Il est absolument scandaleux de voir comment la société actuelle traite des figures emblématiques comme Sœur Corita Kent, la religieuse Pop Art, sans même prendre le temps d’apprécier la profondeur de son engagement artistique et social. Il est temps d’arrêter de réduire son travail à un simple phénomène de mode ou à une simple curiosité historique ! Sœur Corita Kent n’était pas qu'une graphiste engagée, elle était une pionnière du Pop Art qui a su utiliser son art comme un cri de révolte contre l’injustice et l’inégalité. Comment peut-on encore ignorer l’impact colossal qu’elle a eu sur l’art contemporain ? On se retrouve dans une époque où l’art est souvent superficiel, où les véritables artistes sont éclipsés par des influenceurs sans substance qui ne cherchent qu’à vendre une image. C’est une honte ! Sœur Corita Kent, avec ses œuvres vibrantes et engagées, a voulu éveiller les consciences et a osé aborder des sujets délicats tels que la guerre, la pauvreté et la paix. Pourtant, trop de gens continuent de la regarder comme une simple religieuse avec un pinceau, sans voir la force de sa voix et la puissance de son message. Il est également désolant de constater que, dans un monde saturé par le contenu numérique, on oublie facilement de mettre en avant des artistes qui méritent d’être célébrés. Au lieu de cela, on glorifie des créations éphémères qui n’ont rien à dire. La culture Pop Art mérite d’être explorée en profondeur, et Sœur Corita Kent est un exemple parfait de cette exploration. Son travail ne devrait pas être relégué à un simple article de blog, mais au cœur de discussions sur l’évolution de l’art et de la société. Il est urgent de rouvrir les yeux sur le rôle que joue l’art engagé dans nos vies. Sœur Corita Kent nous appelle à réfléchir, à agir et à nous interroger sur la direction que prend notre société. Pourquoi continuons-nous à célébrer une culture de l’image pour l’image, en ignorant des voix comme la sienne ? C’est une véritable trahison envers l’art et l’humanité. Nous devons nous battre pour que son héritage ne soit pas oublié. Que ce soit à travers des expositions, des conférences ou des discussions en ligne, il est impératif de remettre Sœur Corita Kent là où elle mérite d’être : au sommet du Panthéon des artistes engagés. La prochaine fois que vous tombez sur une œuvre de Sœur Corita Kent, prenez un moment pour réfléchir à son message, et plutôt que de passer à autre chose, engagez-vous à faire entendre sa voix. Il est temps de revendiquer un retour à des valeurs authentiques dans l’art. Sœur Corita Kent est une figure incontournable et son héritage mérite d’être préservé et célébré. Arrêtons de nous contenter de peu et de vivre dans l’ignorance ! #SœurCoritaKent #PopArt #ArtEngagé #JusticeSociale #Culture

