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  • Herman Miller, la marque emblématique des chaises qui coûtent le prix d'une petite voiture, a décidé de faire équipe avec deux artistes new-yorkais. Oui, vous avez bien entendu, deux artistes ! Quoi de mieux pour transformer un objet du quotidien, comme une chaise de bureau ergonomique, en œuvre d'art ! Parce que, soyons honnêtes, qui ne rêve pas de passer des heures à travailler, tout en admirant une pièce qui pourrait aussi bien être exposée dans un musée ?

    Imaginez la scène : vous êtes assis sur votre nouvelle chaise "artiste", en train de répondre à des e-mails à 2 heures du matin, mais avec la sensation que votre dos est protégé. Voilà le summum du luxe moderne ! Qui a besoin de vacances tropicales quand on peut se blottir dans le confort d'une chaise qui vous crie à chaque minute : "Regarde comme je suis élégant, tu devrais prendre une photo pour Instagram" ?

    Ces artistes de New York ont sûrement dû passer des heures à concevoir ces merveilles. Peut-être qu'ils ont même pris des cours de yoga pour s'assurer que chaque courbe de la chaise soit non seulement esthétique, mais aussi bénéfique pour votre posture. Après tout, qui a besoin d'un bon ergonomique si on peut avoir une chaise qui ressemble à une sculpture moderne, n’est-ce pas ?

    Et puis, parlons du prix. Bien sûr, il n'y a rien de mieux qu'une chaise qui vous permet de vous asseoir confortablement tout en ruinant votre budget pour le mois. Mais regardez le bon côté des choses, au moins vous aurez une belle pièce à montrer à vos visiteurs, pour leur prouver que vous avez un bon goût… même si vous devez manger des pâtes instantanées pendant quelques semaines.

    En fin de compte, ce partenariat entre Herman Miller et ces artistes new-yorkais est la preuve que l'art et le confort peuvent coexister. Mais à quel prix ? La réponse, mes amis, réside dans le nombre de dos cassés et de portefeuilles légers qui pleurent.

    Alors, si vous êtes prêt à investir dans une chaise qui pourrait tout aussi bien être un trône pour un roi (ou une reine) du télétravail, allez-y et plongez dans cet océan de créativité. Juste n'oubliez pas de faire une pause pour admirer votre chef-d'œuvre ergonomique. Qui sait, peut-être qu'un jour, il sera exposé dans un musée pour le plus grand plaisir de l'humanité.

    #HermanMiller #ChaisesArt #Ergonomie #Design #Lifestyle
    Herman Miller, la marque emblématique des chaises qui coûtent le prix d'une petite voiture, a décidé de faire équipe avec deux artistes new-yorkais. Oui, vous avez bien entendu, deux artistes ! Quoi de mieux pour transformer un objet du quotidien, comme une chaise de bureau ergonomique, en œuvre d'art ! Parce que, soyons honnêtes, qui ne rêve pas de passer des heures à travailler, tout en admirant une pièce qui pourrait aussi bien être exposée dans un musée ? Imaginez la scène : vous êtes assis sur votre nouvelle chaise "artiste", en train de répondre à des e-mails à 2 heures du matin, mais avec la sensation que votre dos est protégé. Voilà le summum du luxe moderne ! Qui a besoin de vacances tropicales quand on peut se blottir dans le confort d'une chaise qui vous crie à chaque minute : "Regarde comme je suis élégant, tu devrais prendre une photo pour Instagram" ? Ces artistes de New York ont sûrement dû passer des heures à concevoir ces merveilles. Peut-être qu'ils ont même pris des cours de yoga pour s'assurer que chaque courbe de la chaise soit non seulement esthétique, mais aussi bénéfique pour votre posture. Après tout, qui a besoin d'un bon ergonomique si on peut avoir une chaise qui ressemble à une sculpture moderne, n’est-ce pas ? Et puis, parlons du prix. Bien sûr, il n'y a rien de mieux qu'une chaise qui vous permet de vous asseoir confortablement tout en ruinant votre budget pour le mois. Mais regardez le bon côté des choses, au moins vous aurez une belle pièce à montrer à vos visiteurs, pour leur prouver que vous avez un bon goût… même si vous devez manger des pâtes instantanées pendant quelques semaines. En fin de compte, ce partenariat entre Herman Miller et ces artistes new-yorkais est la preuve que l'art et le confort peuvent coexister. Mais à quel prix ? La réponse, mes amis, réside dans le nombre de dos cassés et de portefeuilles légers qui pleurent. Alors, si vous êtes prêt à investir dans une chaise qui pourrait tout aussi bien être un trône pour un roi (ou une reine) du télétravail, allez-y et plongez dans cet océan de créativité. Juste n'oubliez pas de faire une pause pour admirer votre chef-d'œuvre ergonomique. Qui sait, peut-être qu'un jour, il sera exposé dans un musée pour le plus grand plaisir de l'humanité. #HermanMiller #ChaisesArt #Ergonomie #Design #Lifestyle
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    Iconic chair brand Herman Miller just paired with two NY artists... and I think the results are genius
    An ergonomic office chair can protect your back and posture.
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  • L'animation espagnole est en train de se faire étouffer par le manque d'intérêt flagrant de RTVE, et il est grand temps de faire entendre notre voix ! DIBOOS et PROA tirent la sonnette d'alarme, et à juste titre. Comment pouvons-nous accepter que notre secteur d'animation se transforme en un obstacle à son propre développement ? C'est tout simplement inacceptable !

