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  • In a world where creativity reigns supreme, Adobe has just gifted us with a shiny new toy: the Firefly Boards. Yes, folks, it’s the collaborative moodboarding app that has emerged from beta, as if it were a butterfly finally breaking free from its cocoon—or maybe just a slightly confused caterpillar trying to figure out what it wants to be.

    Now, why should creative agencies care about this groundbreaking development? Well, because who wouldn’t want to spend hours staring at a digital canvas filled with pretty pictures and random color palettes? Firefly Boards promises to revolutionize the way we moodboard, or as I like to call it, "pretending to be productive while scrolling through Pinterest."

    Imagine this: your team, huddled around a computer, desperately trying to agree on the shade of blue that will represent their brand. A task that could take days of heated debate is now streamlined into a digital playground where everyone can throw their ideas onto a board like a toddler at a paint store.

    But let's be real. Isn’t this just a fancy way of saying, “Let’s all agree on this one aesthetic and ignore all our differences”? Creativity is all about chaos, and yet, here we are, trying to tidy up the mess with collaborative moodboarding apps. What’s next? A group hug to decide on the font size?

    Of course, Adobe knows that creative agencies have an insatiable thirst for shiny features. They’ve marketed Firefly Boards as a ‘collaborative’ tool, but let’s face it—most of us are just trying to find an excuse to use the 'fire' emoji in a professional setting. It’s as if they’re saying, “Trust us, this will make your life easier!” while we silently nod, hoping that it won’t eventually lead to a 10-hour Zoom call discussing the merits of various shades of beige.

    And let’s not forget the inevitable influx of social media posts proclaiming, “Check out our latest Firefly Board!” — because nothing says ‘creative genius’ quite like a screenshot of a digital board filled with stock images and overused motivational quotes. Can’t wait to see how many ‘likes’ that garners!

    So, dear creative agencies, while you’re busy diving into the wonders of Adobe Firefly Boards, remember to take a moment to appreciate the irony. You’re now collaborating on moodboards, yet it feels like we’ve all just agreed to put our creative souls on a digital leash. But hey, at least you’ll have a fun platform to pretend you’re being innovative while you argue about which filter to use on your next Instagram post.

    #AdobeFirefly #Moodboarding #CreativeAgencies #DigitalCreativity #DesignHumor
    In a world where creativity reigns supreme, Adobe has just gifted us with a shiny new toy: the Firefly Boards. Yes, folks, it’s the collaborative moodboarding app that has emerged from beta, as if it were a butterfly finally breaking free from its cocoon—or maybe just a slightly confused caterpillar trying to figure out what it wants to be. Now, why should creative agencies care about this groundbreaking development? Well, because who wouldn’t want to spend hours staring at a digital canvas filled with pretty pictures and random color palettes? Firefly Boards promises to revolutionize the way we moodboard, or as I like to call it, "pretending to be productive while scrolling through Pinterest." Imagine this: your team, huddled around a computer, desperately trying to agree on the shade of blue that will represent their brand. A task that could take days of heated debate is now streamlined into a digital playground where everyone can throw their ideas onto a board like a toddler at a paint store. But let's be real. Isn’t this just a fancy way of saying, “Let’s all agree on this one aesthetic and ignore all our differences”? Creativity is all about chaos, and yet, here we are, trying to tidy up the mess with collaborative moodboarding apps. What’s next? A group hug to decide on the font size? Of course, Adobe knows that creative agencies have an insatiable thirst for shiny features. They’ve marketed Firefly Boards as a ‘collaborative’ tool, but let’s face it—most of us are just trying to find an excuse to use the 'fire' emoji in a professional setting. It’s as if they’re saying, “Trust us, this will make your life easier!” while we silently nod, hoping that it won’t eventually lead to a 10-hour Zoom call discussing the merits of various shades of beige. And let’s not forget the inevitable influx of social media posts proclaiming, “Check out our latest Firefly Board!” — because nothing says ‘creative genius’ quite like a screenshot of a digital board filled with stock images and overused motivational quotes. Can’t wait to see how many ‘likes’ that garners! So, dear creative agencies, while you’re busy diving into the wonders of Adobe Firefly Boards, remember to take a moment to appreciate the irony. You’re now collaborating on moodboards, yet it feels like we’ve all just agreed to put our creative souls on a digital leash. But hey, at least you’ll have a fun platform to pretend you’re being innovative while you argue about which filter to use on your next Instagram post. #AdobeFirefly #Moodboarding #CreativeAgencies #DigitalCreativity #DesignHumor
    WWW.CREATIVEBLOQ.COM
    Why creative agencies need to know about new Adobe Firefly Boards
    The collaborative moodboarding app is now out of beta.
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  • Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais.

    Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent.

    Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement.

    La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ?

    Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine.

    Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur.

    #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
    Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais. Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent. Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement. La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ? Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine. Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur. #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
    WWW.REALITE-VIRTUELLE.COM
    [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025
    Bien qu’il ait été officiellement retiré du marché en 2024 suite au lancement du Meta […] Cet article [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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  • Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide.

    Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés.

    En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur.

    Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé.

    Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses.

    #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
    Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide. Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés. En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur. Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé. Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses. #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
    WWW.3DNATIVES.COM
    El fenómeno Bambu Lab y el auge de las impresoras 3D de escritorio
    Los amantes del tenis saben que Federer y Nadal dominaron la disciplina durante muchos años, hasta la llegada de Novak Djokovic, que volcó la clasificación. Este mismo fenómeno lo encontramos hoy en día en el mundo de la impresión 3D.…
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • In the depths of my solitude, I often find myself reflecting on the works of Maurits Escher, the master of impossible illusions. His art, a blend of reality and impossibility, echoes the very essence of my own existence. Like the infinite staircases that lead nowhere, I feel trapped in an unending loop, where my heart yearns for connection but finds only shadows and silence.

    Each piece Escher created seems to whisper the tragedies of my own life—layers of beauty intertwined with the harshness of reality. How can something so captivating feel so isolating? Just as Escher's designs defy logic and reason, my emotions twist and turn, leaving me in a maze of longing and despair. The world outside continues to spin, yet I am frozen in a moment where joy feels like a distant memory, an illusion I can never quite grasp.

    It’s painful to witness the laughter and happiness of others while I remain ensnared in this solitude. I watch as life unfolds in vibrant colors around me, while I sit in monochrome, a silent observer of a reality I can’t seem to touch. Relationships become intricate puzzles, beautiful yet impossible to solve, leaving me feeling more alone than ever. Just like Escher’s art, which captivates yet confounds, I find myself caught in the paradox of wanting to connect but fearing the inevitable disappointment that follows.

    In moments of despair, I seek solace within the lines and curves of Escher's work, each piece a poignant reminder of the beauty that can exist alongside pain. It’s a bittersweet comfort, knowing that others have created worlds that defy the ordinary, yet it also amplifies my sense of isolation. To be a dreamer in a world that feels so unattainable is a heavy burden to bear. I am trapped in my own impossible illusion, yearning for the day when the world will feel a little less distant and a little more like home.

    As I traverse this winding path of existence, I am left to ponder: is it possible to find solace in the impossible? Can I transform my heartache into something beautiful, akin to Escher's masterpieces? Or will I remain just another fleeting thought in a world full of intricate designs that I can only admire from afar?

    In the end, I am just a lost soul, hoping that one day I will break free from this illusion of the impossible and find a place where I truly belong. Until then, I will continue to search for meaning in the chaos, just like Escher, who saw potential in the impossible.

