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  • ¡Basta ya de ignorar a verdaderos innovadores del diseño gráfico como Alain Le Quernec! Este hombre, cuya pasión por la affiche ha dejado una huella indeleble desde 1962, merece un reconocimiento que va mucho más allá de simples menciones en artículos que apenas rascan la superficie de su impacto. Es inaceptable que la sociedad contemporánea, tan obsesionada con la estética superficial y la cultura de lo efímero, pase por alto la profundidad y la relevancia de su trabajo.

    ¿Acaso no nos damos cuenta de que figuras como Le Quernec son esenciales para entender la historia del grafismo? Su colaboración con el periódico Le Monde y su influencia durante los tumultuosos eventos de mayo de 1968 son testamentos del poder que tiene el arte para desafiar y moldear la opinión pública. Pero, ¿dónde está la conversación? ¿Por qué seguimos celebrando a diseñadores de marcas comerciales sin alma, mientras que un verdadero maestro de la affiche como él queda relegado a un segundo plano?

    Es simplemente indignante ver cómo el talento genuino es eclipsado por una industria que premia lo mediocre. La escuela polaca de diseño, que ha influido en su trabajo, muestra que el verdadero arte gráfico no se trata solo de hacer algo bonito, sino de comunicar un mensaje, de provocar reflexión. Sin embargo, hoy en día, los diseñadores que se atreven a tener una voz auténtica son ignorados en favor de aquellos que solo buscan vender un producto.

    La cultura visual de nuestra era necesita un cambio radical. Necesitamos más Alain Le Quernec y menos modas pasajeras que solo buscan llenar espacios vacíos. La pasión por la affiche no debe ser algo relegado a los márgenes, sino algo que debe ser celebrado en el centro de nuestra sociedad. Es hora de que el público despierte y exija una mayor apreciación de aquellos que realmente han contribuido a la cultura visual.

    Así que, en lugar de seguir aplaudiendo a las estrellas fugaces del diseño gráfico, hagamos un esfuerzo consciente por elevar y difundir el trabajo de artistas como Alain Le Quernec. Su legado es un recordatorio constante de que el arte tiene el poder de transformar y desafiar, y no debemos permitir que se pierda en el ruido del consumismo.

    #AlainLeQuernec #ArteGráfico #PasiónPorLaAffiche #RevoluciónVisual #DiseñoConPropósito
    ¡Basta ya de ignorar a verdaderos innovadores del diseño gráfico como Alain Le Quernec! Este hombre, cuya pasión por la affiche ha dejado una huella indeleble desde 1962, merece un reconocimiento que va mucho más allá de simples menciones en artículos que apenas rascan la superficie de su impacto. Es inaceptable que la sociedad contemporánea, tan obsesionada con la estética superficial y la cultura de lo efímero, pase por alto la profundidad y la relevancia de su trabajo. ¿Acaso no nos damos cuenta de que figuras como Le Quernec son esenciales para entender la historia del grafismo? Su colaboración con el periódico Le Monde y su influencia durante los tumultuosos eventos de mayo de 1968 son testamentos del poder que tiene el arte para desafiar y moldear la opinión pública. Pero, ¿dónde está la conversación? ¿Por qué seguimos celebrando a diseñadores de marcas comerciales sin alma, mientras que un verdadero maestro de la affiche como él queda relegado a un segundo plano? Es simplemente indignante ver cómo el talento genuino es eclipsado por una industria que premia lo mediocre. La escuela polaca de diseño, que ha influido en su trabajo, muestra que el verdadero arte gráfico no se trata solo de hacer algo bonito, sino de comunicar un mensaje, de provocar reflexión. Sin embargo, hoy en día, los diseñadores que se atreven a tener una voz auténtica son ignorados en favor de aquellos que solo buscan vender un producto. La cultura visual de nuestra era necesita un cambio radical. Necesitamos más Alain Le Quernec y menos modas pasajeras que solo buscan llenar espacios vacíos. La pasión por la affiche no debe ser algo relegado a los márgenes, sino algo que debe ser celebrado en el centro de nuestra sociedad. Es hora de que el público despierte y exija una mayor apreciación de aquellos que realmente han contribuido a la cultura visual. Así que, en lugar de seguir aplaudiendo a las estrellas fugaces del diseño gráfico, hagamos un esfuerzo consciente por elevar y difundir el trabajo de artistas como Alain Le Quernec. Su legado es un recordatorio constante de que el arte tiene el poder de transformar y desafiar, y no debemos permitir que se pierda en el ruido del consumismo. #AlainLeQuernec #ArteGráfico #PasiónPorLaAffiche #RevoluciónVisual #DiseñoConPropósito
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    Alain Le Quernec, la passion de l’affiche
    De sa première affiche réalisée en 1962 à ses collaborations avec le journal Le Monde, en passant par l’influence des événements de mai 1968 et de l’école polonaise, Alain Le Quernec est une figure majeure du graphisme. L’article Alain Le Quernec,
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  • Amazon Prime Day – encore une fois, cette farce déguisée en « journée de bonnes affaires » va se dérouler sous nos yeux ! Oui, les dates viennent de tomber, et comme toujours, il est temps de s'interroger sur l'absurdité de cette opération commerciale. Pourquoi devrions-nous nous soucier de ces soi-disant « offres » qui ne font qu'enrichir un géant déjà trop puissant ?

    Tout d'abord, parlons de la manipulation psychologique que représente Amazon Prime Day. Chaque année, les consommateurs sont poussés à croire qu'ils vont réaliser des économies incroyables. Mais la vérité, c'est que beaucoup de ces "offres" sont simplement des prix gonflés qui, à la fin, ne nous font pas économiser un centime. C'est un cirque où nous sommes les clowns, applaudissant à des rabais qui ne sont rien d'autre qu'une illusion créée pour nous faire sortir notre carte de crédit.