    RTVE, en tant qu'entité publique, a la responsabilité de soutenir notre culture, de promouvoir notre créativité et de nourrir les talents locaux. Au lieu de cela, elle choisit de tourner le dos à l'animation infantile, laissant ainsi les artistes et les producteurs désespérés. Ce désintérêt manifeste ne fait pas que diminuer la production nationale, il nous prive également de nos propres références culturelles. Comment pouvons-nous construire une identité forte si nous sommes de plus en plus dépendants de contenus étrangers ? C'est un suicide culturel pur et simple !

    Le climat au Festival International d'Annecy a été teinté de désespoir, et il est temps que nous relevions la voix contre cette situation intolérable. L'animation espagnole mérite d'être reconnue, soutenue et célébrée. Au lieu de cela, RTVE préfère se concentrer sur des productions de moindre qualité, de l'étranger, au détriment de notre propre industrie. C'est une honte !

    Il est impératif que nous agissions. Nous ne pouvons plus rester les bras croisés pendant que notre patrimoine culturel est menacé. L'animation est un vecteur puissant de storytelling, de valeurs et d'émotions, et il est essentiel que nous investissions dans notre propre récit. Si RTVE ne comprend pas cela, alors il est temps d'exiger un changement. Nous devons faire pression sur cette institution pour qu'elle reconnaisse enfin son rôle crucial dans le soutien à notre secteur d'animation.

    Nous avons besoin de plus de productions nationales, de plus de soutien aux créateurs espagnols, et surtout, de plus de respect pour notre culture. Il est temps que RTVE arrête d'être un obstacle et commence à jouer son rôle de catalyseur pour le développement de l'animation en Espagne. Sinon, nous ne serons que des spectateurs de notre propre effondrement culturel !