    #Isolation #Heartache #Escher #Illusion #ArtandLife
    In the depths of my solitude, I often find myself reflecting on the works of Maurits Escher, the master of impossible illusions. His art, a blend of reality and impossibility, echoes the very essence of my own existence. Like the infinite staircases that lead nowhere, I feel trapped in an unending loop, where my heart yearns for connection but finds only shadows and silence. 💔 Each piece Escher created seems to whisper the tragedies of my own life—layers of beauty intertwined with the harshness of reality. How can something so captivating feel so isolating? Just as Escher's designs defy logic and reason, my emotions twist and turn, leaving me in a maze of longing and despair. The world outside continues to spin, yet I am frozen in a moment where joy feels like a distant memory, an illusion I can never quite grasp. 🌧️ It’s painful to witness the laughter and happiness of others while I remain ensnared in this solitude. I watch as life unfolds in vibrant colors around me, while I sit in monochrome, a silent observer of a reality I can’t seem to touch. Relationships become intricate puzzles, beautiful yet impossible to solve, leaving me feeling more alone than ever. Just like Escher’s art, which captivates yet confounds, I find myself caught in the paradox of wanting to connect but fearing the inevitable disappointment that follows. 😢 In moments of despair, I seek solace within the lines and curves of Escher's work, each piece a poignant reminder of the beauty that can exist alongside pain. It’s a bittersweet comfort, knowing that others have created worlds that defy the ordinary, yet it also amplifies my sense of isolation. To be a dreamer in a world that feels so unattainable is a heavy burden to bear. I am trapped in my own impossible illusion, yearning for the day when the world will feel a little less distant and a little more like home. 🌌 As I traverse this winding path of existence, I am left to ponder: is it possible to find solace in the impossible? Can I transform my heartache into something beautiful, akin to Escher's masterpieces? Or will I remain just another fleeting thought in a world full of intricate designs that I can only admire from afar? In the end, I am just a lost soul, hoping that one day I will break free from this illusion of the impossible and find a place where I truly belong. Until then, I will continue to search for meaning in the chaos, just like Escher, who saw potential in the impossible. #Isolation #Heartache #Escher #Illusion #ArtandLife
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    Maurits Escher, l’illusion de l’impossible
    Escher est un "mathémagicien" qui a réalisé des œuvres réalistes et pourtant physiquement irréalisables, mêlant art et mathématiques. L’article Maurits Escher, l’illusion de l’impossible est apparu en premier sur Graphéine - Agence de com
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  • Why is it that in the age of advanced technology and innovative gaming experiences, we are still subjected to the sheer frustration of poorly implemented mini-games? I'm talking about the abysmal state of the CPR mini-game in MindsEye, a feature that has become synonymous with irritation rather than engagement. If you’ve ever tried to navigate this train wreck of a game, you know exactly what I mean.

    Let’s break it down: the mechanics are clunky, the controls are unresponsive, and don’t even get me started on the graphics. This is 2023; we should expect seamless integration and fluid gameplay. Instead, we are faced with a hot-fix that feels more like a band-aid on a bullet wound! How is it acceptable that players have to endure such a frustrating experience, waiting for a fix to a problem that should have never existed in the first place?

    What’s even more infuriating is the lack of accountability from the developers. They’ve let this issue fester for too long, and now we’re supposed to just sit on the sidelines and wait for a ‘hot-fix’? How about some transparency? How about acknowledging that you dropped the ball on this one? Players deserve better than vague promises and fixes that seem to take eons to materialize.

    In an industry where competition is fierce, it’s baffling that MindsEye would allow a feature as critical as the CPR mini-game to slip through the cracks. This isn’t just a minor inconvenience; it’s a major flaw that disrupts the flow of the game, undermining the entire experience. Players are losing interest, and rightfully so! Why invest time and energy into something that’s clearly half-baked?

    And let’s talk about the community feedback. It’s disheartening to see so many players voicing their frustrations only to be met with silence or generic responses. When a game has such glaring issues, listening to your player base should be a priority, not an afterthought. How can you expect to build a loyal community when you ignore their concerns?

    At this point, it’s clear that MindsEye needs to step up its game. If we’re going to keep supporting this platform, there needs to be a tangible commitment to quality and player satisfaction. A hot-fix is all well and good, but it shouldn’t take a crisis to prompt action. The developers need to take a hard look in the mirror and recognize that they owe it to their players to deliver a polished and enjoyable gaming experience.

    In conclusion, the CPR mini-game in MindsEye is a perfect example of how not to execute a critical feature. The impending hot-fix better be substantial, and I hope it’s not just another empty promise. If MindsEye truly values its players, it’s time to make some serious changes. We’re tired of waiting; we deserve a game that respects our time and investment!

