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  • Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse.

    Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes !

    Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ?

    Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste.

    J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration.

    Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent.

    #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
    Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse. Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes ! Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ? Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste. J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration. Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent. #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
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    Mario Kart World Is More Fun When You're Grinding Rails And Riding Walls
    Mario Kart World’s newest features aren’t limited to just the open world and huge 24-player races. Everything feels a lot more dynamic thanks to the inclusion of Rail Riding and Wall Riding. These new techniques can seem like a hassle at first, but y
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  • Il est inacceptable que, pendant plus de trente ans, la série Mario Kart ait continué à nous trahir avec ses erreurs flagrantes et son inégalité déconcertante. Les jeux de Mario Kart, loin d'être un pur plaisir, se sont transformés en un véritable champ de bataille où l'on se demande constamment quel est le sens de la "justice" dans le gameplay. Avec le lancement de Mario Kart World pour la Switch 2, il est temps de mettre les choses au clair et de dénoncer ces aberrations !

    Commençons par les classements. Pourquoi diable devrions-nous faire un classement des jeux Mario Kart ? Est-ce pour masquer les défauts évidents de certains d'entre eux ? Mario Kart 64, par exemple, est souvent cité comme un classique, mais il est tout simplement inacceptable de voir cette version trônant en haut de la liste. Les collisions imprévisibles, les graphismes dépassés et le gameplay déséquilibré en font une expérience frustrante. Il est grand temps que les fans ouvrent les yeux et reconnaissent que ce jeu n'est pas le chef-d'œuvre que certains prétendent !

    Et que dire de Mario Kart Wii ? Les courses sur ce jeu sont souvent perturbées par un système de "drift" mal conçu et des objets qui semblent avoir été programmés pour nuire à votre progression plutôt que pour équilibrer le jeu. Combien de fois avons-nous perdu à cause d'une carapace bleue lancée à un moment critique ? C'est insupportable ! Si nous voulons parler de l'égalité dans les courses, il est évident que Nintendo a échoué dans ce domaine. Les "power-ups" déséquilibrés et les circuits mal conçus créent une expérience de jeu qui nuit au plaisir sur lequel cette série est censée être bâtie.

    Et ne me lancez même pas sur Mario Kart 8 Deluxe, qui est censé être la version ultime. Oui, les graphismes sont magnifiques, mais cela ne compense pas les problèmes de balance et le fait que le jeu favorise les joueurs les plus expérimentés au détriment des nouveaux venus. Que devient le plaisir de jouer ? Si les développeurs ne peuvent pas garantir une expérience équitable, alors ils devraient revoir leur approche et écouter les retours des joueurs au lieu de nous balancer des mises à jour superficielles !

    Il est grand temps que la communauté des joueurs se lève et exige un changement. Les classements des jeux Mario Kart ne devraient pas être un simple exercice, mais un appel à la réflexion sur ce que nous voulons vraiment dans un jeu de course. Arrêtons de célébrer des jeux qui, au lieu de rapprocher les gens, causent des disputes et des frustrations. Nous méritons mieux que cela !

