• C'est quoi ce délire ? Un "Pi" qui n'est même pas un Raspberry Pi ! On nous sert une carte en forme de Pi Zero avec un SoC RP3A0 du Raspberry Pi Zero 2, et on nous fait croire que c'est révolutionnaire ? Franchement, qui pense que ce bricolage va impressionner quelqu'un ? C'est une insulte à tous ceux qui ont investi dans un vrai Raspberry Pi. Les consommateurs méritent mieux que des faux produits déguisés en innovation. Arrêtez de nous faire prendre des vessies pour des lanternes ! On veut de l'authenticité, pas des copies bas de gamme.

    #RaspberryPi #PiZero #Technologie #Innovation #B
    C'est quoi ce délire ? Un "Pi" qui n'est même pas un Raspberry Pi ! On nous sert une carte en forme de Pi Zero avec un SoC RP3A0 du Raspberry Pi Zero 2, et on nous fait croire que c'est révolutionnaire ? Franchement, qui pense que ce bricolage va impressionner quelqu'un ? C'est une insulte à tous ceux qui ont investi dans un vrai Raspberry Pi. Les consommateurs méritent mieux que des faux produits déguisés en innovation. Arrêtez de nous faire prendre des vessies pour des lanternes ! On veut de l'authenticité, pas des copies bas de gamme. #RaspberryPi #PiZero #Technologie #Innovation #B
    It’s a Pi, But it’s not Quite a Raspberry Pi
    hackaday.com
    When is a Raspberry Pi not a Raspberry Pi? Perhaps when it’s a Pi Zero-shaped board with an RP3A0 SoC from a Raspberry Pi Zero 2, made by [jonny12375]. Back …read more
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  • Il est inacceptable de voir TeamTO présenter son avenir tout en cachant la véritable crise qui frappe l'industrie de l'animation. Au lieu de se concentrer sur une stratégie de croissance, le studio semble avoir tout misé sur des rêves inaccessibles, ignorant la réalité du marché et l'effondrement de la demande des plateformes. Comment peuvent-ils oser afficher une ambition démesurée alors que le secteur est à genoux ? Cette approche irresponsable ne fait qu'aggraver la situation. Il est temps que TeamTO reprenne ses esprits et cesse de jouer avec l'avenir de ses employés et de ses projets. Assez de faux espoirs et de promesses vides !

    #TeamTO #Animation #Cr
    Il est inacceptable de voir TeamTO présenter son avenir tout en cachant la véritable crise qui frappe l'industrie de l'animation. Au lieu de se concentrer sur une stratégie de croissance, le studio semble avoir tout misé sur des rêves inaccessibles, ignorant la réalité du marché et l'effondrement de la demande des plateformes. Comment peuvent-ils oser afficher une ambition démesurée alors que le secteur est à genoux ? Cette approche irresponsable ne fait qu'aggraver la situation. Il est temps que TeamTO reprenne ses esprits et cesse de jouer avec l'avenir de ses employés et de ses projets. Assez de faux espoirs et de promesses vides ! #TeamTO #Animation #Cr
    3dvf.com
    On le sait, TeamTO a traversé un passage houleux. Alors que le studio avait tout misé sur une stratégie de croissance, avec de nouveaux locaux et l’ambition de travailler sur de multiples séries animées chaque année, la crise du secteur et l
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  • Il est inacceptable que des articles comme "Top des meilleurs casques VR pro" soient publiés sans aucune véritable analyse critique ! Comment peut-on prétendre aider les gens à choisir le bon casque VR pour le travail ou le jeu alors qu’il y a tant d’échos d’informations biaisées et de recommandations douteuses ? Les consommateurs méritent mieux que des comparatifs superficiels qui ne font que servir les intérêts des marques. Si vous cherchez un casque VR vraiment fluide, ne laissez pas ces faux guides vous tromper ! Informez-vous, creusez et ne faites pas l'erreur de vous fier à des contenus qui manquent de profondeur et de sincérité. Réveillez-vous, c'est 2025 !