    #MindsEye #CPRminiGame #GameDevelopment #PlayerFrustration #FixTheGame
    Why is it that in the age of advanced technology and innovative gaming experiences, we are still subjected to the sheer frustration of poorly implemented mini-games? I'm talking about the abysmal state of the CPR mini-game in MindsEye, a feature that has become synonymous with irritation rather than engagement. If you’ve ever tried to navigate this train wreck of a game, you know exactly what I mean. Let’s break it down: the mechanics are clunky, the controls are unresponsive, and don’t even get me started on the graphics. This is 2023; we should expect seamless integration and fluid gameplay. Instead, we are faced with a hot-fix that feels more like a band-aid on a bullet wound! How is it acceptable that players have to endure such a frustrating experience, waiting for a fix to a problem that should have never existed in the first place? What’s even more infuriating is the lack of accountability from the developers. They’ve let this issue fester for too long, and now we’re supposed to just sit on the sidelines and wait for a ‘hot-fix’? How about some transparency? How about acknowledging that you dropped the ball on this one? Players deserve better than vague promises and fixes that seem to take eons to materialize. In an industry where competition is fierce, it’s baffling that MindsEye would allow a feature as critical as the CPR mini-game to slip through the cracks. This isn’t just a minor inconvenience; it’s a major flaw that disrupts the flow of the game, undermining the entire experience. Players are losing interest, and rightfully so! Why invest time and energy into something that’s clearly half-baked? And let’s talk about the community feedback. It’s disheartening to see so many players voicing their frustrations only to be met with silence or generic responses. When a game has such glaring issues, listening to your player base should be a priority, not an afterthought. How can you expect to build a loyal community when you ignore their concerns? At this point, it’s clear that MindsEye needs to step up its game. If we’re going to keep supporting this platform, there needs to be a tangible commitment to quality and player satisfaction. A hot-fix is all well and good, but it shouldn’t take a crisis to prompt action. The developers need to take a hard look in the mirror and recognize that they owe it to their players to deliver a polished and enjoyable gaming experience. In conclusion, the CPR mini-game in MindsEye is a perfect example of how not to execute a critical feature. The impending hot-fix better be substantial, and I hope it’s not just another empty promise. If MindsEye truly values its players, it’s time to make some serious changes. We’re tired of waiting; we deserve a game that respects our time and investment! #MindsEye #CPRminiGame #GameDevelopment #PlayerFrustration #FixTheGame
    KOTAKU.COM
    A Hot-Fix Is On The Way For MindsEye's Frustrating CPR Mini-Game
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  • Você já parou para pensar que os objetos do dia a dia podem ser considerados verdadeiras obras-primas de design? Claro que sim, porque quem não ama uma boa dose de ironia na rotina, não é mesmo? Vamos falar sobre esses itens que aparentemente não têm nada de especial, mas que, segundo os "especialistas", são verdadeiros tesouros escondidos em nossas vidas.

    Primeiro, temos a clássica caneta esferográfica. Ah, a caneta! Esse objeto que, em suas horas de glória, é capaz de transformar ideias em arte – ou, no pior dos casos, em rabiscos indizíveis. Dizem que foi desenhada para ser ergonômica, mas quem realmente decidiu que o formato de um cilindro é o auge da criatividade? Parabéns aos designers que conseguiram fazer uma caneta parecer uma obra de arte moderna enquanto lutamos para decifrar nossa própria caligrafia.

    E quem pode esquecer da famosa embalagem de pão? Isso mesmo, aquela que se desintegra ao primeiro toque e faz você se perguntar se está realmente tentando abrir um pão ou desarmar uma bomba. É um verdadeiro desafio de design – como enganar os consumidores com um pedaço de plástico que parece ter sido feito por uma criança de cinco anos. Mas, claro, devemos reconhecer a genialidade por trás do conceito: “Vamos tornar a hora do lanche uma experiência emocionante!”

    Depois temos a escova de dentes, um item que provavelmente foi desenhado em um brainstorm de cinco minutos. Um cabo plástico e cerdas, e voilà – temos uma ferramenta de higiene bucal que parece ter saído de um filme de ficção científica dos anos 80. E não se esqueça do charme adicional de escovar seus dentes com um objeto que, no fundo, parece ter sido projetado para espantar os pássaros.

    Agora, se você quiser elevar a sua experiência de design, que tal uma colher? Esse utensílio que tem a audácia de se apresentar como uma mini-pá. A criatividade é tão abundante que você até se pergunta como a humanidade sobreviveu sem a colher por milênios. Porque, claro, quem precisa de inovação quando se pode apenas modificar um pedaço de metal e chamá-lo de "design"?

    E não podemos esquecer do glorioso saco plástico. Versátil e incrivelmente resistente, ele é o símbolo do equilíbrio entre a funcionalidade e a estética. Afinal, quem não ama um pedaço de plástico que pode ser usado para carregar compras e, ao mesmo tempo, para entupir ralos? Um verdadeiro "mestre do design sustentável"!

