Annecy 2025 s'approche. Apparemment, il y a un film d'animation qui s'appelle Planètes, réalisé par Momoko Seto. Ce film va être projeté au festival, mais bon, qui sait si ça va vraiment être intéressant. On parle de suivre des akènes de pissenlits, ou ce qu'on appelle des « graines » de pissenlit. Franchement, je ne suis pas sûr de ce que cela signifie, mais ça a l'air un peu bizarre, non ? Le festival d'Annecy est connu pour ses projets atypiques, mais parfois, ça peut être un peu trop. Les films d'animation peuvent être surprenants, mais à quel point ? Je ne suis pas convaincu que des graines de pissenlit soient le meilleur sujet pour un film. Peut-être que je me trompe, ou peut-être pas. En attendant, il va falloir voir ça. On dit que la sélection L’Officielle du festival apporte toujours des projets étonnants. Mais bon, des akènes... Ça fait un peu léger, non ? En plus, qui va vraiment aller voir ça ? Je me demande si je vais même faire l'effort d'y assister. Peut-être que je resterai chez moi à faire autre chose, comme regarder des séries ou dormir un peu. Donc, voilà, Planètes de Momoko Seto. Peut-être que ce sera bien, peut-être que ce ne sera pas. Qui sait. J'imagine que certains trouveront ça fascinant, mais personnellement, je ne suis pas vraiment excité. On verra bien. #Annecy2025 #FilmAnimation #MomokoSeto #Planètes #Pissenlit

game design, National Film and Television School, MFA, gaming industry, career, education, game development, creative arts, multimedia, game design programs ## The National Film and Television School: A Hollow Promise for Aspiring Game Designers Let’s cut to the chase: the National Film and Television School (NFTS) touts itself as one of the premier institutions for learning game design. But does it truly live up to this reputation, or is it just another hollow promise in the overcrowded lands...

animation, animation techniques, L'animation côté coulisses, stop-motion, 2D animation, 3D animation, animation exhibition, film creation, Gentilly, Lavoir Numérique ## Introduction Ah, animation—the magical world where characters come to life, and childhood fantasies dance across the screen. But have you ever paused to wonder what lies behind the curtain of this animated spectacle? If you’ve got a penchant for the whimsical and a dash of curiosity, then the "Behind the Screen" exhibition at L...

virtual reality, Meta Quest, movie apps, immersive experience, film streaming, VR entertainment, watching movies, technology, emotional storytelling --- ## Introduction In a world where reality often feels heavy and burdensome, the comforting embrace of a favorite film can offer a fleeting escape. The Meta Quest headset opens the door to an immersive universe, allowing us to delve into stories that resonate deeply within our souls. However, the search for the best apps to watch movies on your...

court-métrage, Goodbye Mamajee, École Méliès, films étudiants, festivals de cinéma, Pondicherry, nostalgie ## Introduction Le court-métrage *Goodbye Mamajee* est une œuvre qui mérite d'être mentionnée. Issu de l'École Méliès, ce film a récemment attiré l'attention lors d'une journée de présentation des projets étudiants de 2023. Sa disponibilité en ligne après une tournée dans divers festivals de cinéma a suscité l'intérêt. En regardant ce film, on ressent une certaine nostalgie, une ambiance ...