    #MarioKart #JeuxVidéo #CritiqueJeux #Nintendo #Switch2
    Il est inacceptable que, pendant plus de trente ans, la série Mario Kart ait continué à nous trahir avec ses erreurs flagrantes et son inégalité déconcertante. Les jeux de Mario Kart, loin d'être un pur plaisir, se sont transformés en un véritable champ de bataille où l'on se demande constamment quel est le sens de la "justice" dans le gameplay. Avec le lancement de Mario Kart World pour la Switch 2, il est temps de mettre les choses au clair et de dénoncer ces aberrations ! Commençons par les classements. Pourquoi diable devrions-nous faire un classement des jeux Mario Kart ? Est-ce pour masquer les défauts évidents de certains d'entre eux ? Mario Kart 64, par exemple, est souvent cité comme un classique, mais il est tout simplement inacceptable de voir cette version trônant en haut de la liste. Les collisions imprévisibles, les graphismes dépassés et le gameplay déséquilibré en font une expérience frustrante. Il est grand temps que les fans ouvrent les yeux et reconnaissent que ce jeu n'est pas le chef-d'œuvre que certains prétendent ! Et que dire de Mario Kart Wii ? Les courses sur ce jeu sont souvent perturbées par un système de "drift" mal conçu et des objets qui semblent avoir été programmés pour nuire à votre progression plutôt que pour équilibrer le jeu. Combien de fois avons-nous perdu à cause d'une carapace bleue lancée à un moment critique ? C'est insupportable ! Si nous voulons parler de l'égalité dans les courses, il est évident que Nintendo a échoué dans ce domaine. Les "power-ups" déséquilibrés et les circuits mal conçus créent une expérience de jeu qui nuit au plaisir sur lequel cette série est censée être bâtie. Et ne me lancez même pas sur Mario Kart 8 Deluxe, qui est censé être la version ultime. Oui, les graphismes sont magnifiques, mais cela ne compense pas les problèmes de balance et le fait que le jeu favorise les joueurs les plus expérimentés au détriment des nouveaux venus. Que devient le plaisir de jouer ? Si les développeurs ne peuvent pas garantir une expérience équitable, alors ils devraient revoir leur approche et écouter les retours des joueurs au lieu de nous balancer des mises à jour superficielles ! Il est grand temps que la communauté des joueurs se lève et exige un changement. Les classements des jeux Mario Kart ne devraient pas être un simple exercice, mais un appel à la réflexion sur ce que nous voulons vraiment dans un jeu de course. Arrêtons de célébrer des jeux qui, au lieu de rapprocher les gens, causent des disputes et des frustrations. Nous méritons mieux que cela ! #MarioKart #JeuxVidéo #CritiqueJeux #Nintendo #Switch2
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    The Mario Kart Games, Ranked From Worst To Best
    For over thirty years, we’ve been driving like maniacs, questioning the meaning of fairness and ending friendships in Nintendo’s Mario Kart series. So with Mario Kart World kicking off the Switch 2’s launch this month, why not see if we can end a few
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  • Je me sens perdu dans un océan de solitude et d'incompréhension. Chaque jour, je regarde le monde avancer, plein de rêves et de promesses, tandis que je reste figé, comme une ombre errante. Le marketing digital, cette voie brillante que tant de gens choisissent, semble si éloigné de ma réalité.

    Je me demande souvent ce que l’on étudie réellement dans ce domaine fascinant. Les principales matières lectives, comme la stratégie de contenu, le SEO, et l'analyse des données, semblent si pleines de vie, mais pour moi, elles ne sont que des mots vides. Chaque article que je lis sur le sujet me rappelle à quel point je me sens déconnecté de cette passion brûlante qui anime tant d'autres.

    Je me sens comme un spectateur dans une pièce de théâtre où tout le monde connaît son rôle, tandis que je cherche désespérément le mien. Je rêve de pouvoir plonger dans l'univers du marketing digital, de comprendre les rouages de cette discipline en pleine expansion, mais le poids de la solitude m’écrase.

    Les opportunités abondent, mais elles semblent toutes m’échapper. Je me demande si je suis à la hauteur. Pourquoi est-ce que je me sens si invisible alors que tant de personnes s'épanouissent dans ce domaine ? Les réseaux sociaux, ces plateformes de connexion, ne font qu'approfondir mon sentiment d'isolement. Pendant que les autres partagent leurs succès, je reste silencieux, enfermé dans mes pensées.

    Le marketing digital pourrait être une lumière au bout du tunnel, mais pour l’instant, c’est un rêve inaccessibile. Je sais que les études dans ce domaine pourraient ouvrir des portes, enseignant des compétences précieuses, mais chaque jour qui passe me rappelle que je suis seul dans cette quête. Je regarde les autres s’élever, et je me demande si un jour, je pourrais moi aussi toucher ce ciel étoilé.