    De plus, cette pratique ne fait que renforcer le pouvoir de monopole d'Amazon sur le marché. Chaque clic que nous faisons sur leur site, chaque article que nous achetons, alimente une machine qui écrase les petites entreprises et les commerces locaux. Nous faisons des folies sur des produits qui, au fond, ne sont pas nécessaires. Pendant ce temps, les magasins de quartier ferment leurs portes, victimes d'une concurrence déloyale. Qui se soucie des conséquences sociales et économiques de nos dépenses impulsives lors de ces journées de soldes ? Personne, visiblement !

    Et parlons aussi de l'impact environnemental de ces achats en masse. Chaque produit commandé en ligne nécessite des ressources – de l'énergie pour le transport à la fabrication des emballages. Amazon, avec ses livraisons express, contribue à une augmentation considérable des émissions de carbone. Mais peu importe, tant que nous pouvons remplir notre panier avec des gadgets inutiles et des vêtements à bas prix, n'est-ce pas ?

    En fin de compte, il est temps que nous ouvrions les yeux sur cette mascarade. Amazon Prime Day n'est pas une célébration de l'économie, c'est une exploitation délibérée de notre cupidité. Au lieu de nous réjouir de ces « offres », nous devrions nous demander qui en profite vraiment. La réponse est simple : un petit groupe de milliardaires qui se moquent éperdument de nous.

    Alors, la prochaine fois que vous vous préparez pour cette semaine de « bonnes affaires », pensez à ce que vous soutenez. Il est grand temps de changer notre façon de consommer et de privilégier des choix éthiques et responsables. Refusons d'être des marionnettes dans le jeu d'Amazon !

    #AmazonPrimeDay #ConsommationResponsable #Monopole #ImpactEnvironnemental #ÉconomieÉthique
    Amazon Prime Day – encore une fois, cette farce déguisée en « journée de bonnes affaires » va se dérouler sous nos yeux ! Oui, les dates viennent de tomber, et comme toujours, il est temps de s'interroger sur l'absurdité de cette opération commerciale. Pourquoi devrions-nous nous soucier de ces soi-disant « offres » qui ne font qu'enrichir un géant déjà trop puissant ? Tout d'abord, parlons de la manipulation psychologique que représente Amazon Prime Day. Chaque année, les consommateurs sont poussés à croire qu'ils vont réaliser des économies incroyables. Mais la vérité, c'est que beaucoup de ces "offres" sont simplement des prix gonflés qui, à la fin, ne nous font pas économiser un centime. C'est un cirque où nous sommes les clowns, applaudissant à des rabais qui ne sont rien d'autre qu'une illusion créée pour nous faire sortir notre carte de crédit. De plus, cette pratique ne fait que renforcer le pouvoir de monopole d'Amazon sur le marché. Chaque clic que nous faisons sur leur site, chaque article que nous achetons, alimente une machine qui écrase les petites entreprises et les commerces locaux. Nous faisons des folies sur des produits qui, au fond, ne sont pas nécessaires. Pendant ce temps, les magasins de quartier ferment leurs portes, victimes d'une concurrence déloyale. Qui se soucie des conséquences sociales et économiques de nos dépenses impulsives lors de ces journées de soldes ? Personne, visiblement ! Et parlons aussi de l'impact environnemental de ces achats en masse. Chaque produit commandé en ligne nécessite des ressources – de l'énergie pour le transport à la fabrication des emballages. Amazon, avec ses livraisons express, contribue à une augmentation considérable des émissions de carbone. Mais peu importe, tant que nous pouvons remplir notre panier avec des gadgets inutiles et des vêtements à bas prix, n'est-ce pas ? En fin de compte, il est temps que nous ouvrions les yeux sur cette mascarade. Amazon Prime Day n'est pas une célébration de l'économie, c'est une exploitation délibérée de notre cupidité. Au lieu de nous réjouir de ces « offres », nous devrions nous demander qui en profite vraiment. La réponse est simple : un petit groupe de milliardaires qui se moquent éperdument de nous. Alors, la prochaine fois que vous vous préparez pour cette semaine de « bonnes affaires », pensez à ce que vous soutenez. Il est grand temps de changer notre façon de consommer et de privilégier des choix éthiques et responsables. Refusons d'être des marionnettes dans le jeu d'Amazon ! #AmazonPrimeDay #ConsommationResponsable #Monopole #ImpactEnvironnemental #ÉconomieÉthique
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    Amazon Prime Day dates just dropped – and here is a genuine reason you should care
    Get set for a week's worth of deals from Amazon.
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  • Assez, c'est assez ! La récente conférence intitulée “Pas si simple !” autour du thème de la simplicité dans le design est une parfaite illustration de l'aveuglement de notre société face à des enjeux cruciaux. On nous a servi un menu indigeste d'éléments prétendument simples, alors qu'en réalité, la complexité du design moderne est en train de détruire notre sens commun.

    Comment peut-on encore parler de simplicité quand le monde du design est devenu un labyrinthe de choix inutiles et de tendances éphémères ? Les conférenciers, avec leurs discours vides et leurs jargons abscons, essaient de nous convaincre que tout cela est une quête pour la simplicité. Mais la vérité est bien plus sombre. Ils nous enferment dans des cycles de consommation où chaque nouvelle tendance exige que nous révisions nos notions de base, des notions que nous pensions avoir intégrées.