    #AnimationEspagnole #RTVE #SoutienCulturel #IdentitéCulturelle #DroitsDesArtistes
    L'animation espagnole est en train de se faire étouffer par le manque d'intérêt flagrant de RTVE, et il est grand temps de faire entendre notre voix ! DIBOOS et PROA tirent la sonnette d'alarme, et à juste titre. Comment pouvons-nous accepter que notre secteur d'animation se transforme en un obstacle à son propre développement ? C'est tout simplement inacceptable ! RTVE, en tant qu'entité publique, a la responsabilité de soutenir notre culture, de promouvoir notre créativité et de nourrir les talents locaux. Au lieu de cela, elle choisit de tourner le dos à l'animation infantile, laissant ainsi les artistes et les producteurs désespérés. Ce désintérêt manifeste ne fait pas que diminuer la production nationale, il nous prive également de nos propres références culturelles. Comment pouvons-nous construire une identité forte si nous sommes de plus en plus dépendants de contenus étrangers ? C'est un suicide culturel pur et simple ! Le climat au Festival International d'Annecy a été teinté de désespoir, et il est temps que nous relevions la voix contre cette situation intolérable. L'animation espagnole mérite d'être reconnue, soutenue et célébrée. Au lieu de cela, RTVE préfère se concentrer sur des productions de moindre qualité, de l'étranger, au détriment de notre propre industrie. C'est une honte ! Il est impératif que nous agissions. Nous ne pouvons plus rester les bras croisés pendant que notre patrimoine culturel est menacé. L'animation est un vecteur puissant de storytelling, de valeurs et d'émotions, et il est essentiel que nous investissions dans notre propre récit. Si RTVE ne comprend pas cela, alors il est temps d'exiger un changement. Nous devons faire pression sur cette institution pour qu'elle reconnaisse enfin son rôle crucial dans le soutien à notre secteur d'animation. Nous avons besoin de plus de productions nationales, de plus de soutien aux créateurs espagnols, et surtout, de plus de respect pour notre culture. Il est temps que RTVE arrête d'être un obstacle et commence à jouer son rôle de catalyseur pour le développement de l'animation en Espagne. Sinon, nous ne serons que des spectateurs de notre propre effondrement culturel ! #AnimationEspagnole #RTVE #SoutienCulturel #IdentitéCulturelle #DroitsDesArtistes
    GRAFFICA.INFO
    El sector de la animación denuncia que RTVE se convierte en un obstáculo para su desarrollo
    DIBOOS y PROA critican el desinterés del ente público por la animación infantil y advierten de sus consecuencias: menos producción nacional, menos referentes culturales propios y una creciente dependencia de contenidos extranjeros. El clima en el Fes
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  • La vérité, c'est que la revue du jeu "Blades of Fire" n'est pas vraiment excitante. On parle d'un jeu qui semble avoir beaucoup de promesses, mais qui, en réalité, s'enlise dans une monotonie assez palpable. Les graphismes sont corrects, mais rien de révolutionnaire. Les personnages, quant à eux, manquent de profondeur et d’originalité, ce qui est dommage, puisque l’univers aurait pu être intéressant.

    Les mécaniques de jeu semblent prometteuses au début, mais rapidement, on se rend compte qu'il n'y a rien de nouveau à explorer. Les missions deviennent répétitives et prévisibles. On fait toujours la même chose sans grande variation, ce qui finit par devenir ennuyeux. Franchement, on aurait pu espérer un peu plus d'innovation, mais il semble que le développement du jeu n'a pas vraiment pris ce risque.

    Si on s'attarde un peu plus sur l'expérience globale, on se rend compte que "Blades of Fire" pourrait convenir à ceux qui cherchent juste à passer le temps. Cependant, pour les joueurs à la recherche de défis ou de récits captivants, c'est probablement un coup d'épée dans l'eau. On se trouve face à un jeu qui, même s'il a ses moments, ne parvient pas à captiver l'attention sur le long terme.

    En résumé, "Blades of Fire" est là, mais il ne fait pas vraiment d’étincelles. On peut jouer, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Pas sûr. On peut trouver mieux ailleurs.

    #JeuxVidéo #BladesOfFire #CritiquesJeux #Gaming #Ennui
    La vérité, c'est que la revue du jeu "Blades of Fire" n'est pas vraiment excitante. On parle d'un jeu qui semble avoir beaucoup de promesses, mais qui, en réalité, s'enlise dans une monotonie assez palpable. Les graphismes sont corrects, mais rien de révolutionnaire. Les personnages, quant à eux, manquent de profondeur et d’originalité, ce qui est dommage, puisque l’univers aurait pu être intéressant. Les mécaniques de jeu semblent prometteuses au début, mais rapidement, on se rend compte qu'il n'y a rien de nouveau à explorer. Les missions deviennent répétitives et prévisibles. On fait toujours la même chose sans grande variation, ce qui finit par devenir ennuyeux. Franchement, on aurait pu espérer un peu plus d'innovation, mais il semble que le développement du jeu n'a pas vraiment pris ce risque. Si on s'attarde un peu plus sur l'expérience globale, on se rend compte que "Blades of Fire" pourrait convenir à ceux qui cherchent juste à passer le temps. Cependant, pour les joueurs à la recherche de défis ou de récits captivants, c'est probablement un coup d'épée dans l'eau. On se trouve face à un jeu qui, même s'il a ses moments, ne parvient pas à captiver l'attention sur le long terme. En résumé, "Blades of Fire" est là, mais il ne fait pas vraiment d’étincelles. On peut jouer, mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Pas sûr. On peut trouver mieux ailleurs. #JeuxVidéo #BladesOfFire #CritiquesJeux #Gaming #Ennui
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    مراجعة لعبة Blades of Fire
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  • Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité.

    Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques.

    Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public.

    L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière.

    Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité !

    #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    Je suis furieux ! Comment peut-on accepter que des entreprises géantes dictent ce que les développeurs peuvent créer ? La mise en avant des services d'abonnement menace l'innovation et la créativité dans l'industrie du jeu vidéo. Shuhei Yoshida a averti que ces services pourraient devenir « dangereux » pour les développeurs, et il a absolument raison. Nous ne pouvons pas laisser ces grandes entreprises contrôler notre accès à la créativité et à l'originalité. Ces plateformes d'abonnement prennent le pouvoir aux mains des développeurs. Au lieu de promouvoir des idées novatrices, elles imposent des contraintes qui étouffent la diversité des jeux. Si nous continuons ainsi, nous risquons de voir un avenir où seuls les projets conformes aux attentes des grandes entreprises verront le jour. Cela ne fait qu'empirer la situation ! Les jeux doivent être le reflet de la vision des créateurs, et non des dictats économiques. Regardez où nous en sommes aujourd'hui ! Les studios indépendants, qui sont souvent à l'origine des innovations les plus audacieuses, luttent pour survivre dans un environnement où les géants du secteur ne cherchent qu'à maximiser leurs profits. Ces entreprises préfèrent investir dans des remakes ou des suites plutôt que de prendre des risques avec de nouvelles idées. Et pourquoi ? Parce qu'elles savent que les services d'abonnement leur permettent d'avoir un contrôle total sur ce qui est proposé au public. L'industrie du jeu vidéo est en train de devenir un terrain stérile où seule la rentabilité prime. On ne parle plus de passion, de créativité ou d'art. On parle uniquement de chiffres et de profits. C'est une véritable honte ! Si nous laissons ces géants continuer à dicter les règles, nous finirons par perdre toute la magie qui fait des jeux vidéo un art à part entière. Je dénonce ce système qui écrase les développeurs sous le poids des attentes commerciales. Nous devons nous battre pour un espace où les développeurs peuvent s'exprimer librement, sans les chaînes imposées par les grands groupes. Il est temps de s'unir et de revendiquer notre droit à la diversité et à l'innovation dans les jeux vidéo. Nous ne devons pas laisser ces services d'abonnement devenir le cimetière de la créativité ! #IndustrieDuJeu #Innovation #Créativité #JeuxVidéo #ServicesAbonnement
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Shuhei Yoshida warns subscription services could become 'dangerous' for developers
    'If the big companies dictate what games can be created, I don't think that will advance the industry.'
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  • Ah, ce fameux Capcom Spotlight, un événement que nous attendons tous comme un enfant attend Noël — mais avec un peu plus de zombies et un peu moins de cadeaux. Le 27 juin, préparez-vous à être éblouis par des nouvelles sur Resident Evil Requiem et Pragmata, deux titres qui, espérons-le, finiront par sortir avant que nous ne soyons tous trop vieux pour jouer.

    Il faut avouer que la stratégie de Capcom est aussi mystérieuse que l’énigme d’un jeu Resident Evil. Ils adorent nous garder dans le flou, lançant des teasers comme si c’étaient des bonbons à Halloween. Mais soyons honnêtes, qui n'aime pas avoir un petit frisson d'excitation en attendant de savoir si le nouveau Resident Evil nous fera encore sauter de notre canapé ? On sait tous que la véritable horreur, c’est d’attendre des nouvelles pendant des mois, voire des années.

    D’ailleurs, concernant Pragmata, je me demande si ce nom est un clin d'œil à la difficulté de comprendre ce que Capcom essaie de nous raconter. Un jeu qui semble promettre de l’innovation, mais qui pourrait facilement se transformer en une autre aventure où l’on court après des ombres, tout en se demandant si on a vraiment besoin d’un autre protagoniste torturé. Mais après tout, qui ne voudrait pas d’un peu de mystère ? Peut-être que la vraie question est : "Pragmata, est-ce un jeu ou juste une métaphore pour notre existence ?"

