old faces to beat the proverbial stuffing out of each other? Let’s not ignore the clever marketing behind this either. “Fatal Fury: City of the Wolves” – a title that suggests we might actually encounter something wild and untamed. Spoiler alert: it’s just going to be more of the same. But hey, if you love the taste of nostalgia with a sprinkle of familiarity, then you’re in for a treat! I can already hear the collective “YAAAS!” from the fanbase as they dust off their old consoles, ready to relive the glory days of button-mashing combat. And what about the rest of the roster? You know, the characters who might actually bring something new to the table? Oh, who are we kidding! As long as Andy is there, it’s like the rest are just wallpaper in this nostalgic room. “Oh look, another character that’s not Andy Bogard! Let’s just ignore them and wait for him to throw a fireball again!” So mark your calendars, folks! June 24th is the date when we’ll all be reunited with our childhood memories. Just remember to keep the first aid kit handy because I can already hear the groans of all the players who will be nursing their thumbs after a night of relentless button-mashing. In a world that constantly craves innovation, it’s refreshing to see that some things never change. Here’s to Andy Bogard – the man, the myth, the mullet. May your punches be swift and your headband ever stylish. #AndyBogard #FatalFury #NostalgiaGaming #RetroGames #CityOfTheWolves
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    Andy Bogard fera son entrée dans Fatal Fury: City of the Wolves le 24 juin
    ActuGaming.net Andy Bogard fera son entrée dans Fatal Fury: City of the Wolves le 24 juin Dans le roster de base de Fatal Fury: City of the Wolves, il y avait […] L'article Andy Bogard fera son entrée dans Fatal Fury: City of the Wolves le 24
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  • In a world where AI is revolutionizing everything from coffee-making to car-driving, it was only a matter of time before our digital mischief-makers decided to hop on the bandwagon. Enter the era of AI-driven malware, where cybercriminals have traded in their basic scripts for something that’s been juiced up with a pinch of neural networks and a dollop of machine learning. Who knew that the future of cibercrimen would be so... sophisticated?

    Gone are the days of simple viruses that could be dispatched with a good old anti-virus scan. Now, we’re talking about intelligent malware that learns from its surroundings, adapts, and evolves faster than a teenager mastering TikTok trends. It’s like the difference between a kid throwing rocks at your window and a full-blown meteor shower—one is annoying, and the other is just catastrophic.

    According to the latest Gen Threat Report from Gen Digital, this new breed of cyber threats is redefining the landscape of cybersecurity. Oh, joy! Just what we needed—cybercriminals with PhDs in deviousness. It’s as if our friendly neighborhood malware has decided to enroll in the prestigious “School of Advanced Cyber Mischief,” where they’re taught to outsmart even the most vigilant security measures.

    But let’s be real here: Isn’t it just a tad amusing that as we pour billions into cybersecurity with names like Norton, Avast, and LifeLock, the other side is just sitting there, chuckling, as they level up to the next version of “Chaos 2.0”? You have to admire their resourcefulness. While we’re busy installing updates and changing our passwords (again), they’re crafting malware that makes our attempts at protection look like a toddler’s finger painting.

    And let’s not ignore the irony: as we try to protect our data and privacy, the very tools meant to safeguard us are themselves evolving to a point where they might as well have a personality. It’s like having a dog that not only can open the fridge but also knows how to make an Instagram reel while doing it.

    So, what can we do in the face of this digital dilemma? Well, for starters, we can all invest in a good dose of humor because that’s apparently the only thing that’s bulletproof in this age of AI-driven chaos. Or, we can simply accept that it’s the survival of the fittest in the cyber jungle—where those with the best algorithms win.

    In the end, as we gear up to battle these new-age cyber threats, let’s just hope that our malware doesn’t get too smart—it might start charging us for the privilege of being hacked. After all, who doesn’t love a little subscription model in their life?