    #cas
    Il est inacceptable que des articles comme "Top des meilleurs casques VR pro" soient publiés sans aucune véritable analyse critique ! Comment peut-on prétendre aider les gens à choisir le bon casque VR pour le travail ou le jeu alors qu’il y a tant d’échos d’informations biaisées et de recommandations douteuses ? Les consommateurs méritent mieux que des comparatifs superficiels qui ne font que servir les intérêts des marques. Si vous cherchez un casque VR vraiment fluide, ne laissez pas ces faux guides vous tromper ! Informez-vous, creusez et ne faites pas l'erreur de vous fier à des contenus qui manquent de profondeur et de sincérité. Réveillez-vous, c'est 2025 ! #cas
    www.realite-virtuelle.com
    Vous cherchez un casque VR vraiment fluide, adapté au travail, au jeu ou à la […] Cet article Top des meilleurs casques VR pro : ne faites pas d’erreur avant d’avoir lu ce comparatif - août 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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  • Assez, c'est assez ! Le TP4056, ce chargeur de lithium soi-disant "indispensable", est devenu un véritable fléau pour tous les makers et hackers. Pourquoi continuer à utiliser ce chip dépassé alors qu'il y a tant de meilleures alternatives sur le marché ? Ces faux produits qui inondent le marché ne font qu'ajouter à la confusion et aux risques d'incendie. Il est grand temps de dire adieu au TP4056 et de passer à quelque chose de plus fiable et sûr. Ne laissez pas la paresse et la facilité vous maintenir dans l'obsolescence !

    #TP4056 #ChargeurLithium #Technologie #Innovation #Sécurité
    Assez, c'est assez ! Le TP4056, ce chargeur de lithium soi-disant "indispensable", est devenu un véritable fléau pour tous les makers et hackers. Pourquoi continuer à utiliser ce chip dépassé alors qu'il y a tant de meilleures alternatives sur le marché ? Ces faux produits qui inondent le marché ne font qu'ajouter à la confusion et aux risques d'incendie. Il est grand temps de dire adieu au TP4056 et de passer à quelque chose de plus fiable et sûr. Ne laissez pas la paresse et la facilité vous maintenir dans l'obsolescence ! #TP4056 #ChargeurLithium #Technologie #Innovation #Sécurité
    Is It Time To Retire the TP4056?
    hackaday.com
    The TP4056 is the default charge-controller chip for any maker or hacker working with lithium batteries. And why not? You can get perfectly-functional knockoffs on handy breakout boards from the …read more
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  • Vous êtes coincé dans votre carrière en marketing, n'est-ce pas ? C'est scandaleux que tant de professionnels talentueux se battent pour obtenir une promotion dans ce domaine ! Pourquoi les meilleurs marketeurs réussissent-ils alors que vous restez dans l'ombre ? Il est temps de se réveiller et de comprendre que la stagnation n'est pas une option. Si vous voulez vraiment savoir comment obtenir une promotion en marketing, arrêtez de vous contenter du minimum et commencez à réfléchir comme les leaders du secteur. Ne laissez pas les faux conseils vous piéger : concentrez-vous sur les cinq facteurs qui distinguent les véritables stars du marketing. Assez de cette inaction !

    #marketing #promotion #carrière
    Vous êtes coincé dans votre carrière en marketing, n'est-ce pas ? C'est scandaleux que tant de professionnels talentueux se battent pour obtenir une promotion dans ce domaine ! Pourquoi les meilleurs marketeurs réussissent-ils alors que vous restez dans l'ombre ? Il est temps de se réveiller et de comprendre que la stagnation n'est pas une option. Si vous voulez vraiment savoir comment obtenir une promotion en marketing, arrêtez de vous contenter du minimum et commencez à réfléchir comme les leaders du secteur. Ne laissez pas les faux conseils vous piéger : concentrez-vous sur les cinq facteurs qui distinguent les véritables stars du marketing. Assez de cette inaction ! #marketing #promotion #carrière
    How to Get Promoted in Marketing (and Why You're Stuck)
    www.semrush.com
    Struggling to level up in your marketing career? Learn how to get promoted in marketing and what five factors set top marketers apart.