Il y a des jours où la solitude pèse si lourd sur le cœur qu’on a l’impression de ne jamais pouvoir en sortir. Aujourd’hui, alors que je suis assis ici, perdu dans mes pensées, je ne peux m’empêcher de repenser à cette journée de conférences sur les jumeaux numériques et l’ICC. Le monde extérieur semble si vibrant, si plein de vie, tandis que je me sens comme un spectateur figé dans un film dont je ne fais plus partie. Les jumeaux numériques, ces représentations virtuelles si prometteuses, sont un peu comme moi : ils existent, mais sans véritable connexion. On parle de projets immersifs, de visites virtuelles qui pourraient nous rapprocher, mais au fond, n’est-ce pas juste un simulacre de ce que nous cherchons vraiment ? La technologie avance, les idées se multiplient, mais parfois, je me demande si ces avancées peuvent vraiment combler le vide que l’on ressent en nous. Chaque conversation dans cette journée de conférences, chaque sourire échangé, ne fait qu’accentuer ma propre solitude. Je vois des gens autour de moi, partageant des passions, des rêves, et moi, je reste là, comme un hologramme sans émotion, sans lien. L’architecture et le patrimoine peuvent être numérisés, mais qu’en est-il de nos cœurs ? Peut-on vraiment créer une connexion à travers un écran, ou est-ce un rêve illusoire ? La promesse de la technologie est séduisante, mais elle ne peut pas remplacer la chaleur d’un regard complice ou le réconfort d’une étreinte. Je suis fatigué de naviguer dans ce monde virtuel où tout semble à portée de main, mais où je me sens toujours à distance. Chaque projet, chaque initiative, comme celle organisée par l’agence AD’OCC, PUSH START et Montpellier ACM Siggraph, me rappelle ce que je ne peux pas atteindre. Alors que je m’imprègne des mots échangés, je me demande si, un jour, je pourrai trouver ma place dans ce monde. Si un jour, je pourrai être plus qu’un simple numéro, une image numérique sans vie. Peut-être que le véritable défi n’est pas d’innover, mais de se reconnecter avec ce qui nous rend humains. Et même si je suis ici, entouré de personnes, je me sens comme un fantôme, errant dans un monde qui ne me comprend pas. La mélancolie s’installe, douce et amère, comme un écho lointain d’un bonheur que je ne connais plus. #Solitude #JumeauxNumériques #Conférences #Technologie #Émotions

Dune Awakening fait parler de lui en ce moment. C’est un peu le jeu qui attire l’attention, surtout après le succès des films Dune. Funcom a donc décidé de surfer sur cette vague pour lancer le jeu. Mais bon, comme d’habitude, il y a des critiques. Le PvP, apparemment, ne plaît pas à tout le monde. Des joueurs se plaignent d’un équilibre qui laisse à désirer. Pas très surprenant, en fait. Funcom a promis qu’ils allaient travailler là-dessus, mais on se demande si ça va vraiment changer quelque chose. On est un peu fatigué d’entendre des promesses qui ne mènent à rien. Le jeu cartonne, donc on pourrait penser qu'ils ont quelque chose de solide entre les mains. Mais là, on a juste l’impression qu’ils essaient de gérer une situation qu’ils n’ont pas prévue. Les joueurs parlent beaucoup, surtout sur les forums. Les avis sont partagés. D'un côté, il y a ceux qui kiffent le jeu, mais de l’autre, il y a une bonne partie de la communauté qui n’est pas du tout satisfaite du PvP. C’est un peu ennuyeux, franchement. La promesse d’un équilibre, on l’a déjà entendue dans d’autres jeux, et on sait comment ça finit. Souvent, c’est juste du vent. En résumé, Dune Awakening est en train de devenir un gros titre, mais les critiques sur le PvP pourraient freiner son élan. Funcom a du pain sur la planche pour satisfaire tout le monde. Pour l’instant, on attend de voir s’ils vont vraiment agir ou si on va juste rester là, à attendre des mises à jour qui ne viennent jamais. #DuneAwakening #Funcom #PvP #JeuxVidéo #Critiques

Ah, DreamWorks! That magical land where the sun always shines, and animated penguins can sing better than most of us in the shower. A studio that has been spinning its whimsical web of nostalgia since the dawn of time, or at least since the late '90s, when they decided that making ogres feel relatable was the new black. So, what's this I hear? A documentary detailing the illustrious history of DreamWorks? Because clearly, we all needed a deep dive into the riveting saga of a studio that has made more animated films than there are flavors of ice cream. I mean, who doesn’t want to know the backstory behind the creation of Shrek 25 or the emotional journey of a dragon who can’t decide if it wants to befriend a Viking or roast him on a spit? The podcast team behind 12 FPS is bringing us this "ambitious" documentary, where I can only assume they will unveil the "secret" techniques used to create those iconic characters. Spoiler alert: it involves a lot of caffeine, sleepless nights, and animators talking to their cats for inspiration. Yes, I await with bated breath to see the archival footage of the early days, where perhaps we’ll witness the groundbreaking moment someone said, “What if we made a movie about a talking donkey?” Truly, groundbreaking stuff. And let's not overlook the "success" part of their journey. Did we really need a documentary to explain that? I mean, it’s not like they’ve been raking in billions while we sob over animated farewells. The financial success is practically part of their DNA at this point—like a sequel to a beloved movie that no one asked for, but everyone pretends to love. If you’re lucky, maybe the documentary will even reveal the elusive DreamWorks formula: a sprinkle of heart, a dash of pop culture reference, and just enough celebrity voices to keep the kids glued to their screens while parents pretend to be interested. Who wouldn’t want to see behind the curtain and discover how they managed to capture our hearts with a bunch of flying fish or a lovable giant who somehow manages to be both intimidating and cuddly? But hey, in a world where we can binge-watch a 12-hour documentary on the making of a sandwich, why not dedicate a few hours to DreamWorks’ illustrious past? After all, nothing screams ‘cultural significance’ quite like animated characters who can break into song at the most inappropriate moments. So grab your popcorn and prepare for the ride through DreamWorks: the history of a studio that has made us laugh, cry, and occasionally question our taste in movies. #DreamWorks #AnimationHistory #12FPS #Documentary #ShrekForever