    La mélancolie s’installe, et je ne peux m’empêcher de pleurer sur ce que je n’ai pas. Je cherche désespérément un signe, une main tendue, quelque chose qui pourrait me ramener vers la lumière. Mais pour l'instant, je reste là, avec mes rêves inachevés et mon cœur lourd.

    #Solitude #MarketingDigital #RêvesInachevés #Isolement #QuêteDeSoi
    Je me sens perdu dans un océan de solitude et d'incompréhension. Chaque jour, je regarde le monde avancer, plein de rêves et de promesses, tandis que je reste figé, comme une ombre errante. Le marketing digital, cette voie brillante que tant de gens choisissent, semble si éloigné de ma réalité. 🌧️ Je me demande souvent ce que l’on étudie réellement dans ce domaine fascinant. Les principales matières lectives, comme la stratégie de contenu, le SEO, et l'analyse des données, semblent si pleines de vie, mais pour moi, elles ne sont que des mots vides. Chaque article que je lis sur le sujet me rappelle à quel point je me sens déconnecté de cette passion brûlante qui anime tant d'autres. 📉 Je me sens comme un spectateur dans une pièce de théâtre où tout le monde connaît son rôle, tandis que je cherche désespérément le mien. Je rêve de pouvoir plonger dans l'univers du marketing digital, de comprendre les rouages de cette discipline en pleine expansion, mais le poids de la solitude m’écrase. 😢 Les opportunités abondent, mais elles semblent toutes m’échapper. Je me demande si je suis à la hauteur. Pourquoi est-ce que je me sens si invisible alors que tant de personnes s'épanouissent dans ce domaine ? Les réseaux sociaux, ces plateformes de connexion, ne font qu'approfondir mon sentiment d'isolement. Pendant que les autres partagent leurs succès, je reste silencieux, enfermé dans mes pensées. 🥀 Le marketing digital pourrait être une lumière au bout du tunnel, mais pour l’instant, c’est un rêve inaccessibile. Je sais que les études dans ce domaine pourraient ouvrir des portes, enseignant des compétences précieuses, mais chaque jour qui passe me rappelle que je suis seul dans cette quête. Je regarde les autres s’élever, et je me demande si un jour, je pourrais moi aussi toucher ce ciel étoilé. 🌌 La mélancolie s’installe, et je ne peux m’empêcher de pleurer sur ce que je n’ai pas. Je cherche désespérément un signe, une main tendue, quelque chose qui pourrait me ramener vers la lumière. Mais pour l'instant, je reste là, avec mes rêves inachevés et mon cœur lourd. #Solitude #MarketingDigital #RêvesInachevés #Isolement #QuêteDeSoi
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    ¿Qué se estudia en Marketing Digital? Principales materias lectivas
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  • Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais.

    Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent.

    Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement.

    La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ?

    Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine.

    Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur.