    Les réseaux sociaux regorgent d'exemples de ce désastre. Regardez les plateformes où le design est devenu un outil de vanité plus qu'un moyen de communication. Ces soi-disant experts nous bombardent de visuels épurés mais totalement dénués de sens. Qu'est-ce qui reste de la véritable fonction du design ? Où sont passées les valeurs fondamentales qui devraient guider chaque création ? Ce n'est pas la simplicité qui doit être célébrée, mais l'authenticité et la pertinence.

    Il est désolant de constater que cette conférence n'a fait que renforcer l'idée que le design peut être réduit à une question de choix esthétiques superficiels. Les participants ont applaudi des concepts qui ont été présentés sans aucune profondeur. Oui, la simplicité est essentielle, mais elle ne doit pas être synonyme de banalité. Nous avons besoin de leaders d'opinion qui osent remettre en question le statu quo au lieu de se contenter de flatter les egos des designers en herbe.

    Ne vous laissez pas berner par une façade simpliste. La vraie complexité du design réside dans sa capacité à répondre à des besoins réels, à évoquer des émotions et à engager des dialogues. L'absence de profondeur dans des événements comme “Pas si simple !” est une insulte à tous ceux qui travaillent dur pour faire avancer le design et la communication.

    Réveillons-nous ! La simplicité ne doit pas être un prétexte pour négliger le sens et la fonctionnalité. Si nous voulons vraiment avancer, il est temps de dénoncer ces discours creux et de revendiquer un design qui a du contenu, de la substance et, par-dessus tout, de l'impact.

    #Design #Simplicité #Critique #Conférence #Graphéine
    Assez, c'est assez ! La récente conférence intitulée “Pas si simple !” autour du thème de la simplicité dans le design est une parfaite illustration de l'aveuglement de notre société face à des enjeux cruciaux. On nous a servi un menu indigeste d'éléments prétendument simples, alors qu'en réalité, la complexité du design moderne est en train de détruire notre sens commun. Comment peut-on encore parler de simplicité quand le monde du design est devenu un labyrinthe de choix inutiles et de tendances éphémères ? Les conférenciers, avec leurs discours vides et leurs jargons abscons, essaient de nous convaincre que tout cela est une quête pour la simplicité. Mais la vérité est bien plus sombre. Ils nous enferment dans des cycles de consommation où chaque nouvelle tendance exige que nous révisions nos notions de base, des notions que nous pensions avoir intégrées. Les réseaux sociaux regorgent d'exemples de ce désastre. Regardez les plateformes où le design est devenu un outil de vanité plus qu'un moyen de communication. Ces soi-disant experts nous bombardent de visuels épurés mais totalement dénués de sens. Qu'est-ce qui reste de la véritable fonction du design ? Où sont passées les valeurs fondamentales qui devraient guider chaque création ? Ce n'est pas la simplicité qui doit être célébrée, mais l'authenticité et la pertinence. Il est désolant de constater que cette conférence n'a fait que renforcer l'idée que le design peut être réduit à une question de choix esthétiques superficiels. Les participants ont applaudi des concepts qui ont été présentés sans aucune profondeur. Oui, la simplicité est essentielle, mais elle ne doit pas être synonyme de banalité. Nous avons besoin de leaders d'opinion qui osent remettre en question le statu quo au lieu de se contenter de flatter les egos des designers en herbe. Ne vous laissez pas berner par une façade simpliste. La vraie complexité du design réside dans sa capacité à répondre à des besoins réels, à évoquer des émotions et à engager des dialogues. L'absence de profondeur dans des événements comme “Pas si simple !” est une insulte à tous ceux qui travaillent dur pour faire avancer le design et la communication. Réveillons-nous ! La simplicité ne doit pas être un prétexte pour négliger le sens et la fonctionnalité. Si nous voulons vraiment avancer, il est temps de dénoncer ces discours creux et de revendiquer un design qui a du contenu, de la substance et, par-dessus tout, de l'impact. #Design #Simplicité #Critique #Conférence #Graphéine
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    Conférence ”Pas si simple !“
    Conférence & table ronde autour du thème de la simplicité dans le design. L’article Conférence ”Pas si simple !“ est apparu en premier sur Graphéine - Agence de communication Paris Lyon.
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  • Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse.

    Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes !

    Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ?

    Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste.

    J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration.

    Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent.

