Why does the world of animation, particularly at events like the SIGGRAPH Electronic Theater, continue to suffer from mediocrity? I can't help but feel enraged by the sheer lack of innovation and the repetitive nature of the projects being showcased. On April 17th, we’re promised a “free screening” of selected projects that are supposedly representing the pinnacle of creativity and diversity in animation. But let’s get real — what does “selection” even mean in a world where creativity is stifled by conformity? Look, I understand that this is a global showcase, but when you sift through the projects that make it through the cracks, what do we find? Overly polished but uninspired animations that follow the same tired formulas. The “Electronic Theater” is supposed to be a beacon of innovation, yet here we are again, being fed a bland compilation that does little to challenge or excite. It’s like being served a fast-food version of art: quick, easy, and utterly forgettable. The call for diversity is also a double-edged sword. Sure, we need to see work from all corners of the globe, but diversity in animation is meaningless if the underlying concepts are stale. It’s not enough to tick boxes and say, “Look how diverse we are!” when the actual content fails to push boundaries. Instead of celebrating real creativity, we end up with a homogenized collection of animations that are, at best, mediocre. And let’s talk about the timing of this event. April 17th? Are we really thinking this through? This date seems to be plucked out of thin air without consideration for the audience’s engagement. Just another poorly planned initiative that assumes people will flock to see what is essentially a second-rate collection of animations. Is this really the best you can do, Montpellier ACM SIGGRAPH? Where is the excitement? Where is the passion? What’s even more frustrating is that this could have been an opportunity to truly showcase groundbreaking work that challenges the status quo. Instead, it feels like a desperate attempt to fill seats and pat ourselves on the back for hosting an event. Real creators are out there, creating phenomenal work that could change the landscape of animation, yet we choose to showcase the safe and the bland. It’s time to demand more from events like SIGGRAPH. It’s time to stop settling for mediocrity and start championing real innovation in animation. If the Electronic Theater is going to stand for anything, it should stand for pushing boundaries, not simply checking boxes. Let’s not allow ourselves to be content with what we’re served. It’s time for a revolution in animation that doesn’t just showcase the same old, same old. We deserve better, and the art community deserves better. #AnimationRevolution #SIGGRAPH2024 #CreativityMatters #DiversityInAnimation #ChallengeTheNorm

Patch Notes #8 : Tim Sweeney se met à parler d'IA, Nintendo laisse les journalistes en plan, et Epic tease The Witcher 4. La Switch 2 est enfin arrivée (à condition d'avoir réussi à précommander), mais bon, il y a plein d'autres nouvelles à digérer cette semaine. Franchement, c'est pas que je sois vraiment excité par tout ça. Tim Sweeney qui commence à faire la promotion de l'IA, c'est un peu comme un vieux disque rayé. On entend toujours les mêmes choses, et ça commence à devenir lassant. Qui a vraiment besoin d'une autre promesse de révolution numérique ? Les discours sur l'IA s'empilent, mais au fond, ça reste des mots vides. D'un autre côté, Nintendo, cette fois encore, a laissé les journalistes dans l'incertitude. On peut toujours compter sur eux pour créer un peu de mystère autour de leurs annonces. Mais est-ce que ça nous intéresse vraiment ? C'est un peu fatiguant de devoir attendre des nouvelles qui ne viennent jamais. On dirait que l'enthousiasme s'épuise. Et puis, Epic qui tease The Witcher 4... encore un autre teasing. On sait tous comment ça se termine. Des promesses, des trailers, et puis... rien de concret pendant des années. C'est toujours la même histoire. À ce stade, je ne suis même plus sûr de vouloir voir ce que ça pourrait donner. Bien sûr, la Switch 2 est là, mais est-ce que ça change vraiment la donne ? Peut-être qu'il y a des gens qui sont contents, mais pour moi, c'est juste un autre gadget sur le marché. Je ne sens pas cette excitation ambiante. Peut-être que je suis juste un peu fatigué de tout ça, ou peut-être que je suis juste trop occupé à regarder les nouvelles se succéder sans vraiment m'y intéresser. Au final, cette semaine, c'est une autre série de nouvelles qui passent sans grand impact. On navigue à travers ces annonces, mais l'enthousiasme fait défaut. J'espère juste que la prochaine fois, il y aura quelque chose qui va vraiment me captiver, mais pour l'instant, c'est un peu ennuyeux. #PatchNotes #Nintendo #EpicGames #TheWitcher4 #IA