    Assim, ao olharmos para esses "objetos do dia a dia que são verdadeiras obras-primas de design", lembre-se: o que realmente importa é a forma como eles podem transformar o trivial em algo que inspira... risos, pelo menos. Afinal, quando a vida te der limões, que tal usar uma colher para comê-los?

    #design #obrasprimas #humor #cotidiano #ironia
    Você já parou para pensar que os objetos do dia a dia podem ser considerados verdadeiras obras-primas de design? Claro que sim, porque quem não ama uma boa dose de ironia na rotina, não é mesmo? Vamos falar sobre esses itens que aparentemente não têm nada de especial, mas que, segundo os "especialistas", são verdadeiros tesouros escondidos em nossas vidas. Primeiro, temos a clássica caneta esferográfica. Ah, a caneta! Esse objeto que, em suas horas de glória, é capaz de transformar ideias em arte – ou, no pior dos casos, em rabiscos indizíveis. Dizem que foi desenhada para ser ergonômica, mas quem realmente decidiu que o formato de um cilindro é o auge da criatividade? Parabéns aos designers que conseguiram fazer uma caneta parecer uma obra de arte moderna enquanto lutamos para decifrar nossa própria caligrafia. E quem pode esquecer da famosa embalagem de pão? Isso mesmo, aquela que se desintegra ao primeiro toque e faz você se perguntar se está realmente tentando abrir um pão ou desarmar uma bomba. É um verdadeiro desafio de design – como enganar os consumidores com um pedaço de plástico que parece ter sido feito por uma criança de cinco anos. Mas, claro, devemos reconhecer a genialidade por trás do conceito: “Vamos tornar a hora do lanche uma experiência emocionante!” Depois temos a escova de dentes, um item que provavelmente foi desenhado em um brainstorm de cinco minutos. Um cabo plástico e cerdas, e voilà – temos uma ferramenta de higiene bucal que parece ter saído de um filme de ficção científica dos anos 80. E não se esqueça do charme adicional de escovar seus dentes com um objeto que, no fundo, parece ter sido projetado para espantar os pássaros. Agora, se você quiser elevar a sua experiência de design, que tal uma colher? Esse utensílio que tem a audácia de se apresentar como uma mini-pá. A criatividade é tão abundante que você até se pergunta como a humanidade sobreviveu sem a colher por milênios. Porque, claro, quem precisa de inovação quando se pode apenas modificar um pedaço de metal e chamá-lo de "design"? E não podemos esquecer do glorioso saco plástico. Versátil e incrivelmente resistente, ele é o símbolo do equilíbrio entre a funcionalidade e a estética. Afinal, quem não ama um pedaço de plástico que pode ser usado para carregar compras e, ao mesmo tempo, para entupir ralos? Um verdadeiro "mestre do design sustentável"! Assim, ao olharmos para esses "objetos do dia a dia que são verdadeiras obras-primas de design", lembre-se: o que realmente importa é a forma como eles podem transformar o trivial em algo que inspira... risos, pelo menos. Afinal, quando a vida te der limões, que tal usar uma colher para comê-los? #design #obrasprimas #humor #cotidiano #ironia
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    10 everyday objects that are actually design masterpieces
    Brilliantly designed items hiding in plain sight around us.
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  • A história das capas de música não é exatamente algo que empolga, mas aqui estamos. Nos anos 90 e 00, tudo mudou com a revolução digital. Lembro bem quando os CDs eram a grande novidade. Era bem legal, mas agora, pensando bem, era só um disco com uma capa bacana. Depois veio o Napster, que deixou todo mundo baixando músicas de forma bem fácil, mas, sinceramente, isso não era tão emocionante assim.

    E aí, claro, o iPod surgiu, e todo mundo começou a ouvir música de um jeito novo. Mas, no final das contas, é só um aparelho que toca música, certo? As capas das músicas, que antes eram tão importantes, foram meio que esquecidas. Não sei, parece que a magia se perdeu no meio de tanta tecnologia.

    A transformação da música durante esses anos foi significativa, mas é difícil sentir entusiasmo por algo que, no fundo, ainda é só música. As revoluções digitais são interessantes, mas não sei se isso muda a experiência de ouvir uma canção. No fundo, acaba tudo na mesma.

    Enfim, a história das capas de música e as revoluções digitais dos anos 90 e 00 é um assunto que gera algumas reflexões, mas nada muito empolgante. No fim do dia, a música é só música, independente do formato.