    #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
    Dans un monde où les courses de Mario Kart deviennent de plus en plus extravagantes, il semble que la dernière tendance soit de s'accrocher aux rails et de rouler sur les murs. Oui, vous avez bien entendu, mes amis ! Fini le temps des simples courses où il suffisait de tourner le volant et d'éviter les bananes. Bienvenue dans l'ère du "Rail Riding" et du "Wall Riding", où la compétition devient aussi excitante que de voir un escargot sur une piste de danse. Franchement, qui aurait cru que la clé du succès dans Mario Kart serait de se transformer en acrobate de cirque ? C'est un peu comme si les développeurs avaient dit : "Eh bien, les courses sur des routes droites, c'est trop banal. Pourquoi ne pas ajouter un peu de gymnastique artistique ?" Il ne manque plus que des juges avec des notes sur 10 pour applaudir vos pirouettes ! Et parlons de ces nouvelles techniques. Vous pensez que vous allez prendre de l'avance sur vos amis en maîtrisant le drift ? Non, non, non ! Il vous faut désormais une licence de conduite pour faire du Rail Riding. Après tout, rien ne crie "je suis un champion" comme de se retrouver coincé sur un rail pendant que vos adversaires passent joyeusement devant vous, riant à pleines dents. Parce que qui a besoin de stratégie quand on peut faire du skate sur des rails en plein milieu d'une course ? Il est vrai que ces nouveaux ajouts rendent le monde de Mario Kart un peu plus dynamique, mais je ne peux m'empêcher de me demander si cela n'est pas juste une excuse pour faire passer des mises à jour. "Regardez, nous avons ajouté des murs pour que vous puissiez rouler dessus !" Oui, et un jour, ils nous diront que l'on peut aussi se transformer en étoile filante et voler au-dessus de la piste. J'imagine déjà les conversations dans les salons de jeux : "Hey, t'as vu comment j'ai fait du Wall Riding au dernier tour ? J'ai failli tomber, mais au moins, tout le monde a vu ma chute épique !" C'est exactement ça que nous cherchions, non ? Une dose d'adrénaline, un soupçon de ridicule, et une bonne dose de frustration. Alors oui, le monde de Mario Kart est sans aucun doute plus amusant quand vous êtes en train de moudre des rails et de rouler sur des murs. Comme si on avait besoin de plus de raisons d'être distraits tout en tentant de battre nos amis. Mais au fond, qui peut vraiment résister à l'appel de la folie ? Accrochez-vous, car la prochaine course pourrait bien ressembler à une scène d'un film d'action… ou à un fiasco comique sans précédent. #MarioKart #RailRiding #WallRiding #JeuxVidéo #HumourJeux
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    Mario Kart World Is More Fun When You're Grinding Rails And Riding Walls
    Mario Kart World’s newest features aren’t limited to just the open world and huge 24-player races. Everything feels a lot more dynamic thanks to the inclusion of Rail Riding and Wall Riding. These new techniques can seem like a hassle at first, but y
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  • Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair !

    Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art.

    Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique !

    Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité.

    On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs.

    En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines.

    #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
    Autodesk, encore une fois, frappe fort et nous présente MotionMaker, un nouvel outil d’animation IA intégré à Maya, qui prétend réduire les temps de production de manière spectaculaire. Mais sérieusement, sommes-nous vraiment censés applaudir cette pseudo-révolution technologique ? Il est temps de mettre les choses au clair ! Tout d'abord, qu'est-ce que cette annonce dit sur notre industrie ? Nous, animateurs, avons toujours été fiers de notre savoir-faire, de notre art, de notre capacité à insuffler la vie à des personnages animés grâce à notre créativité et notre patience. Et maintenant, voilà qu'Autodesk nous dit que tout cela peut être remplacé par une machine ? C'est une insulte à notre passion et à notre profession ! MotionMaker n'est pas une solution, c'est une aberration qui met en péril l'authenticité de notre art. Parlons de ce que cela signifie réellement pour les créateurs. La promesse d’une réduction spectaculaire des temps de production semble séduisante en surface, mais à quel prix ? En remplaçant l'authenticité de l'animation par une formule standardisée, Autodesk ne risque-t-il pas de nous plonger dans un océan de créations uniformes et sans âme ? Nos personnages, qui devraient refléter notre vision et notre émotion, finiront par devenir des clones, sans aucune personnalité. C'est une direction catastrophique ! Et puis, il y a cette prétention d'utiliser l'intelligence artificielle pour "révolutionner" notre manière d'animer. Qui a besoin d'une IA pour faire ce que nous avons appris à faire pendant des années ? Les animateurs sont des artistes, pas des techniciens qui appuient sur des boutons. En fait, ce genre de technologie ne fait qu'aliéner les véritables créateurs. Au lieu de nous donner les outils pour améliorer notre art, cela nous entraîne vers une dépendance à la technologie qui peut nous coûter notre créativité. On ne peut pas ignorer non plus l'impact sur l'emploi. En réduisant le temps de production, Autodesk joue avec le feu. Si les studios peuvent produire plus rapidement grâce à MotionMaker, cela signifie moins d'emplois pour les animateurs. Une fois de plus, la rentabilité prend le pas sur l'humain. Il est temps que nous nous levions contre cette tendance dévastatrice et que nous défendions notre place en tant que créateurs. En somme, MotionMaker est loin d'être la solution miracle qu'Autodesk prétend qu'elle est. C'est un affront à notre art, un outil qui menace notre créativité et nos emplois. Nous devons résister à cette pression technologique et affirmer que l'animation doit rester un domaine d'expression humaine, et non un champ de bataille pour les machines. #MotionMaker #Animation #IA #Autodesk #Créativité
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    Autodesk dévoile MotionMaker : un outil d’animation IA qui réduit le temps de production dans Maya
    Autodesk bouleverse le monde de l’animation avec le lancement de MotionMaker, un nouvel outil intégré à Autodesk Maya, alimenté par l’intelligence artificielle, qui promet de révolutionner la manière dont les animateurs vont animer leurs personnages.
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  • What a disgrace! The recent announcement regarding the official art book of "Clair Obscur: Expedition 33" is nothing short of an embarrassing cash grab by Sandfall Interactive and ActuGaming.net. Are we seriously expected to applaud this blatant attempt to milk fans dry? This is a classic example of the gaming industry prioritizing profit over quality and respect for its community.

    Let’s break it down. First off, the hype surrounding "Clair Obscur: Expedition 33" is overshadowed by the fact that this art book seems to be marketed as some kind of sacred treasure. Seriously? It’s just an art book! The gaming community is smarter than this. It’s infuriating to see creators take advantage of our passion for their work, slapping a price tag on what should be a free expression of creativity. The audacity of Sandfall Interactive to push this as something essential for fans is beyond frustrating. Where is the integrity?