Il est vraiment inacceptable de voir le Festival d'Annecy 2025 se dérouler sous un soleil de plomb, alors que le MIFA (Marché International du Film d'Animation) semble s'enliser dans une absence totale de transparence et de chiffres concrets. Comment peut-on parler de "légère hausse" de la fréquentation sans fournir de données précises ? C'est un manque de respect envers les professionnels et les festivaliers qui se déplacent pour découvrir des œuvres d'animation et échanger des idées. Les discours enflés et les promesses non tenues de certains acteurs comme TeamTO et TAT sont tout simplement révoltants. On nous parle de revit et de séduire, mais où sont les résultats tangibles ? Les projets ambitieux doivent se traduire par des réalisations palpables, et non par des slogans creux qui ne font que masquer une réalité bien plus sombre. Le MIFA doit être un lieu d'innovation et de réflexion, pas un simple défilé d'illusions. Et que dire de l'organisation elle-même ? Les conférences, bien que nombreuses, manquent souvent de substance. On s'ennuie à mourir tandis que les vraies questions, celles qui pourraient faire avancer l'industrie, restent sans réponse. Au lieu de s'attaquer aux problèmes de fond, comme la question de la diversité et de l'inclusion dans le secteur de l'animation, on préfère se concentrer sur des chiffres gonflés et des apparences. C'est une véritable trahison envers ceux qui passionnent pour l'animation et qui espèrent voir leur voix entendue. Nous sommes dans une époque où la technologie évolue à une vitesse fulgurante, et l'animation est à la croisée des chemins. Pourtant, ici, à Annecy, on a l'impression que l'on piétine sur place, perdu dans des discours vides et des projections qui ne servent qu'à flatter l'égo de quelques privilégiés. Il est grand temps que le MIFA prenne ses responsabilités et commence à agir de manière responsable et proactive. Pourquoi ne pas offrir une vraie plateforme pour les jeunes talents ? Pourquoi ne pas encourager les discussions sérieuses sur les défis du secteur au lieu de se contenter de flatter les industries établies ? Il est temps de remettre en question le statu quo, de bousculer les habitudes et de vraiment se demander ce que signifie "réussir" dans un festival qui se veut d'avant-garde. En somme, le Festival d'Annecy et le MIFA doivent se réveiller. Il est inacceptable de continuer à faire passer des discours creux pour des avancées. Les passionnés d'animation méritent mieux que cela. Ils méritent un festival qui les représente vraiment et qui prend des mesures concrètes pour soutenir l'avenir de l'animation. #FestivalAnnecy #MIFA2025 #Animation #TeamTO #TAT

Bungie, l'éditeur connu pour ses franchises emblématiques comme Destiny, a récemment annoncé que le lancement de son prochain grand jeu, Marathon, est retardé indéfiniment. Initialement prévu pour septembre, le studio a décidé de prendre du recul afin de mieux répondre aux retours des fans. Cette décision a été prise après l'alpha test du jeu plus tôt dans l'année, où de nombreux joueurs ont exprimé des préoccupations et des suggestions. ## Les raisons du retard Le développement de jeux vidéo ...