    Et parlons de Resident Evil Requiem. Avec un titre aussi dramatique, on s’attend à ce qu’il soit rempli de moments de tension insoutenable, de monstres qui surgissent de nulle part, et, bien sûr, de personnages qui semblent avoir oublié comment utiliser des portes. Mais tant que Capcom continue à nous servir des graphismes époustouflants et des frissons à gogo, nous sommes prêts à pardonner ces petites incohérences — après tout, qui n’aime pas un bon saut de peur ?

    En résumé, le 27 juin est une date à marquer d'une pierre blanche (ou rouge, selon l'ambiance). Soyez prêt à subir une avalanche d’informations qui pourraient à la fois ravir les fans et les frustrer au plus haut point. Alors, sortez vos agendas, préparez votre meilleur popcorn et croisez les doigts pour que cette fois, Capcom ne nous laisse pas sur notre faim.

    #CapcomSpotlight #ResidentEvil #Pragmata #GamerLife #JeuxVidéo
    Ah, ce fameux Capcom Spotlight, un événement que nous attendons tous comme un enfant attend Noël — mais avec un peu plus de zombies et un peu moins de cadeaux. Le 27 juin, préparez-vous à être éblouis par des nouvelles sur Resident Evil Requiem et Pragmata, deux titres qui, espérons-le, finiront par sortir avant que nous ne soyons tous trop vieux pour jouer. Il faut avouer que la stratégie de Capcom est aussi mystérieuse que l’énigme d’un jeu Resident Evil. Ils adorent nous garder dans le flou, lançant des teasers comme si c’étaient des bonbons à Halloween. Mais soyons honnêtes, qui n'aime pas avoir un petit frisson d'excitation en attendant de savoir si le nouveau Resident Evil nous fera encore sauter de notre canapé ? On sait tous que la véritable horreur, c’est d’attendre des nouvelles pendant des mois, voire des années. D’ailleurs, concernant Pragmata, je me demande si ce nom est un clin d'œil à la difficulté de comprendre ce que Capcom essaie de nous raconter. Un jeu qui semble promettre de l’innovation, mais qui pourrait facilement se transformer en une autre aventure où l’on court après des ombres, tout en se demandant si on a vraiment besoin d’un autre protagoniste torturé. Mais après tout, qui ne voudrait pas d’un peu de mystère ? Peut-être que la vraie question est : "Pragmata, est-ce un jeu ou juste une métaphore pour notre existence ?" Et parlons de Resident Evil Requiem. Avec un titre aussi dramatique, on s’attend à ce qu’il soit rempli de moments de tension insoutenable, de monstres qui surgissent de nulle part, et, bien sûr, de personnages qui semblent avoir oublié comment utiliser des portes. Mais tant que Capcom continue à nous servir des graphismes époustouflants et des frissons à gogo, nous sommes prêts à pardonner ces petites incohérences — après tout, qui n’aime pas un bon saut de peur ? En résumé, le 27 juin est une date à marquer d'une pierre blanche (ou rouge, selon l'ambiance). Soyez prêt à subir une avalanche d’informations qui pourraient à la fois ravir les fans et les frustrer au plus haut point. Alors, sortez vos agendas, préparez votre meilleur popcorn et croisez les doigts pour que cette fois, Capcom ne nous laisse pas sur notre faim. #CapcomSpotlight #ResidentEvil #Pragmata #GamerLife #JeuxVidéo
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    Un Capcom Spotlight viendra nous donner des nouvelles de Resident Evil Requiem et Pragmata le 27 juin prochain
    ActuGaming.net Un Capcom Spotlight viendra nous donner des nouvelles de Resident Evil Requiem et Pragmata le 27 juin prochain Capcom a désormais pris l’habitude de se réserver des créneaux rien que pour lui à […] L'article Un Capcom Spot
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  • mouvement #MeToo, violences sexistes, industrie créative, animation, VFX, jeux vidéo, AVFT, prévention, guides pratiques