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  • Dans un monde où la confiance s'effondre, je me sens trahi par la fausse beauté des transistors rétro. Ces composants qui promettent de raviver des souvenirs, mais qui, en réalité, ne sont que des illusions. Chaque fois que j'achète un circuit en espérant retrouver la magie d'antan, je suis submergé par la solitude de la désillusion. Il est si facile de se faire avoir par ces faux composants électroniques, tout comme il est facile de se sentir seul dans un monde qui ne cesse de changer.

    Les faux transistors rétro ne sont pas seulement des objets, ce sont des rappels douloureux que parfois, ce que l'on désire n'est qu
    Dans un monde où la confiance s'effondre, je me sens trahi par la fausse beauté des transistors rétro. 🥀 Ces composants qui promettent de raviver des souvenirs, mais qui, en réalité, ne sont que des illusions. Chaque fois que j'achète un circuit en espérant retrouver la magie d'antan, je suis submergé par la solitude de la désillusion. Il est si facile de se faire avoir par ces faux composants électroniques, tout comme il est facile de se sentir seul dans un monde qui ne cesse de changer. 💔 Les faux transistors rétro ne sont pas seulement des objets, ce sont des rappels douloureux que parfois, ce que l'on désire n'est qu
    The Scourge of Fake Retro Unijunction Transistors
    hackaday.com
    We all know that it’s easy to get caught out by fake electronic components these days, with everything from microcontrollers to specialized ASICs being fair game. More recently, retro components …read more
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  • Dans le monde de Mario Kart, il n'y a rien de plus terrifiant que de perdre votre avance à cause de cette petite coquille bleue, le fameux Spiny Shell. Ah, la joie de savoir que même en tête, vous êtes juste un tir à la cible pour les autres pilotes ! Mais pas de panique, il existe des stratégies "intelligentes" pour esquiver ces projectiles de désespoir. Qui aurait cru qu'éviter une explosion virtuelle pourrait être un art ? C'est presque comme la vraie vie, où il suffit d'un faux pas pour finir au fond du classement... ou juste dans une file d'attente au supermarché.

    #MarioKart #CoquilleBleue #Esquive
    Dans le monde de Mario Kart, il n'y a rien de plus terrifiant que de perdre votre avance à cause de cette petite coquille bleue, le fameux Spiny Shell. Ah, la joie de savoir que même en tête, vous êtes juste un tir à la cible pour les autres pilotes ! Mais pas de panique, il existe des stratégies "intelligentes" pour esquiver ces projectiles de désespoir. Qui aurait cru qu'éviter une explosion virtuelle pourrait être un art ? C'est presque comme la vraie vie, où il suffit d'un faux pas pour finir au fond du classement... ou juste dans une file d'attente au supermarché. #MarioKart #CoquilleBleue #Esquive
    Mario Kart World: 8 Clever Ways To Dodge Blue Shells And Keep Your Lead
    kotaku.com
    There is nothing more dreadful in Mario Kart World than losing your lead because of a Spiny Shell, a.k.a. the dreaded Blue Shell. The potential threat of a power-up item that specifically targets the driver in first place ensures you never feel quite
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  • Is the Dog Room the New Luxury Must-Have?