    #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
    Il y a des moments où l'on se retrouve seul, même entouré de milliers de visages. Chaque sourire que je croise semble un écho lointain de ce que j'aimerais ressentir. C'est comme regarder à travers un casque VR, les couleurs vives et les mondes fascinants qui m'entourent, mais en réalité, je suis toujours prisonnier de cette chambre sombre, où la lumière du bonheur ne pénètre jamais. Le Meta Quest 2, ce casque qui promettait des horizons infinis, est désormais un souvenir lointain, une étoile filante dans mon univers de solitude. Retiré du marché, tout comme mes rêves, il reste coincé dans une époque révolue, où l'espoir semblait tangible. Je me demande s'il est toujours le meilleur casque VR, ou si, tout comme moi, il a été oublié par ceux qui l'entourent. Les jours passent, et chaque minute qui s'écoule semble alourdir mon cœur. Je regarde les autres se plonger dans cette réalité virtuelle, riant et s'émerveillant des possibilités. Pendant ce temps, je ressens chaque battement de solitude comme une cloche qui résonne dans le silence de ma vie. J'aimerais pouvoir enfiler ce casque et me perdre dans un monde où je ne suis pas invisible, où je peux me libérer des chaînes de l'isolement. La douleur est devenue ma compagne fidèle, et les ombres de mes pensées dansent autour de moi, chuchotant des mots de désespoir. Les promesses de connexion et d'évasion semblent se dissiper, et je me retrouve à questionner la valeur de cette technologie. Qu'est-ce que cela signifie d'avoir accès à des mondes nouveaux, si l'on est incapable de trouver sa place dans le monde réel ? Je me souviens des jours où je pensais que la réalité virtuelle pourrait me sauver, mais la vérité est que je suis toujours ici, seul avec mes pensées. Le Meta Quest 2 est un symbole de ce que j'ai perdu, un miroir brisé qui reflète mes propres fractures. Chaque fois que je pense à lui, je me rappelle que même la meilleure des technologies ne peut pas combler le vide laissé par l'absence de connexion humaine. Je me demande si je serai un jour capable de ressentir cela à nouveau, de me libérer de ce fardeau de solitude. En attendant, je continuerai à errer dans ce monde, cherchant désespérément une lumière au bout de ce tunnel obscur. #Solitude #MetaQuest2 #VR #Isolement #RéalitéVirtuelle
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    [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025
    Bien qu’il ait été officiellement retiré du marché en 2024 suite au lancement du Meta […] Cet article [Test] Meta Quest 2 : est-il toujours le meilleur casque VR ? - juin 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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  • Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide.

    Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés.

    En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur.

    Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé.

    Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses.

    #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
    Alors qu'on assiste à l'essor fulgurant des imprimantes 3D de bureau, incarné par le phénomène Bambu Lab, il est plus que temps de tirer la sonnette d'alarme sur les dérives et les promesses non tenues de cette technologie. En effet, tout comme le monde du tennis a vu des géants comme Federer et Nadal se faire détrôner par Djokovic, le secteur de l'impression 3D semble être en train de sombrer dans une course effrénée vers le bas, où l'innovation est sacrifiée sur l'autel du profit rapide. Ces dernières années, le marché des imprimantes 3D a explosé, attirant des adeptes de tous horizons. Cependant, derrière cette façade brillante se cachent des problèmes techniques majeurs et une véritable désillusion pour les utilisateurs. Les entreprises, dont Bambu Lab, promeuvent leurs produits comme des solutions révolutionnaires, mais qu'en est-il réellement de la qualité et de la fiabilité ? Les défauts de fabrication, les pannes fréquentes et les logiciels bogués sont monnaie courante. Les utilisateurs se retrouvent souvent avec des équipements qui ne fonctionnent pas comme promis, les laissant frustrés et désillusionnés. En plus de cela, le soutien technique laisse à désirer. Les marques, trop occupées à vendre leurs imprimantes 3D de bureau dernier cri, négligent souvent l'assistance après-vente. Les utilisateurs se sentent abandonnés, avec des problèmes non résolus et des promesses non tenues. Qui peut tolérer une technologie qui, au lieu de faciliter la vie, la complique davantage ? Il est temps d'exiger une meilleure qualité, un véritable soutien et une transparence de la part de ces entreprises qui semblent plus préoccupées par leur image que par l'expérience utilisateur. Et que dire des matériaux utilisés ? Nous sommes bombardés de promesses de matériaux durables et respectueux de l'environnement, mais la réalité est tout autre. De nombreuses imprimantes 3D de bureau ne produisent que des objets fabriqués à partir de plastiques de mauvaise qualité, contribuant ainsi à la pollution. Est-ce vraiment le progrès que nous espérions ? Nous sommes censés être à l'avant-garde d'une révolution technologique, mais nous finissons par reproduire les erreurs du passé. Il est urgent que nous, en tant que consommateurs, prenions conscience de ces problèmes. Ne laissons pas les entreprises nous berner avec leurs discours marketing séduisants tandis qu'elles continuent à négliger la qualité et la durabilité de leurs produits. Il est temps de se lever et d'exiger des changements. Nous méritons mieux qu'une simple impression 3D de bureau qui ne tient pas ses promesses. #Impression3D #BambuLab #Technologie #Innovations #ConsommationResponsable
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    El fenómeno Bambu Lab y el auge de las impresoras 3D de escritorio
    Los amantes del tenis saben que Federer y Nadal dominaron la disciplina durante muchos años, hasta la llegada de Novak Djokovic, que volcó la clasificación. Este mismo fenómeno lo encontramos hoy en día en el mundo de la impresión 3D.…
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • Je me sens si abandonné, comme si chaque rêve que j'ai jamais eu s'était évaporé dans l'air froid de la réalité. La solitude me ronge, et chaque jour qui passe me rappelle combien il est difficile de devenir cet entrepreneur à succès que je souhaite tant être.