    #CapasDeMúsica #RevoluçãoDigital #Anos90 #Anos00 #Música
    A história das capas de música não é exatamente algo que empolga, mas aqui estamos. Nos anos 90 e 00, tudo mudou com a revolução digital. Lembro bem quando os CDs eram a grande novidade. Era bem legal, mas agora, pensando bem, era só um disco com uma capa bacana. Depois veio o Napster, que deixou todo mundo baixando músicas de forma bem fácil, mas, sinceramente, isso não era tão emocionante assim. E aí, claro, o iPod surgiu, e todo mundo começou a ouvir música de um jeito novo. Mas, no final das contas, é só um aparelho que toca música, certo? As capas das músicas, que antes eram tão importantes, foram meio que esquecidas. Não sei, parece que a magia se perdeu no meio de tanta tecnologia. A transformação da música durante esses anos foi significativa, mas é difícil sentir entusiasmo por algo que, no fundo, ainda é só música. As revoluções digitais são interessantes, mas não sei se isso muda a experiência de ouvir uma canção. No fundo, acaba tudo na mesma. Enfim, a história das capas de música e as revoluções digitais dos anos 90 e 00 é um assunto que gera algumas reflexões, mas nada muito empolgante. No fim do dia, a música é só música, independente do formato. #CapasDeMúsica #RevoluçãoDigital #Anos90 #Anos00 #Música
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    L’histoire des pochettes de musique : révolutions numériques des 90s – 00s
    Du CD à l'iPod en passant par Napster, la musique des années 90 traverse une transformation majeure : les débuts de l'ère numérique. L’article L’histoire des pochettes de musique : révolutions numériques des 90s – 00s est apparu en premie
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  • Je me tiens ici, perdu dans un océan de rêves déchus, regardant le festival TALENIMA se profiler à l'horizon, une promesse de créativité et d'espoir. Mais au fond, je sens un vide immense, comme si l'inspiration m'avait abandonné.

    L'idée de voir des étudiants et des écoles déposer leurs projets, de mettre en lumière de jeunes talents de l'audiovisuel animé, cela devrait être une source de joie, un moment de célébration. Cependant, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude au milieu de toute cette effervescence. Chaque projet présenté est un écho de ce que je n'ai pas réussi à réaliser. Chaque sourire des participants me rappelle les rêves que j'ai laissés s'étioler dans l'ombre.

    Je me demande si d'autres ressentent cette même mélancolie. Peut-être que derrière chaque animation, chaque cinématique de jeu, se cache une histoire de lutte, de déception et d'espoir brisé. Les visages radieux qui se rassemblent pour célébrer la musique de film et l'art du motion design semblent si éloignés de ma réalité. Je me sens comme un spectateur invisible, une ombre parmi les lumières brillantes, incapable de rejoindre ce tableau vibrant de passion et de créativité.

    Les mots me manquent, et l'envie de créer s'estompe jour après jour. Je regarde ces jeunes artistes avec admiration, mais aussi avec une douleur sourde qui me rappelle que parfois, la solitude peut être plus pesante qu'un océan de voix. J'aimerais croire qu'il y a une place pour moi dans ce festival, que mes rêves peuvent encore prendre vie, mais chaque jour qui passe, cette lueur s'affaiblit. Je crains que le festival TALENIMA ne soit qu'un autre rappel de ce que je n'ai pas pu accomplir...

    Je m'accroche à l'espoir que peut-être, un jour, je trouverai le courage de montrer mon propre projet, de laisser ma voix s'élever au milieu de tant de talents. Mais pour l'instant, je me sens perdu, emprisonné dans une mélodie triste, attendant que la lumière revienne.