    Every item on this page was chosen by an ELLE Decor editor. We may earn commission on some of the items you choose to buy.When Corey Moriarty moved into a new home in Palm Beach, Florida with his four dogs—Maverick and Bauerand Blue and Titan—he found himself wondering what to do with his spare bedroom: “We had an extra room just sitting there, and instead of turning it into an office or a guest room no one ever uses, we thought, ‘Why not make it a space entirely for them?’”What started as a lark quickly turned delightfully over-the-top. Moriarty outfitted the room with custom bunk beds, a Murphy bed, and a wall lined with glass jars filled with the dogs' favorite snacks. There’s a ball pit, a full TV setup for nightly Bluey viewings, and a closet containing all of their outfits. Moriarty has been documenting the room’s evolution on TikTok, where his latest post racked up more than 24 million views.Corey MoriartyCorey Moriarty’s dogs have their own bonafide bedroom, complete with bunk beds, a TV area, and a treat wall. Pet ownership is booming in the U.S. In 2024, 59.8 million households had dogs, and 42.2 million had cats, according to the American Veterinary Medical Association. And people aren’t just adding pets to their families—they’re investing in them. In 2023, Americans spent more than billion on their pets, per the American Pet Products Association, with an increasing chunk of that going toward pet-focused home upgrades. These aren’t mere afterthoughts—they’re carefully crafted extensions of the home that call for thoughtful planning and, often, the expertise of an interior designer. In fact, the dog room has truly become the newest status symbol.View full post on TiktokA dog room's scale can range from a small nook under the stairs to a full-on suite complete with built-in feeding stations, toy storage, grooming areas, and plush four-poster beds. Some include tiled dog showers, temperature-controlled flooring, and built-in cabinetry. Others have more indulgent luxuries—like a TV with DOGTV, a streaming channel with programming designed specifically for canine attention spans. Think: dogs playing in fields, soothing nature sounds, and friendly humans doing relaxing things with pets. It’s ambient TV, but for your hyper-active schnauzer.For Moriarty, the trend taps into a bigger cultural shift. “There’s a continuing movement toward including pets more fully in people’s lives—as real family members,” he says. “Social media has poured gas on the fire. Everyone’s showing off these amazing pet spaces, and it’s inspiring others to level up.” The result is a growing “barkitecture” trend, where design for pets isn’t an afterthought—it’s part of the floor plan from day one. “We’re in the process of finding or building a more permanent home,” he adds, “and a huge part of that decision is based on what the dogs need—a pool, a yard, a room of their own, space to add a dog wash station.”Ken FulkKen Fulk’s three cream golden retrievers found a home in the curry colored library of his Provincetown home, overlooking the harbor in an antique captain’s daybed. Interior designers are seeing a rise in the trend, too. And some are even participating themselves. Ken Fulk, who shares his Provincetown home with four dogs—three English cream golden retrieversand a wirehaired Dachshund named Wiggy—says one room evolved into their dedicated canine space, though it wasn’t premeditated. “Our often-photographed curry colored library became a de facto nursery,” he says. “Soon, no one would come upstairs with us to bed. They preferred their perch overlooking the harbor in an antique captain’s daybed.”Matt McWaltersKen Fulk’s L.A. shop sells wicker dog beds. And for those not ready to sacrifice a spare room? You don’t have to ditch your home office to make your pets feel like part of the design. Fulk says more clients are requesting pet-focused features, like custom dog beds, built-in food stations, and dog-wash areas in stylish mudrooms. At his new shop in Los Angeles, Fulk even offers wicker dog beds upholstered in outdoor fabric, including his own Designer Dogs print for Pierre Frey, as well as an Air Blue and Indigo Stripe. In a world where dogs are living better than their owners, what's next? "I got some very positive feedback on my idea of our doggy hotel called DEN," Fulk laughs. "It was dreamed up as an April Fool’s joke, but there just might be something there."Rachel SilvaAssociate Digital EditorRachel Silva is the associate digital editor at ELLE DECOR, where she covers all things design, architecture, and lifestyle. She also oversees the publication’s feature article coverage, and is, at any moment, knee-deep in an investigation on everything from the best spa gifts to the best faux florals on the internet right now. She has more than 16 years of experience in editorial, working as a photo assignment editor at Time and acting as the president of Women in Media in NYC. She went to Columbia Journalism School, and her work has been nominated for awards from ASME, the Society of Publication Designers, and World Press Photo. 
    #dog #room #new #luxury #musthave
    Is the Dog Room the New Luxury Must-Have?