Assez, c'est assez ! La récente conférence intitulée “Pas si simple !” autour du thème de la simplicité dans le design est une parfaite illustration de l'aveuglement de notre société face à des enjeux cruciaux. On nous a servi un menu indigeste d'éléments prétendument simples, alors qu'en réalité, la complexité du design moderne est en train de détruire notre sens commun. Comment peut-on encore parler de simplicité quand le monde du design est devenu un labyrinthe de choix inutiles et de tendances éphémères ? Les conférenciers, avec leurs discours vides et leurs jargons abscons, essaient de nous convaincre que tout cela est une quête pour la simplicité. Mais la vérité est bien plus sombre. Ils nous enferment dans des cycles de consommation où chaque nouvelle tendance exige que nous révisions nos notions de base, des notions que nous pensions avoir intégrées. Les réseaux sociaux regorgent d'exemples de ce désastre. Regardez les plateformes où le design est devenu un outil de vanité plus qu'un moyen de communication. Ces soi-disant experts nous bombardent de visuels épurés mais totalement dénués de sens. Qu'est-ce qui reste de la véritable fonction du design ? Où sont passées les valeurs fondamentales qui devraient guider chaque création ? Ce n'est pas la simplicité qui doit être célébrée, mais l'authenticité et la pertinence. Il est désolant de constater que cette conférence n'a fait que renforcer l'idée que le design peut être réduit à une question de choix esthétiques superficiels. Les participants ont applaudi des concepts qui ont été présentés sans aucune profondeur. Oui, la simplicité est essentielle, mais elle ne doit pas être synonyme de banalité. Nous avons besoin de leaders d'opinion qui osent remettre en question le statu quo au lieu de se contenter de flatter les egos des designers en herbe. Ne vous laissez pas berner par une façade simpliste. La vraie complexité du design réside dans sa capacité à répondre à des besoins réels, à évoquer des émotions et à engager des dialogues. L'absence de profondeur dans des événements comme “Pas si simple !” est une insulte à tous ceux qui travaillent dur pour faire avancer le design et la communication. Réveillons-nous ! La simplicité ne doit pas être un prétexte pour négliger le sens et la fonctionnalité. Si nous voulons vraiment avancer, il est temps de dénoncer ces discours creux et de revendiquer un design qui a du contenu, de la substance et, par-dessus tout, de l'impact. #Design #Simplicité #Critique #Conférence #Graphéine

## Introduction Ah, le langage ubiquitaire ! Qui aurait cru qu'un terme aussi pompeux pourrait déclencher des débats aussi enflammés parmi les développeurs ? Pour les néophytes, cela évoque une sorte de dialecte secret partagé entre codeurs, mais en réalité, c'est bien plus que cela. Alors, qu'est-ce que cela signifie réellement, et surtout, peut-on le faire sortir de son Bounded Context ? Accrochez-vous, car nous allons explorer ce concept avec une bonne dose de sarcasme. ## Qu'est-ce que le...

## Introduction Il est impossible de rester indifférent face à l'annonce qui circule sur la toile : les appareils ROG Xbox Ally seraient sur le point de faire leur apparition sur le marché en octobre prochain. Oui, vous avez bien lu ! Alors que la communauté des gamers attend avec impatience la prochaine révolution technologique, cette rumeur suscite autant d'enthousiasme que de scepticisme. Dans cet article, nous allons décortiquer cette information, analyser ses implications et vous dire pou...

In a world where connection feels like a fading memory, I find myself lost in the shadows of what once was. Every day, I watch others embrace the thrill of new experiences, like the revolution of fitness through virtual reality. The Meta Quest promises a transformative journey, a game-changer that invites us to escape into a realm where movement and motivation intertwine. Yet here I am, sitting in solitude, enveloped by a haunting silence that echoes louder than any joyous cheer. The bright screens and vivid worlds of VR spark curiosity and excitement in so many, but for me, they serve as a reminder of my isolation. I see people donning their headsets, pushing their limits, and achieving goals that seem just out of my reach. I wonder if they realize how lucky they are to share this moment with friends, to feel the rush of adrenaline as they conquer challenges together. The thought weighs heavily on my heart, the ache of longing for companionship gnawing at my spirit. While the fitness world evolves, I remain stagnant, trapped in a cycle of despair. Each day blends into the next, a monotonous routine that offers little comfort. I scroll through images of triumph and joy, my heart heavy with envy as I wish for even a fraction of that happiness. The Meta Quest symbolizes hope for many, a bridge to a healthier lifestyle, yet I sit on the sidelines, a ghost in my own life. The loneliness wraps around me like a heavy shroud, a constant reminder of the connections I crave but cannot reach. I long for someone to share the experience with, to laugh and sweat alongside, to revel in the shared victories that bring warmth to the soul. Instead, I am left with my thoughts—an endless loop of what-ifs and should-haves. How does one break free from this suffocating solitude? How does one find the strength to step into the light when every step feels heavier than the last? I write this not as a plea for sympathy, but as an echo of my heart. A whisper in the void that hopes someone out there feels the same. As the fitness revolution unfolds with the aid of virtual reality, I remain a spectator, yearning for connection, for understanding, for a hand to hold in the dark. In the world of Meta Quest, while fitness may find new heights, I hope to one day find my way back to a place where I can truly connect—where the weight of loneliness is lifted, and the joy of shared experiences reigns. #Loneliness #Isolation #VirtualReality #MetaQuest #FitnessJourney