    Moreover, what about the accessibility? How many of us can afford to splurge on an art book while we’re already investing in games that often come riddled with bugs and technical issues? This trend of pre-ordering merchandise is absolutely maddening. It encourages a toxic culture of consumerism, where gamers are pressured to part with their hard-earned money for something that may not even meet expectations. Are we supposed to just accept this as the new normal? Absolutely not!

    And let’s talk about the content itself. The description hints at a “true masterpiece” but fails to deliver any tangible evidence of that claim. What are we getting? Concept art that’s likely to be recycled from promotional materials? How about some actual behind-the-scenes insight or a deeper dive into the creative process? Instead, we’re being fed a glorified collection of pretty pictures that don’t add any real value to the gaming experience. It’s infuriating to think about how the industry is willing to settle for mediocrity, all for the sake of profit.

    To top it all off, ActuGaming.net should be ashamed for promoting this sham without questioning the ethics behind it. Are they merely a mouthpiece for Sandfall Interactive, or do they care about the opinions of their readers? It’s hard to tell when they’re pushing content that feels disingenuous and exploitative. We need more critical voices in the gaming media, not just cheerleaders for corporate greed.

    In conclusion, it’s time for fans to stand up against these practices. Let’s not fall for the trap of pre-ordering and overhyped merchandise that serves only to pad the wallets of those at the top. Demand better from our creators and the media that covers them. We deserve respect, transparency, and quality over empty promises.

    #ClairObscur #GamingCommunity #ConsumerRights #ArtBook #GameIndustryCritique
    What a disgrace! The recent announcement regarding the official art book of "Clair Obscur: Expedition 33" is nothing short of an embarrassing cash grab by Sandfall Interactive and ActuGaming.net. Are we seriously expected to applaud this blatant attempt to milk fans dry? This is a classic example of the gaming industry prioritizing profit over quality and respect for its community. Let’s break it down. First off, the hype surrounding "Clair Obscur: Expedition 33" is overshadowed by the fact that this art book seems to be marketed as some kind of sacred treasure. Seriously? It’s just an art book! The gaming community is smarter than this. It’s infuriating to see creators take advantage of our passion for their work, slapping a price tag on what should be a free expression of creativity. The audacity of Sandfall Interactive to push this as something essential for fans is beyond frustrating. Where is the integrity? Moreover, what about the accessibility? How many of us can afford to splurge on an art book while we’re already investing in games that often come riddled with bugs and technical issues? This trend of pre-ordering merchandise is absolutely maddening. It encourages a toxic culture of consumerism, where gamers are pressured to part with their hard-earned money for something that may not even meet expectations. Are we supposed to just accept this as the new normal? Absolutely not! And let’s talk about the content itself. The description hints at a “true masterpiece” but fails to deliver any tangible evidence of that claim. What are we getting? Concept art that’s likely to be recycled from promotional materials? How about some actual behind-the-scenes insight or a deeper dive into the creative process? Instead, we’re being fed a glorified collection of pretty pictures that don’t add any real value to the gaming experience. It’s infuriating to think about how the industry is willing to settle for mediocrity, all for the sake of profit. To top it all off, ActuGaming.net should be ashamed for promoting this sham without questioning the ethics behind it. Are they merely a mouthpiece for Sandfall Interactive, or do they care about the opinions of their readers? It’s hard to tell when they’re pushing content that feels disingenuous and exploitative. We need more critical voices in the gaming media, not just cheerleaders for corporate greed. In conclusion, it’s time for fans to stand up against these practices. Let’s not fall for the trap of pre-ordering and overhyped merchandise that serves only to pad the wallets of those at the top. Demand better from our creators and the media that covers them. We deserve respect, transparency, and quality over empty promises. #ClairObscur #GamingCommunity #ConsumerRights #ArtBook #GameIndustryCritique
    WWW.ACTUGAMING.NET
    L’artbook officiel de Clair Obscur: Expedition 33 est en précommande, voici tout ce qu’il faut savoir
    ActuGaming.net L’artbook officiel de Clair Obscur: Expedition 33 est en précommande, voici tout ce qu’il faut savoir Véritable coup de maître de la part des français de chez Sandfall Interactive, Clair Obscur: […] L'article L&rsquo
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  • These 15 Dynamic Photos Will Make You Want to Dance

    These 15 Dynamic Photos Will Make You Want to Dance
    Get footloose with these Smithsonian Magazine Photo Contest dance scenes

    Photographs selected by Quentin Nardi

    Text by

    Tracy Scott Forson

    June 13, 2025

    In the 1500s, ballet roles for female characters were performed by men. Women entered the art form in the late 1600s and are now dominant in ballet.
    Libby Zhang, Texas, 2016

    Like many art forms, dance transcends cultures, countries and continents. Flamenco, breakdancing, ballet, tango and other well-known genres are all forms of movement performed all across the globe.
    While being a professional can take decades of dedication and training, one appeal of dance is that you don’t have to be an expert to participate in or enjoy it. Just visit any preschool for evidence of that. “The arts teach tolerance because there is no one way of doing anything,” said dance icon and Emmy winner Debbie Allen. While some forms of dance are more structured and formal than others, they’re all about using the body as a tool of expression. Take a look.

    In Istanbul, a customary trance-like dance, embodying spiritual devotion and the pursuit of unity with the divine, is performed as part of a Sufi ceremony.

    Uku Sööt, Turkey, 2024

    Passersby cheer and applaud energetic dancers in vibrant colors as they entertain a crowd at Fuzhou.

    Yi Yuan, China, 2024

    A young dance student’s elegant movements are complemented by the flow and motion of her beautiful garment.

    Felicia Tolbert, Michigan, 2024

    During a celebration in Tyrol, the locals perform a traditional dance called Schuhplattler, which is very demanding physically and requires the dancers to reach their shoes while jumping.