    Every item on this page was chosen by an ELLE Decor editor. We may earn commission on some of the items you choose to buy.When Corey Moriarty moved into a new home in Palm Beach, Florida with his four dogs—Maverick and Bauerand Blue and Titan—he found himself wondering what to do with his spare bedroom: “We had an extra room just sitting there, and instead of turning it into an office or a guest room no one ever uses, we thought, ‘Why not make it a space entirely for them?’”What started as a lark quickly turned delightfully over-the-top. Moriarty outfitted the room with custom bunk beds, a Murphy bed, and a wall lined with glass jars filled with the dogs' favorite snacks. There’s a ball pit, a full TV setup for nightly Bluey viewings, and a closet containing all of their outfits. Moriarty has been documenting the room’s evolution on TikTok, where his latest post racked up more than 24 million views.Corey MoriartyCorey Moriarty’s dogs have their own bonafide bedroom, complete with bunk beds, a TV area, and a treat wall. Pet ownership is booming in the U.S. In 2024, 59.8 million households had dogs, and 42.2 million had cats, according to the American Veterinary Medical Association. And people aren’t just adding pets to their families—they’re investing in them. In 2023, Americans spent more than billion on their pets, per the American Pet Products Association, with an increasing chunk of that going toward pet-focused home upgrades. These aren’t mere afterthoughts—they’re carefully crafted extensions of the home that call for thoughtful planning and, often, the expertise of an interior designer. In fact, the dog room has truly become the newest status symbol.View full post on TiktokA dog room's scale can range from a small nook under the stairs to a full-on suite complete with built-in feeding stations, toy storage, grooming areas, and plush four-poster beds. Some include tiled dog showers, temperature-controlled flooring, and built-in cabinetry. Others have more indulgent luxuries—like a TV with DOGTV, a streaming channel with programming designed specifically for canine attention spans. Think: dogs playing in fields, soothing nature sounds, and friendly humans doing relaxing things with pets. It’s ambient TV, but for your hyper-active schnauzer.For Moriarty, the trend taps into a bigger cultural shift. “There’s a continuing movement toward including pets more fully in people’s lives—as real family members,” he says. “Social media has poured gas on the fire. Everyone’s showing off these amazing pet spaces, and it’s inspiring others to level up.” The result is a growing “barkitecture” trend, where design for pets isn’t an afterthought—it’s part of the floor plan from day one. “We’re in the process of finding or building a more permanent home,” he adds, “and a huge part of that decision is based on what the dogs need—a pool, a yard, a room of their own, space to add a dog wash station.”Ken FulkKen Fulk’s three cream golden retrievers found a home in the curry colored library of his Provincetown home, overlooking the harbor in an antique captain’s daybed. Interior designers are seeing a rise in the trend, too. And some are even participating themselves. Ken Fulk, who shares his Provincetown home with four dogs—three English cream golden retrieversand a wirehaired Dachshund named Wiggy—says one room evolved into their dedicated canine space, though it wasn’t premeditated. “Our often-photographed curry colored library became a de facto nursery,” he says. “Soon, no one would come upstairs with us to bed. They preferred their perch overlooking the harbor in an antique captain’s daybed.”Matt McWaltersKen Fulk’s L.A. shop sells wicker dog beds. And for those not ready to sacrifice a spare room? You don’t have to ditch your home office to make your pets feel like part of the design. Fulk says more clients are requesting pet-focused features, like custom dog beds, built-in food stations, and dog-wash areas in stylish mudrooms. At his new shop in Los Angeles, Fulk even offers wicker dog beds upholstered in outdoor fabric, including his own Designer Dogs print for Pierre Frey, as well as an Air Blue and Indigo Stripe. In a world where dogs are living better than their owners, what's next? "I got some very positive feedback on my idea of our doggy hotel called DEN," Fulk laughs. "It was dreamed up as an April Fool’s joke, but there just might be something there."Rachel SilvaAssociate Digital EditorRachel Silva is the associate digital editor at ELLE DECOR, where she covers all things design, architecture, and lifestyle. She also oversees the publication’s feature article coverage, and is, at any moment, knee-deep in an investigation on everything from the best spa gifts to the best faux florals on the internet right now. She has more than 16 years of experience in editorial, working as a photo assignment editor at Time and acting as the president of Women in Media in NYC. She went to Columbia Journalism School, and her work has been nominated for awards from ASME, the Society of Publication Designers, and World Press Photo.  #dog #room #new #luxury #musthave
    Is the Dog Room the New Luxury Must-Have?