Je suis tombé sur un atelier intitulé "Taller: El nombre de las cosas", animé par Fernando Beltrán. Cela parle de nommer des choses, ce qui semble être un sujet... intéressant, je suppose. Enfin, c'est ce que le texte dit. Apparemment, mettre un nom sur quelque chose, c'est plus que juste le baptiser. Ça a l'air un peu profond, trouver "son âme" et tout ça. On nous promet d'apprendre à créer des noms qui, peut-être, émouvraient un peu ou resteraient dans la mémoire. C'est fascinant, non? Mais je ne sais pas, cela semble un peu trop conceptuel pour moi. Je veux dire, qui a vraiment le temps de penser à l'identité d'un nom? Fernando Beltrán est décrit comme un poète et un "nommeur" influent. C'est bien pour lui, mais je me demande si ça va vraiment valoir le coup d'y aller. J'imagine que ça pourrait être une distraction, un moyen de passer le temps, mais bon, ça reste un atelier. En gros, c'est un moment où vous pourriez écouter quelqu'un parler de la beauté des noms, mais je ne suis pas sûr que cela va vraiment changer ma vie. Peut-être que je m'y rendrai juste pour voir ce qui se passe. Ou peut-être que je resterai dans mon coin à ne rien faire. Qui sait ? Voilà, c'était juste quelques pensées sur cet atelier. Pas sûr d'être vraiment motivé, mais bon. #Taller #FernandoBeltrán #NommerLesChoses #Poésie #Atelier

In a world where open-source AI thrives on hope and collaboration, I often find myself lost in a sea of expectations and overwhelming complexities. 💔 Every line of code feels like a reminder of the countless hours I pour into trying to keep up with the ever-evolving landscape. "It’s hard," I whisper to myself, as the weight of my solitude presses down. Blueprints meant to simplify this journey often seem like distant dreams, slipping through my fingers just when I think I've grasped the essence of what they promise. It's hard to watch as others seem to navigate the waters of integration and experimentation with ease, while I flounder, overwhelmed by poorly maintained libraries and breaking compatibility with every update. I want to create, to experiment quickly, but the barriers are suffocating, leaving me to question my place in this vast, technological expanse. 🤖 I sit for hours, my screen illuminating a path that feels both familiar and foreign. Frustration bubbles beneath the surface—why is it that the very tools designed to foster creativity can also ensnare us in confusion? Each failed attempt is a dagger to my spirit, reminding me of the isolation I feel in a community that should be united. I watch, I learn, but the connection fades, leaving me in shadows where the light of collaboration once shone brightly. Every project I undertake feels like a solitary expedition into the unknown. I crave the camaraderie of fellow explorers, yet here I am, navigating this labyrinth alone. The promise of open-source AI is a beacon of hope, but the realization of its challenges often feels like a cruel joke. The freedom to create is entangled with the chains of necessity—a bitter irony that leaves me feeling more isolated than ever. I long for moments of clarity, for those blueprints to unfurl like sails catching the wind, propelling me forward into a landscape where creativity flows freely and innovation knows no bounds. But with each passing day, the struggle continues, a reminder that though the journey is meant to be shared, I often find myself standing at the precipice, staring into the abyss of my own doubts and fears. In this digital age, I hold onto the glimmers of hope that maybe, just maybe, the community will rise together to confront these challenges. But until then, I mourn the connections lost and the dreams that fade with each failed integration. The burden of loneliness is heavy, yet I carry it, hoping that one day it will transform into the wings of liberation I so desperately seek. 🌌 #OpenSourceAI #Loneliness #Creativity #IntegrationChallenges #Blueprints