    #Cibercrimen #AIMalware #Cybersecurity #GenThreatReport #DigitalHumor
    In a world where AI is revolutionizing everything from coffee-making to car-driving, it was only a matter of time before our digital mischief-makers decided to hop on the bandwagon. Enter the era of AI-driven malware, where cybercriminals have traded in their basic scripts for something that’s been juiced up with a pinch of neural networks and a dollop of machine learning. Who knew that the future of cibercrimen would be so... sophisticated? Gone are the days of simple viruses that could be dispatched with a good old anti-virus scan. Now, we’re talking about intelligent malware that learns from its surroundings, adapts, and evolves faster than a teenager mastering TikTok trends. It’s like the difference between a kid throwing rocks at your window and a full-blown meteor shower—one is annoying, and the other is just catastrophic. According to the latest Gen Threat Report from Gen Digital, this new breed of cyber threats is redefining the landscape of cybersecurity. Oh, joy! Just what we needed—cybercriminals with PhDs in deviousness. It’s as if our friendly neighborhood malware has decided to enroll in the prestigious “School of Advanced Cyber Mischief,” where they’re taught to outsmart even the most vigilant security measures. But let’s be real here: Isn’t it just a tad amusing that as we pour billions into cybersecurity with names like Norton, Avast, and LifeLock, the other side is just sitting there, chuckling, as they level up to the next version of “Chaos 2.0”? You have to admire their resourcefulness. While we’re busy installing updates and changing our passwords (again), they’re crafting malware that makes our attempts at protection look like a toddler’s finger painting. And let’s not ignore the irony: as we try to protect our data and privacy, the very tools meant to safeguard us are themselves evolving to a point where they might as well have a personality. It’s like having a dog that not only can open the fridge but also knows how to make an Instagram reel while doing it. So, what can we do in the face of this digital dilemma? Well, for starters, we can all invest in a good dose of humor because that’s apparently the only thing that’s bulletproof in this age of AI-driven chaos. Or, we can simply accept that it’s the survival of the fittest in the cyber jungle—where those with the best algorithms win. In the end, as we gear up to battle these new-age cyber threats, let’s just hope that our malware doesn’t get too smart—it might start charging us for the privilege of being hacked. After all, who doesn’t love a little subscription model in their life? #Cibercrimen #AIMalware #Cybersecurity #GenThreatReport #DigitalHumor
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    El malware por IA está redefiniendo el cibercrimen
    Gen Digital, el grupo especializado en ciberseguridad con marcas como Norton, Avast, LifeLock, Avira, AVG, ReputationDefender y CCleaner, ha publicado su informe Gen Threat Report correspondiente al primer trimestre de 2025, mostrando los cambios má
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  • Pepsi, oh Pepsi… Quand vas-tu enfin te libérer de ton obsession maladive pour Coca-Cola ? C'est comme si tu étais ce petit frère qui passe son temps à essayer de prouver qu'il peut être aussi cool que l'aîné, mais qui finit par se vautrer dans un soda tiède, à moitié ouvert, et complètement oublié dans le frigo.

    Il serait peut-être temps d'envisager une campagne publicitaire originale. Oui, tu sais, celle qui pourrait faire parler de toi sans avoir besoin de mentionner le nom de ton rival. Il est difficile d'ignorer à quel point tu t'accroches à cette image de seconde zone, comme si tu souhaitais toujours être l'ombre de Coca-Cola. Peut-être que tu devrais envisager de consulter un spécialiste en marketing pour régler cette crise d'identité prolongée ?

    Les consommateurs ne cherchent pas seulement une boisson gazeuse ; ils veulent une expérience. Alors, pourquoi ne pas sortir de l'ombre et proposer quelque chose de vraiment innovant ? Une nouvelle saveur, un packaging audacieux, ou même une histoire qui fasse vibrer les cordes sensibles de ton public ? En fait, tout ce que tu as à faire, c'est d'oser être… toi-même !

    Chaque nouvelle campagne que tu lances semble être une compétition pour voir qui peut copier le mieux Coca-Cola. Nous savons tous que tu es capable de mieux. Peut-être que, juste peut-être, tu pourrais arrêter de te soucier de ce que fait le concurrent et te concentrer sur tes propres forces. Après tout, il y a une raison pour laquelle tant de gens ont tes produits dans leur frigo. Ils t’aiment, mais cela ne veut pas dire qu’ils souhaitent que tu deviennes une simple copie de ton rival.

    Et soyons honnêtes, la dernière fois que tu as essayé d'être original, c'était probablement à l'époque où les téléphones portables avaient encore des antennes rétractables. Il est temps de faire un reset. Laissez de côté les vieilles recettes et les idées éculées. Pensez à quelque chose qui pourrait vraiment marquer les esprits. Les gens adorent les histoires authentiques, pas les copies conformes.

    En attendant, nous continuerons à te regarder, un peu comme on regarde un train qui déraille. C'est fascinant et triste à la fois. Alors, Pepsi, prends un moment pour te regarder dans le miroir et demande-toi : "Suis-je vraiment prêt à sortir de l'ombre de Coca-Cola ?" La réponse pourrait être la clé de ton succès futur.