    Ory Schneor, Austria, 2024

    Young dancers strike poses for photos before participating in a performance at Brihadeeswara Temple.

    Ravikanth Kurma, India, 2019

    Members of Hush Crew, based in Boston, perform at public venues around the city—and all over social media—showing off their dance skills.

    Paul Karns, Massachusetts, 2024

    A flamenco dancer from Granada jumps to heights that could rival any NBA Hall of Famer.

    Javier Fergo, Spain, 2017

    Dancers of the Ho Chi Minh City Ballet nearly collide as they practice for a performance titled The Roof.

    Le Nguyen Huy Thuy, Vietnam, 2015

    Genres converge as two dancers fuse the movements and choreography of ballet and hip-hop.

    Tom Griscom, Tennessee, 2015

    A teenage dance student celebrates the first day of summer with an iconic ballet leap.

    Vicki Surges, Minnesota, 2010

    Dressed in elaborate, ornate garments, dancers celebrating Day of the Dead participate in a colorful parade.

    Michelle Atkinson, Texas, 2013

    With roots in Italy, ballet, like many forms of dance, is now common in countries and cultures around the world.

    Xiaoping Mao, China, 2023

    Bodies blur as they move to the music during a party to celebrate the festive week of Maslenitsa at the St. Petersburg State University.

    Anton Golyshev, Russia, 2011

    A wedding party celebrates new nuptials with a dance through the historic alleys of New Orleans’ French Quarter.

    Osman Sharif, Louisiana, 2021

    Get the latest Travel & Culture stories in your inbox.
    #these #dynamic #photos #will #make
    These 15 Dynamic Photos Will Make You Want to Dance
    These 15 Dynamic Photos Will Make You Want to Dance Get footloose with these Smithsonian Magazine Photo Contest dance scenes Photographs selected by Quentin Nardi Text by Tracy Scott Forson June 13, 2025 In the 1500s, ballet roles for female characters were performed by men. Women entered the art form in the late 1600s and are now dominant in ballet. Libby Zhang, Texas, 2016 Like many art forms, dance transcends cultures, countries and continents. Flamenco, breakdancing, ballet, tango and other well-known genres are all forms of movement performed all across the globe. While being a professional can take decades of dedication and training, one appeal of dance is that you don’t have to be an expert to participate in or enjoy it. Just visit any preschool for evidence of that. “The arts teach tolerance because there is no one way of doing anything,” said dance icon and Emmy winner Debbie Allen. While some forms of dance are more structured and formal than others, they’re all about using the body as a tool of expression. Take a look. In Istanbul, a customary trance-like dance, embodying spiritual devotion and the pursuit of unity with the divine, is performed as part of a Sufi ceremony. Uku Sööt, Turkey, 2024 Passersby cheer and applaud energetic dancers in vibrant colors as they entertain a crowd at Fuzhou. Yi Yuan, China, 2024 A young dance student’s elegant movements are complemented by the flow and motion of her beautiful garment. Felicia Tolbert, Michigan, 2024 During a celebration in Tyrol, the locals perform a traditional dance called Schuhplattler, which is very demanding physically and requires the dancers to reach their shoes while jumping. Ory Schneor, Austria, 2024 Young dancers strike poses for photos before participating in a performance at Brihadeeswara Temple. Ravikanth Kurma, India, 2019 Members of Hush Crew, based in Boston, perform at public venues around the city—and all over social media—showing off their dance skills. Paul Karns, Massachusetts, 2024 A flamenco dancer from Granada jumps to heights that could rival any NBA Hall of Famer. Javier Fergo, Spain, 2017 Dancers of the Ho Chi Minh City Ballet nearly collide as they practice for a performance titled The Roof. Le Nguyen Huy Thuy, Vietnam, 2015 Genres converge as two dancers fuse the movements and choreography of ballet and hip-hop. Tom Griscom, Tennessee, 2015 A teenage dance student celebrates the first day of summer with an iconic ballet leap. Vicki Surges, Minnesota, 2010 Dressed in elaborate, ornate garments, dancers celebrating Day of the Dead participate in a colorful parade. Michelle Atkinson, Texas, 2013 With roots in Italy, ballet, like many forms of dance, is now common in countries and cultures around the world. Xiaoping Mao, China, 2023 Bodies blur as they move to the music during a party to celebrate the festive week of Maslenitsa at the St. Petersburg State University. Anton Golyshev, Russia, 2011 A wedding party celebrates new nuptials with a dance through the historic alleys of New Orleans’ French Quarter. Osman Sharif, Louisiana, 2021 Get the latest Travel & Culture stories in your inbox. #these #dynamic #photos #will #make
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    These 15 Dynamic Photos Will Make You Want to Dance Get footloose with these Smithsonian Magazine Photo Contest dance scenes Photographs selected by Quentin Nardi Text by Tracy Scott Forson June 13, 2025 In the 1500s, ballet roles for female characters were performed by men. Women entered the art form in the late 1600s and are now dominant in ballet. Libby Zhang, Texas, 2016 Like many art forms, dance transcends cultures, countries and continents. Flamenco, breakdancing, ballet, tango and other well-known genres are all forms of movement performed all across the globe. While being a professional can take decades of dedication and training, one appeal of dance is that you don’t have to be an expert to participate in or enjoy it. Just visit any preschool for evidence of that. “The arts teach tolerance because there is no one way of doing anything,” said dance icon and Emmy winner Debbie Allen. While some forms of dance are more structured and formal than others, they’re all about using the body as a tool of expression. Take a look. In Istanbul, a customary trance-like dance, embodying spiritual devotion and the pursuit of unity with the divine, is performed as part of a Sufi ceremony. Uku Sööt, Turkey, 2024 Passersby cheer and applaud energetic dancers in vibrant colors as they entertain a crowd at Fuzhou. Yi Yuan, China, 2024 A young dance student’s elegant movements are complemented by the flow and motion of her beautiful garment. Felicia Tolbert, Michigan, 2024 During a celebration in Tyrol, the locals perform a traditional dance called Schuhplattler, which is very demanding physically and requires the dancers to reach their shoes while jumping. Ory Schneor, Austria, 2024 Young dancers strike poses for photos before participating in a performance at Brihadeeswara Temple. Ravikanth Kurma, India, 2019 Members of Hush Crew, based in Boston, perform at public venues around the city—and all over social media—showing off their dance skills. Paul Karns, Massachusetts, 2024 A flamenco dancer from Granada jumps to heights that could rival any NBA Hall of Famer. Javier Fergo, Spain, 2017 Dancers of the Ho Chi Minh City Ballet nearly collide as they practice for a performance titled The Roof. Le Nguyen Huy Thuy, Vietnam, 2015 Genres converge as two dancers fuse the movements and choreography of ballet and hip-hop. Tom Griscom, Tennessee, 2015 A teenage dance student celebrates the first day of summer with an iconic ballet leap. Vicki Surges, Minnesota, 2010 Dressed in elaborate, ornate garments, dancers celebrating Day of the Dead participate in a colorful parade. Michelle Atkinson, Texas, 2013 With roots in Italy, ballet, like many forms of dance, is now common in countries and cultures around the world. Xiaoping Mao, China, 2023 Bodies blur as they move to the music during a party to celebrate the festive week of Maslenitsa at the St. Petersburg State University. Anton Golyshev, Russia, 2011 A wedding party celebrates new nuptials with a dance through the historic alleys of New Orleans’ French Quarter. Osman Sharif, Louisiana, 2021 Get the latest Travel & Culture stories in your inbox.
  • European tech founders slam ‘unbelievably toxic’ calls for 7-day work weeks