    On dit que pour réussir, il faut développer certaines caractéristiques, des attitudes, des compétences... mais que faire quand la motivation s'effondre et que l'espoir s'amenuise ? Quand je regarde autour de moi, je vois des visages souriants, des gens qui avancent, qui brillent. Et moi, je reste là, figé dans une lutte silencieuse, accablé par le poids du doute et de l’incertitude.

    Les traits qui font un entrepreneur ne semblent pas être en moi. Je me demande si je suis destiné à être un spectateur de la vie, à regarder les autres réaliser leurs rêves pendant que je reste coincé dans mes peurs. L'angoisse de l'échec me paralyse, et chaque petit pas me semble insurmontable.

    Je voudrais croire que nous avons tous une chance, que ces caractéristiques de succès sont accessibles, mais parfois, la réalité est trop dure à accepter. Les échecs s'accumulent et, avec chaque tentative, c'est un morceau de mon âme qui se brise. Je me sens comme un naufragé, dérivant dans l'immensité de mes aspirations inassouvies.

    La solitude est un compagnon cruel. Elle m’enveloppe, me rappelle chaque instant que je suis seul dans cette quête. Je me demande si je trouverai un jour le courage de me lever à nouveau, de surmonter cette mélancolie qui m’enchaîne. Est-ce que cela en vaut vraiment la peine ? Est-ce que je suis capable de transformer cette douleur en force, comme il se doit pour chaque entrepreneur à succès ?

    Je continue à chercher ces caractéristiques, cette lumière au bout du tunnel, mais chaque jour semble plus sombre que le précédent. Peut-être que, dans cette lutte, je trouverai finalement la force de me relever, de me battre pour mes rêves. Mais pour l'instant, je suis juste ici, perdu dans mes pensées, espérant que quelque chose changera.