Non posso credere che nel 2023 ci sia ancora gente che si illude di poter "restaurare" l'amore per il design della stampa. Questo articolo, intitolato "Questo straordinario giornale ha ripristinato la mia storia d'amore con il design della stampa", è l'ennesimo tentativo stravagante di glorificare un formato che, in realtà, è obsoleto e superato. È ridicolo! La stampa è morta e sepolta, e chiunque pretenda il contrario sta vivendo in un’illusione. Il concetto che la Newspaper Club possa riportarci al "piacere semplice del design tattile" è una presa in giro. Seriamente? Tattile? Ma parliamo di un formato che si sfoglia, si strappa e si deteriora. Siamo nel 2023! Viviamo in un'era digitale in cui l'informazione è accessibile in un istante, eppure ci sono ancora persone che si crogiolano nei ricordi di una carta che ingiallisce e diventa polvere. La verità è che la nostalgia non giustifica la sofferenza di un design antiquato e poco pratico. E poi, cos'è questa storia di ritrovare l'amore per il design della stampa? Se pensi che il design di un giornale cartaceo possa competere con la fluidità, l'interattività e la bellezza del digitale, sei completamente fuori strada. La stampa non può e non deve essere romanticizzata. È frustrante vedere come gli sforzi per riportare in auge un formato superato vengano accolti con entusiasmo da chi non riesce a vedere oltre il proprio naso. Cos'è, il desiderio di tornare indietro nel tempo? È una follia! In un momento in cui il mondo si sta muovendo verso la sostenibilità e la riduzione dei rifiuti, promuovere la stampa è un colpo basso all'ambiente. Ogni pagina stampata è un albero abbattuto, ogni giornale è un passo indietro nella lotta contro il cambiamento climatico. Eppure, ci sono ancora individui che applaudono a queste "innovazioni" come se fossero qualcosa di rivoluzionario. Se la Newspaper Club vuole davvero restituirci un amore perduto, dovrebbe concentrarsi su come utilizzare le tecnologie moderne per rendere il design della comunicazione più sostenibile e accessibile, non su come riprodurre un'era che dovrebbe rimanere nel passato. Non possiamo più permetterci di affidarci a mezzi di comunicazione datati e inefficaci. È tempo di smettere di glorificare il passato e di abbracciare il futuro. La stampa non è mai stata l'unica forma di design e non dovrebbe essere presentata come una panacea per i nostri problemi di comunicazione odierni. Dobbiamo essere critici e non accontentarci di facili nostalgie. È ora di alzare la voce contro questa assurdità! #DesignModerno #ControLaStampa #Sostenibilità #FuturoDigitale #NostalgiaFolle

La soledad es un abismo profundo, y hoy me encuentro atrapado en sus sombras. Durante tres semanas, me he dejado llevar por la esperanza de que el Wacom Intuos Pro (2025) pudiera ser la luz que necesitaba, una forma de expresar todo lo que siento, de conectar con algo, aunque sea digitalmente. Pero, a pesar de las grandes características que promete, hay una parte de mí que se siente incompleta, como si cada trazo que intento dibujar se perdiera en el aire, como mis pensamientos que nunca encuentran el camino para salir. He esperado con ansias este momento, imaginando que este pequeño tablet de dibujo sería mi salvación, mi voz en un mundo que a menudo silencia mis emociones. Sin embargo, a medida que los días pasan, me doy cuenta de que la soledad puede acompañar a las mejores herramientas. Las funcionalidades del Wacom Intuos Pro son impresionantes, pero ¿de qué sirve si mi corazón está vacío? Cada línea que dibujo parece un eco de mi tristeza, un recordatorio de lo que falta en mi vida. El contacto con el lápiz y la superficie de la tableta debería ser un momento de conexión, pero en lugar de eso, me encuentro atrapado en un ciclo de anhelo. Las grandes características escondidas en este pequeño dispositivo son impresionantes, pero no pueden llenar el vacío que siento dentro de mí. Así, cada día, me sumerjo más en esta lucha interna, tratando de encontrar un sentido en lo que hago, tratando de dejar que la creatividad fluya como un río, pero sin poder evitar que la corriente se detenga en las piedras de mi melancolía. Es doloroso observar cómo el arte puede ser un refugio, y al mismo tiempo, una cárcel. La belleza que puedo crear no mitiga el dolor de la soledad. Cada trazo se convierte en un lamento, cada color en un suspiro ahogado. Intento encontrar consuelo en la tecnología, en la promesa de un mundo lleno de posibilidades, pero la realidad siempre vuelve a golpearme con su fría indiferencia. Quizás un día, el Wacom Intuos Pro (2025) será más que un simple objeto en mi escritorio. Tal vez, con el tiempo, pueda encontrar en él un compañero en mis momentos de soledad. Pero hoy, la tristeza se siente como una compañera omnipresente, y el arte que debería liberarme, a veces, se convierte en un recordatorio de lo que me falta. #Soledad #Arte #WacomIntuosPro #Tristeza #Creatividad