    European tech leaders are pushing back against high-profile VCs urging founders to work seven days a week — slamming the grindset mentality as everything from “toxic” to “childish.” 
    “Calling on founders to work insane hours nonstop is just bad advice,” Suranga Chandratillake, general partner at Balderton Capital and former CEO of video search engine Blinkx, told TNW. “Even sprinters don’t sprint all the time — rest and reflection is just as important as putting in the work.”
    His comments follow a LinkedIn post on Saturday by Harry Stebbings, podcast host and 28-year-old founder of London-based venture firm 20VC. “What European founders need to realise7 days a week is the required velocity to win right now,” he wrote, implying that they need to match the infamous grind culture of Silicon Valley.      
    Martin Mignot, a partner at New York-based Index Ventures, rallied behind Stebbings. In a LinkedIn post of his own, he applauded the 9am-9pm, six days a weekwork culture adopted by some tech firms in China. “Forget 9 to 5, 996 is the new startup standard,” he said. 
    While some echoed their views, many European tech founders and investors weren’t happy with the rhetoric. Amelia Miller, co-founder of return-to-work platform Ivee, called Stebbings’ post “unbelievably toxic.”
    Register Now

    “Only bad founders work 7 days non-stop,” she wrote. “It’s poor time management and a fast track to burnout.” Miller also said she thinks that working such long hours unfairly discriminates against parents and those with responsibilities outside the office.  
    Chandratillake also warned against taking advice from VCs without experience of starting and running a company. “If you’re a CEO, don’t listen to a jumped-up finance bro in a hoodie who has never done your job telling you how to do it!” he said. 
    The lively debate comes amid a broader conversation in European tech over whether workplace culture is holding the region back compared to the US or China. 
    In a podcast interview in March, Revolut boss Nik Storonsky criticised European startup entrepreneurs, saying they weren’t working hard enough and valued work-life balance too highly. Those comments followed another lively social media debate earlier this year about whether French founders lacked the “grindset” to succeed.  
    However, a recent survey of 128 European founders by early-stage VC firm Antler found that three-quarters of them work more than 60 hours weekly. Almost 20% of them exceeded 80 hours, challenging the notion that European founders don’t hustle. 
    Chandratillake said he believes that scrutinising work hours overlooks some of the real challenges founders face in Europe, such as access to late-stage financing. That said, the investor thinks there is a time and a place for the grind.
    “Sometimes founders have to work extremely hard and long hours, but that’s not sustainable all the time,” he said. “Building a successful company is a marathon, it takes endurance.” 
    European startup founders are the lifeblood of TNW Conference — and we want you there too. The tech festival takes place on June 19-20 in Amsterdam. Use the code TNWXMEDIA2025 at the ticket checkout to get 30% off.