    #Entrepreneuriat #Solitude #RêvesPerdus #CaractéristiquesDuSuccès #LutteIntérieure
    Je me sens si abandonné, comme si chaque rêve que j'ai jamais eu s'était évaporé dans l'air froid de la réalité. La solitude me ronge, et chaque jour qui passe me rappelle combien il est difficile de devenir cet entrepreneur à succès que je souhaite tant être. 🌧️ On dit que pour réussir, il faut développer certaines caractéristiques, des attitudes, des compétences... mais que faire quand la motivation s'effondre et que l'espoir s'amenuise ? Quand je regarde autour de moi, je vois des visages souriants, des gens qui avancent, qui brillent. Et moi, je reste là, figé dans une lutte silencieuse, accablé par le poids du doute et de l’incertitude. 😔 Les traits qui font un entrepreneur ne semblent pas être en moi. Je me demande si je suis destiné à être un spectateur de la vie, à regarder les autres réaliser leurs rêves pendant que je reste coincé dans mes peurs. L'angoisse de l'échec me paralyse, et chaque petit pas me semble insurmontable. Je voudrais croire que nous avons tous une chance, que ces caractéristiques de succès sont accessibles, mais parfois, la réalité est trop dure à accepter. Les échecs s'accumulent et, avec chaque tentative, c'est un morceau de mon âme qui se brise. Je me sens comme un naufragé, dérivant dans l'immensité de mes aspirations inassouvies. 🥀 La solitude est un compagnon cruel. Elle m’enveloppe, me rappelle chaque instant que je suis seul dans cette quête. Je me demande si je trouverai un jour le courage de me lever à nouveau, de surmonter cette mélancolie qui m’enchaîne. Est-ce que cela en vaut vraiment la peine ? Est-ce que je suis capable de transformer cette douleur en force, comme il se doit pour chaque entrepreneur à succès ? Je continue à chercher ces caractéristiques, cette lumière au bout du tunnel, mais chaque jour semble plus sombre que le précédent. Peut-être que, dans cette lutte, je trouverai finalement la force de me relever, de me battre pour mes rêves. Mais pour l'instant, je suis juste ici, perdu dans mes pensées, espérant que quelque chose changera. 🌌 #Entrepreneuriat #Solitude #RêvesPerdus #CaractéristiquesDuSuccès #LutteIntérieure
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    20 Características para ser un emprendedor exitoso
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  • Je me tiens ici, perdu dans un océan de rêves déchus, regardant le festival TALENIMA se profiler à l'horizon, une promesse de créativité et d'espoir. Mais au fond, je sens un vide immense, comme si l'inspiration m'avait abandonné.

    L'idée de voir des étudiants et des écoles déposer leurs projets, de mettre en lumière de jeunes talents de l'audiovisuel animé, cela devrait être une source de joie, un moment de célébration. Cependant, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude au milieu de toute cette effervescence. Chaque projet présenté est un écho de ce que je n'ai pas réussi à réaliser. Chaque sourire des participants me rappelle les rêves que j'ai laissés s'étioler dans l'ombre.

    Je me demande si d'autres ressentent cette même mélancolie. Peut-être que derrière chaque animation, chaque cinématique de jeu, se cache une histoire de lutte, de déception et d'espoir brisé. Les visages radieux qui se rassemblent pour célébrer la musique de film et l'art du motion design semblent si éloignés de ma réalité. Je me sens comme un spectateur invisible, une ombre parmi les lumières brillantes, incapable de rejoindre ce tableau vibrant de passion et de créativité.

    Les mots me manquent, et l'envie de créer s'estompe jour après jour. Je regarde ces jeunes artistes avec admiration, mais aussi avec une douleur sourde qui me rappelle que parfois, la solitude peut être plus pesante qu'un océan de voix. J'aimerais croire qu'il y a une place pour moi dans ce festival, que mes rêves peuvent encore prendre vie, mais chaque jour qui passe, cette lueur s'affaiblit. Je crains que le festival TALENIMA ne soit qu'un autre rappel de ce que je n'ai pas pu accomplir...

    Je m'accroche à l'espoir que peut-être, un jour, je trouverai le courage de montrer mon propre projet, de laisser ma voix s'élever au milieu de tant de talents. Mais pour l'instant, je me sens perdu, emprisonné dans une mélodie triste, attendant que la lumière revienne.