    ## Introduction

    Dans le monde dynamique et captivant de l'industrie créative, que ce soit dans l'animation, les effets visuels (VFX) ou le développement de jeux vidéo, chaque jour offre de nouvelles opportunités à explorer et à créer. Cependant, ces secteurs ne sont pas à l'abri des défis, notamment en matière de violences sexistes et sexuelles. Le mouvement #MeToo a ouvert ...
    mouvement #MeToo, violences sexistes, industrie créative, animation, VFX, jeux vidéo, AVFT, prévention, guides pratiques ## Introduction Dans le monde dynamique et captivant de l'industrie créative, que ce soit dans l'animation, les effets visuels (VFX) ou le développement de jeux vidéo, chaque jour offre de nouvelles opportunités à explorer et à créer. Cependant, ces secteurs ne sont pas à l'abri des défis, notamment en matière de violences sexistes et sexuelles. Le mouvement #MeToo a ouvert ...
    VHSS au travail : un guide essentiel pour un environnement créatif sain
    mouvement #MeToo, violences sexistes, industrie créative, animation, VFX, jeux vidéo, AVFT, prévention, guides pratiques ## Introduction Dans le monde dynamique et captivant de l'industrie créative, que ce soit dans l'animation, les effets visuels (VFX) ou le développement de jeux vidéo, chaque jour offre de nouvelles opportunités à explorer et à créer. Cependant, ces secteurs ne sont pas à...
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  • ## Introduction

    Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après cette levée de fonds, les espoirs se sont évanouis, laissant derrière eux un vide douloureux.

    ## La p...
    ## Introduction Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après cette levée de fonds, les espoirs se sont évanouis, laissant derrière eux un vide douloureux. ## La p...
    Studio Camelia ferme ses portes un an après avoir levé 300 000 € sur Kickstarter pour financer un JRPG
    ## Introduction Dans un monde où les rêves sont souvent aussi fragiles que des ailes de papillon, Studio Camelia a récemment annoncé la fermeture de ses portes, plongeant les fans d'un JRPG tant attendu, *Alzara Radiant Echoes*, dans une profonde mélancolie. Ce projet, qui avait réussi à lever 300 000 € sur Kickstarter, semblait être le début d'une aventure prometteuse. Cependant, un an après...
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  • Je me tiens ici, perdu dans un océan de solitude, alors que je contemple le retour tant attendu de Donkey Kong dans "Donkey Kong Bananza". C’est comme si une partie de moi avait espéré, pendant plus de 25 ans, que cette aventure signifierait quelque chose de plus pour moi. Chaque image, chaque capture d’écran montre un monde vibrant, rempli de promesses et de nostalgie, mais au fond de moi, il y a ce vide, ce désespoir qui ne peut être comblé.

    J'ai grandi avec Donkey Kong, traversant des jungles et combattant des ennemis à ses côtés. Il y a eu des rires, des cris de joie et des moments de triomphe. Mais maintenant, alors que je vois ce nouveau jeu se profiler à l'horizon, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde mélancolie. Ces moments de bonheur semblent si lointains, comme des souvenirs d'une vie que je ne peux plus toucher.

    "Donkey Kong Bananza" semble être l'aventure la plus grande et la plus audacieuse de Donkey Kong, une fusion des mécaniques de "Donkey Kong Country" et des éléments du gameplay en monde ouvert. C'est tout ce que j'ai toujours voulu ! Mais en dépit de cette excitante promesse, je me sens si seul dans ma passion. Cela me rappelle que les souvenirs peuvent être à la fois des trésors et des fardeaux. Ils illuminent nos esprits, mais ils peuvent aussi nous plonger dans une obscurité accablante.

    Je me souviens des jours où je jouais avec des amis, riant et criant ensemble, mais maintenant, il n'y a que le silence. Le silence de l'absence, le souffle de l’isolement. À chaque nouvelle capture d'écran, je me sens de plus en plus exclu, comme si la joie que je devrais ressentir était réservée à une autre époque, à d'autres gens. C'est là que réside la douleur, dans cette lutte intérieure, entre l'espoir de revivre ces moments et la réalité de ma solitude.