La bibliothèque ZenShaders est en fait une collection qui s'agrandit lentement. Elle propose des matériaux, des outils, des textures et des pinceaux. Tout cela est censé rendre votre flux de travail un peu plus rapide quand vous êtes en train de texturer, dessiner ou sculpter. Dans cette première mise à jour, il y a 120 matériaux stylisés, 50 décalcomanies et 50 textures grunge. Dommage, ça ne fait pas vraiment vibrer, mais bon, pour ceux qui utilisent Blender ou Substance Painter, ça pourrait aider un peu. Il y a aussi des cartes de textures incluses si jamais vous avez envie de les utiliser dans d'autres programmes. Franchement, on est loin de l'excitation. C'est juste une autre bibliothèque parmi tant d'autres. Qui sait, peut-être qu'un jour, ça deviendra vraiment utile. Pour l'instant, ça reste un peu plat. Si vous cherchez à remplir votre collection sans trop d'enthousiasme, pourquoi pas jeter un œil. Mais encore une fois, n'attendez pas de miracles. #ZenShaders #Textures #Blender #SubstancePainter #Art

renkler, tasarım, moda, iç mekan, trend tahminleri, 2025, influencerlar 2025 yılına adım attık ve şıklığın, zarafetin ve tabii ki renklerin yılı olacak mı? Her yıl olduğu gibi, tasarım markaları ve influencerlar, bu yılın en "sıcak" renklerini tahmin etmek için kıyasıya bir yarışa girdi. Peki, gerçekten bu renkler sıcak mı, yoksa sadece Instagram'da beğeni toplamak için mi parıldıyorlar? ## Renklerin Sıcaklığı Her yıl, renk paletinin en önünde yer almak için tasarımcılar ve influencerlar aras...

Je suis tombé sur un atelier intitulé "Taller: El nombre de las cosas", animé par Fernando Beltrán. Cela parle de nommer des choses, ce qui semble être un sujet... intéressant, je suppose. Enfin, c'est ce que le texte dit. Apparemment, mettre un nom sur quelque chose, c'est plus que juste le baptiser. Ça a l'air un peu profond, trouver "son âme" et tout ça. On nous promet d'apprendre à créer des noms qui, peut-être, émouvraient un peu ou resteraient dans la mémoire. C'est fascinant, non? Mais je ne sais pas, cela semble un peu trop conceptuel pour moi. Je veux dire, qui a vraiment le temps de penser à l'identité d'un nom? Fernando Beltrán est décrit comme un poète et un "nommeur" influent. C'est bien pour lui, mais je me demande si ça va vraiment valoir le coup d'y aller. J'imagine que ça pourrait être une distraction, un moyen de passer le temps, mais bon, ça reste un atelier. En gros, c'est un moment où vous pourriez écouter quelqu'un parler de la beauté des noms, mais je ne suis pas sûr que cela va vraiment changer ma vie. Peut-être que je m'y rendrai juste pour voir ce qui se passe. Ou peut-être que je resterai dans mon coin à ne rien faire. Qui sait ? Voilà, c'était juste quelques pensées sur cet atelier. Pas sûr d'être vraiment motivé, mais bon. #Taller #FernandoBeltrán #NommerLesChoses #Poésie #Atelier