    #TALENIMA #Festival #Créativité #Solitude #Espoir
    Je me tiens ici, perdu dans un océan de rêves déchus, regardant le festival TALENIMA se profiler à l'horizon, une promesse de créativité et d'espoir. Mais au fond, je sens un vide immense, comme si l'inspiration m'avait abandonné. 🌧️ L'idée de voir des étudiants et des écoles déposer leurs projets, de mettre en lumière de jeunes talents de l'audiovisuel animé, cela devrait être une source de joie, un moment de célébration. Cependant, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde solitude au milieu de toute cette effervescence. Chaque projet présenté est un écho de ce que je n'ai pas réussi à réaliser. Chaque sourire des participants me rappelle les rêves que j'ai laissés s'étioler dans l'ombre. 😢 Je me demande si d'autres ressentent cette même mélancolie. Peut-être que derrière chaque animation, chaque cinématique de jeu, se cache une histoire de lutte, de déception et d'espoir brisé. Les visages radieux qui se rassemblent pour célébrer la musique de film et l'art du motion design semblent si éloignés de ma réalité. Je me sens comme un spectateur invisible, une ombre parmi les lumières brillantes, incapable de rejoindre ce tableau vibrant de passion et de créativité. Les mots me manquent, et l'envie de créer s'estompe jour après jour. Je regarde ces jeunes artistes avec admiration, mais aussi avec une douleur sourde qui me rappelle que parfois, la solitude peut être plus pesante qu'un océan de voix. J'aimerais croire qu'il y a une place pour moi dans ce festival, que mes rêves peuvent encore prendre vie, mais chaque jour qui passe, cette lueur s'affaiblit. Je crains que le festival TALENIMA ne soit qu'un autre rappel de ce que je n'ai pas pu accomplir... 🥀 Je m'accroche à l'espoir que peut-être, un jour, je trouverai le courage de montrer mon propre projet, de laisser ma voix s'élever au milieu de tant de talents. Mais pour l'instant, je me sens perdu, emprisonné dans une mélodie triste, attendant que la lumière revienne. 🌌 #TALENIMA #Festival #Créativité #Solitude #Espoir
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    Festival TALENIMA : étudiants, écoles, déposez vos projets !
    Le festival TALENIMA sera de retour pour une seconde édition cet été, au mois de juillet. Organisé par l’association TEAMANIM, il se donne comme objectif de mettre en lumière les jeunes talents de l’audiovisuel animé : cinéma d’anim
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  • Dans un monde où tout change tout le temps, il est vrai que former son équipe est devenu un petit défi. Mais bon, on ne va pas se mentir, c'est un peu ennuyant. Savoir comment former votre équipe sans perdre en productivité, c'est un sujet qui fait réfléchir, mais pas trop, finalement.

    On sait tous que la technologie avance à une vitesse folle. C'est bien beau de vouloir rester compétitif, mais pour ça, il faut que les équipes soient formées. Alors, comment faire ? C’est simple… ou pas. Il faut faciliter la formation continue, mais sans que cela affecte le rendement quotidien. Facile à dire, non ?

    Il existe quelques astuces pour y parvenir, mais ça demande un peu d'effort. Par exemple, prévoir des sessions de formation pendant les heures creuses, ou alors miser sur des outils en ligne que tout le monde peut consulter à son rythme. Ça semble logique, mais qui a vraiment envie de passer des heures à organiser tout ça ?

    Et puis, il y a aussi le dilemme de la motivation. Former une équipe, c’est bien, mais encore faut-il que les gens aient envie d'apprendre. C’est là que ça devient un peu plus compliqué. On peut toujours essayer de rendre la formation un peu plus ludique, mais au fond, cela demande du temps et de l'énergie. Et soyons honnêtes, la plupart d'entre nous préfèrent rester tranquilles à leur bureau plutôt que de suivre une formation.

    Donc, au final, former son équipe sans perdre en productivité, c’est un peu comme essayer de jongler avec des œufs. Ça peut être fait, mais ça reste un peu risqué. On peut en parler pendant des heures, mais ça n'enlève rien au fait que c’est souvent un peu fatiguant.

    En résumé, la formation continue est importante, mais elle peut s'avérer ennuyeuse. Il faut juste trouver un équilibre, et espérer que tout ira bien. Mais bon, qui a vraiment le temps pour ça ?