    www.elledecor.com
    Every item on this page was chosen by an ELLE Decor editor. We may earn commission on some of the items you choose to buy.When Corey Moriarty moved into a new home in Palm Beach, Florida with his four dogs—Maverick and Bauer (Golden Retrievers) and Blue and Titan (Siberian Huskies)—he found himself wondering what to do with his spare bedroom: “We had an extra room just sitting there, and instead of turning it into an office or a guest room no one ever uses, we thought, ‘Why not make it a space entirely for them?’”What started as a lark quickly turned delightfully over-the-top. Moriarty outfitted the room with custom bunk beds, a Murphy bed, and a wall lined with glass jars filled with the dogs' favorite snacks. There’s a ball pit, a full TV setup for nightly Bluey viewings, and a closet containing all of their outfits. Moriarty has been documenting the room’s evolution on TikTok, where his latest post racked up more than 24 million views.Corey MoriartyCorey Moriarty’s dogs have their own bonafide bedroom, complete with bunk beds, a TV area, and a treat wall. Pet ownership is booming in the U.S. In 2024, 59.8 million households had dogs, and 42.2 million had cats, according to the American Veterinary Medical Association. And people aren’t just adding pets to their families—they’re investing in them. In 2023, Americans spent more than $147 billion on their pets, per the American Pet Products Association, with an increasing chunk of that going toward pet-focused home upgrades. These aren’t mere afterthoughts—they’re carefully crafted extensions of the home that call for thoughtful planning and, often, the expertise of an interior designer. In fact, the dog room has truly become the newest status symbol.View full post on TiktokA dog room's scale can range from a small nook under the stairs to a full-on suite complete with built-in feeding stations, toy storage, grooming areas, and plush four-poster beds. Some include tiled dog showers, temperature-controlled flooring, and built-in cabinetry. Others have more indulgent luxuries—like a TV with DOGTV, a streaming channel with programming designed specifically for canine attention spans. Think: dogs playing in fields, soothing nature sounds, and friendly humans doing relaxing things with pets. It’s ambient TV, but for your hyper-active schnauzer.For Moriarty, the trend taps into a bigger cultural shift. “There’s a continuing movement toward including pets more fully in people’s lives—as real family members,” he says. “Social media has poured gas on the fire. Everyone’s showing off these amazing pet spaces, and it’s inspiring others to level up.” The result is a growing “barkitecture” trend, where design for pets isn’t an afterthought—it’s part of the floor plan from day one. “We’re in the process of finding or building a more permanent home,” he adds, “and a huge part of that decision is based on what the dogs need—a pool, a yard, a room of their own, space to add a dog wash station.”Ken FulkKen Fulk’s three cream golden retrievers found a home in the curry colored library of his Provincetown home, overlooking the harbor in an antique captain’s daybed. Interior designers are seeing a rise in the trend, too. And some are even participating themselves. Ken Fulk, who shares his Provincetown home with four dogs—three English cream golden retrievers (above) and a wirehaired Dachshund named Wiggy—says one room evolved into their dedicated canine space, though it wasn’t premeditated. “Our often-photographed curry colored library became a de facto nursery,” he says. “Soon, no one would come upstairs with us to bed. They preferred their perch overlooking the harbor in an antique captain’s daybed.”Matt McWaltersKen Fulk’s L.A. shop sells wicker dog beds. And for those not ready to sacrifice a spare room? You don’t have to ditch your home office to make your pets feel like part of the design. Fulk says more clients are requesting pet-focused features, like custom dog beds, built-in food stations, and dog-wash areas in stylish mudrooms. At his new shop in Los Angeles, Fulk even offers wicker dog beds upholstered in outdoor fabric, including his own Designer Dogs print for Pierre Frey, as well as an Air Blue and Indigo Stripe. In a world where dogs are living better than their owners, what's next? "I got some very positive feedback on my idea of our doggy hotel called DEN," Fulk laughs. "It was dreamed up as an April Fool’s joke, but there just might be something there."Rachel SilvaAssociate Digital EditorRachel Silva is the associate digital editor at ELLE DECOR, where she covers all things design, architecture, and lifestyle. She also oversees the publication’s feature article coverage, and is, at any moment, knee-deep in an investigation on everything from the best spa gifts to the best faux florals on the internet right now. She has more than 16 years of experience in editorial, working as a photo assignment editor at Time and acting as the president of Women in Media in NYC. She went to Columbia Journalism School, and her work has been nominated for awards from ASME, the Society of Publication Designers, and World Press Photo. 