✨ Salut à tous, mes amis passionnés de technologie et d'innovation ! 🌟 Aujourd'hui, je suis tellement ravi de partager avec vous un projet incroyable qui va révolutionner la façon dont nous fabriquons des moteurs à courant continu sans balais (BLDC). C'est un vrai coup de génie de la part de notre ami Yuchi sur sa chaîne YouTube ! 🎥 Imaginez un monde où le processus de bobinage des moteurs BLDC, qui était autrefois très laborieux et exigeant, devient facile et accessible grâce à une machine de bobinage automatisée ! 🚀 Oui, vous avez bien entendu ! Yuchi est en train de construire une machine de bobinage pour moteurs BLDC utilisant la technologie STM32, et c'est tout simplement fascinant ! 🛠️💡 Cette machine n'est pas seulement un outil ; elle représente une avancée majeure pour tous ceux d'entre nous qui rêvent de créer des projets à base de moteurs sans balais. Les moteurs BLDC sont déjà utilisés dans tant d'applications modernes, de l'électronique grand public aux véhicules électriques. Grâce à cette innovation, la création de moteurs devient plus rapide, plus efficace et surtout, moins fatigante ! 🌈 Ce que j'adore dans ce projet, c'est qu'il montre à quel point la technologie peut être un véritable catalyseur de changement. 🌍✨ Nous vivons à une époque où l'ingéniosité humaine peut transformer des tâches ardues en processus fluides et amusants. Yuchi nous rappelle que, même dans les défis techniques, il y a toujours une solution créative qui nous attend ! Je vous encourage tous à suivre ce projet passionnant et à vous inspirer de cette transformation. N'oublions jamais que chaque invention commence par une idée, un rêve et un peu de courage ! 💪💖 Que vous soyez un bricoleur passionné ou simplement curieux de découvertes, ce projet peut nous inspirer à aller de l'avant et à rêver encore plus grand ! Alors, prenez un moment pour regarder les vidéos de Yuchi et laissez-vous inspirer par sa passion et son dévouement. Qui sait ? Peut-être que vous serez le prochain à créer quelque chose qui changera le monde ! 🌟✨ Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos idées et la magie de la technologie ! Ensemble, nous pouvons réaliser des choses incroyables ! 🌈💫 #InnovationTechnologique #MoteursBLDC #Inspiration #Créativité #Ingéniosité

Zuzana Licko, a name that should be celebrated as a pioneer of digital typography, is instead a glaring reminder of how the past can be romanticized to the point of absurdity. Yes, she designed some of the first digital typefaces for Macintosh in the '80s and co-founded Emigre, but let’s not pretend that her contributions were flawless or that they didn’t come with a slew of problems that we still grapple with today. First off, we need to address the elephant in the room: the overwhelming elitism in the world of typography that Licko and her contemporaries helped propagate. While they were crafting their innovative typefaces, they were simultaneously alienating a whole generation of designers who lacked access to the tech and knowledge required to engage with this new digital frontier. The so-called "pioneers" of digital typography, including Licko, set a precedent that continues to dominate the industry—making it seem like you need to have an elite background to even participate in typography discussions. This is infuriating and downright unacceptable! Moreover, let’s not gloss over the fact that while she was busy creating typefaces that were supposed to revolutionize our digital experiences, the actual usability of these fonts often left much to be desired. Many of Licko's creations, while visually striking, ultimately sacrificed legibility for the sake of artistic expression. This is a major flaw in her work that deserves criticism. Typography is not just about looking pretty; it’s about ensuring that communication is clear and effective! How many times have we seen products fail because the font was so pretentious that no one could read it? And don’t even get me started on Emigre magazine. Sure, it showcased some brilliant work, but it also became a breeding ground for snobbery and elitism in the design community. Instead of fostering a space for all voices, it often felt like a closed club for the privileged few. This is not what design should be about! We need to embrace diversity and inclusivity, rather than gatekeeping knowledge and opportunity. In an era where technology has advanced exponentially, we still see remnants of this elitist mindset in the design world. The influence of Licko and her contemporaries has led to a culture that often sidelines emerging talents who bring different perspectives to the table. Instead of uplifting new voices, we are still trapped in a loop of revering the same old figures and narratives. This is not progress; it’s stagnation! Let’s stop romanticizing pioneers like Zuzana Licko without acknowledging the problematic aspects of their legacies. We need to have critical conversations about how their work has shaped the industry, not just celebrate them blindly. If we truly want to honor their contributions, we must also confront the issues they created and work towards a more inclusive, accessible, and practical approach to digital typography. #Typography #DesignCritique #ZuzanaLicko #DigitalArt #InclusivityInDesign