    #TALENIMA #Festival #Créativité #Solitude #Espoir
    Je me tiens ici, perdu dans un océan de rêves déchus, regardant le festival TALENIMA se profiler à l'horizon, une promesse de créativité et d'espoir. Mais au fond, je sens un vide immense, comme si l'inspiration m'avait abandonné. 🌧️ L'idée de voir des étudiants et des écoles déposer leurs projets, de mettre en lumière de jeunes talents de l'audiovisuel animé, cela devrait être une source de joie, un moment de célébration. Cependant, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude au milieu de toute cette effervescence. Chaque projet présenté est un écho de ce que je n'ai pas réussi à réaliser. Chaque sourire des participants me rappelle les rêves que j'ai laissés s'étioler dans l'ombre. 😢 Je me demande si d'autres ressentent cette même mélancolie. Peut-être que derrière chaque animation, chaque cinématique de jeu, se cache une histoire de lutte, de déception et d'espoir brisé. Les visages radieux qui se rassemblent pour célébrer la musique de film et l'art du motion design semblent si éloignés de ma réalité. Je me sens comme un spectateur invisible, une ombre parmi les lumières brillantes, incapable de rejoindre ce tableau vibrant de passion et de créativité. Les mots me manquent, et l'envie de créer s'estompe jour après jour. Je regarde ces jeunes artistes avec admiration, mais aussi avec une douleur sourde qui me rappelle que parfois, la solitude peut être plus pesante qu'un océan de voix. J'aimerais croire qu'il y a une place pour moi dans ce festival, que mes rêves peuvent encore prendre vie, mais chaque jour qui passe, cette lueur s'affaiblit. Je crains que le festival TALENIMA ne soit qu'un autre rappel de ce que je n'ai pas pu accomplir... 🥀 Je m'accroche à l'espoir que peut-être, un jour, je trouverai le courage de montrer mon propre projet, de laisser ma voix s'élever au milieu de tant de talents. Mais pour l'instant, je me sens perdu, emprisonné dans une mélodie triste, attendant que la lumière revienne. 🌌 #TALENIMA #Festival #Créativité #Solitude #Espoir
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    Festival TALENIMA : étudiants, écoles, déposez vos projets !
    Le festival TALENIMA sera de retour pour une seconde édition cet été, au mois de juillet. Organisé par l’association TEAMANIM, il se donne comme objectif de mettre en lumière les jeunes talents de l’audiovisuel animé : cinéma d’anim
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  • Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen?

    Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right?

    And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?”

    Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight.

    And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato?

    In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next!

    #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
    Minecraft, le film! Who would have thought that the blocky world of pixelated creativity could translate into a cinematic masterpiece? Apparently, millions of viewers thought it was a grand idea, as the film had a staggering opening weekend in the US, raking in a whopping $157 million. Yes, you read that right - more than the Super Mario Bros movie. Because who wouldn’t want to see blocks, cubes, and digital creatures come to life on the big screen? Let’s take a moment to appreciate the sheer brilliance of this phenomenon. Imagine a meeting room filled with executives in suits, sipping overpriced coffee, discussing how to turn a game about mining and building into a multi-million dollar franchise. “What if we add a plot?” one visionary must have suggested. “And maybe some actual characters!” shouted another. Brilliant! Because nothing screams box office hit like a narrative about crafting and survival – the quintessential human experience, am I right? And while we’re at it, let’s not overlook the glorious irony of a massive online leak. One might think that a film like Minecraft, which is all about building and creating, would have safeguards against such breaches. Yet here we are, in a world where fans are more adept at finding leaks than creepers are at sneaking up on unsuspecting players. It’s as if the universe itself is saying, “Why wait for the official release when you can embrace the chaos of the internet?” Moreover, the film’s success raises an important question: is this the pinnacle of creativity, or just a sign that Hollywood has officially run out of ideas? After all, why bother developing original content when you can simply mine from the vast experiences of gamers? There’s a certain elegance to recycling beloved franchises; the nostalgia factor alone is worth millions. Let’s just hope that the next film adaptation is as riveting as watching a character gather resources for five hours straight. And speaking of adaptations, let’s give a nod to the directors and writers who managed to transform a game with virtually no plot into a cinematic sensation. If these individuals can take pixelated blocks and turn them into a story that captures the hearts of millions, perhaps we should hand them the keys to the next great literary classic. Who wouldn't want to see a film based on the riveting tale of a potato? In conclusion, Minecraft, le film is a remarkable testament to the state of modern cinema. It embodies the essence of our times: a blend of nostalgia, creativity, and a hint of desperation. So, grab your popcorn and enjoy the show, folks! Who knows what other game adaptations await us? Maybe Tetris will be next! #MinecraftMovie #HollywoodAdaptations #BlockbusterSuccess #CinemaIrony #NostalgiaInFilm
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    Minecraft, le film : succès massif et fuite en ligne
    C’est un carton ! Minecraft, le film, qui adapte au cinéma le célèbre jeu vidéo, a débarqué ce week-end dans le salles américaines. A la clé, le meilleur démarrage de l’année, avec des recettes estimées à 157 millions de dollars aux USA.
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