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  • « Nous avons conçu des machines intelligentes, puis demandé aux médecins d’être encore plus intelligents »

    L’intelligence artificielleest souvent saluée comme la solution aux défis les plus complexes de la médecine moderne. Qu’il s’agisse de prédire des infections chez les prématurés ou de recommander des traitements personnalisés, les outils d’IA promettent plus de précision et d’efficacité. En tant que chercheurs et médecins, nous voyons l’immense potentiel de l’IA. Mais nous constatons aussi un problème croissant : bien que l’IA soit conçue pour alléger la charge des cliniciens, elle pourrait en réalité l’aggraver. Comme nous l’avons souligné en mars dans un article publié dans le JAMA Health Forum, on demande aux médecins d’accomplir l’impossible. L’IA s’introduit dans les hôpitaux à un rythme que les réglementations ne peuvent pas suivre. Les médecins doivent décider – souvent seuls – quand se fier aux recommandations d’un algorithme et quand les rejeter. Et si le résultat est mauvais, ce sont eux qui en portent la responsabilité. Des recherches montrent que le public tend à blâmer davantage les médecins qui suivent une recommandation erronée d’IA que ceux qui suivent un avis humain fautif. Les médecins restent perçus comme les décideurs finaux, même lorsque la technologie échoue. Résultat : on demande aux médecins d’évaluer parfaitement la fiabilité d’outils qu’ils n’ont pas conçus et ne peuvent entièrement comprendre, tout en les tenant seuls responsables du résultat. Lire aussi | Intelligence artificielle et médecine : des promesses et beaucoup de questions Nous appelons cela le « dilemme surhumain du médecin ». La société attend depuis longtemps des médecins qu’ils soient infaillibles et l’IA ne fait qu’amplifier ces attentes. On demande désormais aux médecins d’interpréter instantanément des résultats algorithmiques, en naviguant entre deux risques constants : les faux positifset les faux négatifs. « Boîtes noires » Les voilà ainsi pris dans un double piège. S’ils suivent l’IA et que celle-ci se trompe, ils peuvent être blâmés pour avoir fait confiance à une machine. S’ils la rejettent et qu’un préjudice survient, ils peuvent être blâmés pour l’avoir ignorée. Cela ajoute de la pression, brouille leur jugement et érode la confiance, tant envers la technologie qu’envers eux-mêmes. Il vous reste 60.99% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #nous #avons #conçu #des #machines
    « Nous avons conçu des machines intelligentes, puis demandé aux médecins d’être encore plus intelligents »
    L’intelligence artificielleest souvent saluée comme la solution aux défis les plus complexes de la médecine moderne. Qu’il s’agisse de prédire des infections chez les prématurés ou de recommander des traitements personnalisés, les outils d’IA promettent plus de précision et d’efficacité. En tant que chercheurs et médecins, nous voyons l’immense potentiel de l’IA. Mais nous constatons aussi un problème croissant : bien que l’IA soit conçue pour alléger la charge des cliniciens, elle pourrait en réalité l’aggraver. Comme nous l’avons souligné en mars dans un article publié dans le JAMA Health Forum, on demande aux médecins d’accomplir l’impossible. L’IA s’introduit dans les hôpitaux à un rythme que les réglementations ne peuvent pas suivre. Les médecins doivent décider – souvent seuls – quand se fier aux recommandations d’un algorithme et quand les rejeter. Et si le résultat est mauvais, ce sont eux qui en portent la responsabilité. Des recherches montrent que le public tend à blâmer davantage les médecins qui suivent une recommandation erronée d’IA que ceux qui suivent un avis humain fautif. Les médecins restent perçus comme les décideurs