    Je regarde ces 24 nouvelles captures d'écran, et je me demande si quelqu'un d'autre ressent la même chose. Est-ce que quelqu'un d'autre se sent abandonné par le temps, par une vie qui avance trop vite ? Je me demande si Donkey Kong lui-même se rend compte qu'il représente plus que simplement un personnage de jeu vidéo. Pour moi, il est un symbole de ce que j'ai perdu, de cette camaraderie qui semble s'être évaporée.

    Alors que je me prépare à plonger dans "Donkey Kong Bananza", une partie de moi est impatiente, mais une autre est remplie de tristesse. La question demeure : est-ce que cette nouvelle aventure pourra vraiment apaiser le vide que je ressens ? Ou est-ce simplement un autre rappel de ce qui pourrait être, mais qui ne sera jamais ?



    #DonkeyKong #JeuxVidéo #Souvenirs #Solitude #Nostalgie
    Je me tiens ici, perdu dans un océan de solitude, alors que je contemple le retour tant attendu de Donkey Kong dans "Donkey Kong Bananza". C’est comme si une partie de moi avait espéré, pendant plus de 25 ans, que cette aventure signifierait quelque chose de plus pour moi. Chaque image, chaque capture d’écran montre un monde vibrant, rempli de promesses et de nostalgie, mais au fond de moi, il y a ce vide, ce désespoir qui ne peut être comblé. J'ai grandi avec Donkey Kong, traversant des jungles et combattant des ennemis à ses côtés. Il y a eu des rires, des cris de joie et des moments de triomphe. Mais maintenant, alors que je vois ce nouveau jeu se profiler à l'horizon, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde mélancolie. Ces moments de bonheur semblent si lointains, comme des souvenirs d'une vie que je ne peux plus toucher. "Donkey Kong Bananza" semble être l'aventure la plus grande et la plus audacieuse de Donkey Kong, une fusion des mécaniques de "Donkey Kong Country" et des éléments du gameplay en monde ouvert. C'est tout ce que j'ai toujours voulu ! Mais en dépit de cette excitante promesse, je me sens si seul dans ma passion. Cela me rappelle que les souvenirs peuvent être à la fois des trésors et des fardeaux. Ils illuminent nos esprits, mais ils peuvent aussi nous plonger dans une obscurité accablante. Je me souviens des jours où je jouais avec des amis, riant et criant ensemble, mais maintenant, il n'y a que le silence. Le silence de l'absence, le souffle de l’isolement. À chaque nouvelle capture d'écran, je me sens de plus en plus exclu, comme si la joie que je devrais ressentir était réservée à une autre époque, à d'autres gens. C'est là que réside la douleur, dans cette lutte intérieure, entre l'espoir de revivre ces moments et la réalité de ma solitude. Je regarde ces 24 nouvelles captures d'écran, et je me demande si quelqu'un d'autre ressent la même chose. Est-ce que quelqu'un d'autre se sent abandonné par le temps, par une vie qui avance trop vite ? Je me demande si Donkey Kong lui-même se rend compte qu'il représente plus que simplement un personnage de jeu vidéo. Pour moi, il est un symbole de ce que j'ai perdu, de cette camaraderie qui semble s'être évaporée. Alors que je me prépare à plonger dans "Donkey Kong Bananza", une partie de moi est impatiente, mais une autre est remplie de tristesse. La question demeure : est-ce que cette nouvelle aventure pourra vraiment apaiser le vide que je ressens ? Ou est-ce simplement un autre rappel de ce qui pourrait être, mais qui ne sera jamais ? 🌧️💔🦧 #DonkeyKong #JeuxVidéo #Souvenirs #Solitude #Nostalgie
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    24 New Screenshots Show Why Donkey Kong Bananza Looks Like The Character's Biggest Adventure Yet
    It’s been over 25 years since Donkey Kong’s last 3D adventure, the ill-fated Donkey Kong 64 for Nintendo’s third-gen console. The good news is that Donkey Kong Bananza looks to be avoiding all the pitfalls of its predecessor, embracing the gameplay D
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  • Ah, le MIFA qui fête ses 40 ans ! On dirait que c'était hier qu'il a fallu inventer un événement pour rassembler tous ceux qui pensaient que dessiner des petits bonhommes en 2D était un vrai métier. Quarante ans de passion, de créativité… et surtout, de réunions interminables autour de tables rondes où l'on discute de la meilleure façon de faire bouger des pixels. Vous savez, parce qu'on ne peut pas simplement faire un dessin animé sans une bonne dose de jargon artistique.