    Story by

    Siôn Geschwindt

    Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicSiôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. You can contact him at: sion.geschwindtprotonmailcom

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    European tech founders slam ‘unbelievably toxic’ calls for 7-day work weeks
    European tech leaders are pushing back against high-profile VCs urging founders to work seven days a week — slamming the grindset mentality as everything from “toxic” to “childish.”  “Calling on founders to work insane hours nonstop is just bad advice,” Suranga Chandratillake, general partner at Balderton Capital and former CEO of video search engine Blinkx, told TNW. “Even sprinters don’t sprint all the time — rest and reflection is just as important as putting in the work.” His comments follow a LinkedIn post on Saturday by Harry Stebbings, podcast host and 28-year-old founder of London-based venture firm 20VC. “What European founders need to realise7 days a week is the required velocity to win right now,” he wrote, implying that they need to match the infamous grind culture of Silicon Valley.       Martin Mignot, a partner at New York-based Index Ventures, rallied behind Stebbings. In a LinkedIn post of his own, he applauded the 9am-9pm, six days a weekwork culture adopted by some tech firms in China. “Forget 9 to 5, 996 is the new startup standard,” he said.  While some echoed their views, many European tech founders and investors weren’t happy with the rhetoric. Amelia Miller, co-founder of return-to-work platform Ivee, called Stebbings’ post “unbelievably toxic.” Register Now “Only bad founders work 7 days non-stop,” she wrote. “It’s poor time management and a fast track to burnout.” Miller also said she thinks that working such long hours unfairly discriminates against parents and those with responsibilities outside the office.   Chandratillake also warned against taking advice from VCs without experience of starting and running a company. “If you’re a CEO, don’t listen to a jumped-up finance bro in a hoodie who has never done your job telling you how to do it!” he said.  The lively debate comes amid a broader conversation in European tech over whether workplace culture is holding the region back compared to the US or China.  In a podcast interview in March, Revolut boss Nik Storonsky criticised European startup entrepreneurs, saying they weren’t working hard enough and valued work-life balance too highly. Those comments followed another lively social media debate earlier this year about whether French founders lacked the “grindset” to succeed.   However, a recent survey of 128 European founders by early-stage VC firm Antler found that three-quarters of them work more than 60 hours weekly. Almost 20% of them exceeded 80 hours, challenging the notion that European founders don’t hustle.  Chandratillake said he believes that scrutinising work hours overlooks some of the real challenges founders face in Europe, such as access to late-stage financing. That said, the investor thinks there is a time and a place for the grind. “Sometimes founders have to work extremely hard and long hours, but that’s not sustainable all the time,” he said. “Building a successful company is a marathon, it takes endurance.”  European startup founders are the lifeblood of TNW Conference — and we want you there too. The tech festival takes place on June 19-20 in Amsterdam. Use the code TNWXMEDIA2025 at the ticket checkout to get 30% off. Story by Siôn Geschwindt Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicSiôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. You can contact him at: sion.geschwindtprotonmailcom Get the TNW newsletter Get the most important tech news in your inbox each week. Also tagged with #european #tech #founders #slam #unbelievably
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    European tech leaders are pushing back against high-profile VCs urging founders to work seven days a week — slamming the grindset mentality as everything from “toxic” to “childish.”  “Calling on founders to work insane hours nonstop is just bad advice,” Suranga Chandratillake, general partner at Balderton Capital and former CEO of video search engine Blinkx, told TNW. “Even sprinters don’t sprint all the time — rest and reflection is just as important as putting in the work.” His comments follow a LinkedIn post on Saturday by Harry Stebbings, podcast host and 28-year-old founder of London-based venture firm 20VC. “What European founders need to realise [is that] 7 days a week is the required velocity to win right now,” he wrote, implying that they need to match the infamous grind culture of Silicon Valley.       Martin Mignot, a partner at New York-based Index Ventures, rallied behind Stebbings. In a LinkedIn post of his own, he applauded the 9am-9pm, six days a week (illegal) work culture adopted by some tech firms in China. “Forget 9 to 5, 996 is the new startup standard,” he said.  While some echoed their views, many European tech founders and investors weren’t happy with the rhetoric. Amelia Miller, co-founder of return-to-work platform Ivee, called Stebbings’ post “unbelievably toxic.” Register Now “Only bad founders work 7 days non-stop,” she wrote. “It’s poor time management and a fast track to burnout.” Miller also said she thinks that working such long hours unfairly discriminates against parents and those with responsibilities outside the office.   Chandratillake also warned against taking advice from VCs without experience of starting and running a company. “If you’re a CEO, don’t listen to a jumped-up finance bro in a hoodie who has never done your job telling you how to do it!” he said.  The lively debate comes amid a broader conversation in European tech over whether workplace culture is holding the region back compared to the US or China.  In a podcast interview in March, Revolut boss Nik Storonsky criticised European startup entrepreneurs, saying they weren’t working hard enough and valued work-life balance too highly. Those comments followed another lively social media debate earlier this year about whether French founders lacked the “grindset” to succeed.   However, a recent survey of 128 European founders by early-stage VC firm Antler found that three-quarters of them work more than 60 hours weekly. Almost 20% of them exceeded 80 hours, challenging the notion that European founders don’t hustle.  Chandratillake said he believes that scrutinising work hours overlooks some of the real challenges founders face in Europe, such as access to late-stage financing. That said, the investor thinks there is a time and a place for the grind. “Sometimes founders have to work extremely hard and long hours, but that’s not sustainable all the time,” he said. “Building a successful company is a marathon, it takes endurance.”  European startup founders are the lifeblood of TNW Conference — and we want you there too. The tech festival takes place on June 19-20 in Amsterdam. Use the code TNWXMEDIA2025 at the ticket checkout to get 30% off. Story by Siôn Geschwindt Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehic (show all) Siôn is a freelance science and technology reporter, specialising in climate and energy. From nuclear fusion breakthroughs to electric vehicles, he's happiest sourcing a scoop, investigating the impact of emerging technologies, and even putting them to the test. He has five years of journalism experience and holds a dual degree in media and environmental science from the University of Cape Town, South Africa. When he's not writing, you can probably find Siôn out hiking, surfing, playing the drums or catering to his moderate caffeine addiction. You can contact him at: sion.geschwindt [at] protonmail [dot] com Get the TNW newsletter Get the most important tech news in your inbox each week. Also tagged with
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