finaux, même lorsque la technologie échoue. Résultat : on demande aux médecins d’évaluer parfaitement la fiabilité d’outils qu’ils n’ont pas conçus et ne peuvent entièrement comprendre, tout en les tenant seuls responsables du résultat. Lire aussi | Intelligence artificielle et médecine : des promesses et beaucoup de questions Nous appelons cela le « dilemme surhumain du médecin ». La société attend depuis longtemps des médecins qu’ils soient infaillibles et l’IA ne fait qu’amplifier ces attentes. On demande désormais aux médecins d’interpréter instantanément des résultats algorithmiques, en naviguant entre deux risques constants : les faux positifset les faux négatifs. « Boîtes noires » Les voilà ainsi pris dans un double piège. S’ils suivent l’IA et que celle-ci se trompe, ils peuvent être blâmés pour avoir fait confiance à une machine. S’ils la rejettent et qu’un préjudice survient, ils peuvent être blâmés pour l’avoir ignorée. Cela ajoute de la pression, brouille leur jugement et érode la confiance, tant envers la technologie qu’envers eux-mêmes. Il vous reste 60.99% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #nous #avons #conçu #des #machines
    « Nous avons conçu des machines intelligentes, puis demandé aux médecins d’être encore plus intelligents »
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    L’intelligence artificielle (IA) est souvent saluée comme la solution aux défis les plus complexes de la médecine moderne. Qu’il s’agisse de prédire des infections chez les prématurés ou de recommander des traitements personnalisés, les outils d’IA promettent plus de précision et d’efficacité. En tant que chercheurs et médecins, nous voyons l’immense potentiel de l’IA. Mais nous constatons aussi un problème croissant : bien que l’IA soit conçue pour alléger la charge des cliniciens, elle pourrait en réalité l’aggraver. Comme nous l’avons souligné en mars dans un article publié dans le JAMA Health Forum, on demande aux médecins d’accomplir l’impossible. L’IA s’introduit dans les hôpitaux à un rythme que les réglementations ne peuvent pas suivre. Les médecins doivent décider – souvent seuls – quand se fier aux recommandations d’un algorithme et quand les rejeter. Et si le résultat est mauvais, ce sont eux qui en portent la responsabilité. Des recherches montrent que le public tend à blâmer davantage les médecins qui suivent une recommandation erronée d’IA que ceux qui suivent un avis humain fautif. Les médecins restent perçus comme les décideurs finaux, même lorsque la technologie échoue. Résultat : on demande aux médecins d’évaluer parfaitement la fiabilité d’outils qu’ils n’ont pas conçus et ne peuvent entièrement comprendre, tout en les tenant seuls responsables du résultat. Lire aussi | Intelligence artificielle et médecine : des promesses et beaucoup de questions Nous appelons cela le « dilemme surhumain du médecin ». La société attend depuis longtemps des médecins qu’ils soient infaillibles et l’IA ne fait qu’amplifier ces attentes. On demande désormais aux médecins d’interpréter instantanément des résultats algorithmiques, en naviguant entre deux risques constants : les faux positifs (faire confiance à une IA défectueuse) et les faux négatifs (rejeter une IA fiable). « Boîtes noires » Les voilà ainsi pris dans un double piège. S’ils suivent l’IA et que celle-ci se trompe, ils peuvent être blâmés pour avoir fait confiance à une machine. S’ils la rejettent et qu’un préjudice survient, ils peuvent être blâmés pour l’avoir ignorée. Cela ajoute de la pression, brouille leur jugement et érode la confiance, tant envers la technologie qu’envers eux-mêmes. Il vous reste 60.99% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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