    Et voilà, pour marquer cette occasion monumentale, le Festival d’Annecy a décidé de nous offrir une animation qui va « célébrer » cet anniversaire. Je me demande si cela signifie que nous allons avoir un défilé de personnages animés qui se battent pour savoir qui a le meilleur effet spécial. Peut-être même des séances de pitchs où l'on présente les histoires les plus farfelues, comme celle d'un petit chat qui rêve de devenir un super-héros tout en vendant des crêpes… Parce que, après tout, qui n'aimerait pas voir un chat en costume de Batman ?

    Et ne vous inquiétez pas, il y aura aussi des stands. Des stands qui, je suis sûr, vont nous présenter des produits d’animation qui nous rappellent que l'art de faire des films d'animation est devenu une affaire de business avant tout. Qui a besoin de créativité quand on peut vendre des goodies à la pelle ? Et pendant que vous y êtes, n'oubliez pas d'assister à ces fameuses conférences de presse. Parce que rien ne dit « je suis un artiste » comme une conférence où l’on parle de budgets et de droits d’auteur.

    En attendant l’édition 2025, on peut déjà imaginer à quel point cette animation sera remplie de nostalgie et de références que seuls les vieux de la vieille comprendront. Mais bon, qui a besoin de nouveauté quand on peut se vautrer dans le passé ? Je ne sais pas vous, mais personnellement, j'ai hâte de voir comment on va réussir à faire vibrer tout ça sans trop bouger de nos fauteuils.

    Alors, préparez-vous à un festival où l'animation sera reine, mais où les vrais héros resteront, comme d'habitude, dans l'ombre des grands studios. Allez, au moins, on aura de quoi rigoler !

    #MIFA #FestivalAnnecy #Animation #40AnsDeCréativité #CinémaAnimé
    Ah, le MIFA qui fête ses 40 ans ! On dirait que c'était hier qu'il a fallu inventer un événement pour rassembler tous ceux qui pensaient que dessiner des petits bonhommes en 2D était un vrai métier. Quarante ans de passion, de créativité… et surtout, de réunions interminables autour de tables rondes où l'on discute de la meilleure façon de faire bouger des pixels. Vous savez, parce qu'on ne peut pas simplement faire un dessin animé sans une bonne dose de jargon artistique. Et voilà, pour marquer cette occasion monumentale, le Festival d’Annecy a décidé de nous offrir une animation qui va « célébrer » cet anniversaire. Je me demande si cela signifie que nous allons avoir un défilé de personnages animés qui se battent pour savoir qui a le meilleur effet spécial. Peut-être même des séances de pitchs où l'on présente les histoires les plus farfelues, comme celle d'un petit chat qui rêve de devenir un super-héros tout en vendant des crêpes… Parce que, après tout, qui n'aimerait pas voir un chat en costume de Batman ? Et ne vous inquiétez pas, il y aura aussi des stands. Des stands qui, je suis sûr, vont nous présenter des produits d’animation qui nous rappellent que l'art de faire des films d'animation est devenu une affaire de business avant tout. Qui a besoin de créativité quand on peut vendre des goodies à la pelle ? Et pendant que vous y êtes, n'oubliez pas d'assister à ces fameuses conférences de presse. Parce que rien ne dit « je suis un artiste » comme une conférence où l’on parle de budgets et de droits d’auteur. En attendant l’édition 2025, on peut déjà imaginer à quel point cette animation sera remplie de nostalgie et de références que seuls les vieux de la vieille comprendront. Mais bon, qui a besoin de nouveauté quand on peut se vautrer dans le passé ? Je ne sais pas vous, mais personnellement, j'ai hâte de voir comment on va réussir à faire vibrer tout ça sans trop bouger de nos fauteuils. Alors, préparez-vous à un festival où l'animation sera reine, mais où les vrais héros resteront, comme d'habitude, dans l'ombre des grands studios. Allez, au moins, on aura de quoi rigoler ! #MIFA #FestivalAnnecy #Animation #40AnsDeCréativité #CinémaAnimé
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    40 ans de MIFA… En animation !
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