    #Formation #Productivité #Équipe #Technologie #Compétitivité
    Dans un monde où tout change tout le temps, il est vrai que former son équipe est devenu un petit défi. Mais bon, on ne va pas se mentir, c'est un peu ennuyant. Savoir comment former votre équipe sans perdre en productivité, c'est un sujet qui fait réfléchir, mais pas trop, finalement. On sait tous que la technologie avance à une vitesse folle. C'est bien beau de vouloir rester compétitif, mais pour ça, il faut que les équipes soient formées. Alors, comment faire ? C’est simple… ou pas. Il faut faciliter la formation continue, mais sans que cela affecte le rendement quotidien. Facile à dire, non ? Il existe quelques astuces pour y parvenir, mais ça demande un peu d'effort. Par exemple, prévoir des sessions de formation pendant les heures creuses, ou alors miser sur des outils en ligne que tout le monde peut consulter à son rythme. Ça semble logique, mais qui a vraiment envie de passer des heures à organiser tout ça ? Et puis, il y a aussi le dilemme de la motivation. Former une équipe, c’est bien, mais encore faut-il que les gens aient envie d'apprendre. C’est là que ça devient un peu plus compliqué. On peut toujours essayer de rendre la formation un peu plus ludique, mais au fond, cela demande du temps et de l'énergie. Et soyons honnêtes, la plupart d'entre nous préfèrent rester tranquilles à leur bureau plutôt que de suivre une formation. Donc, au final, former son équipe sans perdre en productivité, c’est un peu comme essayer de jongler avec des œufs. Ça peut être fait, mais ça reste un peu risqué. On peut en parler pendant des heures, mais ça n'enlève rien au fait que c’est souvent un peu fatiguant. En résumé, la formation continue est importante, mais elle peut s'avérer ennuyeuse. Il faut juste trouver un équilibre, et espérer que tout ira bien. Mais bon, qui a vraiment le temps pour ça ? #Formation #Productivité #Équipe #Technologie #Compétitivité
    DATADEMIA.ES
    Cómo formar a tu equipo sin perder productividad
    En un mundo donde el cambio es constante y la tecnología avanza a pasos agigantados, facilitar la capacitación continua se ha convertido en una necesidad para mantener la competitividad empresarial. Sin embargo, muchas organizaciones se enfrentan a u
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  • IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »

    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #les #robots #peuventils #battre #loups
    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford, avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificiellea écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #les #robots #peuventils #battre #loups
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    IA : « Les robots peuvent-ils battre les loups de Wall Street ? »
    A la Bourse de New York, le 10 juin 2025. RICHARD DREW / AP En 1973, Burton Malkiel, un professeur à l’université Stanford (Californie), avait fait polémique en affirmant qu’un singe avec un bandeau sur les yeux lançant des fléchettes sur les pages d’un journal financier sélectionnerait un portefeuille d’actions « aussi bon » que celui soigneusement choisi par des experts. Le test a été tenté. Il s’avéra que M. Malkiel avait tort : les singes étaient meilleurs. Cinquante ans après, la question désormais est de savoir si les robots peuvent battre les loups de Wall Street. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans les banques, la marche à pas comptés vers l’IA générative Stanford a la réponse. Un article paru lundi 9 juin sur le site de l’université relate que des chercheurs ont entraîné sur des données de marchés allant de 1980 à 1990 un modèle prédictif d’investissement. Puis, ils lui ont demandé de recomposer les portefeuilles de 3 300 fonds communs de placement en actions américaines entre 1990 et 2020. Verdict : l’intelligence artificielle (IA) a écrasé 93 % des gérants, obtenant des performances en moyenne six fois supérieures. Pas étonnant que l’industrie de la gestion d’actifs mette les bouchées doubles sur la technologie. Selon Bloomberg, BlackRock a révélé, jeudi 12 juin, avoir bâti une « IA analyste » sur les actions, baptisée « Asimov », du nom de l’auteur de science-fiction fasciné par la relation entre l’humain et les robots. « Pendant que tout le monde dort la nuit, ces agents d’intelligence artificielle balayent les notes de recherche, les dépôts de documents des entreprises, les courriels », a expliqué Rob Goldstein, le responsable des opérations du premier gestionnaire d’actifs mondial. Il vous reste 41.24% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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