Le dernier démo technique de The Witcher 4 met en lumière les capacités du monde ouvert du moteur Unreal Engine 5.6. Ça a l'air impressionnant, je suppose. La nouvelle version de ce moteur populaire intègre aussi des fonctionnalités d'animation et de rigging plus puissantes. C'est bien, mais bon, qui s'en préoccupe vraiment ? On parle souvent de la beauté des mondes ouverts dans les jeux vidéo, mais au fond, on s'ennuie un peu à voir toujours les mêmes choses. Les graphismes sont beaux, les animations sont fluides, mais qu'est-ce que ça change vraiment pour le joueur ? On va encore parcourir des paysages vides en quête de quêtes répétitives. C'est un peu lassant, non ? Les nouvelles fonctionnalités d'animation et de rigging semblent prometteuses. Peut-être qu'elles apporteront un peu de fraîcheur au gameplay. Mais encore une fois, est-ce que ça va réellement changer notre expérience de jeu ? J'en doute. On attend des choses nouvelles, mais souvent, on se retrouve avec des promesses et peu de surprises. En gros, il semble que le démo technique soit là pour impressionner, mais au final, on reste un peu sur notre faim. Les jeux vidéo évoluent, mais le plaisir de jouer semble parfois stagner. Peut-être que je suis juste fatigué de tout ça. Allez, encore une mise à jour sur un moteur de jeu qui changera peut-être tout… ou pas. Qui sait ? #TheWitcher4 #UnrealEngine #JeuxVidéo #Animation #MondeOuvert

In a world where creativity reigns supreme, Adobe has just gifted us with a shiny new toy: the Firefly Boards. Yes, folks, it’s the collaborative moodboarding app that has emerged from beta, as if it were a butterfly finally breaking free from its cocoon—or maybe just a slightly confused caterpillar trying to figure out what it wants to be. Now, why should creative agencies care about this groundbreaking development? Well, because who wouldn’t want to spend hours staring at a digital canvas filled with pretty pictures and random color palettes? Firefly Boards promises to revolutionize the way we moodboard, or as I like to call it, "pretending to be productive while scrolling through Pinterest." Imagine this: your team, huddled around a computer, desperately trying to agree on the shade of blue that will represent their brand. A task that could take days of heated debate is now streamlined into a digital playground where everyone can throw their ideas onto a board like a toddler at a paint store. But let's be real. Isn’t this just a fancy way of saying, “Let’s all agree on this one aesthetic and ignore all our differences”? Creativity is all about chaos, and yet, here we are, trying to tidy up the mess with collaborative moodboarding apps. What’s next? A group hug to decide on the font size? Of course, Adobe knows that creative agencies have an insatiable thirst for shiny features. They’ve marketed Firefly Boards as a ‘collaborative’ tool, but let’s face it—most of us are just trying to find an excuse to use the 'fire' emoji in a professional setting. It’s as if they’re saying, “Trust us, this will make your life easier!” while we silently nod, hoping that it won’t eventually lead to a 10-hour Zoom call discussing the merits of various shades of beige. And let’s not forget the inevitable influx of social media posts proclaiming, “Check out our latest Firefly Board!” — because nothing says ‘creative genius’ quite like a screenshot of a digital board filled with stock images and overused motivational quotes. Can’t wait to see how many ‘likes’ that garners! So, dear creative agencies, while you’re busy diving into the wonders of Adobe Firefly Boards, remember to take a moment to appreciate the irony. You’re now collaborating on moodboards, yet it feels like we’ve all just agreed to put our creative souls on a digital leash. But hey, at least you’ll have a fun platform to pretend you’re being innovative while you argue about which filter to use on your next Instagram post. #AdobeFirefly #Moodboarding #CreativeAgencies #DigitalCreativity #DesignHumor