In a world where animated dreams dance on the silver screen, Jellyfish Pictures has decided it’s time for a long nap. Yes, you read that right! The studio known for masterpieces like "How to Train Your Dragon: Homecoming" has hit the pause button on its activities, but don’t worry, it’s only temporary—because who doesn’t love a good power nap when the going gets tough? Now, one might wonder: what does it mean to “suspend” your work? Is it like putting your favorite series on hold because you just can’t handle the drama? Or perhaps it’s more akin to a toddler’s tantrum—screaming for attention before quietly retreating to a corner? It seems Jellyfish Pictures has taken a page out of the book of procrastination, choosing to hibernate while the world spins on, leaving us all to ponder the fate of animated wonders. Let’s be real here: with the current crisis looming over us like a dark cloud, every studio is feeling the pinch. But to "temporarily" suspend activities? That’s a bold move, friend. It’s almost as if they’re saying, “Hey, we’re too cool for this economy!” And who wouldn’t want to take a break? After all, we all deserve a vacation—even if it’s from our own creativity. Imagine the team at Jellyfish Pictures, lounging on beach chairs with their laptops closed, sipping piña coladas while the world clamors for the next blockbuster. “We’ll be back!” they chant, while the animation industry holds its breath, waiting for their grand return. Or is it a dramatic re-emergence, like a phoenix rising from the ashes of a crisis that they bravely “suspended” themselves from? And let’s not overlook the irony here. A studio that brings fantastical worlds to life has chosen to embrace the tranquility of inactivity. Perhaps they’re taking some time to meditate on the complexities of jellyfish—creatures that float aimlessly through life while people marvel at their beauty. A fitting metaphor, wouldn’t you say? So here’s to Jellyfish Pictures! May your time of “temporary suspension” be filled with inspiration, relaxation, and perhaps a little daydreaming about the next big hit. Just remember, while you’re out there perfecting your hibernation skills, the rest of us are still waiting for you to come back and sprinkle a little magic back into our cinematic lives. #JellyfishPictures #Animation #FilmIndustry #CrisisManagement #TemporarySuspension

Disney+ has decided to pull "The Abyss" once again, and it's all because of some controversial rat scene that seems to be stirring up more drama than it deserves. Honestly, who cares? It’s just another instance of a streaming platform trying to dodge the backlash over something that probably wouldn’t even register on most people's radars. I mean, really, is anyone out there actually invested in why a rat scene is causing such a fuss? It feels like a lot of noise over nothing. Maybe some will argue that it’s about censorship or artistic integrity, but it just sounds a bit tedious to me. People get riled up about these things, while I just sit here wondering when the next big thing will actually be interesting. The whole situation seems like a never-ending cycle of re-evaluating content. Disney+ pulls a film, people complain, and then it gets put back in the vault. It’s like watching a rerun of a show you didn’t even like the first time. The Abyss may have its moments, but if a rat scene is what’s holding it back, maybe it’s not worth the time anyway. Let’s face it, with so much else out there to watch, does anyone really want to dwell on a movie that has been pulled over a rodent? It’s exhausting to keep up with these controversies, and honestly, it’s easier to just scroll past. If you’re looking for something exciting, maybe check out a different platform? While the buzz around "The Abyss" might catch some attention, I won't be holding my breath for its return. It just feels like more of the same: a mix of politics, social media outrage, and a streaming service trying to play it safe. If they really wanted to make waves, wouldn't they just leave it alone and let people decide for themselves? In the end, "The Abyss" is just another title on a long list of films that have fallen victim to the whims of public opinion. So, let’s just move on to something else, shall we? There’s plenty of content out there that doesn’t come with the baggage of a controversial rat scene. #DisneyPlus #TheAbyss #FilmControversy #StreamingNews #Boredom