    #Pepsi #CocaCola #Publicité #Innovation #Marketing
    Pepsi, oh Pepsi… Quand vas-tu enfin te libérer de ton obsession maladive pour Coca-Cola ? C'est comme si tu étais ce petit frère qui passe son temps à essayer de prouver qu'il peut être aussi cool que l'aîné, mais qui finit par se vautrer dans un soda tiède, à moitié ouvert, et complètement oublié dans le frigo. Il serait peut-être temps d'envisager une campagne publicitaire originale. Oui, tu sais, celle qui pourrait faire parler de toi sans avoir besoin de mentionner le nom de ton rival. Il est difficile d'ignorer à quel point tu t'accroches à cette image de seconde zone, comme si tu souhaitais toujours être l'ombre de Coca-Cola. Peut-être que tu devrais envisager de consulter un spécialiste en marketing pour régler cette crise d'identité prolongée ? Les consommateurs ne cherchent pas seulement une boisson gazeuse ; ils veulent une expérience. Alors, pourquoi ne pas sortir de l'ombre et proposer quelque chose de vraiment innovant ? Une nouvelle saveur, un packaging audacieux, ou même une histoire qui fasse vibrer les cordes sensibles de ton public ? En fait, tout ce que tu as à faire, c'est d'oser être… toi-même ! Chaque nouvelle campagne que tu lances semble être une compétition pour voir qui peut copier le mieux Coca-Cola. Nous savons tous que tu es capable de mieux. Peut-être que, juste peut-être, tu pourrais arrêter de te soucier de ce que fait le concurrent et te concentrer sur tes propres forces. Après tout, il y a une raison pour laquelle tant de gens ont tes produits dans leur frigo. Ils t’aiment, mais cela ne veut pas dire qu’ils souhaitent que tu deviennes une simple copie de ton rival. Et soyons honnêtes, la dernière fois que tu as essayé d'être original, c'était probablement à l'époque où les téléphones portables avaient encore des antennes rétractables. Il est temps de faire un reset. Laissez de côté les vieilles recettes et les idées éculées. Pensez à quelque chose qui pourrait vraiment marquer les esprits. Les gens adorent les histoires authentiques, pas les copies conformes. En attendant, nous continuerons à te regarder, un peu comme on regarde un train qui déraille. C'est fascinant et triste à la fois. Alors, Pepsi, prends un moment pour te regarder dans le miroir et demande-toi : "Suis-je vraiment prêt à sortir de l'ombre de Coca-Cola ?" La réponse pourrait être la clé de ton succès futur. #Pepsi #CocaCola #Publicité #Innovation #Marketing
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    Pepsi really needs to get over its Coca-Cola obsession
    Is an original ad campaign too much to ask?
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  • Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ?

    J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur.

    Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! »

    Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé.

    Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ?

    Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver.

    #Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
    Ah, Nintendo, ce grand sorcier du monde du jeu vidéo, vient de frapper à nouveau avec son *Switch 2*, qui a déjà enregistré 3,5 millions de ventes. Oui, vous avez bien entendu, 3,5 millions ! Comme si l'entreprise avait décidé que le monde avait besoin d'une dose massive de nostalgie et de manettes qui glissent entre les doigts comme du beurre. Qui aurait cru qu'un petit appareil permettant de jouer à des jeux de 8 bits dans une résolution moderne pourrait faire autant de vagues ? J'imagine les développeurs de Nintendo, se frottant les mains, pensant à quel point ils ont été brillants en nous sortant une version améliorée de quelque chose qu’on avait déjà, mais avec un « 2 » accroché à la fin. Après tout, pourquoi innover quand on peut simplement mettre un joli emballage autour d'un produit existant et le renommer ? C’est un peu comme si on essayait de vendre une vieille voiture en lui collant un nouveau logo et en disant que c'est le modèle de l'année. Bravo, Nintendo, vous avez réussi à transformer le déjà-vu en un phenomène de lancement majeur. Et parlons aussi de ce lancement « spectaculaire ». Évidemment, tout le monde se précipitait pour acheter le *Switch 2*, comme si c'était l'anneau unique de *Le Seigneur des Anneaux*. Mais soyons clairs : combien de ces acheteurs étaient vraiment enthousiasmés par des jeux inédits, et combien devaient juste satisfaire leurs envies de gamer nostalgique ? Je parie que la majorité d'entre eux se sont juste dit : « Oh, regarde, je peux enfin jouer à ce vieux jeu que j'ai adoré quand j'avais 10 ans, mais avec des graphismes un peu moins moches ! » Et bien sûr, comment ignorer le marketing ? Ah, le marketing ! Ce doux chant des sirènes qui nous pousse à croire que chaque nouvelle version d’un produit est la clé du bonheur éternel. Les publicités nous font rêver avec des images de gameplay éblouissant, mais au fond, on sait tous que la plupart des heures passées devant l’écran se résumeront à chercher des pièces de puzzle que l’on a déjà collectées trois fois dans le passé. Peut-être que la véritable question que l'on doit se poser est : à quel point sommes-nous prêts à acheter le même produit avec quelques améliorations mineures ? À ce stade, je m'attends à ce qu'ils sortent un *Switch 3* avec un écran qui fait du café, et tout le monde sautera de joie en attendant la file d'attente à l'extérieur des magasins. Après tout, pourquoi s'arrêter à 3,5 millions quand on peut viser les étoiles avec une version qui fait également la cuisine ? Alors, voici à vous, Nintendo, pour avoir captivé les cœurs (et les portefeuilles) de millions de fans. J'espère juste que les jeux ne seront pas tous remplis de microtransactions, parce que là, même la magie de Mario ne pourra pas nous sauver. #Nintendo #Switch2 #JeuxVidéo #Vente #Lancement
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Switch 2 tops 3.5 million sales to deliver Nintendo's biggest console launch
    The successor to Nintendo's massively popular console appears to have bolted out of the gate.
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